L’aliénation parentale consiste à éliminer un ou plusieurs parents (mère, père, grands-parents…) de la vie d’un enfant. Cette attitude qui commence par détruire les souvenirs, l’image et la place d’un parent dans la vie d’un enfant est une maltraitance psychologique, dont les effets destructeurs perdurent à l’âge adulte…
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Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)
Du latin alienatio, dérivé d’alienare et d’alienus (« étranger« , « qui appartient à un autre »)
– Abandonner, renoncer volontairement à [Figuré]. Éloignement que des personnes ont les unes pour les autres. Aliénation des volontés, des esprits.
– Asservir, exploiter quelqu’un. Synonyme inféoder
– (Médecine) Égarement d’esprit, folie. Aliénation d’esprit ou aliénation mentale
a été défini et décrit en 1986 par Richard Gardner (Etude scientifique portant sur 700 cas pendant 12 ans) Il s’agit d’un désordre psychologique qui atteint l’enfant lorsque l’un des parents effectue sur lui, de manière implicite, un «lavage de cerveau» visant à détruire l’image de l’autre parent.
Selon la description donnée par R. Gardner, quatre critères permettent de diagnostiquer l’action du parent aliénant :
- l’entrave à la relation et au contact;
- les fausses allégations d’abus divers;
- la réaction de peur des enfants;
- la détérioration de la relation depuis la séparation.
Vivre sans son enfant ? C’est une amputation psychologique au quotidien
Ana Milheiro, Présidente de SOS Privé de Maman et porte parole du Collectif Parents privés d’enfants, à propos du problème de l’aliénation parentale : »Les enfants se retrouvent tantôt à refouler leur besoin d’amour, refouler l’amour qu’ils ont pour leur parent. Et ils sont des fois amené à haïr (comme l’ont fait les fascistes), l’autre parent. Ca les empêche de se construire et ca peut les amener à la destruction, à la paranoïa, à des crises d’angoisses qui peuvent être fatale, à des comportements totalement anormaux ou sinon dans le meilleur des cas, à porter la haine dans leur coeur qui va les empêcher de vivre une vie normale, de constituer une famille, d’avoir eux-mêmes des enfants. »
Richard Gardner a décrit huit manifestations chez l’enfant (résultant de la campagne de rejet et de diffamation) :
- 1 > le parent rejeté est complètement dévalorisé, quoique l’enfant soit incapable de motiver cette dévalorisation par des exemples concrets.
- 2 > Rationalisation absurde : à l’appui du rejet, l’enfant invoque des motifs dérisoires ou sans rapport avec la réalité.
- 3 > Absence d’ambivalence normale : le parent rejeté est décrit comme exclusivement mauvais, le parent aliénant est décrit comme bon exclusivement.
- 4 > Réflexe de prise de position pour le parent aliénant, lorsque les deux parents sont présents, et même avant que le parent rejeté se soit exprimé.
- 5 > Extension des hostilités à toute la famille et à l’entourage du parent rejeté (grands-parents, amis, proches) qui sont à leur tour rejetés avec autant de force.
- 6 > Affirmation d’une « opinion propre » artificielle : il s’agit en fait de l’opinion du parent aliénant, que l’enfant est conditionné à présenter comme venant de lui.
- 7 > Absence de culpabilité du fait de la cruauté supposée du parent adversaire.
- 8 > Adoption de « scénarios empruntés », qui ont été fabriqués par le parent manipulateur : l’enfant les reprend à son compte.
Paul Bensussan (expert psychiatre auprès de la cour de cassation), à propos de l’aliénation parentale : C’est le plus éprouvant de ce qui nous est donné à voir en matière d’expertise : c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.
Paul Bensussan : Cette pathologie redoutable et encore méconnue ne menace pas que le parent rejeté : elle sape le fondement même de l’identité et de la personnalité de l’enfant, compromettant même, lorsque le stade de sévérité va jusqu’à la rupture durable, son « droit élémentaire d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents », droit qui lui est normalement garanti par l’article 9 de la Convention internationale des Droits de l’Enfant, entrée en vigueur le 2 septembre 1990.(source : paulbensussan.fr )
Est-ce que ce syndrome est comparable à un embrigadement au sein d’une secte ? Paul Bensussan : « C’est totalement ça. En fait, on pourrait se demander quelle est la différence entre un banal conflit et ce syndrome d’aliénation parental. Il existe deux grosses différences : dans le cas du SAP, l’enfant est totalement sous l’emprise de l’un de ses parents, à tel point qu’il a une vision du monde sectaire : tout est blanc ou noir. «
Plus d’infos sur le P.A.S (thérapies, bibliographie, …)
Témoignage de François : François est un adolescent de 15 ans. Cela fait trois années de suite qu’il ne peut terminer son année, sans être rejeté par les enseignants ou exclu de l’établissement. C’est que dans ses relations avec les adultes, il peut se montrer tout autant fin et sensible, qu’insultant et méprisant. Cette violence qui le taraude a certainement à voir avec son vécu familial.
« Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…)» L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer…
« Couple déchiré, enfant otage » (Olivier Pighetti)
… La suite du reportage ici…
(+ d’infos sur la perversion, parent-pervers)
Couple déchiré, enfant otage (Olivier Pighetti)
« Ils se mettent à hurler quand leurs pères leur rendent visite, déversent des flots d’injures sur leurs mères qu’ils ne veulent plus voir, ou frappent parfois les uns ou les autres sans raison. Des enfants déchirés par le divorce (…)
Il s’agit de la manipulation d’un enfant par son père ou sa mère, afin de transformer l’autre parent en un être néfaste et détesté. Une forme de soumission inconsciente et forcée similaire à ce que l’on retrouve dans les sectes ; l’enfant devient alors un outil de guerre pour détruire l’ex-conjoint (…) »
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* A quoi ca ressemble (concrêtement) une manipulation d’enfant ? Ici, 2 exemples de manipulation (enregistrement téléphonique) 1 père / et 1 mère
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« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père»(…).
L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…
« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).
« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).
L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique
FICHE PRATIQUE
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Comment renouer le lien parental avec un enfant aliéné/manipulé et devenu adulte ?
(…)
[ci-contre]
« Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés »(…).
Chère Maman, Cher Papa,
N’oubliez jamais que je suis l’enfant de vous deux.
Maintenant, vous ne vivez plus ensemble mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre …
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source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/10/02/les-enfants-detruits-par-lalienation-parentale/
Ma compagne étrangère a quitté le domicile avec l enfant. 11 mois sans le voir, privé de deux anniversaires et maintenant je le voie seulement 3h un samedi sur deux dans un lieu de rencontre médiatisé. Je précise que mon ex compagne est sans papiers
c’est l’ETAT Français qu’il faut condamner !!!
je suis un papa qui a eu la garde exclusive de ses trois filles après expertise psy demandée par madame qui m’accusait de violence et de fiats imaginaires qu’elle a reconnu facilement devant le psy d’ailleurs en se justifiant que la fin justifie les moyens. Elle a révélé un inceste dont elle se dit victime (mais je ne la crois pas) à ses filles expliquant son homosexualité…
Je me méfie des bénéfices secondaires sur ce genre d’allégation. Elle a fait des tentatives de suicides très mises en scène et cela a été un tournant pour nos filles qui ont vu hélas un acte d’amour dans ces mises en scène…
Les vieilles techniques fonctionnent bien malheureusement.
Elle a refait sa vie avec une femme (enfin, il y en a eu plusieurs entre temps) et nos filles se sont séparées de moi pour vivre avec ce nouveau couple de femmes en mentant à tout leur entourage sur la nature de cette relation. Elles en ont honte, de peur que ça rejaillisse sur elles.
Elle me haïssent ainsi que leur frère que j’ai eu avec ma seconde épouse. Je me suis toujours positionné comme contre l’homosexualité quand elle détruit un couple hétéro comme le notre. ( c’est comme ça que j’ai divorcé, l’infidélité de cette sorte est destructrice)
Il y a un rejet de ma Femme qui a été exemplaire et tendre sans rien changer après la naissance de notre fils tant elle les avait adoptées durant les 4 ans de garde
j’ai laissé mes filles voir leur mère en dehors de la prescription du Juge. Par respect. Idiot que j’ai été.
Aujourd’hui je suis l’objet par les deux ainées de reproches imaginaires, de faits inversés, et d’une réécriture de l’histoire et des actions en ma défaveur systématique. Je ne suis qu’une pompe à fric et ma souffrance est indicible. J’était papa poule, j’étais papa, je ne le suis plus.
Tout cela a tué un père, a tué une fratrie, a tué l’amour simplement. D’ailleurs, je ressens une cruauté chez mes filles et un handicap affectif majeur. Je suis inquiet et je ne peux plus rien faire, elles sont majeures.
