l’EXCLUSION PARENTALE
Les prémices de l’aliénation parentale : Mise en place du scénario de rupture du lien enfant-parent au travers du réflexe aliénant
[enfant-otage (avant enfant-soldat)]:
(au parent-séparé) « Tu sais : on est en prison tous les deux ! »
[parent-gardien excluant]:
« Concernant les visites d’Elliot, j’attends de mon côté (…) pour avancer dans nos discussions (…) et peut être reprendre les visites d’Elliot (…). Il est dommage d’en arriver là, surtout pour Elliot. »
[parent-à-bout](à qui veut l’entendre):
Notre enfant lui, est-il privé de voir son parent ? Oui, Pourquoi ? Quel intérêt est-ce que cela ? Est-ce l’intérêt de notre enfant ? // Rendez-lui son parent !
Parents aliénants, parents calomniés, enfants-otages, entourages neutres voire inducteurs, citoyens ignorants, professionnels pas assez formés, procédures longues, inerties des habitudes, … Une urgence de taille :
Qui reste-t-il pour « peut-être » maintenir l’enfant dans ses droits et lui rendre son parent, apaiser ses souffrances et pérenniser sa construction psychologique ?
Charte des droits fondamentaux de l’Union Européenne / Droits de l’enfant / Article 24-2 : « Dans tous les actes relatifs aux enfants, qu’ils soient accomplis par des autorités publiques ou des institutions privées, l’intérêt supérieur de l’enfant doit être une considération primordiale.«
Par l’étude de ce cas concret nous allons confirmer que le respect du droit de l’enfant à voir ses deux parents est fondamental ; que du non-respect de ce droit découle une souffrance réelle du parent mais surtout de l’enfant (et donc une forme de maltraitance) et ainsi confirmer que le droit de l’enfant doit subroger celui des parents individuellement.
Est-il moral, légal, et sain (mentalement) d’utiliser un enfant …
- 1) comme un otage (prémices de l’aliénation / rupture du lien enfant-parent -1- « enfant-otage« ) ?
- 2) puis par la suite, comme une arme (aliénation proprement dite / le rejet du parent non gardien -2- « enfant-soldat« ) ?
Soit en conscience pour obtenir un avantage dans une négociation qui intéresse le couple conjugal en phase de séparation et/ou soit inconsciemment dans la mise en place subtile du scénario d’aliénation parentale ?
- Non, ca n’est pas légal car cela viole les droits de l’enfant (cf. réf légales) ;
- Non, ca n’est pas moral car cela fait souffrir un enfant (cf. souffrance associée à la séparation du lien – Dr Jean-Marc Delfieu – Expert Cour d’Appel de Nîmes ; et aux manifestations de l’AP – Dr Paul Bensussan – Expert Cour de Cassation, conférencier à l’ENM);
- Non ca n’est pas sain (mentalement) car cela conduit dans sa seconde phase à une destruction psychologique de l’individu lors de l’Aliénation Parentale proprement dite ;
- oui, il s’agit là pour le parent aux réflexes aliénant, d’une attitude perverse au sens soit moral (si on considère le parent aux réflexes aliénant parfaitement conscient) et/ou au sens pathologique (si on lui reconnait une part inconsciente – et notamment si on admet, comme pour toute maltraitance à enfant, qu’il peut découler d’un réflexe auto-reproductif…
L’EXCLUSION PARENTALE
(/Aliénation Parentale)
un drame en 2 actes :
(1) ISOLEMENT PUIS (2) ALIENATION
L’Aliénation Parentale (AP) peut-être décomposée en 2 phases (pendant laquelle la maltraitance psychologique s’exprime sous 2 formes différentes : souffrance morale et véritable mais consciente puis souffrance pathologique).
