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Le maintien du contact affectif et relationnel est considéré aujourd’hui comme étant un critère important du « bien-être psychique et moral de l’enfant.
Le respect des relations et des contacts affectifs naturels de l’enfant avec ses deux parents et du maintien de la fréquentation des deux parents est un critère important quand il s’agit pour les tribunaux d’évaluer la capacité d’éducation et d’attribuer l’exercice de l’autorité parentale.
[Télécharger les extraits cités précédemment sous format PDF (pouvant être utile pour vos communications auprès des acteurs sociaux)] Extraits
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Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.
Ne me passez pas à l’autre , à la porte de la maison, comme un paquet.
Ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.
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« Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…) ».(Dr Victor Simon)
L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer. (Dr Victor Simon)
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« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.(…) »
Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants(Dr Victor Simon)
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Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père» (…)
L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…
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Un enfant retrouve sa mère française …
A l’occasion d’une émission de téléréalité, et après 30 ans de séparation d’avec sa mère, il la retrouve, enfin (…)
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A 13 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation d’avec ses parents et de sa fraterie…
« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »
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« La maltraitance dans l’enfance laisse des traces génétiques. Le professeur Alain Malafosse, du Département de psychiatrie de l’UNIGE (…) »
+ « Une étude de l’Université du Texas Southwestern publiée dans la revue Neuropsychopharmacology révèle que les adolescents victimes de maltraitance durant leur enfance présentent des perturbations au niveau de la substance blanche de leur cerveau. »
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Cette souffrance peut se manifester à travers plusieurs signes : angoisses, tristesse, dépression, difficultés scolaires, troubles de la concentration, affections psychosomatiques, repli, agressivité notamment à l’adolescence….
Priver un enfant de sa double filiation, c’est le priver d’une partie de lui même, l’amputer d’une partie de son histoire, et in fine, c’est rendre, parfois, encore plus importante cette partie qui lui manque et qui le hante d’autant plus…..
+ voir également l’article « Quand un parent ment à son enfant sur son autre parent«
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Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade). (Dr Jean-Marc Delfieu)
L’interruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents. Le devenir ultérieur des enfants est particulièrement préoccupant. (Dr Jean-Marc Delfieu)
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Je suis algérien .Et qui est divorcer d’une femme Suisse.et j’ai un enfant qui a 31ans . Après informations .Sur mon enfant .Il vit dans squats à Bern il prend de la drogue.et n’a jamais travaillé. Cette est presque perdue (seul ) sa mère ne sais même pas où il habite et …. Monsieur si vous pouvez m’aider pour que je puisse aider mon snfant de sortie de cette situation.merci j’attends avec impatience pour être en contact avec vous pour que je puisse commencer à faire quelque chose pour mon enfant .
Maltraité un enfant pour moi,c’est un geste ignoble et cruel. Ensemble,luttons pour phénomène.