Je suppose n’avoir pas été parfait, avoir dit un peu trop de vérités blessantes sur leur Mère au moment où elle les torturait, les insultait et les renvoyait à pied chez moi parfois pour les punir de vivre avec moi à leur demande ou les mettait en danger en roulant à fond en interdisant les ceintures de sécurité….
Je reconnais de ma part la violence des mots parfois au vu des manipulations et des dégâts sur les enfants, mais je me demande comment j’aurais pu ne pas réagir en honnêteté et spontanéité.
Maintenant, elles veulent me faire payer l’abandon ressenti par leur Maman bien que j’ai laissé le lien continuer entre elles quand je pouvais le briser…
Avec les pervers, il faut être dur, je ne sais pas l’être, mais je sais souffrir injustement.
je pense que je dois mériter cette souffrance cet abandon, cette perte d’amour. Dans ce cas je m’en veux si, par amour, j’ai perdu mes filles, si je les ai perdues pour elles-mêmes en étant sincère et franc.
Je ne peux que me raccrocher aux témoins directs de cette époque qui s’éloigne et qui me rappellent aux réalités quand mes filles me plongent dans le doute.
Je ne conseille rien à personne, j’ai échoué sur toute la ligne, on ne peut rien contre les pervers sans remords.
Amazon
Je suis papa de 4 garçons, dont trois d’un premier mariage. Il y a 11 ans, je divorçais de ma première épouse. Après plus de six années de garde alternée, mes trois fils sont partis les uns à la suite des autres. Aujourd’hui, malgré un long combat avec ce qu’on appelle la « justice », cela fait plus de 4 ans que je n’ai plus un seul contact avec eux.Pourtant ils vivent à quelques kilomètres de chez moi. Comment faire pour continuer à vivre sereinement sans être constamment pris dans des tristesses insupportables ? Heureusement, ma nouvelle épouse et mon dernier petit garçon (Anatole) me remplissent de bonheur. Ce n’est pourtant pas suffisant! j’ai donc décidé, vu le nombre de papas abandonnés et sans cesse en augmentation, de partager mon expérience en montant un spectacle sur ce sujet.
Ci-dessous tous les renseignements concernant cette création. Il y a également une petite vidéo qui vous donnera un aperçu de notre travail.
Une vidéo vous donnera un aperçu du spectacle : https://www.youtube.com/watch?v=TI2BATXgWx8
Lors de ma dernière représentation une jeune enseignante, qui ne voyait plus son papa depuis 10 ans, est rentrée chez elle et a posé sa main sur le téléphone…première victoire!
Bien à vous
Johan TAMBOUR
Je suis une grand-mère en souffrance.
Nous voyions nos petits enfants très régulièrement.
Ma fille s’est séparée de son compagnon en décembre 2011. Une garde alternée a été mise en place.
Pendant 6 mois nous avons eu les enfants à garder au moins 2 fois par semaine.
Puis à partir de septembre 2012, nous sommes devenus des grands-parents nocifs, et en 3 ans nous n’avons eu la visite (jamais la garde) de nos petits enfants que 4 fois en présence de leur mère.
Notre ex-gendre (que mon époux connaissait par ailleurs avant qu’il ne fréquente notre fille) conscient de la situation nous confie les enfants 1 jour et une nuit à chaque vacances scolaires. (soit 5 à 6 fois par an et ils habitent à 20 kilomètres et non pas au bout du pays)
Par ailleurs notre fille a rencontré son compagnon actuel en août 2012 (pour lequel nous sommes également nocif et indésirable bien qu’il ne nous ait jamais vu…).
Elle dépose plainte sans arrêt contre son ex pour mauvais traitement : (vêtement des enfants ne convenant pas, mauvaise éducation… Un jugement a été rendu : il maintient la garde alterné, condamne notre fille aux dépens et précise que compte tenu de son comportement (effet psychologique) néfaste pour le enfants, si ce comportement persiste la garde sera confiée à leur père.
Rien n’y fait, elle a fait appel du jugement et continu à dénigrer le père « il ne vous aime pas » est devenu « il vous aime mal », les grands parents : paternel (injures que je n’ose écrire), nous mêmes : méchants, égoistes, nocifs et j’en passe, sa soeur (si elle ne cède pas à ses demandes (tu es une mauvaise soeur).
