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Lettre ouverte aux négationnistes faisant l’amalgame entre SAP et pédophilie


Le monde n’est pas « ou blanc ou noir »
mais souvent les deux

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Il peut y avoir des manipulations mentales de l’enfant « désaffection parentale » (sans parler de « syndrome » – terme inapproprié techniquement puisqu’il exige une exhaustivité de la symptomatologie) et il peut également exister l’utilisation du concept SAP (Aliénation Parentale) comme d’un parapluie (dans le cas d’inceste par exemple).

Cependant, l’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de désaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologiques (cf. ce reportage) où l’enfant est soumis à un lavage de cerveau. D’enfant-otage, isolé de son parent, il devient peu à peu enfant-soldat. Aucun lien avec la pédophilie dans tous ces cas…

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Si demain, les pédophiles se mettent à réclamer des droits et que, par exemple, sous couvert d’un droit à la différence, ils se mettent à vouloir s’abriter à nouveau d’un énième concept pour justifier leur basse besogne :

Devrions-nous considérer alors qu’il faille s’attaquer au concept même du droit à la différence d’une manière généralisée ? Voire de déclarer que tous ceux qui évoquent le droit à la différence (et même si il n’y a aucun lien avec la pédophilie) soient dès lors considérés comme « sectes », « adeptes », etc… ? Ne serait-ce pas là, un petit peu excessif ?

Comme un taureau dans une arène, ne faudrait-il pas songer à s’attaquer directement à celui qui agite un chiffon rouge plutôt qu’à tous les chiffons qu’il puisse agiter ?

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Quant à Gardner, si demain on apprenait qu’Einstein était un escroc devrait-on alors remettre en cause la théorie de la relativité pour autant ?

Et que faisons-nous des oeuvres d’art produites et exposées par des artistes dont on découvrirait des penchants abjectes ? Ou qui seraient politiquement condamnables ? Que feriez-vous par exemple, des cendres de Victor Hugo et de son oeuvre, si vous appreniez qu’il était antisémite ? L’objectivité juge l’objet, la subjectivité, le sujet…

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Par ailleurs, même si la pédophilie au féminin existe, comment considérer également les nombreux cas où c’est la mère qui est rejetée par son enfant ?

Ex: 1 témoignage d’une mère aliénée

« (…) je suis désespérée de ne plus voir mon fils, ma vie s’est brisée le jour ou on me l’a enlevé, j’ai beau faire les choses comme il faut….malgré qu’il ne veuille plus me voir, je lui écris des lettres toutes les semaines, sans jamais de réponse, aucun coup de fil, (…) »

Pour tous ces cas, ne devrions-nous pas plutôt apprendre à discerner la calomnie ?… (sinon d’apprendre à faire la différence entre un enfant-victime et un « enfant-soldat »… )

Ex: 1 témoignage (émouvant) d’une mère victime d’aliénation (FleurBelge) [en tant que Maman] :

 

« Il faut cesser de dire que ce ne que sont les pères qui sont rejetés!

Je suis moi une mère aimante, A 3 ans pour ma fille et 6 ans pour mon fils, mes 2 enfants adorés ont subi l’aliénation parentale par leur père contre moi…. (….) » [la suite ici]

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Doit-on faire le distinguo ?

Faire une association systématique de deux concepts pratiquement disjoints, entre pédophilie et aliénation est une simplification mensongère (mais possiblement de bonne foi quand on ne fait que survoler le sujet).

Il y a en effet énormément de cas (la grande majorité en réalité) où il n’y a absolument aucune accusation de pédophilie même de la part du parent excluant.

Pour exemple : le cas d’un parent qui ne peut plus voir sa fille qui vit à 400 m de chez lui. Même après voir déposé de nombreuses plaintes pour NRE – Non Représentation d’Enfants et sans avoir été même accusé de quoi que soit… Le parent refusant le droit de visite, devant les forces de l’ordre invoque tout simplement sa propre décision arbitraire (!) malgré un jugement octroyant un droit de visite habituel… et tenant fermement la main de sa fille, éructe : « De toute façon, tu ne reverras jamais ta fille ! » – sans rien invoquer d’autres…

Imaginez la tragédie de cette situation pour le parent témoin de cette scène, mais surtout pour l’enfant à ce moment là… Quelle sera la prochaine étape, si on s’obstine à ne vouloir rien faire (le procureur malgré les plaintes, a décidé de ne pas poursuivre). Cette situation pour l’enfant n’est-elle pas scandaleuse ?

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« Comment rendre son enfant fou ! »

« …Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…) » »(…).

« L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer »

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On parle ici de 25 000 dépôts de plainte par an pour NRE Non Représentation d’Enfant (dont 4% condamnation), de nombreux cas d’EGV (Eloignements Géographiques Volontaires) sans issus.

Des enfants abandonnés par un système judiciaire incapable de faire face. On parle de 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’enfant-otage voire de l' »enfant-soldat » avec des interjections de haine, aussi paradoxales que : « Tu me frappais quand j’étais dans le ventre de ma mère ! » (les souvenirs sont tenaces)…

Le maintien dans l’ignorance fait que ce problème reste insoluble et s’enracine dans la société depuis des décennies (dénoncé par de nombreux professionnels).

Ceux qui veulent dénoncer la pédophilie, c’est une TRES bonne chose. Mais, si se faisant et par ignorance, ils condamnent des parents au désespoir et des enfants à une souffrance muette, alors c’est parfaitement contre-productif.

Mais si le sujet de la pédophilie intéresse vraiment, je vous invite à visionner notamment ces cas intéressants relevés sur la page suivante

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Un enfant aliéné dmd des comptes

« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père» (…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…

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« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique



Mais alors à quoi ca ressemble (concrêtement) une manipulation d’enfant ?

(NB : Les dégrés d’aliénation peuvent être divers : c’est l’intensité, la durée, le contexte, la fragilité de l’enfant, etc… qui pourront accélérer le refoulement de souffrance de l’enfant (liée à la séparation)en pathologie : l’enfant-otage de la situation pourra alors basculer plus ou moins sévèrement en « enfant-soldat », prenant parti du parent aliénant avec toutes les conséquences et la destruction psychologique qui en découlent…

EX 1 : UN PERE ALIENANT :

« Couple déchiré, enfant otage » (Olivier Pighetti pour Un monde en face – extrait téléphone)

+ Suite du reportage « Couple déchiré, enfant otage »

+ d’infos sur les parents pervers et la perversion

EX 2 : UNE MERE ALIENANTE :

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source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/11/17/lettre-ouverte-aux-negationnistes-faisant-lamalgame-entre-sap-et-pedophilie-mediapart

Services sociaux A suivre : cf témoignage d’enfants aliénés » A suivre : Les Pros sonnent l’alarme


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Quelles dispositions pourraient figurer dans une nouvelle Charte des droits de la famille / ou plus concrétement peut-être, dans un nouveau chapitre du Code de la Famille* -> relatif aux unions, séparations ou aux droits des enfants de parents séparés, etc… ?

*CFAS : Code de la Famille et de l’Aide Sociale / Code de l’Action Sociale et des Familles

Une particularité française ? peu ou prou de "Code de la Famille" dans notre pays, pourquoi ?

S’il était envisageable d’imaginer un complément : quel(s) article(s) pourrai(en)t venir compléter cette nouvelle Charte des droits de la Famille ou ce Code de la Famille ?

Par exemple, pour viser à être plus opérant pour limiter le risque d’exclusion parentale et donc la souffrance des enfants séparés ?

(Ex.) Article x : L’intérêt supérieur de l’enfant doit (vraiment) être une considération primordiale.

(Ex.) Article x : Une convention parentale amiable doit être cosignée par le couple lors de l’établissement d’une vie commune.

(Ex. de Sections / Thèmes) :

-> Pourrait-on imaginer de nouvelles dispositions ? si vous avez une/des idée(s) pour compléter cette "nouvelle charte" / ou ce "code de la famille", n’hésitez pas à la placer en commentaire …

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/27/vos-idees-pour-une-nouvelle-charte-des-droits-de-la-famille/
 

 

Info complémentaire : La législation actuelle Article connexe: Proposition de loi sur l’enfant otage

 

 


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La prise d’otage d’enfant(s) lors de la séparation conflictuelle n’est pas autorisée en France : fallait-il devoir le préciser ?

«C’est grâce à un père qui a eu la ténacité d’aller en cassation, qu’a été rendu l’arrêt de la Cour de cassation du 4 juillet 2006 n°05-17883, qui pose des principes applicables et utiles à tous en cas d’Eloignement Géographique Volontaire (EGV).

Grâce à ce père, et grâce à cet arrêt de la Cour de cassation, toutes les personnes qui se retrouvent dans cette situation courante d’EGV peuvent invoquer cette jurisprudence. Par contre, si ce père n’avait pas eu le courage d’aller en cassation, il en serait resté avec une décision de Cour d’appel qui lui était fortement défavorable. Pour en revenir brièvement à cet arrêt, que je détaille dans un autre billet sur l’EGV, retenez en que la Cour de cassation, impose aux JAFs de rechercher si le parent gardien qui déménage avec les enfants, n’avait pas pour but réel de faire obstacle aux liens entre les enfants et leur autre parent: CLIQUER ICI POUR LIRE l’arrêt de la Cour de cassation du 4 juillet 2006 dans lequel la Cour de cassation affirme:

– qu’il est de l’intérêt de l’enfant d’être élevé par ses deux parents et, lorsqu’ils sont séparés, d’entretenir des relations personnelles avec chacun d’eux

– que le juge, lorsqu’il statue sur les modalités d’exercice de l’autorité parentale, doit notamment prendre en considération l’aptitude de chacun des parents à assumer ses devoirs et respecter les droits de l’autre

– que le juge doit donc rechercher si le comportement de la mère (qui était partie s’installer à des centaines de kilomètres) ne traduit pas son refus de respecter le droit des enfants à entretenir des relations régulières avec leur père


loi, jurisprudence et moyens preventifs
Extrait de l’arrêt de la Cour de cassation du 4 juillet 2006:

«

Vu les articles 373-2 et 373-2-11-3 du code civil ;

Attendu qu’il est de l’intérêt de l’enfant d’être élevé par ses deux parents et, lorsqu’ils sont séparés, d’entretenir des relations personnelles avec chacun d’eux ; qu’à cette fin, tout changement de résidence de l’un des parents, dès lors qu’il modifie les modalités d’exercice de l’autorité parentale, doit faire l’objet d’une information préalable et en temps utile de l’autre parent ; que le juge, lorsqu’il statue sur les modalités d’exercice de l’autorité parentale, doit notamment prendre en considération l’aptitude de chacun des parents à assumer ses devoirs et respecter les droits de l’autre



« Doit-on condamner les parents séparés à résider dans la même « zone parentale » jusqu’à la majorité des enfants ? »(…).

Pourquoi ne pas être capable de garantir le droit de l’enfant, en faisant respecter cette simple évidence : les couples séparés ne doivent pas s’éloigner l’un de l’autre à partir du moment où ils réclament tous deux, la légitimité de l’exercice de l’autorité parentale.

1 COUPLE PARENTAL = 1 ZONE PARENTALE


 

Attendu que pour fixer la résidence habituelle des enfants chez leur mère et accorder au père un droit de visite et d’hébergement s’exerçant un mois par an, du 1er au 31 janvier pendant les vacances scolaires, l’arrêt énonce que si l’on peut regretter la décision secrète et unilatérale de Mme Y… d’aller s’établir aux antipodes avec ses enfants, il n’en demeure pas moins qu’au regard de l’intérêt des enfants, qui seul doit être pris en compte par la cour, ceux-ci sont bien intégrés socialement et au plan scolaire à Poindimie ainsi que cela ressort de très nombreuses attestations versées aux débats ; qu’après une période de doute, Mme Y… a retrouvé l’assurance et la stabilité qui lui sont nécessaires pour assumer ses obligations éducatives et que seule la certitude de pouvoir offrir aux enfants des conditions de vie indiscutablement meilleures chez leur père pourrait justifier un retour de ceux-ci chez M. X… ;

Qu’en se déterminant ainsi, sans rechercher si le comportement de la mère ne traduisait pas son refus de respecter le droit des enfants à entretenir des relations régulières avec leur père, la cour d’appel n’a pas donné de base légale à sa décision au regard des textes susvisés »…

source : jafland.info sur « l’utilité d’aller jusqu’à la Cour de Cassation« 


Que faire face à un EVG – Eloignement Géographique Volontaire: Saisine, recours, démarche, lettres prototypes,… (jafland.info) »

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/04/egv-eloignement-geographique-volontaire-ou-comment-priver-lenfant-de-ses-droits/


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Attention, si vous optez pour la résidence alternée, il y a de très gros risques que vos enfants soient heureux !

 

« Tout est dit dans le titre. Le principal danger de la résidence alternée, c’est que les enfants soient heureux, entourés et aimés de leurs DEUX parents. La place des deux parents est en effet fondamentale pour l’enfant en cas de séparation. Mais …


 … la résidence alternée dérange toute une frange de groupuscules extrémistes en tous genres qui voudraient que les femmes restent à la maison pour s’occuper des enfants, pendant que les hommes travaillent. Pourtant, il est désormais bien établi que la résidence alternée est le mode de résidence le mieux adapté pour que les enfants conservent des liens très forts avec leurs deux parents malgré la séparation, et il est incontestable que la résidence alternée apporte une nouvelle liberté pour les femmes.