Bonjour,
Je suis depuis très peu de temps ce forum et je dois dire que ce que j’y lis ces derniers jours me laisse pantoise… Si un enfant ne veut pas voir l’un de ses parents (séparés), c’est nécessairement qu’il y a ou conflit de loyauté ou SAP (ou autre appellation). La justice en mal d’explication des douleurs des enfants qui réagissent ainsi par le rejet (temporaire en fait et qui n’exprime qu’une douleur souvent que le parent rejeté ne veut pas voir autrement que comme marque d’un SAP), des enfants jugés inaptes – quel que soit leur âge en fait (car l’âge de 13 ans est un mythe quant à l’écoute que l’on accorde à l’enfant), cette justice là, qui dans une affaire où elle est incompétente techniquement (car la douleur de l’enfant, l’existence d’un SAP ou non, décrétée par un psychologue qui vous rencontre une heure en tout et pour tout !) cherche des standards de décision, car la justice « doit » décider. Alors, le JAF impose à tous les cas, ce qui l’arrange dans son incapacité profonde à départir le tien du mien: une conception de la « normalité » des relations enfants/parents (faisant au passage l’impasse sur la…. séparation !!! d’ailleurs): « un enfant ne peut pas rejeter un parent sauf s’il est manipulé; car un enfant qui rejette un parent, c’est anormal ». Mais la réalité ne s’accommode pas de la « normalité » (si tant est qu’elle existe cette « normalité »). Car des enfants sont maltraités – au delà de la douleur de la séparation -par le parent qu’ils finissent par rejeter et pour cela nul besoin d’AP, le parent rejeté a souvent aussi donc le SAP n’est pas la panacée) fait le « travail » pour créer le rejet, mais ne l’assume pas, parce que justement « ce n’est pas normal que son enfant ne veuille pas le voir » du point de vue social alors évidemment => solution = SAP. Je trouve que les commentaires ici sont souvent limités à une seule généralisation d’un cas particulier. Demander à légiférer ? Mais sur quoi ? Chaque séparation est une histoire. Des enfants « tiroirs-caisse » ? mais c’est inimaginable de pouvoir penser cela. Peut-être existe-t-il des parents qui pensent que ce qui compte c’est la pension alimentaire (si je comprends la notion d' »enfant tiroirs caisse). Moi, je n’en connais pas. Mais je pense que cela peut exister bien sûr. Mais je connais aussi des enfants non « revendiqués » dans une garde principale ou alternée car source d’économie pour le parent qui ne la demande pas ! Car les modes de calcul des pensions sont toujours favorables au parent qui n’a pas la charge des enfants. Et faut-il ici évoquer les pb pour les révisions des montants de pensions ? Sachons raison garder, surtout sur un thème aussi passionnel… raison de plus ! Le cas de chacun n’est jamais un cas général et encore moins généralisable. Un enfant peut rejeter son parent pour de « bonnes raisons », pour lui en tout cas (voire pour nous toutes et tous qui sommes sur ce forum), et rejeter la « faute » sur son autre parent c’est nier sa propre aptitude à souffrir et à décider de la manière de le montrer (sans parler de la culpabilité qu’il peut ressentir car c’est son autre parent avec qui il reste qui prend tout). Charge à l’autre parent (parce que le SAP, franchement, ça suffit comme arbre pour cacher la forêt) de tout faire pour faire en sorte que l’enfant comprenne d’où vient sa douleur, l’amène à réaliser que oui, son parent idéal n’est qu’un être humain qu’il découvre dans la séparation, mais qu’il reste son parent « d’avant » et surtout, l’amener à réfléchir sur ce qu’il perd à ne plus voir son parent en amour, en moments avec lui, en équilibre pour son présent et son avenir… Aider l’enfant à décider lui-même quand sa douleur sera moins forte, de renouer avec son parent « rejeté ». Ce n’est pas parce qu’un enfant « rejette » un parent qu’il ne l’aime plus ou le hait !! Bien au contraire je dirais… Quant aux enfants placés qui ne rejettent ou haïssent jamais leurs parents… là, les statistiques sont manipulées… parce que les exemples sont légion…
Si mon commentaire n’est pas relatif au thème du forum, merci de m’en excuser… j’ai réagi là aux tous derniers commentaires que j’ai lus…
Bonne journée
Et bien, je ne suis pas étonné de voir, ici, des preuves qui prouvent vraiment nos difficultés, depuis près de 40 ans, à faire valoir nos droits et ceux de nos enfants, à garder ensemble, de bons liens de loyauté, de bons sentiments et d’éducation, même après rupture conjugale…
De plus, la méconnaissance de la problématique, ainsi que la perversité, viennent s’ajouter aux causes de blocages pour la mise en place de bonnes pratiques de gestions de conflits, sans avocat…
En effet, ici même, sur l’un de mes articles, publié le 20/10/2014, il y a 12 personnes qui apprécient l’article, et 2 autres personnes que ne l’apprécie pas… soit 16 % de gens qui sont contre la réalité… et qui ne partagent donc pas ce que nous proposons de mieux pour nos enfants…
Ces gens là voudraient-ils donc posséder les enfants à leurs usages exclusifs !?!… Et les priver de leurs pères ? Ou de leurs mères ? Pourquoi ? Est-ce pour avoir tous les avantages liés à la charge d’enfants ? Les enfants sont-ils donc devenus des »Tiroir-caisses » ? Nous pensons que oui.