Ma fille aînée (mère des enfants) et la cadette n’ont que 13 mois d’écart et ont reçu la même éducation.
Ma fille aînée ne semble pouvoir vivre que dans le conflit et dans une position de victime : elle se décrit mal aimée (je suis sensée l’avoir jetée par terre à la naissance), pas protégée, vétue de haillons et mal chaussée…
Elle a dit qu’elle nous confirait les enfants si nous cessions toute relation avec son ex-compagnon et d’autres personnes qu’elle trouve nocives.
Nous sommes soumis a un chantage, mais nous n’avons pas cédé.
Les enfants âgés maintenant de 8 et 6 ans nous réclament.
Nous n’avons pas voulu agir par voie d’avocat afin de ne pas mêler les enfants à une situation déjà difficile pour eux.
Toute discussion est impossible car elle a toujours un nouvel argument pour expliquer son comportement.
Nos relations ont toujours été difficiles, mais jamais je n’aurai imaginé que son comportement soit ainsi.
D’un coté elle cherche à tout détruire, et viens de m’envoyer un cadeau de Noël (par le biais de sa soeur)…
Je culpabilise, j’ai fait une dépression, je me dis que j’ai du rater quelque chose.
J’essaye de comprendre sans succès, MAIS j’ai surtout peur pour le devenir de nos petits enfants : ma petite fille souffre mais semble faire la part des choses. Par contre mon petit fils est suivi, il souffre du sentiment d’abandon (ma fille dit que c’est la faute à la famille de mon ex gendre (divorce des parents), et prend parti pour sa mère qui lui serine qu’elle est malheureuse dès qu’il part chez le papa.
Compte tenu que la procédure d’appel est en cours, je souhaiterai savoir si de mon coté je peux solliciter une médiation familiale ( mais je doute que ma fille accepte et que mon époux participe (il est concerné mais pense que le temps arrangera la situation (cela fait 3 ans et rien de positif …).
Bonjour,
J’ai subit l’aliénation parentale, ma mère était aliénante et elle l’ai encore.
Mes parents ont divorcés quand j’avais 8 ans, j’en ai 40 aujourd’hui.
Je reste convaincue que les mères aliénantes « aiment » leurs enfants sauf que la haine et la vengeance pour l’autre parent (le père) passent avant. Je ne sais pas si cela est fait de manière consciente ou inconsciente sauf que la seule chose que je retiens c’est que ces mères qui se disent aimantes (en plus) sont capables de faire souffrir leur enfant au lieu de les protéger de ce qu’ils subissent déjà (le divorce ou séparation). C’est tellement paradoxal que cela en devient difficile à comprendre ! comment qualifier le lien qui existe entre ces mères et leur enfant finalement ?
Personnellement, enfant, je me disais « ma mère ne m’aimera que si je déteste mon père ! » et pas autrement ! Mais moi j’aimais mon père ! un enfant aime de façon innée ces 2 parents. J’ai toujours eu cette sensation de devoir toujours choisir entre mes deux parents. …
Ce message pour dire à toutes ces victimes de parent aliénant qu’il faut garder l’espoir un jour de bien connaitre et de juger par soi meme le parent qui a été aliéné pendant des années. Il n’y a que là que vous vous rendrez compte des choses ! Moi vous savez, j’ai entendu des mots terribles à l’age de 8-9-10-11-12-13-14 … ans sur mon père … des mots qu’on ne dit pas à un enfant … ça ne se voit pas parce que c’est psychologique mais mon dieu que ca a été difficile de vivre avec cette femme aussi narcissique et mauvaise !
J’ai décidé de ne pas faire ma vie, de ne pas avoir d’enfant… je suis trop marquée …je suis une écorchée vive ! j’ai tellement peur d’être comme elle ! … faire des enfants pour les détruire … ! J’ai peur de leur donner cet « héritage » ! Elle a semé du gachis et récolté de l’indifférence de ma part aujourd’hui !
Je ne la déteste pas mais je ne l’aime pas ! je ne peut pas aimer cette femme qui est ma mère ! En revanche, j’aime mon père ! C’est un homme qui ne savait pas ce que je vivais parce que j’ai toujours gardé contact avec lui (meme si pour moi c’était pire à vivre chez ma mère). Il ne juge pas ! Il ne m’a jamais rien dit sur elle ! En gros il ne m’a jamais parlé de ma mère sans que je lui en parle moi ! Ca n’a jamais influé sur les liens que j’ai gardés avec mon père ! la manipulation de ma mère n’a jamais fonctionné ! Enfant j’avais déjà mon petit caillou et heureusement pour moi parce que croyez moi c’est difficile à vivre h 24 ! Que j’étais malheureuse … ! Comment une maman peut elle arriver à faire autant de mal à l’enfant qu’elle a porté pendant 9 mois ??