Phase 1 – Isolement(Parental Isolation)(prémices de l’aliénation) | Phase 2 – Aliénation (Parental Alienation) |
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exclusion via la rupture du lien parent-enfant par le parent aux réflexes aliénants | Exclusion via le rejet du parent non gardien par le parent aliénant via l’enfant aliéné | |
Enfant | Enfant isolé | Enfant aliéné (EA) |
(Enfant-otage) | (Enfant-soldat) | |
Parent gardien | Parent aux réflexes excluants / aliénants | Parent aliénant |
Parent « pervers » (déni de la souffrance) | ||
Parent non gardien | Parent isolé | Parent aliéné |
(Parent-à-bout) | (Parent « perdu ») / « zombie », « desperados », « suicidé », « en souffrance pathologique » | |
Recherche prioritaire des Symptômes sur les sujets suivants : | Dans l’attitude du parent-isolant (Symptômes pervers : ex. absence d’empathie vs souffrances refoulées de l’enfant) – en priorité par rapport à l’enfant-otage | Dans l’attitude de l’enfant-soldat (Symptômes des Manifestations (~syndrome) de l’Aliénation Parentale ou SAP) – en priorité par rapport au parent aliénant |
(L’Aliénation/ Exclusion Parentale, un processus en 2 étapes)
- 1) ISOLATION (Les prémices de la perversité (consciente ou partielle) du parent gardien / exclusion via la rupture du lien parent-enfant par le parent aux réflexes aliénants) -> La séparation du lien parent-enfant qui constitue une véritable souffrance pour l’enfant (Dr Jean-Marc Delfieu, Expert Cour d’Appel de Nîmes).
- 2) ALIENATION (Les manifestations de la pathologie de l’enfant / exclusion via le rejet du parent non gardien par le parent aliénant via l’enfant aliéné) : L’aliénation proprement dite quand on fait référence au Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP) (et pour être plus exact aux Manifestations de l’Aliénation Parentale car plus fréquemment une partie seulement des symptômes du SAP sont suffisants pour parler d’Enfant Aliéné (EA).
Le diagnostique devra donc porter en premier lieu essentiellement sur le comportement (ou pathologie) du parent aux réflexes aliénants (quand le scénario est à ses prémices – cad lors de la première phase) et a contrario essentiellement sur la pathologie de l’enfant lorsque les manifestations de l’AP sont facilement constatables chez l’enfant. Il s’agit de bien comprendre que lors de la première phase, les manifestations de la souffrance pourtant bien réelle de l’enfant (otage) lors de la rupture du lien peuvent échapper à un oeil non averti ; tandis que lors de la seconde phase, il est plus difficile de constater l’attitude exclusive ou le dénigrement du parent (aliénant), qui pour s’en défendre invoque une volonté propre de l’enfant (soldat) de ne pas vouloir voir l’autre parent (aliéné) et qu’il considère lui être étrangère.
Le processus de diagnostique devrait donc s’intéresser :
- Phase 1 (Isolement Parental) -> Au comportement du parent qui favorise la séparation du lien (utilisation de la calomnie, perversion morale ou pathologique, antécédents généalogiques) ;
- Phase 2 (Aliénation Parentale) -> Au comportement de l’enfant (cf. symptômes de l’enfant aliéné)
Nous allons dans cette analyse prioritairement nous intéresser à la partie la moins étudiée (par manque de témoignages) s’agissant du réflexe aliénant qui pousse le parent à isoler l’enfant de son autre parent. C’est pourtant une des plus essentielles car plus tôt, on diagnostique le comportement du parent, mieux on prévient la survenance de la pathologie de l’enfant.
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Par l’intermédiaire de l’étude de ce cas concret, nous allons procéder à l’analyse des sujets suivants :
- Un problème sanitaire majeur pour la santé psychique de l’enfant.