Pour préserver les enfants de la séparation, le plus important est de préserver la coparentalité au-delà de la séparation. La rupture entre les parents constitue nécessairement un traumatisme pour l’enfant, mais c’est la persistance du conflit parental qui est destructrice pour lui, bien plus que le choix d’un quelconque mode de résidence. L’alternance est inhérente à tous les modes de résidence des enfants de parents séparés, qu’il s’agisse de la résidence alternée ou de l’exercice du droit de visite et d’hébergement de l’autre parent. Mais il n’y a qu’en résidence alternée que l’enfant continue à bénéficier réellement de ses DEUX parents…

Mais quelques personnes (souvent les mêmes) fort actives sur un plan médiatique, tentent de mettre en avant un courant de pensée archaïque afin de culpabiliser les parents qui mettent en place la résidence alternée (RA), tout ça sur fond d’argumentation pseudo scientifique choisie très sélectivement et toujours pour donner une image négative de la garde alternée. Leur idée est de faire peur aux parents séparés qui sont dans le doute sur le choix d’un mode de résidence. Pour ces "anti-RA", les enfants sont utilisés – sous prétexte de parler de leur intérêt – pour mettre en avant les théories fumeuses de leur psy-gourou de référence qui s’est dit défavorable, et donc selon eux tous les parents se devraient d’écouter religieusement la doctrine de leur gourou. Sauf qu’en réalité les psys en la matière disent tout et son contraire. Et sous couvert de parler de l’intérêt de l’enfant, ces personnes anti-RA servent d’abord leurs intérêts financiers (par exemple en vendant des livres pour étaler leurs critiques sur la résidence alternée…).

————–

En lisant CE BILLET qui reprend les différentes opinions sur la question, vous ne pourrez que constater que de nombreux psys encouragent la résidence alternée une semaine-une semaine, et certains ont une approche innovante: l’un des spécialistes les plus réputés de l’enfance et de l’adolescence, le pédopsychiatre Marcel Rufo, préconise des RA sur de longues périodes, "un an-un an" voire par période de trois ans: voici un extrait d’un entretien qu’il accordait sur le sujet, que vous pourrez lire en intégralité  ICI: 

"…j’approuve également le principe de l’alternance, bien que je n’aime pas le rythme une semaine sur deux. Il me semble que l’alternance peut se faire sur des temps plus longs. Par exemple, de 0 à 3 ans chez maman, de 3 à 6 ans chez papa, avec, bien sûr, des week-ends et des vacances avec l’autre parent.
L’avantage pour l’enfant, c’est qu’en vivant longtemps avec chacun d’eux il a un papa et une maman bien réels, avec leurs qualités et leurs défauts, leur disponibilité et leur mauvaise humeur. Le pire, pour moi, étant le "papa loisirs" du mode de garde à l’ancienne – un week-end sur deux et la moitié des vacances – avec lequel on ne fait que s’amuser. (…)
" (jafland.info)

LA SUITE (et nombreux links) SUR : jafland.info

 


France 5 « les maternelles »

 


Les Maternelles "Bons plans pour faciliter la garde alternée"

my-garde-alternee.fr

my-garde-alternee.fr


« Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés »(…).

A tous les parents séparés
(ainsi qu’à tous ceux qui pourraient être sensibilisés par la situation des enfants du divorce)

« Chère Maman, Cher Papa , (…)
N’oubliez jamais: je suis l’enfant de vous deux . Maintenant, vous ne vivez plus ensemble, mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre.(…)

 

 

Sur le thème de la RESIDENCE ALTERNEE…

Bulletin d’Aix "La Résidence alternée (dossier spécial)" (/ Dossier synthètique jurisprudence et analyse : conditions et les effets de la mise en place d’une résidence alternée – Claire Strugala (ATER) et et Anaïs Gabriel (Chargée d’enseignement)

Extrait : "A la lecture de la jurisprudence des autres cours d’appel, on constate une certaine uniformité des solutions, à laquelle la cour d’Aix ne fait manifestement pas exception. La plupart des magistrats du second degré semblent en effet d’accord sur le fait que : « sauf lorsqu’il est particulièrement exacerbé, le conflit parental ne constitue pas un obstacle à une mesure de résidence alternée » (CA Rennes, 6ème ch., 8 mars 2004, n°JD : 257880 / pour des solutions similaires : CA Paris, ch. 24 section A, 26 juin 2005, n°JD : 2005-263411 et 23 juin 2004, n°JD : 2004-244300 ; CA Pau, ch. 2 section 2, 31 janvier 2005, n°JD : 265080 ; CA Agen, ch.1, 15 mai 2003, n°JD : 2003-216426). "

Article 373-2-9 (CC): (al.2) A la demande de l’un des parents ou en cas de désaccord entre eux sur le mode de résidence de l’enfant, le juge peut ordonner à titre provisoire une résidence en alternance dont il détermine la durée. Au terme de celle-ci, le juge statue définitivement sur la résidence de l’enfant en alternance au domicile de chacun des parents ou au domicile de l’un d’eux.

 

*/ France – Cour d’appel de Riom,  21 février 2006

Attendu que l’intérêt des enfants est de continuer à voir autant que possible et également chacun de ses parents, en dépit de la séparation et dans la mesure où chacun a une égale aptitude, comme c’est le cas en l’espèce ; qu’un essai de résidence alternée a eu lieu pendant un an, sans perturbations avérées ; que les domiciles sont proches ; que certes, le conflit parental est aigu  mais que tel n’a pas toujours été le cas et que les époux ont démontré que dans un proche passé, ils ont su surmonter leurs conflits d’adultes et prendre des décisions dans l’intérêt de leurs enfants ; qu’il est permis de croire qu’ils sauront à nouveau le faire ; que rien ne s’oppose dans ces conditions à l’instauration d’une résidence alternée

*/ France – Cour d’appel Aix, ch. 6 A, 04 mai 2004 n°363, ch. 6 A, 15 juin 2004 n°520

« la mésentente des parents ne saurait à elle seule être un obstacle à la mise en place d’une résidence alternée » .

*/ France – TGI Pontoise, 28 février 2008 RG 06/07776

Si la garde alternée suppose une entente entre parents, il n’en demeure pas moins que de refuser ce mode de garde au seul motif de l’existence d’un conflit conjugal peut avoir également pour effet d’inciter le parent réfractaire à alimenter ce conflit afin de faire échec à la mise en place d’une garde alternée.
Dès lors que les conditions matérielles et affectives sont réunies, la garde alternée peut également inciter les parents à s’entendre dans l’intérêt de leur enfant et de leur faire prendre conscience de la nécessité de reconnaître la place de l’autre auprès de l’enfant.<

*/ France – TGI de Châlon Sur Saône18/12/2003

 

(…) il ne faut pas oublier d’une part que, l’enfant n’est pas tant perturbé par le divorce que par son implication dans le conflit parental ou par le relâchement des liens avec l’un de ses parents par la volonté de l’autre acharné à entraver le droit de visite, d’une part, que la résidence alternée, en cas de proximité des domiciles et le maintien d’un dialogue entre les parents peut apporter les bienfaits d’une véritable coparentalité et d’une sécurité affective qui compensent la perte de la stabilité résidentielle

*/ France – Cour de cassation, 1ère chambre civile, 4 juillet 2006, N° de pourvoi 05-17883 sur « l’ Aptitude de chacun des parents à respecter les droits de l’autre »

 

Il est de l’intérêt de l’enfant d’être élevé par ses deux parents et, lorsqu’ils sont séparés, d’entretenir des relations personnelles avec chacun d’eux ;

Il résulte des articles 373-2 et 373-2-11 3° du code civil que chacun des père et mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de celui-ci avec l’autre parent, qu’à cette fin tout changement de résidence de l’un des parents, dès lors qu’il modifie les modalités d’exercice de l’autorité parentale, doit faire l’objet d’une information préalable et en temps utile de l’autre parent et le juge, lorsqu’il statue sur les modalités d’exercice de l’autorité parentale, doit notamment prendre en considération l’aptitude de chacun des parents à assumer ses devoirs et respecter les droits de l’autre.

 

A suivre : La souffrance de l’enfant séparé A suivre : Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés

 

 


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Loi sur l’enfant-otage : Le parent manipulateur sera sanctionné !


PROPOSITION DE LOI

85 députés courageux pour s’attaquer à la prise d’otages des enfants lors des séparations conflictuelles… (projet de loi n°3834)

L’article L. 227-2 du code pénal est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le fait, par tout ascendant, d’entraver l’exercice de l’autorité parentale par des agissements répétés ou des manipulations diverses ayant pour objet la dégradation voire la rupture du lien familial, est puni d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. » [la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]

 

Proposition de loi visant à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant en cas de séparation des parents, (…)

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Le législateur a progressivement établi l’autorité parentale conjointe en 1987, puis en 1993, faisant une place concrète à l’idée de partage de l’autorité parentale au bénéfice des deux parents, mariés ou non, en couple ou séparés. Ce principe consacre l’idée selon laquelle il est nécessaire pour l’enfant de bénéficier de la présence de ses deux parents.

De plus en plus d’enquêtes sociologiques révèlent la multiplication de situations de mères ou de pères ayant perdu tout contact avec leur enfant à la suite d’une séparation de fait, de corps ou d’un divorce. Alors que les séparations ne cessent d’augmenter, nous rencontrons nombre d’enfants qui rejettent un de leur parent sans raison apparente. Questionnés par des spécialistes, ces enfants ne parviennent pas à expliquer les causes de ce rejet, mais expriment des sentiments de haine à l’égard du parent vu comme « fautif », traduisant par là-même une grande souffrance.


Alienation Parentale
En Amérique du Nord, ce phénomène a été identifié il y a une vingtaine d’années sous le terme de « syndrome d’aliénation parentale ». Cette instrumentalisation de l’enfant pour détruire les liens familiaux au travers d’actions prenant la forme d’une dévalorisation constante du second parent provoque une cassure de la relation avec ce dernier. Elle a été analysée et confirmée depuis par de nombreux spécialistes. De telles situations sont fréquentes et dans un nombre non négligeables de cas, un parent utilise son enfant et l’incite à développer un sentiment de rancune et de malveillance à l’égard de l’autre parent jusqu’à la rupture totale du lien avec ce dernier.

Cette réalité est particulièrement néfaste pour le développement de l’enfant car ce dernier cesse d’être un simple spectateur du conflit entre ses parents pour devenir, dés lors, un acteur à part entière. L’interruption des contacts et relations dans un cadre familial est traumatisant aussi bien pour les enfants concernés que pour les parents. Les statistiques récentes soulignent que les enfants élevés principalement par un seul parent sont plus enclins à sombrer dans la délinquance que la moyenne.


loi, jurisprudence et moyens preventifs
Par ailleurs, la protection de l’intérêt de l’enfant, considérée comme une priorité par le législateur, a conduit à la promulgation de la loi du 4 mars 2002. Celle-ci avait déjà tenté de promouvoir la résidence en alternance pour les enfants de parents divorcés ou séparés.

De nombreux pédopsychiatres ont souligné la présence nécessaire des deux parents au quotidien, afin de préserver l’équilibre de l’enfant, en fonction notamment de son âge. À ce sujet, le professeur Golse, chef de service à l’Hôpital Necker-Enfants malades, évoque l’âge minimal de 2 ans et demi pour que la résidence en alternance profite à l’enfant.

Par ailleurs, une tribune cosignée par Serge Hefez, Responsable de l’unité de thérapie familiale à la Pitié-Salpêtrière et Jean-Pierre Olie, Chef du Service Hospitalo-Universitaire au Centre Hospitalier Saint-Anne, fut publiée dans Le Monde en novembre 2010 interpellant la société avec le titre suivant : Résidence en alternance, le débat peut-il s’ouvrir ?

Aujourd’hui, la résidence alternée est fixée par défaut selon la loi en Italie, en Belgique, aux États-Unis ou encore dans les pays scandinaves.

La résidence alternée résulte d’un long cheminement du droit, des mentalités et de notre société. Aujourd’hui, 80% des pères assistent à l’accouchement, 70 % prennent leur congé de paternité. Les pères assument 40 % des taches éducatives et soins aux enfants alors que les hommes travaillent à plein temps dans 95 % des cas.

Nous sommes donc allés, légitimement, vers davantage de souplesse dans le domaine des relations familiales et de la séparation des fonctions parentales. Certes, cette reconnaissance de la résidence alternée est affirmée mais elle n’est pas encore de plein droit : elle demeure soumise à la décision du juge. Elle fait encore débat et rencontre de nombreux points de blocages et le taux de résidence alternée est de surcroît extrêmement variable d’un tribunal de grande instance à l’autre.

Le deuxième alinéa de l’article 373-2-9 du code civil est remplacé par quatre alinéas ainsi rédigés :
« (1)À défaut d’accord, en cas d’autorité parentale conjointe, le juge examine prioritairement, à la demande d’un des parents au moins, la possibilité de fixer l’hébergement de l’enfant de manière égalitaire entre ses parents.(2) En cas de désaccord entre les parents, le juge entend le parent qui n’est pas favorable au mode de résidence de l’enfant en alternance au domicile de chacun de ses parents, exposant les motifs de son désaccord au regard de l’intérêt de l’enfant. La préférence est donnée à la résidence en alternance paritaire. La décision de rejet de ce mode de résidence doit être dûment exposée et motivée. (…)
[la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]


Parent pervers , perversion , sadisme
Après plusieurs années d’application de la loi, on constate une dérive préjudiciable aux droits de l’enfant. En effet, une véritable prime est trop souvent donnée au parent le plus agressif car le parent qui s’oppose à cette solution d’équilibre obtient souvent gain de cause. Une enquête d’Études et Statistiques constate qu’en cas de désaccord, la résidence en alternance est rejetée dans 75 % des décisions définitives et deux fois sur trois pour les décisions provisoires. Inversement, cette enquête démontre qu’en cas de non-opposition de l’autre parent à celui qui souhaite la résidence alternée, le juge approuve dans la majorité des cas cette solution.