Un jour viendra où vous vous rendrez compte de qui est qui !! Il faut etre patient, courageux et fort aussi ! On ne peut pas oublier parce que ça ne s’oublie pas ! ca laisse des traces mais ça se gère au quotidien ! c’est un travail sur soi ! Et de toute façon vous devrez vivre avec ca et cette image de « maman aimante » ! Parce qu’il faut que vous gardiez en mémoire que pour elle elle a tout fait pour vous ! c’est ça le pire !! Matériellement vous n’avez manqué de rien ! C’est psychologiquement qu’elle vous a donné du poison !
L’aliénation parentale est difficile à exprimer … c’est de la torture pour un gosse … ! C’est de l’endoctrinement contre l’autre parent ! C’est bête et méchant gratuitement ! C’est inqualifiable de toute façon ! Il faut mettre les distances avec le parent aliéné ! il faut se protéger ! Il faut se reconstruire sans oublier que ce qui est esquinté reste esquinté !
Bon courage.
Bonjour, navrée pour ce que vous avez vécu, vous exprimez à merveille ce que je peux ressentir tant du point de vue d’avoir été manipulée enfant, que le fait de ne pouvoir risquer de reproduire la même chose. Écorchée vive, la peur de reproduire, impossibilité d’être mère, tant de choses qui détruisent pour toute la vie… Je suis heureuse que vous ayez retrouvé votre papa… J’ai envie de partager avec vous mon livre qui s’intitule « Papa où t’es ? », c’est un témoignage de ce que j’ai vécu en tant qu’enfant aliénée. Bien à vous, et bon courage pour continuer à vivre chaque jour avec cette blessure ouverte… Ce qui nous tue pas nous rend plus forts…
Merci pour votre commentaire : il me donne un espoir à un moment où j’en ai besoin. Mon fils est en train de couper les ponts avec moi. Je ne sais pas quand il acceptera de me revoir.
Mais je sais qu’un jour il reviendra vers moi. En attendant, je dois rester debout : sa maman, perverse, s’effondrera tôt ou tard – sa psychose l’a déjà amené à un lourd dossier de surendettement -. Il aura besoin que je sois là pour lui.
Je suis une mamie fracassée. J’ai 2 filles et 3 petits fils et je suis seule comme un vieux chien galeux. Deux petits fils pour lesquels je me bats depuis plus de 5 ans pour les voir. Toujours en procédure pour un résultat minable. Leurs parents les briffent contre moi. Je les vois 1 fois par mois a leur domicile en attendant d’avoir ma demande de point rencontre acceptée. C est de plus en plus horrible et douloureux. Mes oreilles entendent des horreurs, mes petits me traitent comme une étrangère. Je suis victime de calomnies, de diffamations, de faux témoignages. Ma vie de famille est détruite. Mon autre petit fils est loin. Je le vois que peu. Sa mère, mon autre fille ne fait guère cas de moi. Elle est capable de me bouder sans que je sache pourquoi. La justice n’existe pas. Elle n’a rien fait pour moi jusqu’à présent, seulement me manger mes économies. L’aliénation parentale touche aussi les grands parents. Qui est dans mon cas?
Je réponds à MARIE,
Faire suivre ces deux fillettes avec une psychologue, montrez-leur que votre nouveau couple est solide, montrez-leur par des actes et des paroles que vous les aimez même si vous n’êtes pas leur mère, DONNEZ LEUR BEAUCOUP D’AMOUR, expliquez leur les choses avec simplicité, éloignez les en effet des problèmes d’adultes.Même si elles ne le vous montrent pas, elles savent, sauront,…Sécurisez les et ne critiquez pas leur maman, mais expliquez leur que certains actes qu’elle fait ne sont pas bien…On ne juge pas les personnes mais les actes….
Dans une séparation c’est l’amour le meilleur remède avant les décisions abracadabrantes de la justice.