- La rupture du lien enfant-parent est déjà à elle seule, une souffrance destructive pour l’enfant
- Les difficultés de l’appareil judiciaire pour discerner la calomnie et mettre en place de mesures préventives visant le respect des droits de l’enfants sur la durée…
- Le rôle de la perversion (morale ou pathologique) dans le réflexe aliénant
- La seconde phase du processus d’exclusion parentale conduisant aux Aliénation Parentale proprement dite (manifestations de l’AP ou SAP)
Et aborder ce cas pratique (les prémices de la mise en place d’un scénario d’aliénation) également sous l’angle de témoignages brutes (*écrits du père – permettant d’appréhender les « acteurs » dans le contexte) :

L’Exclusion parentale s’articule autour d’acteurs qui sont parties prenantes dans les souffrances induites dans le déroulement du scénario. Ils peuvent (comme l’enfant) être de parfaites victimes sans moyen de défense ou avec très peu de moyens (le parent cible) ; face à l’attitude calomniatrice du parent pervers, puis à son travail de sape (aliénation). Si les grands-parents du parent cible eux, sont victimes collatérales de cette exclusion, les grands parents du parent aliénant peuvent avoir une activité inductrice (ou de non assistance à l’enfant en souffrance). Cette activité d’influence est d’autant plus subtile qu’elle peut opérer de manière transparente (sinon sous-estimée et en tout cas très difficile à déterminée). Les professionnels des affaires familiales étant peu (voire pas) formés à l’exclusion parentale et à son processus : ils ne peuvent que très difficilement déceler la calomnie, appréhender l’importance de la souffrance de l’enfant séparé, estimer les effets du dénigrement de l’image du parent dans le processus aliénant et ses conséquences dans la destruction psychologique de l’enfant, … . Au point, qu’ils deviennent de fait un outil au service du parent aliénant pour en tout premier lieu, lui permettre d’isoler l’enfant de son autre parent…
L’ENFANT (« enfant-otage » puis « enfant-soldat ») / (archives)
L’enfant séparé exprime dans un premier temps ses souffrances de manière consciente mais sans recevoir (évidemment) l’empathie du parent pervers (qui agit par déni ou clivage – affirmant souvent même un rôle de protecteur // L’importance de savoir discerner la calomnie est donc cruciale pour déterminer dans quel cas situer le comportement accusateur). Cette souffrance s’intériorise progressivement. Quand elle est renforcée par un dénigrement du parent non gardien, elle transforme l' »enfant-otage », en « enfant-soldat » dont les symptômes sont dès lors facilement identifiables et relèvent de l’Aliénation Parentale.
Il faut commencer par inverser le processus en commençant par s’attaquer aux causes : c’est à dire à enrayer la séparation du lien enfant-parent (isolement du parent non gardien, refus de droits de visites, enlèvement, … ) puis à limiter le travail de sape du parent aliénant. A défaut, les dommages psychologiques peuvent être très destructeurs et irréversibles…
![]() L’enfant-otage = isolé avant L’enfant-soldat = aliéné |
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LE PARENT PERVERS (calomniateur puis aliénant) / (archives)
Le parent pervers vise dans un premier temps l’isolement de l’autre parent vis à vis de l’enfant. Il procède le plus souvent, par calomnie pour obtenir des résultats rapides et efficaces, manipulant l’institution judiciaire qui applique un principe de précaution plutôt qu’un principe de protection et qui n’est pas ni formée pour déceler la calomnie efficacement, ni informé de ce qu’est l’Exclusion Parentale. Donc muni du blanc seing de la décision judiciaire provisoire ou définitive, le parent pervers est en plus renforcé dans sa légitimité, et donc dans le déni du sadisme par lequel il opère. Outre d’obtenir des décisions judiciaires qui vont pouvoir l’assister dans sa maltraitance, il a sa disposition d’autres moyens tout aussi efficace : le refus pure et simple du droit de visite par NRE (Non Représentation de l’Enfant : 25 000 plaintes par an avec 4% qui aboutissent à une condamnation ) ou par EGV (Eloignement Géographiques Volontaires) ; qui sans astreintes financières automatiques ne trouvent aucune issue à leur résolution (cf mesures préventives contre l’Exclusion Parentale). La voie est ouverte ensuite pour opérer le dénigrement de l’image de l’autre parent et renforcer l’enfant dans l’Aliénation Parentale.