Selon les données du Ministère de la Justice, au cours de l’année 2009, seuls 21,5 % des divorces par consentement mutuel, et moins de 14 % de l’ensemble des divorces prononcés sur le territoire français, ont donné lieu à la résidence alternée pour l’enfant.

C’est pourquoi, il semble tout d’abord important de promouvoir la médiation familiale qui demeure aujourd’hui peu utilisée. En effet, même si le champ de la médiation a été considérablement étendu par la loi du 26 mai 2004, les résultats restent timides : en 2008, 4 857 mesures judiciaires ont été confiées à des médiateurs familiaux soit 5 % des conflits.

Par ailleurs, comme l’indiquait Jean Le Camus, professeur émérite de psychologie : « Il faut aussi que chaque parent reconnaisse à l’autre le droit et le devoir de s’occuper à égalité de l’enfant. Or, l’adhésion des deux parents à cette nécessité ne se rencontre pas toujours. Aussi le magistrat doit-il se montrer très attentif aux raisons qui font qu’un parent réclame la résidence unilatérale ». En effet, la résidence alternée est difficile à mettre en place car une prime est donnée au parent qui y est le plus réticent. Lorsqu’un parent s’oppose à la résidence alternée, il obtient quasi systématiquement gain de cause. Les considérations personnelles de chacun des parents prennent fréquemment le pas dans les discussions sur l’hébergement des enfants.

Par conséquent, il nous faut être dissuasif à l’égard du parent qui prend le risque de rendre son enfant otage d’un conflit dont il est innocent. La prolongation des conflits familiaux a, sur le comportement de l’enfant, des conséquences importantes en termes de santé publique ou de défaillances scolaires. En outre, ce texte tend à inverser la charge de la preuve. Il appartiendra dorénavant à celui qui souhaite s’opposer à cette résidence paritaire de l’exprimer et de justifier sa position.

La question n’est pas de généraliser la résidence alternée mais de remettre l’enfant au centre du débat en lui offrant la possibilité, si les conditions sont réunies (notamment l’âge de l’enfant supérieur à deux ans et demi), d’être élevé par ses deux parents car nous défendons l’idée que la construction d’un enfant se fait en présence de ses deux parents. Nous pensons qu’il est nécessaire de traiter avec une plus grande égalité les demandes des deux conjoints et ce, même si l’un des deux s’oppose à la résidence en alternance.

L’objectif de cette proposition de loi est simple : protéger avant tout l’intérêt supérieur de l’enfant en lui garantissant une construction saine et équilibrée, reposant sur deux parents réellement présents. (…)

source : détail du projet de loi (et pétition de soutien)
source : détails officiels (Assemblée nationale) / procédure législative
source : nosdeputes.fr
suivre le parcours du projet de loi à l’Assemblée et au Sénat diffusion : reperes.asso.fr ; affairesfamiliales.com

 

NB : article connexe : "les décisions de justice n’obligent-elles que ceux qui s’y soumettent ?"

 


 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

 

 

 


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« Lorsque les parents sont séparés de leurs enfants sans avoir perdu leurs droits parentaux, ils conservent un droit de visite dit « médiatisé », c’est-à-dire qu’ils peuvent rencontrer leurs enfants à l’extérieur de leur domicile et en présence de travailleurs sociaux.
Services sociaux

Il existe deux types de visites médiatisées avec des objectifs distincts :

Cas 1- l’objectif est le maintien du lien ou le retissage du lien ou renouer les liens.

La visite est alors organisée dans un espace rencontre, et on ne peut pas parler de façon stricte de visite médiatisée car c’est une médiation. Cette rencontre avec son enfant est un dispositif pour garder la relation parent enfant, ici le parent est reconnu pour ses compétences parentales.

Cas 2- l’objectif à but clinique.

La visite est souvent organisée par « l’Aide Sociale à l’Enfance » sur mandat du juge des enfants. Elle se réalise sur un temps donné, dans un lieu donné, avec des professionnels dont un est psychologue et l’autre éducateur, ou deux éducateurs qui usurpent le rôle du psy, et qui se placent physiquement ; un du côté de l’enfant, et l’autre du côté du parent pour analyser finement la relation (pathologie du lien). Donc le but de cette visite n’est pas d’aider le parent dans son processus de parentalisation, ni d’établir une rencontre dans une perspective de maintenir le lien affectif, mais de créer un désordre psychologique bilatéral jusqu’à obtenir la rupture des liens par un compte rendu sentenciel auprès du juge des enfants, car cette médiation à but clinique à pour seul but de chercher à démontrer une incapacité parentale auprès de la magistrature.

Reconnaître les cas

Cette différence entre les deux visites est à analyser sur l’ordonnance du juge, le ou les médiateurs sont commis par le magistrat (juge des enfants ou juge aux affaires familiales). Si c’est l’aide sociale à l’enfance qui est mandatée, vous vous situez dans le cas 2. Il sera alors dit que le seul objectif des intervenant est la protection de l’enfant  avec la visée d’aller soi-disant dans le sens de son intérêt ( ” hum! Hum! ” disons plutôt dans leur intérêt), et dans ce cas précis l’aide sociale à l’enfance, le plus souvent, ne va pas rechercher à aider l’enfant à poursuivre des liens avec son ou ses parents ce n’est pas dans leur intérêt.

Mais dans le cas 1, Il n’en va pas de même lorsque le mandat provient du juge aux affaires familiales puisque là, une équipe mandatée visera à soutenir le parent dans sa fonction parentale, et cette équipe n’a pas d’obligation à rendre des comptes au juge des enfants.

Ils légitiment la rupture !

C’est en nous focalisant sur les visites médiatisées à objectif clinique que nous devons nous interroger sur leur utilisation en tant qu’outils de rupture parentale.

Comment peut-on légitimer la planification de telles ruptures au cas où justement parents et enfants restent demandeurs de liens ? (…) » [la suite sur comiteCedif ]

source : comiteCedif

Négation de la souffrance de l’enfant privé de ses parents

En 2011, Mme G.Saive, travailleur social au sein de l’Association d’Intervention Judiciaire et Sociale de la Haute Savoie (Assijes à Marignier 74), considérait sans rougir que l’enfant séparé de son parent ne souffrait pas (!).

Mais sur quels fondements scientifiques cela s’appuie-t-il ?

Car au contraire, les travaux établis par le Dr Jean-Marc Delfieu (expert près la cour d’appel de Nîmes) dans son rapport de « Diagnostic et prise en charge médico-juridique » publié dans la revue scientifique « EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005″ rend compte que « L’interruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents » et alarme sur « le devenir ultérieur des enfants [qui] est particulièrement préoccupant« . (cf. souffrance de l’enfant séparé)

L’absence manifeste d’empathie vis à vis de la souffrance de l’enfant est particulièrement préoccupante quand elle émane de personnes qui sont en contact avec des enfants voire dont leur sort est indirectement placé entre leur main.

L’empathie est la faculté intuitive de se mettre à la place d’autrui, de percevoir ce qu’il ressent.

En 2010, le sexologue Patrick Blachère, interviewé par le magazine médical PratisTv aborde le sujet de l’absence du ressenti qu’il caractérise comme « fait pervers » et indique : « Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner… » (Patrick Blachère)

La situation ne change pas et les services de l’Etat semblent plus que jamais insensible à la souffrance de l’enfant séparé. La politique de l’autruche prévaut quand ça n’est pas la participation active à créer une situation de maltraitance et d’exclusion.

Que peut-on faire dans l’intérêt supérieur de l’enfant ?

Continuer d’être vigilant face aux exclusions parentales et de rendre publique les abus ou attitudes pouvant conduire à cette abomination.

D’une manière générale, si on se réfère à la déclaration de R. Reagan en 1986, au sujet des « 9 mots les plus terrifiants qui sont : ‘Je travaille pour le gouvernement : je suis là pour vous aider’« , les parents sont appelés à la plus grande vigilance. Et s’ils en sont témoins, ils ont le devoir de permettre d’identifier les violations du droits et la mauvaise application des lois** ;en particulier quand les enfants en sont les premières victimes.

150 000 kidnappings d’enfants sont effectués par les services sociaux. La Direction des Affaires Sociales par l’intermédiaire de Pierre Naves,  alors qu’il était encore Inspecteur des Affaires Sociales (IGAS) reconnaissait que parmi 136000 enlèvements recensés, « 50% pouvaient être évités » mais 5 ans plus tard, que rien n’avait changé.  (source)


« The nine most terrifying words in the English language are « I’m from the government, and I’m here to help. » (Ronald Reagan – 12.08.1986)

  • (*) Assijes74 : association présidée par Jean-Claude Tavernier – également sous la responsabilité de la cour d’appel de Chambéry (présidée par Jean-Yves McKee) et du Ministère de la Justice
  • (**) Le principe du droit de l’enfant de préserver ses relations familiales est clairement établi dans l’art.8-1 Résol. 44/25 du 20/11/1989 de la Convention Internationale des Droits de l’Enfant – Assemblée générale des Nations Unies (cf. loi, jurisprudence et mesures préventives)

 

les pros sonnent l alarme   A suivre : Milieux médiatisés, un mal non nécessaire dans la plupart des cas


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« Nous avons appris que notre rapport relatif à la protection de l’enfance était lu et apprécié, y compris par des décideurs. C’est une bonne nouvelle, et nous espérons que les 8 propositions que nous avons eu l’occasion de formuler seront assez rapidement adoptées.

Entretemps, nous nous attelons à une nouvelle mission complémentaire : recenser certains modes opératoires désastreux des travailleurs sociaux et leurs conséquences sur les familles dans le cadre d’un livre noir de la protection de l’enfance. Nous espérons bien sûr ne dénoncer que des exceptions, mais l’inhabituel invoqué sous prétexte fallacieux de moyens se reproduit un peu trop souvent.
Services sociaux

Aux manques d’écoute, aux interprétations partiales, peuvent s’additionner dans les cas les plus outranciers de véritables délits commis par des enquêteurs, éducateurs, assistantes sociales, psy, dans le cadre de leurs missions.

C’est face à de telles situations que notre rapport rajoute un neuvième point, celui de la nécessaire moralisation de la profession d’enquêteurs sociaux et plus largement des agents chargés de mission en terme de protection de l’enfance.

Moraliser consiste donc à sanctionner véritablement les faux intellectuels commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leur fonction.

Moraliser c’est permettre à la loi de s’exercer d’abord en excluant de la profession les brebis galeuses, mais aussi insister sur la répression des faux et usage de faux commis par personne dépositaire de l’autorité publique agissant dans l’exercice de ses fonctions ou de sa mission.

Rappelons donc que ceux qui seront reconnus coupables de tels délits encourent des peines de 15 ans de prison et de 225 000 euros d’amende en vertu des articles 441-2 et 441-4 du Code Pénal. Nous insistons d’ailleurs pour que les contrevdenants effectuent l’intégralité de telles peines !

À ce sujet des plaintes sont d’ailleurs déjà parties, nous serons vigilents quant à la façon dont elles seront traitées, il importe en effet que la chancellerie soit sensibilisée et sensibilise à cette question. Des classements intempestifs seraient un très mauvais signal envoyé aux justiciables en terme de politique judiciaire. (ComiteCedif) »

source : ComitéCedif

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/29/bientot-un-livre-noir-de-la-protection-de-lenfance/
 

 

 

 


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La question de la légalité et de la légitimité dans les vaccinations de masse des enfants

Dans un contexte où les montages juridiques imposent aux fonctionnaires et personnels médicaux à ne plus pouvoir trouver de parades pour ne pas participer aux vaccinations de masse (et en particulier celles sur les enfants) ; un article paru récemment questionne le risque de la culpabilité après coup pour ceux qui obéissent en toute quiétude à des lois ou règlements qui pourraient être considérés ultérieurement comme « non légitimes » …

Cela renvoie donc directement aux épisodes de jugements pour complicité de crimes perpétrés sous la collaboration et dont les principaux acteurs n’ont pu se dédouaner juridiquement même en arguant du prétexte qu’ils agissaient dans un contexte légal (ou sous les ordres) ; leurs actions ayant été reconnues comme parfaitement illégitimes après coup…

« Je souligne toujours l’écart entre légalité et légitimité. Je considère la légitimité des valeurs plus importante que la légalité d’un État. Nous avons le devoir de mettre en cause, en tant que citoyens, la légalité d’un gouvernement. Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c’est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir ». (Stéphane Hessel, Conseil National de la Resistance)

Du coup, un certain nombre de praticiens et fonctionnaires ont l’impression d’être pris dans un étau : celui du respect des lois et règlements d’un côté et celui de la légitimité de leur participation pouvant être décriée ultérieurement. N’existe-t-il donc vraiment aucun moyen légal de refuser une participation à ce qu’ils considèrent être illégitime ?