On voit donc bien… ici… avec ces opposants, la preuve… de toutes nos difficultés de faire appliquer les bonnes solutions (existant depuis près de 30 ans) et pour les mettre en pratique par des élus politiques honnêtes et courageux, afin de mener à bien une politique familiale décente, dont une vraie justice décente, qui puisse résoudre les conflits comme il se doit… selon des constats ailleurs : à 95 % au moins ; et d’approcher les RA à 100 %
Ce que nous avons pu constater chez des enfants négligés (graves négligences), ou maltraités (de manières graves) lesquels enfants ont été retirés de la garde de leurs parents, et dont certains ont été placé dès l’âge de 6 à 8 mois, et bien, ces enfants n’ont… à nos connaissances, jamais rejeté leurs pères ou leurs mères, comme dans les situations où les »enfants impliqués dans les conflits de ruptures conjugales de leurs parents » rejettent, haïssent, et souhaitent même la mort de leurs pères ou mères…
Il fallait que je précise cela, car il est difficile pour quelqu’un qui ne connaît pas les effets (et les réactions destructrices sur la santé des enfants) résultant des »manipulations-destructrices » particulières de parents, telles le »Syndrome d’ Aliénation parentale » (SAP), le »Trouble d’Aliénation Parentale » (TAP), l’Aliénation Parentale (AP), le »Syndrome de Médée » (SDM), et autres appellations utilisées par divers médecins spécialistes de la santé mentale…
Alors, dans les divers cas, que j’ai désignés ci-dessus, les enfants sous emprises (aliénés) sont dans des situations de conflits d’intérêts tels que bon nombres d’entre eux arrivent même à se suicider… même étant adultes, à l’âge de 30 ans et plus…
Il est très urgent de légiférer afin d’éviter les destructions de familles… car, en France, plus de 3 millions de familles sont ainsi détruites… où il n’existe plus de solidarité familiale…
La Famille est pourtant le ciment de la Société… que l’on dit… mais celle-ci perd, petit à petit, sa solidité… et ça coûte très cher à la collectivité !
C’est très lourd pour un enfant qui n’a pas encore les moyens de supporter!
Le divorce de ses deux parents est la pire chose qu’un enfant peut subir. En effet, il s’agit d’une situation instable (garde alternée…), qu’on ne choisit pas (les enfants subissent les conséquences des actes de leurs parents), et socialement pas très apprécié (moquerie des enfants…). A tous les parents, réfléchissez bien avant d’agir, vos enfants seront victimes de vos actes, ne l’oubliez pas!
La DDASS, je connais…. On est venu me chercher à l’école primaire, nous faisions une dictée…. J’étais assise à côté de mon copain Maurice….
Et la maîtresse m’a appelée et demandé de sortir….. Et là, l’horreur…. Je me suis retrouvée encadrée de deux gendarmes et j’ai été présentée à l’assistance sociale chargée de me conduire à l’orphelinat….
J’avais 8 ans environ et mes frères et sœurs avaient déjà été placés en institution….
On est parti pour l’orphelinat en passant devant chez moi…. Mon père sciait du bois…. Je n’ai pas vu si il pleurait, ma mère nous a suivi en vélo et est venue nous rejoindre…. Elle était décomposée et pleurait tout autant que moi qui ne comprenait rien…..
Et ce jour là n’était pas encore le pire que j’aurais à vivre…..
Aujourd’hui grâce à Dieu, j’ai retrouvé une partie de ma fratrie (beaucoup sont morts malheureusement sans qu’on ait pu se revoir)…..
Aujourd’hui je n’oublie pas hier et ces terribles moments qui cassent la vie, l’amour, l’espoir…..