![]() Le parent calomniateur avant le parent aliénant ![]() ![]() |
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LE PARENT CIBLE (« parent-à-bout » puis « parent-perdu ») / (archives)
Le parent séparé est complètement désarmé du fait qu’il ne comprend pas la situation. Il n’est pas non plus capable, la plupart du temps, de mettre des mots sur ce qui arrive. La souffrance ne trouvant pas d’échappatoire constructif (d’autant que même en connaissance de cause, c’est un parcours du combattant), les débouchés sont tragiques et inefficients (voire aggravent le problème) : violence contre soi ou les autres, enlèvement (les « desperados » : inversant les rôles aliénants/aliénés mais l’enfant demeure l’éternelle victime), intériorisation en pathologie psychiatrique ou maladie psychosomatiques (deuil non réussi d’un enfant vivant), etc… Et rarement finalement (vu les difficultés du problème) en actions sublimées, constructives et efficaces (sinon opérantes)… Mais cela pourrait être largement résolu en restaurant la confiance des victimes de l’exclusion dans leur système judiciaire..A commencer par l’application effective des droits fondamentaux des enfants à voir leurs deux parents…(Tout le problème est de savoir quand ce système judiciaire sera capable de quitter l’inertie et de s’intéresser à un problème aujourd’hui quasi-sanitaire) [En attendant, aux parents exclus, de suivre ces conseils : « quoi faire ?« ]
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L’ INSTITUTION (ou les professionnels) / (archives)
De plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer les dysfonctionnements en interne. La méconnaissance du phénomène d’Exclusion Parentale à travers ces deux étapes que sont l’isolement parental et l’aliénation parentale, rend inefficiente la capacité du système à solutionner le problème. En plus de devenir au service du parent manipulateur, les solutions deviennent même inductrice (visites en milieu médiatisé du parent aliéné, par exemple). Le manque de formation est probablement la principale cause du développement de ce que l’on peut considérer aujourd’hui comme un problème sanitaire grave (6% à 13% des enfants du divorce sont concernés)
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LES GRANDS PARENTS (inducteurs, manipulateurs ou au contraire, victimes collatérales) / (archives)
Le grand-parent du parent cible est une victime collatérale. Mais le grand-parent du côté du parent aliénant peut avoir au contraire un rôle influent (matriarche / patriarche) et inducteur : d’autant plus efficace qu’il est discret puisque difficilement décelable, sauf à s’intéresser à la généalogie du parent aliénant. L’aliénation parentale est une maltraitance psychologique et peut donc s’inscrire dans un processus auto-reproductif (parfois même une quasi-« tradition » familiale)
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LES NOUVEAUX CONJOINTS (ex. les « nouvelles femmes ») / (archives)
Le nouveau conjoint (du parent cible), vient parfois s’ajouter aux acteurs du scénario. Il peut être alors d’un très grand soutien face à la détresse du parent aliéné. Son rôle peut parfois être particulièrement actif. C’est le cas par exemple du mouvement des « nouvelles femmes » organisées en association pour défendre leur « homme » dans la procédure de divorce…
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(*) A propos de la souffrance de la séparation
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(*) A propos de la régulation du risque aliénant
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(*) A propos des droits de l’enfant et des devoirs du parent aimant :
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(*) A propos de l’utilisation abusive de la calomnie visant l’exclusion parentale :NB : « Si vous n’êtes pas en mesure de qualifier le danger, alors vous ne pouvez pas mettre en oeuvre un plan qui permet de réguler le risque et mesurer l’évolution de la situation. En confondant un principe de précaution avec le principe de protection et en n’étant pas même en mesure de qualifier avec précision ce risque, vous êtes probablement victime des effets de la calomnie… « PROTECTION <!> PRECAUTION |
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>> Cliquez sur le lien suivant pour accéder aux références de la loi, de la jurisprudence et des moyens préventifs contre l’aliénation parentale :
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Il y a pire que l’aliénation parentale ! C’est le »Syndrome de Médée » qui est la forme aggravée de l’aliénation parentale.