Voici, le texte qui soulève cette question juridique…

[Face à un ] « fonctionnaire zélé [qui] (…) exige « parce que c’est la loi » que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ? » (source )

Réponse:

1°) Cessez d’abord d’avoir des scrupules. Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être :

a) qu’un ignorant.

b) ou le complice d’une grave infraction pénale.

a) Un ignorant :

Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d’avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d’articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?

b) le complice d’une infraction pénale : on nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n’a cessé de dire qu’il appliquait la Loi et rien d’autre, et tous les politiques, à cette occasion, n’ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s’y conformer. Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l’inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu’ils sont chargés d’exécuter la Loi, et que, même s’il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n’est pas son problème, car « C’est la Loi ».

Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d’informer sa hiérarchie qu’il existe un problème sérieux, et qu’on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n’en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche.

Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l’amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l’on ne prenne des mesures) etc., …de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .

2°) Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d’échapper à l’empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu’ils ne puissent plus jamais dire à l’avenir qu’ils ne savaient pas :

A – Imprimer les pages de ce site ou du livre VACCIN, mais alors on nous aurait menti ? Jean-Pierre JOSEPH Edition Poche Vivez Soleil: à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu’à la fin de la réponse à la question n° 19.

B – Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d’autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C – Écrire à l’autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d’Académie, Conseil Général, Directeur d’école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

«Monsieur l’Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l’Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, « La santé Publique en otage », Éd. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’Hépatite B.

Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l’école…

Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:

I – OBSERVATIONS :

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l’ empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

  • Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
  • Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
  • En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :

  • Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,
  • Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l’apparition du Sida,

  • Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’ils sont censés prévenir !
  • Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité…

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d’environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d’entre eux n’a fait l’objet du moindre démenti.

La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l’Arrêté du 28 février 1952.

Or, jamais une seule vérification n’est proposée aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

La France est le seul pays d’Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde…

En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faites.

Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd’hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n’a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd’hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d’un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.

Je précise qu’aucun d’entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d’être hypnotisé ou décérébré…

Vous trouverez également la couverture d’un certain nombre d’ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS:

Les conséquences que l’on peut tirer de l’ensemble de ces informations sont les suivantes :

  • Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
  • Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
  • Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
  • Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III – MES QUESTIONS:

1°) Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?

2°) La Loi, et notamment, l’Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c’est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l’on veut administrer à l’enfant n’est pas dangereux pour lui.

Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s’agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m’en fait obligation) ? :

  • a) Ionogramme complet, dosage de l’urée,
  • b) Lipidogramme,
  • c) Bilan endocrinien,
  • d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
  • e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
  • f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps,
  • g) Bilan radiologique:
    • Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée,
    • Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd’hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins?

4°) L’ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l’appellation de « vaccins » n’empêchent pas de contracter la maladie.

Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.

Par conséquent, afin de respecter l’obligation vaccinale qui m’est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l’efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l’administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d’ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.

Afin de ne pas me rendre complice du crime d’administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c’est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d’aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J’indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m’obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». D’autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d’effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l’encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l’attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.


ANNEXES A MON COURRIER:

Liste d’ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC :

  • La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
  • La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
  • Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
  • Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
  • Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
  • La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
  • Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
  • Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
  • Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
  • Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
  • La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
  • La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
  • Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
  • On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
  • Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
  • A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
  • Les Vérités indésirables,
  • Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
  • L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
  • La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
  • Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
  • Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
  • La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
  • Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
  • Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
  • La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,
  • LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,
  • Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),
  • Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
  • 12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
  • Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
  • Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
  • Nous te protégerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
  • La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
  • La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

 

[ ] source de cette réponse : http://www.autreversion.info/Ne%20pas%20vacciner%20vos%20enfants%20tout%20en%20respectant%20la%20loi%20MODE%20D%27EMPLOI.htm

Autres aspects légaux :

Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

Art. 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant : Information des Patients. « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment« 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/01/vaccination-sur-enfants-les-fonctionnaires-pourront-ils-etre-condamnes/ 


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On peut continuer à démolir les enfants : la justice ne va pas tellement s’y opposer…


C’est gratuit et c’est sans frais ! (…) On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer…
Ca c’est terrible !
(Maître Jean Pannier à propos de l’aliénation parentale)

NB : VIDEO : à la fin de l’article …
 

(..) En général, les magistrats n’aiment pas ça l’aliénation parentale : on a l’impression qu’ils se sentent dépassés par la gravité accumulée de cette aliénation comme si on avait atteint un point de non retour et que mis devant le fait accompli, ils ont décidé que ca ne servait à rien d’essayer de renverser la vapeur alors "on gère la misère".

Les parquets ferment les yeux d’ailleurs. Ils font des réquisitoires qui dépassent rarement trois lignes ; ils ne s’investissent pas dans les dossiers. De sorte que le traitement de ces affaires là, laisse largement à désirer. Et ça encourage ceux qui sont bien évidemment à l’écoute de ce genre de "laisser-aller".. Ca encourage à multiplier les cas d’aliénation. C’est gratuit et c’est sans frais !

On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer.. Ca c’est terrible !

* Votre constat est consternant : Doit-on considérer qu’il y a une véritable démission de la justice face aux souffrances des enfants ?

C’est pas une démission chaque fois qu’un magistrat fait bien son travail, c’est à dire qu’il ne se contente pas des analyses de certains experts qui sont beaucoup trop consensuels…

A Paris, il y a quelques "experts maisons" qui sont redoutables en ce sens qu’ils prennent l’oreille du juge : ils essayent de savoir "où va le vent" et à ce moment là, on sait d’avance, quel sera le contenu des rapports. Ca c’est fabriqué sur-mesure…

* Vous insinuez qu’il y a une convenance entre le juge et l’expert ?

Oui bien sûr, ils se parlent au téléphone, ce qui normalement ne devrait pas avoir lieu. Mais manifestement, surtout pour les vieux magistrats, il y a belle lurette qu’ils se sont accommodés de ce genre de facilités et ca devient consensuel… et ca peut même remonter à l’échelon supérieur : on voit bien que ces "experts maisons" qu’on voit d’ailleurs venir en compagnie des mêmes magistrats dans les colloques, dans les séminaires où vous retrouvez les dignes représentants de l’Aide Sociale à l’Enfance…

Tout ça, c’est consensuel. Et ca se passe très bien, en ce sens qu’il n’y a pas de fausses notes… Donc si on a décidé que l’aliénation parentale "faut pas en parler" et bien, ils vont faire tout ce qu’il faut pour qu’on n’en parle pas.

Sauf qu’il y a des couacs : vous avez des magistrats (même au tribunal pour enfants de Paris) qui reconnaissent que l’aliénation parentale est un vrai problème et qui en tirent les conséquences au point de parfois même de décider de mettre un terme à des mesures d’assistance éducative qui n’ont servi à rien et qui sont même responsables d’avoir aggravé la situation !

* Ca discrédite complètement les expertises ?

Vous avez des experts tout à fait honnêtes et consciencieux mais il y a aussi les négationnistes. Il y a des gens qui vous disent carrément que "l’aliénation parentale, c’est une fumisterie inventée par un pédopsychiatre américain, le Dr Gardner". Ils ne veulent pas admettre que ca existe !

* Vous m’aviez cité un psychiatre du nom de Lopez ?

Oui, M. Gérard Lopez est venu un jour nous expliquer dans une conférence du barreau de Paris que "l’aliénation parentale c’est quelque chose qu’on a inventé de toute pièce mais qui n’existe pas". Ce monsieur enseigne à Paris, dans un institut de criminologie. C’est totalement incompréhensible qu’on le laisse encore venir étaler ce genre de théorie mais c’est la réalité. Et d’ailleurs, il avait suscité l’indignation de tous les avocats qui étaient présent.


« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique


* Est-ce que ça n’est pas une volonté alors ?

Vous savez vous avez des négationnistes dans d’autres domaines.. Parfois ces gens là sont déterminés… Un peu comme les parents qui veulent s’emparer d’un enfant quelques soient les conséquences sur l’enfant…

Il y a un vrai problème dans l’aliénation parentale, c’est que les experts qui ne la rejettent pas et qui admettent même qu’elle existe et qui en tirent les conséquences, qui attirent l’attention des magistrats : ces experts là sont pour l’instant peu nombreux ! Donc au départ, on est inquiet de cette difficulté. On a du mal à trouver des experts qui soient spécialisés sur l’aliénation parentale et en plus, les juges qui n’aiment pas l’aliénation parentale ne vont pas se précipiter pour nommer des experts spécialisés ! C’est un vrai problème !

* On tourne en rond ?

On tourne en rond et la justice est rendue à partir d’apriori. C’est à dire qu’… on nie l’existence de phénomènes qui sont gravissimes (pour l’avenir des enfants) !

 

***

A propos des scénarios des fausses accusations …

* En cas de maltraitance, le premier juge qui devrait être saisi, c’est le juge des enfants avant même le JAF ?

Le tribunal pour enfant, lui va être saisi à la suite d’un signalement : c’est à dire qu’un médecin va constater de mauvais traitements et va faire un signalement au procureur de la république (ou un service social ou toute personne qui peut avoir à donner son avis sur une situation qui n’est pas normale). Les parents de leur côté vont essayer avec plus ou moins de bonne foi dans certains cas de sensibiliser le tribunal pour enfant, vont s’adresser à un avocat qui va déposer une requête. Le magistrat aura à faire attention à ce que la requête soit légitime : est-ce qu’elle est fondée ; il faut faire un certain nombre de vérification..

* Ils peuvent le faire sans avocat d’ailleurs ?

En général, ils prennent un avocat (quand ils veulent arriver à leur fin). Et c’est là que ca devient plus compliqué voir plus dangereux. Les juges bien rôdés savent très bien que dans un certain nombre de cas, il faut savoir dire NON : parce qu’il y a un scénario qui se met en place et le juge va servir d’instrument.

Malheureusement, il y a des juges qui se laissent convaincre plus facilement que d’autres. Mais les magistrats bien trempés qui ont vraiment une bonne expérience savent aussi dire NON..

* La dans ce cas, les juges devraient demander une enquête sociale ?

Ah mais ils le font ! Mais faut voir dans quelles conditions travaillent les services sociaux ! C’est pas toujours édifiant. Souvent, ils ont aussi l’argument de dire "on a trop de boulot, on est débordé, on doit faire vite : les juges sont pressés. Ils nous demandent de faire cela dans un délai relativement bref. (..)".

Là aussi, il y a beaucoup à dire sur les rapports des services sociaux. Parfois, les services sociaux ont tendance à essayer de savoir si le juge n’a pas déjà une petite idée pour essayer de ne pas se retrouver en porte-à-faux par rapport à ce que le juge pense au départ… C’est très suggestif et souvent les parents qui sont confrontés à l’enquête sociale découvrent une réalité complètement déformée : c’est manipulé du début jusqu’à la fin !

* Est-ce que les enquêtes sont bien faites en générale, sinon ?

Pour celles que j’ai vu, franchement : c’est n’importe quoi ! C’est fait sur des ragots. Parfois même on oublie d’aller consulter les gens qui seraient les mieux à même de donner un renseignement. A la campagne, c’est bien classique : ce sont les maires qui sont les principaux informateurs et qui devraient être sollicités en premier pour savoir ce qui se passe dans le village parce qu’il peut y avoir des problèmes de proximités, de voisinage.. (…) ou des représentants les mieux à même de donner des avis objectifs. On va se contenter de ce qu’on a mis en avant : c’est à dire des gens qu’on a soigneusement désigné pour vendre un discours convenu avec des preuves fabriquées.. C’est assez calamiteux dans l’ensemble. Il faut dire les choses comme elles sont..

* Une enquête qui serait bien faîte consiste en quoi ?

Vous savez tout ce qui est béni de l’étiquette "politiquement correcte" est à prendre avec vraiment des pincettes : c’est parce que c’est politiquement correct qu’on fait confiance au système alors que le système dans bien des cas ne fonctionne pas !

* Pourquoi ce système ne fonctionne pas ?

Parce qu’il y a des gens qui sont assez rusés, assez malin pour le pervertir et qu’en fasse il y a des gens qui ne sont pas assez malin, ni assez rusé pour s’en rendre compte ou pire : que ca ne dérange pas ! Là c’est le comble : mais c’est une réalité quotidienne !

* C’est une réalité quotidienne ?

Oui, bien sûr.. Mais ça on a du mal à l’admettre parce que ca choque un peu. On se dit "mais enfin quand même ce sont des gens de métier : ils auraient dû être un peu plus prudent…" Non non, non, non..

* Les français ont a priori beaucoup de mal avec leur justice : ça n’est pas très encourageant ?

Ca n’est pas très encourageant. Mais .. Par contraste vous avez des magistrats extrêmement consciencieux.. des gens avisés, prudents. Mais surtout .. des magistrats courageux : il y en a !

Le fait qu’il y en ait c’est plutôt rassurant : mais il n’y en a pas assez ! (Maître Jean Pannier)

 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/12/on-peut-continuer-a-demolir-les-enfants-la-justice-ne-va-pas-tellement-sy-opposer/

 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (M. Jean Pannier)

 

 

 


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Docteur Victor Simon à propos de l’aliénation parentale : « Les enfants vont très mal ! » (Troubles, dépressions, schizophrénie …)

Il y a des choses à changer dans le système et qui ne fonctionnent pas : il faudrait qu’il y ait un peu plus de « culture psy » dans les milieux policiers et dans les milieux de justice. (Dr Victor Simon, Directeur du Centre d’Hypnose et Psychosomatique – Paris)

L’aliénation parentale survient quand il y a un conflit intra-parental. Quand un couple commence à se déchirer(…)

[Le parent aliénant] va monter le fils ou la fille contre [l’autre parent] en tenant des propos qui sont invalidant et qui disqualifie l’autre parent

* Est-ce qu’il s’agit d’un "esprit de vengeance" ?