Et pourtant je voudrais dire merci, merci aux personnes qui nous ont accueillies dans leurs foyers comme si nous étions leurs enfants, merci à cette assistante sociale aujourd’hui très âgée mais que je revois toujours et qui a fait tout ce qu’elle a pu pour adoucir ces moments difficiles, merci à tous ceux que j’ai rencontré sur mon chemin de douleurs et qui m’ont aidé à être ce que je suis aujourd’hui ; parmi eux il y a mon mari, mes enfants et ma famille retrouvée.
Je m’appelle Cécile Jouan on m’a enlevé le 21 avril 1972 à la sortie de l école primaire Saint marie a maure de Bretagne. Ce jour là fut pour moi et deux de mes frères le plus dur de notre vie, ils m’ont arraché au bras de mon frère qui venait me chercher pou prendre le car, je ne suis jamais reparti avec lui. J’ai hurlé de tout mon corps, pour sa reste l’épreuve la plus dur de ma vie, je ne peux pas oublier ce 21 avril 1972, la DASS [Services Sociaux] a brisé ma vie a jamais. Ils ont enlevé le 27 juillet 1988 ma fille, à la maternité de vitre. Enlevée sous mes yeux, elle a été placé a Champi avec les mêmes personnes que moi quand j’avais 5ans et demi. Comment oublier je l’ai récupérée le 26 octobre 1988. Quel combat mais quelle joie. Je n’avais que 21 ans, mais je voulais prouver que les enfants de la DASS ne reproduisent pas toujours ce qu’on leur a fait subir. Aujourd’hui je suis Maman et Mamie de deux petites enfants qui sont ma joie de vivre. Il ne faut pas baisser les bras : je suis la preuve que l’on peut s’en sortir avec ou sans eux : ils ne sont pas notre vie : que l’on ne me parle plus de la DASS. J’ai tourné la page, faites comme moi.
L’enfant séparé de son père, ou de sa mère souffre ! Mais sa souffrance ne se voit pas…
On a beau dire qu’il est bien où il est… ou bien que l’on ne peut pas forcer un enfant de 13 ans (par exemple) de voir son père ou sa mère…
Mais je connais bien le cas d’une fille aliénée par son père, qui ne voyait plus sa mère depuis des années, et qui, à 16 ans, a commis des actes de vandalisme… et qui a failli être colloquée pour des troubles psychiatriques… Un Policier a même dit qu’à 18 ans elle irait en Prison !
On sait bien que plus de 80 % d’adolescents délinquants sont privés de pères, ou de mères… vivant sans repères…
Quand donc allons-nous voir fonctionner… chez nous… une bonne pratique de gestion de conflits de ruptures conjugales des parents de ces enfants ?
Depuis plus de 30 ans, le »Modèle de Cochem » permet, actuellement, d’approcher les 100 % de »Résidences alternées » (Loi française du 4/3/2002)…
Alors, c’est pour quand une telle bonne pratique chez nous ?
C’est exactement ce qu’ils m’ont fait , juge , ass sociale , gendarmes .Sans aucune certitude de rien juste des allégations fausses et mensongères de la mère avaient suffit à m’enlever mes enfants .Mais le mensonge prend l’ascenseur et la vérité les escaliers, maintenant je m’en suis sorti et la justice me donne raison …. mais à quel prix !!! je suis usé , fatigué et meurtri. J’ai failli perdre une de mes filles qui ne supportait plus de ne plus me voir. Mes enfants m’aiment et me l’ont démontré au cours de mon calvaire et j’en suis fier .
L’amour est plus fort que la bêtise et du haut de leur 8 ans à l’époque, elles ont étés dignes par leur comportement. L’avenir est incertain mais je ne pardonnerai jamais tout ces protagonistes de l’horreur .
———————- un papa marqué à vie ——————————–
Priver abusivement un enfant d’un de ses parents est une maltraitance psychologique
C’ est très touchant!Tout ces enfants doivent vous dire merci d’ avoir fait cela!
Prévenir la rupture des couples, lire l’article « Familles en décomposition : qu’en pense les religions ? »
La souffrance dans l’abandon institutionnalisé