Il faudrait déjà que les médecins puissent constater le »SAP » ou le »Syndrome de Médée’‘… et pour cela, il faudrait déjà que nous leur disions nos souffrances…
Ces médecins pourraient / devraient alors alerter le »Service de la Santé Publique » de cette pandémie…
»En résumé, le syndrome de Médée (forme aggravée du SAP) est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son conjoint de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.
Ce concept ajoute des dimensions psychopathologiques importantes à la notion de syndrome d’aliénation parentale : utilisation de l’enfant pour se venger, deuil sadique d’amour, retour de rites sacrificiels chez des sujets avec trouble de la personnalité confrontés à des relations d’amour dramatiques.
Les aspects cliniques et légaux du syndrome sont analysés dans le but de fournir des clés valables de décision médicale.
Le syndrome de Médée est une réaction destructive très grave avec impact négatif majeur sur les enfants et les adultes.
Une nouvelle législation est nécessaire afin de décourager ce comportement et de mieux protéger les victimes. »
Revue Médicale Suisse : http://rms.medhyg.ch/numero-236-page-340.htm
A propos du syndrome de Médée, suivre le lien suivant …
« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).
«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )
Séparée depuis mai 2012, au départ en garde alternée pour mes deux derniers (16 ans et 12 ans) ma fille ainée qui a 18 ans est tout de suite devenue le ptit soldat de son père… Résultat depuis un an et demi de séparation j’ai tout perdu… c’est la descente aux enfers et maintenant mon ex est parti refaire sa vie à 120 kms…. Avec une situation financière aisée il lui a été très facile d’acheter mes enfants avec des cadeaux somptueux et des promesses plus belles toujours et encore …. Résultat : mes trois enfants ont volontairement opté pour un train de vie confortable sans trop de règles et contraintes chez leur père et sa nouvelle compagne! La maman fauchée est devenue la pestiférée… une mère lamentable d’après l’avocat de mon ex lorsque j’ai expliqué que j’étais dans l’incapacité de prendre mes enfants aux petites vacances à cause de gros soucis financiers et un compte bancaire bloqué….mais aussi parce que psychologiquement je suis complètement détruite et anéantie….
Oui, après 15 ans on ne peut plus rien faire. Le pervers a les mêmes droits que le parent « normal ». On peut quitter son pervers..mais lui ne vous quitte pas et n’hésite pas à démolir l’enfant. Comment pourrait-il en être autrement ?. adulte maintenant il est démoli, alcoolique et agressif avec celle qui l’aime pour lui-même depuis toujours. On construit, le pervers dé-truit.. Reste-il quelque chose de l’amour, des valeurs données par maman et les grands parents… j’en doute. Une souffrance, sans fin..pour les deux. Mais je suis seule à le voir.. ET on continue à dire qu’il faut voir les deux parents comme si le pervers pouvait devenir un super parent parce qu’il a été géniteur… et cela on en parle très peu.. voir pas du tout. oui, aliénation parentale, mais pourquoi laisse-t-on faire ? que peut la loi ? on a été trompée sur le conjoint et quand l’enfant est là on laisse tomber le masque.. et le parent pervers a autant de droits que l’autre. Non assistance à personne en danger… et maman détruite en même temps que le fils qui en a fait son héros (le pauvre bien sûr ! c’est aussi ainsi qu’il a attrapé la maman et est devenu alcoolique… merci la vie. Souffrance sans fond et sans fin
Témoignage du Dominique W. (16/10/12) : « Bonsoir Messieurs, je peux vous dire que cela arrive aussi a des mamans. Je ne vois plus mes 3 filles depuis le 15 juillet 2007…Je suis « rejetée » depuis de nombreuses années…Ma grande qui a actuellement 23 ans a demandé à me voir en 2010… la semaine suivante, je suis accusée de vol qui aurait été commis 1 mois auparavant… Comme quoi, le parent manipulateur fait tout pour détruire l’autre parent. Une fois que les enfants sont devenus des ados, on ne sait plus rien faire. Courage à tous. »
Puisque vous manquez de temoignage sur le reflexe aliénant, voici le mien. Je ne ferais que témoigner d’un cas, celui qui veut consciement enliser mon fils. Pour l’instant je le soutient car il a encore un peu accès à moi, son papa, dernier adulte en qui il a encore confiance. J’y ai mis mon energie entiere, sacrifié le reste.