C’est la vengeance, (…) Ce sont les règlements de compte qui apparaissent et qui font que peu à peu l’enfant se retrouve pris en otage et qui peu à peu va épouser le système du [parent aliénant] qui le monte contre [l’autre parent] et cela devient sa référence.

* L’enfant va être amené à haïr [son autre parent] ?

Les enfants deviennent des enfants soldats. Ils vont devenir des combattants de première ligne contre le parent qui est rejeté.

* C’est du lavage de cerveau ?

C’est une intoxication psychique. On pourrait appeler cela un lavage de cerveau. On passe son temps à envoyer des messages destructeurs contre l’autre parent. L’enfant finit par adhérer complètement à ce schéma de pensée.


* Cette animosité peut s’étendre au reste de la famille ?

Il n’y a pas que le parent qui est aliéné. Toute la belle famille l’est également. L’enfant est isolé de son autre famille qui pourtant l’aime, qui a besoin de lui et lui a besoin de cette autre partie de la famille pour se construire (…)

* Il y a un autre cas : celui qui est enlevé par un parent à l’étranger ?

C’est du rapt. Quand un père ou une mère sentent qu’ils perdent les pédales vis à vis de la justice : ils font un rapt d’enfant. Ils vont se cacher à l’autre bout de la France, si ca n’est pas à l’étranger. Et là on rentre dans quelque chose de complètement toxique parce que les enfants sont isolés et ne revoient pas l’autre parent pendant 10 ans, 15 ans.

Il y a là le même système de dénigrement et là c’est terrible parce que l’enfant va vivre avec un parent qu’il a dénigré et quand il va grandir, il va s’apercevoir qu’il a été l’objet d’une manipulation. Seulement il aura complètement perdu le contact avec son parent qui sera devenu un étranger.

* Pourquoi il y-a-t-il des fausses accusations d’abus sexuels ?

(…) C’est un drame parce qu’il est extrêmement difficile lorsqu’il y a de fausses allégations de ce type de faire la part des choses (…)

* Comment on va inciter son enfant à faire de fausses accusations ?

C’est l’âme humaine (…) : on invoque n’importe quel système et tous les coups sont permis. C’est cela qui est un drame parce que la justice n’est pas formé à cela, la police non plus. Ca veut dire qu’ils ne savent pas conduire un interrogatoire spécifique. Très peu en tout cas. Les juges ne savent pas très bien non plus comment faire pour discerner le vrai du faux.
Ce qui fait que bien souvent des décisions de justice sont prises et qui vont à l’encontre de la réalité (…) [innocents suspectés et vrais coupables écartés]

Il y a des choses à changer dans le système et qui ne fonctionnent pas : il faudrait qu’il y ait un peu plus de "culture psy" dans les milieux policiers et dans les milieux de justice.

* Dans ce contexte, les enfants se développent comme ils peuvent ?

Les enfants vont très mal ! Ils ont des troubles du comportement extrêmement sévères. Ils ont des dépressions. Ils ont des troubles schizophréniques, parfois. Ils ont parfois des troubles de l’alcoolisation… une sexualité totalement étrange et précoce. Ils ont également des comportements antisociaux parce qu’ils ne savent plus ce qu’est l’altérité. Ils ne savent plus faire la nuance : est-ce qu’on est pour ou est-ce qu’on est contre ? Tout ce qui n’est pas avec moi est contre moi. Cela les conduit à avoir des comportements décalés. Cela les amène à l’alcoolisation, à la drogue, à la dépression et le suicide également.

* Et il y a le rôle des professionnels de santé.. parce que vous n’êtes pas formés pour détecter l’aliénation parentale ?

C’est une découverte récente parce que les travaux sur l’aliénation parentale n’ont été décrits qu’à partir de 1980, par Gardner. A part les gens qui travaillent pour les familles et pour les couples, très peu de gens connaissent cela et les avocats le connaissent mieux que les médecins. C’est quelque chose qu’il faudrait développer dans une formation très spécifique (…)

* Au niveau de la prise en charge pour les enfants, comment ca se passe ?

C’est extrêmement complexe car quand le lien parental est cassé, c’est extrêment difficile de le reconstruire… Quand on a "tué" entre guillemet, son père ou sa mère et que l’on ne l’a pas vu pendant 10, 15 ans : c’est devenu un étranger. Il y a alors un long travail de reconstruction à faire : l’enfant qui a été isolé avec le parent aliéné et faire une thérapie de "couple père-enfant" ou "mère-enfant" pour pouvoir reconstruire un lien. (…)

* C’est un peu facile d’utiliser un enfant dans ces circonstances là ?

Elle a un compte à régler avec son mari. Elle ne veut rien lui passer et surtout pas le pouvoir d’élever "son" enfant. C’est un règlement de compte complètement archaïque.

500 000 couples sont dans l’aliénation parentale en France. Oui, c’est énorme

* On termine sur une note optimiste ?

Oui, l’optimisme c’est qu’il faudrait qu’on puisse mieux informer les familles (..). Plutôt qu’aller à la guerre de 30 ans, il vaudrait mieux faire rapidement une thérapie familiale ou une thérapie de couple pour que la séparation qui doit avoir lieu (si elle doit avoir lieu) se passe dans des conditions ou les enfants ne soient pas pris en otage. (Docteur Victor Simon)

 

 source: https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/11/dr-victor-simon-les-enfants-vont-tres-mal/

 

A suivre (article connexe) : C’est gratuit et c’est sans frais ! (…) On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer… (Maître Jean Pannier) A suivre (article connexe) : L’aliénation parentale ou comment réussir à rendre son enfant fou ! (Dr Victor Simon)

 

 

 


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L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

"On ne devrait pas à avoir à se poser des questions. Il y a en face de nous une réalité massive : l’aliénation parentale. Le rapport du défenseur des enfants(*) dresse en ce sens un rapport qui lui est quasiment dédié.

Il y a un problème. Il faut donc le traiter. Ca semble dur pour nos juges nationaux à mettre en œuvre. Tandis que la cour européenne donne déjà le ton en ce sens.

Comment peux-t-on avoir autant de réticence pour régler un problème qui se passe devant nos yeux tous les jours. On connait tous dans notre entourage des gens qui se sont comportés de cette façon là par rapport aux enfants, au risque de les entraîner dans une aventure psychique, psychologique… Et de fragiliser leur avenir de manière totalement anormale.

L’institution judiciaire face à cette réalité est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger

C’est d’abord au parquet que devrait revenir la tâche de faire face à ce phénomène et de l’endiguer. Alors qu’on constate que chaque week-end, on constate le refus de présentation. Et le parquet fait la sourde oreille.

Est-ce qu’il faut le régler avec des expertises souvent longues, souvent couteuse mais d’autant qu’il n’y a pas beaucoup d’experts spécialisés. Il n’y a pas forcément besoin de se couvrir derrière des experts.

Il y a même des négationnistes. Ce qui est inquiétant car certains en sont arrivés même à nier l’évidence. Alors qu’est-ce qui les inspire, qu’est-ce qui les anime ? … Le problème est réel et existe, peu importe qu’il y ait des écoles de pensée : il faut voler au secours des enfants.

Il faut s’attacher à ce que ces situations d’aliénation parentale s’arrêtent !

Certains magistrats ont trouvés judicieux de s’attaquer au portefeuille en prononçant des astreintes. C’est plus adapté : la prison n’est pas une solution. Alors pourquoi hésitent-ils à utiliser ce petit arsenal qui a fonctionné. Il faut donc continuer dans cette voie là plutôt que de laisser les enfants entraînés dans des conséquences qui peuvent être terribles.." (Maitre Jean Pannier).

 

(*) "Maintenir les liens avec l’enfant n’est pas seulement un droit pour le parent,
c’est aussi un devoir. Il s’agit avant tout d’un droit pour l’enfant.
"

(Simone LERMISSION "Enfants au coeur des séparations conflictuelles) lors de la présentation du rapport Thématique 2008 – Défenseur des Enfants)

Le maintien des relations personnelles entre l’enfant et chacun de ses parents
est avant tout un droit de l’enfant. Il découle de l’article 373-2 al.2 du code civil qui
prévoit une obligation importante, mise à la charge des parents: " chacun des père et
mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de
celui-ci avec l’autre paren
t."


Autre témoignage de professionnels du secteur :

Alors qu’actuellement le concept du syndrôme d’aliénation parentale est fortement débattu par nombreux professionnels, la réalité nous montre qu’il existe bel et bien de nombreuses situations où suite à une séparation, l’enfant est manipulé par un des parents afin qu’il ne veut plus avoir de contact avec l’autre parent. Même si certains experts débattent de la dénomination de ce mécanismes, en tant que professionnel du secteur on rencontre ce genre de situations beaucoup trop souvent. Les parents, tellement pris dans leur conflit conjugal ne se rendent pas compte à quel point ils causent du tort à leurs enfants.
Le parent “attaqué” perd son temps à démontrer son innocence, tandis que l’autre essaie d’organiser de plus en plus de témoignages….Entre temps l’enfant souffre et se trouve dans un véritable conflit de loyauté.
J’ai vu des cas où l’enfant a dû être hospitalisé en psychiatrie afin de protéger l’enfant contre la manipulation du parent.
Pour les professionnels du secteur il s’agit de désamorcer le conflit le plutôt possible avec une médiation. Au cas où une médiation s’avère impossible, les choses vont mal tourner pour l’enfant.
Il ne faut jamais oublier que ce n’est pas parce que le mari était un mauvais mari qu’il est forcément un mauvais père (et vice versa)
Manhanako, ProtectionJeunesse 02.02.2012

 source: https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/04/linstitution-judiciaire-en-etat-de-non-assistance-a-personne-en-danger-face-a-lalienation-parentale/

A suivre . Il y a des choses à changer dans le système et qui ne fonctionnent pas : il faudrait qu’il y ait un peu plus de "culture psy" dans les milieux policiers et dans les milieux de justice. (Dr Victor Simon, Directeur du Centre d’Hypnose et Psychomatique – Paris)

 

 

 


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Un homme se lève contre le "mauvais" féminisme

 34% des enfants du divorce ne voient plus jamais leur père (INSEE) : 30 ans d’oppression et de souffrance : les enfants ont subis et subissent encore mais maintenant… ils en ont marre !

-> Réponse d’un homme au fanatisme qui prône le féminisme (ou même le masculinisme) en matière familiale … et contre la discrimination sexiste qui conduit à la violation des droits élémentaires des enfants qui ne sont pas capables de les faire respecter eux même…
 

Les Mamans ici, les Papas par là… et les enfants dans tout ca ?

Est-ce qu’ils ont encore leur mot à dire dans cette guerre de tranchée ? Il faut partir du postulat (sauf démonstration contraire mais au cas par cas) que la mère comme le père sont des parents aimants : l’un comme l’autre ! .. Intrigante perception, n’est-ce pas ?
 
Pour donc les autres cas particuliers, il faut juger les actes sans chercher à en faire des généralités, prétexte au déversement d’une haine ségrégationniste… Car nul doute que ceux qui cherchent le loup, sauront y voir la queue et sans doute stigmatiser à toute occasion, le mâle qu’ils pensent y déceler.

Cette approche en fonction du sexe, est une approche sexiste ! (-> de même des considérations raciales et discriminantes constituent-elles une approche raciste ? etc..). Faire des généralités caricaturales et discriminatoires est injuste.

Mais au contraire, il faudrait considérer à juste titre qu’il y a des bons et des mauvais Papas tout comme il y a des bonnes et de mauvaises mamans.

 

Quelle est la conséquence pour les enfants ?

Parmi ces enfants, il y a des garçons et il y a des filles. Ces filles en particulier seront des femmes plus tard ! Ces femmes n’avaient-elles pas le droit de profiter de leurs deux parents ? Qui/quoi pour s’ériger au nom des femmes et priver ces femmes-ci de leur droit ? L’ont-elles sollicité ? Ceux qui prônent le féminisme auraient-ils souhaités qu’on les prive de leur propre père ? Pourquoi ?

Le féminisme en matière familiale révèle en réalité un concept discriminatoire "anti-hommes". Le sexisme, comme le racisme ou l’antisémitisme,… (ou tous ces -ismes quand ils conduisent – de fait – à opprimer), n’ont aucune cohérence quand il s’habille faussement et sournoisement d’une façade en carton, de principes égalitaires…

Cela fait trop longtemps que cette oppression s’exerce. Elle est d’autant plus intolérable et abjecte quand elle entraîne la souffrance silencieuse de milliers d’enfants ; qui souffrent d’autant de nous voir ignorants, sinon indifférents. Maintenant, il faut que ca cesse…

 

Les féministes sont-ils tous des sexistes haineux
ou se trompent-ils de voie ?

En matière familiale on ne peut nier que si "oppression en fonction du sexe" il y a, alors plaise à certain de s’en servir pour non pas se justifier d’un féminisme mais dans ce cas-ci, de son pendant : le masculinisme… Mieux : pourquoi enfin ne pas cesser de balancer d’un côté ou de l’autre sans jamais atteindre l’équilibre ? Pourquoi, au contraire ne pas viser plus juste et prôner alors un égalitarisme ?

Sinon de considérer la réalité d’une véritable misandrie qui coule dans les veines du féminisme et donc une haine contre l’homme ? …mais en réalité, probablement et plus simplement, une haine tout court…
 

Définition : La misandrie est un sentiment sexiste d’aversion pour les hommes en général, ou une doctrine professant l’infériorité des hommes par rapport aux femmes. Elle peut être ressentie ou professée par des personnes des deux sexes.