Pour faire de la prévention, je dirais avec beaucoup de conviction que:
Une maman ayant subit alors qu’elle était enfant, la perte d’un parent ou/et un rejet d’un parent vers une institution ou de la famille plus éloignée, pour peu qu’elle eut vécu encore des abandons amoureux, des IVG et peut être des rejets professionnels.
Cet enfant devenu parent qui croit ne plus pouvoir être aimé ou ne pas pouvoir entretenir l’amour de l’autre, peut présenter un terrain aliénant.
Je crois qu’on a affaire a une pathologique perte de confiance en soi. Mais qui ne se voit pas si le parent est pervers.
Dans notre cas, le parent aliénant ayant subi tout ce que je viens de décrire, est lui même issu d’un parent coupable de maltraitance sur des humains traités comme des animaux et envers des animaux traités comme un vieux meuble.
Je crois donc que l’on peut évoquer le narcissisme
Un conseil bien humble mais qui servira d’autres causes je l’éspère:
une personne n’a jamais appris aimer et qui n’a pas de facultés autodidacte en la matiére, peut être rééduquée que si elle se l’avoue et qu’elle est prête à en parler.
Sinon, surveillez bien vos enfants et ne les laissez pas s’éloigner.
Si vous n’êtes ni pervers ni trop narcissique et que vous voulez sauver votre enfant, vous devez leur apprendre l’amour en compenssant, en y mettant double dose.
Ne jamais baisser les bras.
comme on peut faire pour respecter les droits de visite et hebergement des enfants?CELA PEUT ALLER JUSQUA L’EXCLUSION PARENTALE ET JE TROUVE QUE LA JUSTICE EST TELLEMENT LONGUE QUE LA SEULE CHOSE QUE ON OBTIENT C’EST QUE LES LIENS SOIENT TOTALeMENTS ROMPUS ET QUE IL N’ y a pas DE LOIS EFFICACE ACTUELLeMENT EN FRANCE POUR FAIRE EXECUTER CES DROITS ,CETTE CRUAUTE RESTE IMPUNI EN FRANCE ET LE PIRE C’est que l’enfant soUfre en silence car justement il n”a pas le choix et que il dois subir les ordre du parent gardien sinon il est puni; cest vraiment inadmisible que on puisse eliminer un parent de la vie d’un enfant sans rien faire.ALORS LA SEULE CHOSE QUE ON ARRIVERA A PROUVER QUE L’outre parent est aimant et que il ne merites pas que on l’exclu de la vie de son enfant sans raisons valables. ALORS LAISSONS FAIRE ENCORE IL FAUT VRAIMENT QUE CELA IL CHANGE ET VITE CAR IL Y A TROP D’ENFANTS DANS CES CAS ET LA JUSTICE EST IMPUISSANTE IL N’Y A PAS DE SOLUTIONS SAUF QUE LES GENDARMES AILLENT CERCHER L’enfant au domicile de l’outre parent.JUSTEMENT COMMME CELA N’.EST PAS PUNIE LES PARENTS GARDIENTS NE FONT RIEN ET CONTINUENT A FAIRE COMMME SI DE RIEN ETE.AUX EXPERTS, AU JUGES , aux avocats .Quand cettte propositions de lois va etre mise en vigueur; on est en retard par rapport a d’outres pays au secours
Je poste en 2015 et je peux vous dire que la situation n’a guère évoluée depuis.
Séparée depuis août 2013 suite à des violences, il n’aura fallut que 3 mois à mon ex mari pour réussir à aliéner totalement notre fille unique de 14 ans. Calomnie, diffamation, chantage affectif, chantage financier et bien sûr harcèlement à mon encontre pour me tenir éloignée, avec la bénédiction de l’entourage bien sûr, ces pseudo adultes bien pensant !
J’ai de suite saisie la justice : plusieurs plaintes pour non présentation d’enfant qui nous ont conduit devant un médiateur qui a eu ses mots pour moi « madame, il faut lâcher l’affaire, votre fille est ado ». Coup mortel pour moi, grande victoire pour lui.
En parallèle, dès les premiers signes du comportement déviant de mon ex mari, j’ai contacté la coordinatrice sociale de la gendarmerie qui a fait un signalement urgent au pôle social du conseil général qui a saisit le juge pour enfant qui a finit par rendre son verdict au mois de mars de cette année, soit 17 mois après mes premières démarches !! trop tard le mal est fait, il est ancré profondément dans l’esprit de mon enfant.
D’ailleurs toutes ces démarches auront été du pain béni pour cet homme aliénant (que je me refuse à qualifier de parent !) dans son processus de destruction du vrai parent aimant.
Aujourd’hui la justice est de mon côté et du côté de ma fille je devrais dire, les faits d’aliénation sont constatés, actés dans le jugement. Petite victoire !!
Lui, comme revanche, a coupé les ponts, je n’ai plus aucune nouvelle de mon enfant. Une fois de plus, il sort vainqueur !
C’est un drame dans notre famille et je me suis inscrite sur twitter pour faire passer un lien concernant une pétition Pour la reconnaissance de l’aliénation parentale en France. Je remercie tous ceux qui voudront bien la signer et la transférer au maximum.
voici le lien :
http://www.mesopinions.com/Pour-que-l-ali%C3%A9nation-parentale-soit-reconnue-en-France-et-que-la-justice-punisse-le-parent-ali%C3%A9nant-petition-petitions-1f0bdfb492e4fa09acfcd3288700039d.html
http://recitalienationparentale.wordpress.com/
Sur les maltraitances et les violences des enfants, Alice Miller a effectué un travail remarquable mais ignoré par la plupart des professionnels et des institutions qui préfèrent protéger les parents au lieu des enfants:
http://www.alice-miller.com
http://alice-miller.blogspot.com
Seule la mort ne devrait séparer un enfant de ses parents. Malheureusement, une poignée d’individus, les JAF s’obstinent à outrepasser la République et la Démocratie, en continuant d’ignorer tous les appels des pères, du législateur et du pouvoir exécutif. C’est l’Inquisition Matriarcale !
Dans l’attente d’un cadre législatif qui imposerait la méthode [1] aux autres tribunaux, il est intéressant de noter que les données neurobiologiques récentes démontrent la gravité de lésions cérébrales (et cardiaques…) durables chez des enfants (et adultes) pris au piège de longues procédures et donc de conflits persistants et entretenus ! ( Jean-Émile Vanderheyden, Neuropsychiatre )
______________________
[1] Le Modèle de Cochem du Juge Rudolph permet d’éviter l’installation de l’aliénation parentale… les enfants ont besoin de leurs 2 parents pour assurer leur bien-être ! C’est ce que les juges oublient avant tout…
Là, à Cochem, arbitre depuis 25 ans, Jürgen Rudolph, Juge de la Famille et des Tutelles aplanit plus qu’il ne juge et cela, de la manière la plus remarquable.
Voir les commentaires 11, 12 et 13 sur :
http://laviedeperes.over-blog.com/article-enfant-et-enjeu-au-sein-des-separations-1-55396509-comments.html#anchorComment
&
Pratique judiciaire de Cochem (Allemagne) – Par Benoit Van Dieren – Psychologue, expert auprès des Tribunaux.
http://www.co-mediation.net/index.php/component/content/article/37-le-systeme-judiciaire/55-pratique-judiciaire-de-cochem-Allemagne
Merci pour ce site, extrêmement informatif.