 
Un choix « égalitariste » oui … mais non fanatique (radical, hystérique,…) ! Un choix légitime si l’objectif et l’action vise sincèrement la fin d’une oppression. Mais rien n’enlèvera au fait que l’homme et la femme ont bel et bien des différences qui vont au-delà même du caractère extérieur ou non de leur appareil génital. Et c’est tant mieux : car c’est bien pour leurs différences qu’ils s’aiment (et non pas qu’ils devraient se haïr… )

Il y a finalement un point commun entre un féministe haineux ou un masculiniste haineux : la haine. Et c’est justement cela qui les différencie profondément avec ceux avec qui, ils se retrouvent par ailleurs associés (s’agissant d’un homme ou d’une femme sincère qui se bat contre la haine, plutôt que mue par elle…). Cette différence est de taille car se battre pour des causes nobles mais porté dans un esprit qui tire son énergie d’une haine vengeresse ou d’une perversion plutôt que de chercher à apaiser les souffrances : change tout de l’esprit qui incarne ce combat. Tout comme la fin ne justifie pas les moyens, c’est bien plus encore la question de l’énergie utilisée (l’Amour ou la haine) qui fait toute la différence… Car, si c’est la haine qui motive nos passions et nos combats : à qui croit-on rendre gloire en agissant ainsi ? Toute une vie suffirait-elle pour apporter la lumière sur cette simple évidence ?

 
Et à chacun de veiller à se débarrasser de la haine qui brûle dans son coeur, avant de finir par en être totalement consumé… (Seuls s’y complaisent les gens du feu…)

 

Hommes et Femmes sont-ils si … égaux ?

Les hommes et les femmes sont différents. C’est pour cela que même le féminisme le plus exacerbé n’empêcherait pas qu’il se trouve parmi les plus fanatiques d’entres elles, quelques unes encore béates, ne serait-ce que devant le simple postérieur du mâle… Et pareillement, qu’y-a-t-il pour l’homme de plus merveilleux encore qu’une femme ? (sinon son sourire  😉 …

 

Quelle est la plus grande urgence en matière familiale actuellement ?

Cela fait plus de 30 ans que la maltraitance psychologique des enfants séparés se perpétue dans l’indifférence générale.

Il est grand temps maintenant de se lever pour ce qui apparaît comme une urgence de taille et par tout moyen d’amener à faire cesser enfin, la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s).

Et dans ce combat comme pour tout combat contre la haine et ses pendants que sont l’ignorance et la lâcheté (…) tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté sont les bienvenus !

Voici donc, nos « armes » (celles de la connaissance) et quelques idées d’actions à votre entière disposition …

Bon combat !

MERCI DE DIFFUSER…


source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/01/17/reponse-dun-homme-au-feminisme-lache/

 

Services sociaux   Asuivre : 280 000 hommes victimes de violence conjugale, en France : pourquoi un black out ?

 

 


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Enfance maltraitée : QUE FAIRE pour enrayer ces souffrances ?… Résister !


Que peut-on faire pour agir et aider à enrayer la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s) (voire aliénés ou pire encore) ?

Cela fait plus de 30 ans que c’est ainsi, alors pourquoi donc chercher à trouver de quelconques solutions à ce problème, quand on sait que de toute manière, c’est très probablement inutile ?

En effet :

La situation est alarmante…

  • Près de 18 000 enfants/an prennent le chemin de l’aliénation parentale dans l’indifférence et une inertie scandaleuse (cf. lien)
  • 50% des enfants retirés à leur famille (sur un total de 135 000) le sont inutilement (!), de l’aveu même de l’inspecteur général des affaires sociales (cf. lien)
  • Des milliers d’enfants maltraités ou abusés
  • Et combien jetés dans le réseau de la prostitution voire de l’ignominie sans nom ?… (cf. lien).

Même si le point de non retour semble atteint vis à vis de cette réalité dont on n’ose même plus faire la publicité, il reste à chacun de choisir son camp : celui de ne rien faire ou laisser faire (sinon même d’en être parfaitement complice – même si la plupart du temps, c’est par ignorance ou par manque d’empathie) ou bien d’être de ceux qui tentent modestement d’agir même si c’est inutile et quand bien même ils seraient peu nombreux : pourvu qu’ils soient de ceux-là…

Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !
— Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac

Car une civilisation qui se comporte ainsi envers ses enfants, abusant de leur incapacité à pouvoir se défendre ou être défendu pour le respect de leurs droits fondamentaux (…), n’ira peut-être pas beaucoup plus loin encore ? …

Face à l’ampleur et la gravité du phénomène, cela est bel et bien devenu l’affaire de tous. Et à chacun désormais, de se saisir du sujet sans plus attendre…

Alors, au moins, si l’on se donne la peine d’avoir fait à son niveau et selon ses moyens, ce que l’on croyait être bon et juste pour tenter d’apporter ne serait-ce qu’une ou plusieurs gouttes d’eau, qui voulaient participer à éteindre cet incendie… Alors peut-être que oui, cela n’aura rien éteint (ou pas grand chose) mais est-ce vraiment cela qui compte ?

Ou bien s’agit-il de s’assurer qu’au moment et pour le cas, où nous devrions tous en payer collectivement l’addition. Si derrière nos pas, le destin nous amène à entendre la cité s’affaisser sous le poids de sa décadence, alors peut-être que l’on n’aura pas agi complètement inutilement : car on pourra au moins se dire dans son for intérieur, que si oui notre action n’aura pas pu empêcher grand chose, elle aura au moins sauvé, ce qu’il y avait peut-être encore à y sauver (?) : son Honneur


Agir face à l’injustice…

« Face à l’injustice, chacun doit pouvoir agir à sa mesure… »(…).

« Vis à vis des injustices, dans une société qui semble avoir perdu le fil des valeurs, sans attendre une improbable action d’une élite détachée de l’intérêt commun : chacun doit agir à sa mesure et ne pas laisser faire… (…) »

Un cas concret d’Exclusion Parentale (rupture du lien parent-enfant)

Oui, ce n’est pas simple. C’est une double souffrance mais en réalité c’est la souffrance de l’enfant séparé du lien qui est la plus inquiétante, la plus injuste, la plus immorale, et …c’est cela qu’il y a de plus dur.

Que faire vis à vis de ces 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’aliénation, par exemple ?

Il ne sert à rien de convaincre un parent aux réflexes aliénants. C’est un bloc de roche jusqu’au jalon qui lui permettra d’ouvrir les yeux. En attendant, rien ne peut-être fait pour convaincre de son côté : il sera plus facile de déplacer des montagnes… Et bien justement… Comme c’est avant tout un problème de société, une faille du système qui ne semble pas prendre en considération la souffrance des enfants privés de leur lien affectif et parental (puis rentrant progressivement dans une souffrance pathologique), ni à prendre en compte le droit des enfants qui est pourtant explicite (!), ni d’être capable de diagnostiquer la calomnie même quand elle est évidente (car tous azimut). Il va donc falloir déplacer les montagnes et c’est un honneur que de rentrer dans ce combat car il a toute la gloire d’un combat juste, celui de montrer a votre enfant que vous ne l’abandonnerez jamais et que vous vous bâterez, bâterez, encore et encore mais en utilisant tous les moyens nobles et surtout pas ceux détestables auxquels recoure le parent aliénant : il faudra donc se battre à découvert et de manière frontal en utilisant les arguments du droit, de la moral, de l’amour de l’enfant, etc.. .Sans jamais laisser la place aux mauvais sentiments (car ils sont parfaitement improductifs).

Et si un parent se lève, un autre suivra, et encore un autre jusqu’à ce que la société change et dans l’espoir que l’évidence voit enfin le jour… car trop d’enfants ont subi, subissent et subiront encore, surtout si personne ne se lève pour dire STOP !

QUOI FAIRE ?

Avant toute chose : COMMENCER PAR S’INFORMER SOI MÊME : https://affairesfamiliales.wordpress.com


Face à l’injustice, à l’oppression, il faut relever la tête et sourire : le jour tant attendu est arrivée… Alors de la connaissance, de la compassion pour les souffrances de tous les autres dans le même cas : c’est le moment de s’unir et d’aller rétablir la justice et de mettre fin aux souffrances…

Peu importe l’issu : le plus important c’est de se battre, sans haine mais au contraire avec honneur et détermination jusqu’à l’issu complète ou le dernier souffle …


MESSAGE AU PARENT SEPARE DE SON ENFANT

    • Voilà venu le moment de faire son chemin de croix pour en sortir éprouvé et fier d’être resté digne et combattant face à l’adversité (celle induite par l’intense souffrance de votre enfant que vous ressentez par compassion évidente) : transformez votre colère et votre souffrance en quelque chose de lumineux et d’efficace pour les autres et qu’elle serve à tous les enfants (et pas seulement le votre). Et en donnant, vous recevrez (vous verrez).
    • Commencer par donner une grande part de votre temps libre, et le maximum de moyens pour vous permettre de comprendre et ensuite faire comprendre et diffuser cette problématique complexe (à tous, sauf au parent aliénant qui restera hermétique jusqu’à la résolution : ne cherchez pas à convaincre ce dernier, c’est du temps perdu : attaquez vous d’abord aux montagnes : c’est plus simple ;-). Le but est de faire évoluer les consciences pour qu’elles se rendent compte de la manière dont sont élevés nos enfants en les privant de leur parent : Un mal fondamental, aussi inconnu que massivement répandu. Le parent séparé doit donc agir sans fléchir, jusqu’à la libération effective (de son enfant) et toute sa vie si il le faut… Mais toujours avec des moyens nobles sans jamais chercher à basculer dans un comportement aliénant inversé tel un desperado… mais plutôt avec une franche détermination et beaucoup de piété : vous serez surpris de redécouvrir une forme de bonheur pendant votre combat. Un combat qui vous fera pousser des ailes si vous restez digne et tourné vers les autres. (Chassez votre abattement, votre apitoiement, votre désespérance, votre rancune et pensez à votre enfant et à tous les autres qui comptent sur vous pour agir efficacement et vertueusement..)
MESSAGE A TOUS…

  • Parent pervers , perversion , sadisme
    Ne perdez pas votre temps à raisonner le parent aux réflexes aliénants
    (il n’y a pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre : Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent ; et la plupart d’entre eux sont des pervers.) (*pervers : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux.)
  • Diffusez l’information…
    ( ex, via les réseaux sociaux, vos propres réseaux, les lieux médiatisés, etc…)


    Twitter
    Twittergoogle plusfacebookpinterestlinkedinYoutubetumblr
    1 exemple, pour Twitter :Tweetdeck, 1 tableau de bord (gratuit)

    Ex. Aux Parents victimes d’Exclusion Parentale…qui NE SAVENT PAS UTILISER TWITTER MAIS QUI VOUDRAIENT BIEN… (en 4 étapes)

    1) S’inscrire sur Twitter.com et ensuite

    2) downloader et installer le logiciel tweeterdeck depuis http://tweetdeck.com/ (qui facilite la gestion des listes tweeter) :

    3) suivez les comptes de la iste exclusion parentale récupérable sur https://twitter.com/enfantsdroits/exclusion-parentale/members et également @enfantsdroits

  • Abonnez-vous au site https://affairesfamiliales.wordpress.com[inscription à la mailing liste ou abonnement au flux RSS / dans le menu à droite ]—–>

  • ex. les articles les plus populaires

    Faîtes connaître cette problématique sur les forums et tous les autres moyens de communication : emails groupés + ciblés (politique, justice, journaliste, …), Facebook, Twitter, ..courrier postaux, … Par tous moyens utiles (y compris originaux).., diffusez l’adresse du site https://affairesfamiliales.wordpress.com et tous les sites pertinents sur le sujet qui prennent le parti de l’enfant. Cela est utile pour plusieurs raisons :

    • Faire connaître ce problème, sans quoi ca n’évoluera pas (tout seul)
    • Permettre à quelqu’un de prendre conscience (de lui même) de l’erreur qu’il fait,
    • Permettre à un enfant ayant grandi, de comprendre et reprendre contact avec un parent (en souffrance)
    • Permettre à un parent indûment séparés de trouver du courage pour se battre pour son enfant et les autres
    • Faire connaître aux professionnels des affaires familiales ce gâchis et surtout cette souffrance des enfants séparés (voire aliénés)
  • Mener/Participer aux opérations de communication pour faire connaître la problématique et l’urgence de la situation ; en se regroupant : ex. Printemps 2013 (cf. ici pour la mise à jour des liens et les exemples)

  • Services sociaux Soutenez la cause de l’enfant (ne vous laissez pas berner par la calomnie tous azimuts qui justifie vouloir isoler l’enfant « au nom de » : les calomniateurs, ce sont eux les véritables pervers ; sinon pourquoi 1000 prétextes et 0 témoins !?) ; non plus les ignorants qui se rendent complices en confondant le principe de précaution avec le principe de protection
  • Transmettez des attestations en toute occasion pour soutenir l’enfant et son droit : c’est à dire celui de ne pas avoir son lien parental réduit en miette. (Donc sans se soucier du couple conjugal dont personne n’a que faire, l’enfant le premier !).
  • Soutenez le parent en détresse, en lui faisant connaître l’information utile pour qu’il prenne conscience lui-même du problème dont son enfant est victime (qu’il puisse mettre des mots c’est essentiel !) : attestations formalisées ou simples témoignages de soutien pour la cause de l’enfant au parent séparé de son enfant.


« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)

.

Renouer le lien parental

« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).

« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »

 

 

 



Un enfant aliéné dmd des comptes

« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).

« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »


Toujours garder à l’esprit que ce qui est le plus détestable c’est la souffrance de l’enfant privé du lien (Car on ne doit pas faire d’un enfant, un orphelin (de parent vivant) ! Et la pire maison, celle où un orphelin est maltraité.)

! MERCI DE DIFFUSER CE MESSAGE !

… Aux personnes sensibles à ce type de problème (ou pouvant l’être)

C’est un très beau combat : des centaines de milliers d’enfants victimes !

Source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/


A ceux qui se sont éloignés, eux-mêmes

(…)
– Assurez vous d’être dans le même secteur géographique que celui de votre ex-compagne/gnon – si ça n’est pas le cas et que vous aillez vous même quitté la zone qui permette l’exercice du rôle parental.


Aux croyants…

(…)
– Cultivez l’Amour pour vous inscrire dans ce combat avec endurance et patience. Le premier ennemi à vaincre est en vous : prenez vos souffrances pour des bénédictions, vos humiliations pour des sanctifications et votre chemin pour une expiation et une renaissance.

Dieu est avec les endurants, les patients, les pardonneurs, les repentants, les sages, les humbles.. et donc avec vous : si vous le souhaitez…


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Voyez votre enfant comme dans un hall de gare (en mieux ?)


« Milieu médiatisé » : un mal non nécessaire dans la plupart des cas

 

Les « milieux médiatisés avec interdiction de sortie » (modestement rebaptisés « points rencontres« , « lieux neutres » ou « relais« , …) sont des lieux d’accueil pour permettre de maintenir le lien primordial entre l’enfant et son parent. Cependant, en confondant le principe de précaution avec le principe de protection, ils sont devenus largement sur-utilisés, dénaturant ce pourquoi ils voulaient être légitimes.

 


 

* [Que penser du] point rencontre ?

C’est quelque chose de vraiment douloureux. A la fois, pour le parent visiteur, et aussi pour les enfants qui y sont soumis. Déjà ça renforce l’idée que le parent est dangereux : si on va voir son parent au point rencontre (…) [et qu’il est sous surveillance]: ca alimente le fait que son parent est dangereux / ou lui veut du mal (…)

C’est à raison de 2h par mois (quand la visite n’est pas annulée parce que l’enfant est malade..). De toute façon, quand elles ont lieu, ca n’est pas des conditions acceptables. (…) [Pour un parent qui n’a rien à se reprocher] C’est comme un innocent en prison.

* Le personnel est-il formé ?

Ils ont des formations d’éducateurs (…). [Mais par rapport à l’aliénation parentale], il y a souvent une politique de l’autruche. (…) (Delphine Provence, Avocate)

 

 

La méconnaissance de l’aliénation parentale conduit-elle à maintenir cette pathologie endémique ?

 

Ces conditions de visite confirment alors, même à un petit enfant, que le parent visiteur est effectivement un individu dangereux (sinon punissable) quand bien même ce dernier n’a rien à se reprocher (tandis qu’il fait l’objet d’une procédure calomnieuse devenue un principe d’action à la disposition du parent pervers).

Cela participe au travail de dénigrement de l’image du parent non gardien, en plus d’entretenir la souffrance muette de l’enfant séparé, à coup de présentations brèves et espacées de 60 min / par quinzaine en général (puis 90 min si vous restez « sage » devant l’oppression, l’humiliation, la souffrance de votre enfant et le mépris de ses droits).

Cela peut favoriser le développement d’une pathologie grave : l’aliénation parentale qui est une maltraitance psychologique particulièrement destructrice de l’individu. En France, des enfants par milliers sont aliénés dans une indifférence proprement scandaleuse…

 

 

 

A quand un reportage roumain sur le sort réservé aux enfants de France ?

 

C’est donc les samedis, juste en bas de chez vous (pas besoin d’aller en Chine ou en Roumanie) que des enfants sont broyés en silence, dans un système qui entretien cette souffrance de l’enfant séparé plutôt que de rétablir l’enfant dans son droit légitime de voir ses deux parents.

La séparation du lien enfant-parent est facilement obtenue par le parent aux réflexes aliénants qui profite des failles du système et du fait que les professionnels soient désarmés (car non formés) pour déceler la calomnie, tandis que le parent pervers a une faculté tout a fait déconcertante (que reconnaissent également les psychiatres) à convaincre puisqu’il s’est d’abord parfaitement convaincu lui-même d’agir au nom de la sécurité et non par sadisme : grâce au déni, au clivage voire à la projection (de ses propres carences ou d’une éventuelle culpabilité non avouée).

 

Défaut de Formation

Aussi, ils focalisent leur rapport essentiellement sur l’observation du parent-visiteur et sur la relation enfant-parent qu’ils entretiennent tout deux mais nullement sur les réactions d’intériorisation de la souffrance de l’enfant incapable d’estimer le caractère inducteur du lieu de médiation dans la désagrégation du lien parental, voire du développement de la pathologie aliénante…

 

 Une politique de l’autruche globale, qui entretien la destruction psychologique de 6% à 13% des enfants du divorce et par voie de conséquence, aliène la société dans son ensemble… Le risque et le coût sanitaire d’une telle désertion ne fait pas l’objet d’une estimation tant l’ampleur du massacre psychologique est grand… La nécessité d’une formation est urgente (même si cela fait plusieurs dizaines d’années). Il n’est jamais trop tard pour bien agir plutôt que de devoir assumer la responsabilité des souffrances perpétrées par la politique de l’indifférence

 

 

Ci-dessus, l’exemple (parmi d’autres) d’un parent (ancien Directeur d’Ecole) contraint à ne plus voir sa fille que dans un contexte de plus en plus traumatisant (au sein de ce qui finalement devient un « relais pervers » ou « centre de souffrance médiatisée ») ou bien … à ne plus la voir du tout ! (et donc en la laissant, seule en proie, à un parent aliénant)

 


 

Ex : Lettre ouverte à l’intention d’un lieu médiatisé

 

Lettre ouverte d’un parent auprès d’un tiers médiateur ( Assijes 74 – Association d’Intervention Judiciaire et Sociale de la Haute Savoie présidée par Jean-Claude Tavernier– 44 rue des écoliers 74970 Marignier)

Bonjour, nous avons eu une visite ce jour avec notre enfant, qui s’est très bien déroulée.
Cependant, pendant la visite mon fils (de 6 ans, séparé de son père depuis 3 ans) m’a demandé « pourquoi j’étais méchant avec Maman »et que « c’était pour ça qu’il ne voyait plus son papa » et « que je ne savais pas m’en occuper ». [NB: La fois suivante, c’était : « Tu sais tu me mens. Maman dit que tu me mens mais tu ne le sais pas. C’est vrai qu’on a le droit de séparer les enfants des parents]
Je souhaiterais que vous [ou Me Cécile Planchot (Barreau de Thonon-les-bains) ou ] tentiez pour le moins, de faire cesser ce travail de dénigrement de l’image du père. Attitude que d’aucuns pourraient apparenter à une attitude perverse.
Mais que d’autres comme le Dr Bensussan, expert près la cour de cassation, pourrait apparenter lui, à une des causalités qui pourrait concourir à terme (si la tendance s’enracine), aux manifestations de l’aliénation parentale, qu’il classe clairement dans une forme de maltraitance psychologique :
«Cette pathologie redoutable et encore méconnue ne menace pas que le parent rejeté : elle sape le fondement même de l’identité et de la personnalité de l’enfant »  (Dr Bensussan).
Votre lieu de médiation a déjà 2 cas qui pourraient s’apparenter a de l’aliénation parentale.
Je vous demande d’agir de manière préventive et de rappeler vous même à la mère qu’elle ne doit pas agir ainsi. Que cela est grave.
Cela n’est pas une cause de mésentente ou de discorde avec la mère. Je ne lui en ai même pas parlé, expressément pour ne pas que cela crée un conflit. Aussi, Je vous demande donc, de le faire vous même.
Et de rappeler qu’il n’y a pas nécessité de mentir à l’enfant et encore moins de dénigrer l’image du parent qui n’a pas la garde.
On peut très bien expliquer à l’enfant que sa situation d’exclusion parentale émane d’une décision judiciaire et s’en tenir à cela.
Il n’y a pas lieu d’accuser le père pour une situation dont il est objectivement lui-même une des victimes. Je rappelle à titre d’information, que 3 attestations de psychiatre + 1 rapport d’expertise privée réalisée par un expert près la cour d’appel de Chambéry, sont clairement favorable à 1 garde alternée.
Que mon ex-femme a présenté 4 sites internet clairement imputables à des tierces personnes.
Qu’un sexologue, le Docteur Patrick Blachère, auteur du (*)livre de poche « Petites infidélités dans le couple : ça passe ou ça casse » (Ed. Albin Michel) dont le contenu fait clairement l’éloge de « l’adultère » et de « l’échangisme sexuel », est actuellement enregistré comme « expert » auprès des Affaires Familiales (!?). Et que sur la base de son expertise qui va à l’encontre de 4 autres psychiatres, et dans laquelle, il indique penser (tout en indiquant n’avoir pas suffisamment de temps pour l’établir) « qu’il y a d’autres souffrances » du père que celles uniquement liées à l’exclusion parentale et sur la base duquel un jugement a été rendu.
Mon objet n’est pas de refaire le jugement : je n’ai pas fait appel.
Mais vis à vis d’une problématique dont on peut mesurer les risques d’un laisser-aller, il parait suffisant mais nécessaire, d’effectuer dès le départ et par un tiers médiateur, un SIMPLE RAPPEL au parent gardien…

Constat d’absence de pro-activité dans l’amélioration de la situation

Par ailleurs vous informer que :
– Je me suis rendu pour la visite en tiers de médiation ce samedi 1 novembre et que c’est seulement après 11h00 que j’ai été prévenu par mon ex-compagne que celle-ci avait planifié un pique-nique « avec des amis et notre enfant », à 10 minutes de chez moi – sans moi évidemment. J’ai donc fait 2 heures de trajet aller-retour pour voir notre enfant et m’entendre dire cela. Elle a prétexté que la date choisie n’était pas fixée par la décision de justice mais je lui ai fait remarqué qu’elle émanait de l’accord sur les dates fixées avec des tiers qui lui avait été transmis un mois auparavant et qu’elle aurait dû m’en rendre compte avant, et dans d’autres circonstances (étant donné que je suis actuellement en thérapie du fait des souffrances, en lien avec cette situation d’exclusion). Elle a prétextée la bonne fois mais n’a pas souhaité me proposer de solutions alternatives pour tenter de le démontrer ou de compenser ce retournement : pas de proposition pour une visite le lendemain, pas de proposition pour que je me joigne au pique-nique malgré de la présence de personnes ayant sa confiance, pas de proposition d’aucune sorte (juste de devoir me contenter de rester devant ce fait accompli)- Par ailleurs, elle m’avait annoncé il y a une dizaine de jours que je pouvais voir notre enfant hors tiers de confiance pendant 2 heures un mercredi (à choisir entre le 5 ou le 19 novembre). Je lui ai indiqué le 5. J’ai donc fait des démarches professionnelles pour m’assurer de ma disponibilité ce jour.  Elle me prévient seulement avant-hier (et juste avant le coup de ce samedi) qu’elle « avait oublié que notre enfant avait un rendez-vous chez le dentiste ce jour ». Je lui fais remarqué que l’on pouvait probablement estimer que le rendez-vous (simple visite des « 6 ans ») pouvait ne pas durer toute l’après-midi. Elle ne m’a pas répondu, ni cherché en contrepartie à tenter d’aménager un horaire différent (sachant que j’étais libre toute l’après-midi), que ce soit avant ou après la visite. Encore une fois, je devais me contenter du fait accompli.En pareille circonstance, je note qu’il n’y a toujours pas d’acteur pouvant jouer le rôle de tiers médiation afin de réguler ce type de violence morale (sachant qu’une expertise a établi que : « la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. » (Dr L’Hopital)- J’ai proposé à plusieurs reprises (à l’écrit comme à l’oral, et devant votre présence même) la suggestion d’une thérapie parentale. Je n’ai eu aucune réponse de sa part, malgré mes relances.- J’ai proposé qu’elle choisisse au besoin, son propre compagnon comme tiers médiateur ayant sa confiance et susceptible de faire avancer le dossier : aucune réponse de sa part, là aussi.Il manque clairement un tiers médiateur qui soit capable de faire avancer la situation dans le sens de « l’intérêt supérieur de l’enfant » c’est à dire de permettre de débloquer rapidement cette situation de souffrance et d’humiliation.Aujourd’hui, ce rôle n’est occupé par personne. Seul le juge aux Affaires Familiales qui est charge du dossier pourrait se saisir et faire passer le dossier à l’étape suivante et viser l’amélioration de la situation parentale et le respect des droits fondamentaux de l’enfant.Je souhaiterais que vous suggériez cela à Madame Laure Dachelet, et voir quels sont les outils adaptés qui sont à sa disposition. A défaut de suggérer à mon ex-compagne de faire un effort (réel).
– Vous pouvez au besoin considérer cette suggestion comme une saisine informelle de Madame Le Juge aux Affaires Familiales, en charge du dossier -Dans cette attente, vous comprendrez, que je n’ai pas d’autres choix sinon d’intercéder auprès des différents intervenants du dossier, finalement le seul espoir d’espérer voir notre dossier avancer plus efficacement…
Mais si vous avez d’autres suggestions : je suis à votre entière écoute.

(suite)

Lettre ouverte au parent gardien

Email : « Merci de répondre à ces 6 questions »

Bonjour,

 

Je souhaiterais pouvoir comprendre : pourrais-tu répondre à ces 6 questions ?

1) L’Exclusion Parentale est une maltraitance psychologique. Cf. article « La souffrance de l’enfant séparé » qui reprend les conclusions du Dr V.Simon et du Dr J-M.Delfieu (expert près la cour d’appel de Nîmes) : https://affairesfamiliales.wordpress.com/plan-de-site/a-propos/souffrance-de-lenfant-separe/ As-tu seulement parcouru cet article ?

 

2) Les 2 conclusions judiciaires sur lesquelles tu fais références s’appuient toutes les deux sur l’avis incertain d’un sexologue Patrick Blachère dont le livre* fait l’éloge de l’échangisme sexuel et de l’adultère et dont la récusation avait été demandée : ce qui ne l’empêche pas d’être consulté par la juridiction des Affaires Familiales : Tu trouves cela normal ?

3) Une contre-expertise privée réalisée par le Dr l’Hopital et les avis de 3 autres médecins psychiatres (Dr Mechik, Dr Harabi, Dr Peyrache), soit 4 psychiatres dont 1 expert qui vont dans le sens de l’intérêt de notre enfant et s’opposent clairement à l’avis du sexologue, n’ont pas été pris en compte : tu trouves cela normal ? Pourquoi n’y fais-tu jamais référence ?

  • Le Dr Harabi (Psychiatre, ancien praticien hospitalier et chef de service) établit que je « ne présente pas de dangerosité, ni de troubles psychiatriques qui contre-indique un contact et/ou une garde de son fils »
  • Le Dr Djamel Mechik (Psychiatre au centre de consultation des Vallées à Ville la Grand) établit que je « ne présente aucun danger pour autrui ni pour lui-même »
  • Le Dr Peyrache (Psychiatre, pédopsychiatre) établit que je « ne présente pas de pathologie psychiatrique avérée »
  • Le Dr L’Hôpital (Psychiatre, ancien Psychiatre des Hôpitaux, expert Psychiatre près la Cour d’Appel de Chambéry) établit à l’issue de son expertise, qu’ « après examen psychiatrique s’appuyant sur les conclusions de l’expertise psychiatrique effectuée par le Dr Patrick Blachère que je « ne présente aucune dangerosité pour son fils Elliot et qu’au contraire la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. Il propose une garde alternée et pour nous, il n’y a aucune difficulté pour que le père puisse bénéficier de cette facilité de garde pour son fils »

 

4) Pourquoi avoir cité dans la procédure judiciaire 4 sites internet dont je ne suis pas l’auteur et dont il m’a fallu plusieurs semaines pour identifier les identités pour chacun d’eux : (Noms des webmasters : O.Landwerlin, F.Lafaye, S.Jonathan (Québec), F.Blanc) : Tu trouves cela normal ?

5) Tes ultimatums contre notre enfant si je ne m’éxécute pas concernant des demandes administratives : tu trouves cela normal ? Je te cite :

« Concernant les visites d’Elliot, j’attends de mon côté notre séance de conciliation le vendredi 23 pour avancer dans nos discussions (si cela est encore possible) et PEUT-ETRE reprendre les visites d’Elliot dès le 24 septembre. Il est DOMMAGE d’en arriver là, SURTOUT pour Elliot. » ( Gaëlle Dutordoir, le 15/09/2011)

6) Ton compagnon M. Vincent Belot ( Fondaconseil ) n’a pas cherché à rentrer en contact, malgré les demandes formulées depuis l’été 2014, préférant peut-être(?) laisser stagner une situation qui est sans égard pour notre enfant : tu trouves cela normal ?  L’as-tu seulement prévenu ?

droit de réponse Gaëlle Dutordoir & Vincent Belot

« Il est inadmissible de conditionner des visites au bon vouloir d’un des deux parents, et d’utiliser l’enfant comme l’otage de ses desiderata. L’enfant a des droits fondamentaux et deux parents.

Utiliser l’enfant comme un moyen de pression, et le priver ainsi de son parent, sans égard pour son affect[1] et ses droits fondamentaux [2] n’est pas acceptable.

Faudrait-il rappeler que l’Exclusion Parentale est une maltraitance[3] ? »


(suite)

Lettre ouverte au Sexologue Patrick Blachère

Bonjour,

 

Le 02/04/2010 vous donnez pour un magazine médical (PratisTv), l’acception suivante pour caractériser ce que vous nommez le « fait pervers », je vous cite : « Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner… » (Patrick Blachère)

 

Depuis 2011, nous subissons une situation mélange d’humiliation et souffrance. Le parent gardien* s’appuie une décision de Justice (TGI de Bonneville) qui s’appuie elle-même sur votre expertise et où vous concluez en dernier lieu que le temps ne vous est pas suffisant pour établir votre diagnostique. De cette incertitude, se forme la décision judiciaire (établie sur un volume de temps pas beaucoup plus grand). Et le bilan de cette situation qui en résulte,  se solde par des années gâchées et de la souffrance : beaucoup de souffrance et d’humiliation…

1) Que ressentez-vous ?

2) Combien de temps encore, votre « déontologie » va-t-elle vous empêcher de réagir pour débloquer cette situation ?

3) Pensez-vous que l’opinion exprimée dans votre livre* (« Petites infidélités dans le couple : Ca passe ou ça casse ? ») en faveur de l’adultère et de l’échangisme sexuel, soit véritablement compatible et acceptable avec une désignation (en qualité d’expert) auprès des Affaires Familiales? (près la Cour d’Appel de Chambéry, Présidence de Jean-Yves McKee)

 


« Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale» (…).

« c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.» (Paul Bensussan, expert national)

 

« L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. »(…).

Si la souffrance de l’enfant est négligée et qu’elle est intense par le fait d’une exclusion parentale, l’enfant va apprendre à se durcir, à ne plus aimer.

 

 

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 


 Article connexe : Visites médiatisées : un instrument de la planification de la rupture du lien parent-enfant ?


 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : Le ressenti des parents aliénés ou exclus (ex. « pères perdus »)

 


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La Calomnie est une violence subtile mais réelle, au service du pervers, pouvant conduire à la séparation du lien enfant-parent et ainsi priver l’enfant de ses droits


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Calomnie, définition :
Accusation mensongère portant atteinte à l’honneur de quelqu’un. Synonymes accusation, attaque, cancan, dénigrement, diffamation, infamie, injure, médisance, mensonge, ragot.


« La calomnie, un procédé vieux comme le monde »(…).

« -> ce qu’en pense les philosophes, les religions, … »

« Calomnions, calomnions, il en restera toujours quelque chose !  » (Francis Bacon / attribué à Beaumarchais) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)


CHECKLIST : Comment distinguer la Calomnie, de l’accusation justifiée ?

Si vous n’êtes pas en mesure de qualifier le danger, alors vous ne pouvez pas mettre en oeuvre un plan qui permet de réguler le risque et mesurer l’évolution de la situation.

Mais en réalité, si vous n’êtes pas à même de qualifier avec précision ce risque, vous êtes probablement victime des effets de la calomnie… (mais vous n’êtes pas le premier : il était jadis condamné âprement mais aujourd’hui la calomnie et la médisance gangrènent l’espace de la vie quotidienne jusque sur la scène médiatique… Tant elle est efficace et finalement peu répréhensible – du moins a priori… )

Car dans le doute, ne vaudrait-il pas mieux se poser les questions suivantes ?

A) Est-ce qu’il y a plusieurs prétextes ou accusations pêle-mêles ?

Peu importe que ce soit vrai ou faux. L’essentiel, c’est la calomnie. Les gens aiment le scandale. (Agota Kristof) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)

B) Est-ce que les prétextes sont contradictoires ou incohérents entre eux ?

En entassant des imputations contradictoires, la calomnie se découvre elle-même : mais la malignité est aveugle et la passion ne raisonne pas. (JJ Rousseau) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)

C) Quel est précisément, le danger immédiat, réel et sérieux qui est invoqué ?

En amalgamant un principe de précaution avec le principe de protection, on concrétise de fait, un principe d’exclusion au préjudice du respect des droits de l’enfant.

PROTECTION <!> PRECAUTION

Pour l’illustrer.. .Si on généraliserait ce principe (la précaution au lieu de la protection) et que l’on considère (par exemple) la maxime populaire qui veut que l’exercice du pouvoir corrompt : dans ce cas une application stricte de ce principe de précaution ne suggérait-elle pas de devoir prendre des dispositions préalables à l’encontre des hommes politiques ; et pourquoi pas même, dès leur candidature ? Ca serait évidemment absurde (?). Et en l’appliquant au pénal, pourquoi ne pas non plus envisager d’appliquer ce principe de précaution et de décider de mettre hors d’état de nuire des personnes qui appartiendraient à des groupes considérés (~) comme étant statistiquement « à risque » (même s’ils n’ont jamais rien commis) ? .. Et ainsi de se hasarder de choisir de condamner un innocent plutôt que de libérer un coupable.

Cela n’ouvre-t-il pas la voie à n’importe quels abus ? Pourquoi se permet-on finalement d’user en matière familiale, d’un principe que l’on s’interdit de manière évidente dans d’autres circonstances. Ne gagnerait-on pas mieux plutôt, à travailler pour améliorer le discernement de la calomnie ? Car au bilan, le principe de précaution ne garantie finalement pas même qu’un « futur coupable » ne puisse pas passer (et parfois mieux qu’un innocent) à travers les mailles d’un filet resserré (s’il reste inadapté) ; ajoutant donc une inefficacité à l’injustice...

Par contre, il garantie assez bien (et on peut le constater…), qu’un parent pervers puisse pleinement compter sur l’instrumentalisation qu’il fait de l’institution pour arriver facilement à isoler l’enfant de son autre parent, à priver l’enfant de ses droits et à le propulser dans la souffrance de la séparation destructrice de la psychologie de l’individu ; sans parler des parents exclus voire aliénés eux-mêmes (non plus des cas de désespérance qui amènent à des tentatives de suicides, d’enlèvements inutiles, de maladies psychosomatiques – non plus des grands-parents, victimes collatérales, etc..etc.. ) .. et c’est donc pour le coup, avec beaucoup plus de certitudes, que l’application simple de ce principe (appliqué à défaut de pouvoir discerner le calomniateur/trice) conduit donc invariablement à une maltraitance psychologique de masse

D’ailleurs, le paroxysme de cette démarche trouve son comble en Angleterre où « des milliers de femmes [sont] accusées de «future négligence» ou «futur dommage émotionnel» de leur enfant, dès les premiers jours de la grossesse…[!!]  » (Le Monde).

D) Combien y’a-til de témoins ? Moins de 4 (ou 3, ou 2) … ?

Un seul témoin ne pourra se dresser contre un homme à propos d’une faute ou d’un péché quelconque, pour un péché quelconque qu’il peut commettre. Ce n’est que sur le dire de deux témoins ou sur le dire de trois témoins que l’affaire tiendra. (…). (La Bible – Deutéronome 19:16-21) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)

Pourquoi n’ont-ils pas produit [à l’appui de leurs accusations] quatre témoins? S’ils ne produisent pas de témoins, alors ce sont eux, auprès d’Allah, les menteurs. (Le Coran – La Lumière, s24-13) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)

En relisant cette liste, apparaît l’évidence..

Pourquoi, lorsque vous l’avez entendue [cette calomnie], les croyants et les croyantes n’ont-ils pas, en eux-mêmes, conjecturé favorablement, et n’ont-ils pas dit : “C’est une calomnie évidente?” (Le Coran – La Lumière, s24-12) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)

La Calomnie est plus horrible que l’assassinat. L’assassin n’en veut qu’à votre vie ; le calomniateur en veut à votre honneur : on peut se défendre contre l’un, on ne le peut contre l’autre. (Hypolite de Livry) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)


Les Calomnies fréquentes dans les cas d’Exclusion Parentale (stéréotypes)

Tableau récapitulatif des principaux thèmes(*) supports des calomnies :
hommes
femmes
  • Folie
  • Alcoolisme
  • Drogue
  • Prostitution/Séduction
Différence de genre ? On reproche rarement aux femmes d’être pédophiles (/incestueuses), ou d’être responsable de violences conjugales et peu aux hommes d’être « séducteurs »…
(*)Les « tendances » médiatiques influent sur l’ordre des thèmes de prédilection.

La calomnie, une perversion

cf. « Perversion dans le cadre de l’exclusion parentale » pour plus d’infos…


Les recours juridiques face aux dénonciations calomnieuses

Article 226-10 du Code Pénal, Modifié par la LOI n°2010-769 du 9 juillet 2010 – art. 16 (le lire dans Légifrance: ICI )

 » La dénonciation, effectuée par tout moyen et dirigée contre une personne déterminée, d’un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires et que l’on sait totalement ou partiellement inexact, lorsqu’elle est adressée soit à un officier de justice ou de police administrative ou judiciaire, soit à une autorité ayant le pouvoir d’y donner suite ou de saisir l’autorité compétente, soit aux supérieurs hiérarchiques ou à l’employeur de la personne dénoncée, est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende.
La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d’acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n’a pas été commis ou que celui-ci n’est pas imputable à la personne dénoncée.
En tout autre cas, le tribunal saisi des poursuites contre le dénonciateur apprécie la pertinence des accusations portées par celui-ci. » (JafLand)

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/09/26/droits-des-enfants-de-voir-les-deux-parents/


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