Je souhaite cependant rappeler qu’il existe des parents qui prennent l’enfant en otage tout en les rejetant. Ceci est le cas des enfants, victime d’abandon de famille, ou le parent non-gardien cré un isolement par l’absence physique et materielle. L’enfant est pris entre son désir de vouloir l’aimer et son profond ressenti d’injustice. Dans le meilleur des cas il fait le deuil de l’image du « gentil » parent et s’adapte à sa nouvelle réalité, car, il ne faut pas oublier: il existe aussi des parents qu’on ne peux pas aimer et avec qui on ne peux rien construire.
Bonjour,
Le sujet de l’aliénation est intéressant, je pense que nous sommes tous aliéné-e-s, a des degrés différents.
J’avais expérimentalement tenté des méthodes de dé-aliénation, ou plutôt des méthode de réveil de conscience, la j’ai un peu oublié mais j’en parle brièvement ici :
http://www.healcraft.fr/statut.php
Alors qu’actuellement le concept du syndrôme d’aliénation parentale est fortement débattu par nombreux professionnels, la réalité nous montre qu’il existe bel et bien de nombreuses situations où suite à une séparation, l’enfant est manipulé par un des parents afin qu’il ne veut plus avoir de contact avec l’autre parent. Même si certains experts débattent de la dénomination de ce mécanismes, en tant que professionnel du secteur on rencontre ce genre de situations beaucoup trop souvent. Les parents, tellement pris dans leur conflit conjugal ne se rendent pas compte à quel point ils causent du tort à leurs enfants.
Le parent « attaqué » perd son temps à démontrer son innocence, tandis que l’autre essaie d’organiser de plus en plus de témoignages….Entre temps l’enfant souffre et se trouve dans un véritable conflit de loyauté.
J’ai vu des cas où l’enfant a dû être hospitalisé en psychiatrie afin de protéger l’enfant contre la manipulation du parent.
Pour les professionnels du secteur il s’agit de désamorcer le conflit le plutôt possible avec une médiation. Au cas où une médiation s’avère impossible, les choses vont mal tourner pour l’enfant.
Il ne faut jamais oublier que ce n’est pas parce que le mari était un mauvais mari qu’il est forcément un mauvais père (et vice versa)
c’est pas toujours le cas car le juge des enfants qui ce sert de l’enfant handicapé et retardé pour l’éloigner de ça maman ce que je vis depuis 14ans .
ma puce souffre d’une malformation cardiaque et d’un retard mentale.
il y a 5 ans on a réduit mes droits de visite car elle n’a pas su s’expliquer qu’elle s’était fait mal en dormant avec ses anneaux dorsaux qu’elle avait suite à un fracture de la clavicule qu’elle s’était en luge avec l’école
j’ai récupéré sa soeur ça fait 8 ans mais pas ma puce.
là alors qu’elle vient de faire 18 ans, l’ase lui a fait signé un contrat jeune majeur pour encore pour décider à sa place et à la mienne.
Vraiment intéressant, bravo
Tres bien. Continuez votre effort.
Lisez notre site avec videos, links, blogs, facebook, etc: http://www.sos-sygapa.eu
Lisez egalement mes livres:
1) Droits Humains – Le mouvement des divorces.
2) Istoires de divorce (100 histoires vrais en Grece)
3) Explication scientifique pour le SAP – PAS. Textes scientifiques, etude de cas, romans).
Nicolas Spitalas. President SYGAPA (association pour la dignite des hommes et du pere). http://spitalas.blogspot.com
Merci ! Très joli blog et fort intéressant.
Je me suis inscrite aussi…
A bientôt.
Bonne journée.
Einna
Bonjour,
Joli site, je le référence !!!
merci de vous faire connaitre afin que nous échangions…
Et merci de mettre un lien en échange…
à bientôt
Lionel LOUIS
Enfant et enjeu au sein des séparations
http://laviedeperes.over-blog.com/article-enfant-et-enjeu-au-sein-des-separations-1-55396509-comments.html#anchorComment