Faites des choses simples avec elles (gâteaux, planter des salades, semer des fleurs…)Valorisez-les en même temps que les vôtres bien sûr
On sait bien qu’un parent qui éloigne l’enfant de l’autre parent dans la durée est un malade…
Bonjour,
je suis en couple avec un homme qui a deux enfants de 6 et 5 ans. ils a obtenu la garde des ses enfants du vendredi soir au mardi matin, une semaine sur deux et la moitié des vacances scolaires. La situation avec la mère des enfants a toujours été très conflictuelles, même au temps ou ils étaient ensembles. La mère a toujours exercée une influence sur son ainé en se l’appropriant, en ayant une relation fusionnelle avec lui. Depuis la séparation, elle exerce une manipulation sur les enfants, en leur faisant part des conflits passés, en leur expliquant des choses d’adultes (exemples ; que c’est leur père le propriétaire de la maison, que leur grand mère a de l’argent et deux maisons…). Quand ils viennent à la maison, ils ne communiquent pas avec leur père et encore moins avec moi. Ils n’ont pas le droit de nous parler et font très attention a ce qu’ils disent. Les seules choses qu’ils nous disent c’est qu’ils ont hâte de retourner chez leur mère car ils préfèrent être avec elle. Elle leur offre plus de cadeaux, plus de loisirs, ils nous disent sans arrêt que chez nous c’est nul. Leurs deux demi-sœurs ainées (issus d’un premier mariage), les ont surpris a discuter entre eux du fait qu’ils ne se plaisaient pas chez nous. Lors de leur conversation, qui a choquée leurs sœurs, ils disaient avoir peur que leur mère meurt, que si ça devait arriver ils seraient obligés de partir tous les deux, mais que le problème c’est qu’ils seraient peut être obligés de rester car leur père paye à manger. Ils ont évoqués le fait que notre maison, à moi et leur père, appartenait a leur père et sa 1ère femme, et aussi à leur mère et non pas à moi, et qu’il faudrait brûler la maison et que je partes car j’ai mis leur mère dehors! Lors de ses propos, ils pleuraient a chaudes larmes tous les deux.
Je suis affolée, et toute notre famille l’est, de penser que des enfants de 6 et 5 ans peuvent avoir des pensées et des propos de la sorte. J’ai peur pour eux, j’ai peur aussi pour nous et pour mes deux enfants (issus d’une précédente union). Que faire? Leur mère ne pense qu’à se venger, elle l’a toujours dit à mon compagnon, elle veut lui « pourrir la vie ».
Je précise quand même qu’ils se sont séparés a 3 reprises avant que mon compagnon ne me rencontre. Leur séparation n’a donc rien à voir avec moi. Malgré tout, elle respecte le DVH, ce qui est étrange, car elle passe son temps a faire des reproches a mon compagnon, en lui disant que c’est un père irresponsable, et que moi même je ne sais pas m’occuper des enfants…Bref des racontars auxquels nous ne prêtons plus attention, tant nous en avons entendu. L’aliénation parentale consiste a éloigner les enfants d’un de leur parent, or elle, souhaite même étendre le DVH, tout en mettant ses enfants dans une position délicate, puisqu’elle nous dénigre en permanence!
aidez nous, nous ne savons plus quoi faire!
merci
« L’assistance éducative (AEMO) facteur d’accélération de l’aliénation parentale ? »
Je vois mon fils (9ans) une fois par mois il vit à Chambéry avec sa mère depuis 5mois. Toutes visites, et contacts supprimés par la mère. Mon fils me dit des atrocités au téléphone. Il a refusé le cadeau de Noel. Il ne veut plus me voir etc… J’ai écrits au JAF avec accusé de réception. Depuis, j’attends et je souffre. Mon fils est victime d’aliénation.
En plus, mon fils a été placé 4 ou 5 fois : cela m’a rendu malade. Du coup, je suis suivi par un psy. Je prends un traitement. Je crains l’attitude que mon fils aura au TGI. J’ai peur des mensonges qu’il dira. Je suis déprimé. Je pleurs souvent seul dans ma chambre. Aidez-moi SVP Merci ridaguefaifi@aol.fr
La souffrance quand elle est colossale, est un véritable handicap. Et il vous faut arriver à canaliser cette énergie pour l’employer à différents niveaux.
1) En priorité : Placez-vous dans une situation de stabilité sociale, psy, etc.…
Cela parait difficile quand on semble comme plongé dans un cercle vicieux. Mais, peut-être : essayez de percevoir la souffrance comme une « bénédiction », tant elle vous permet de voir les choses essentielles qui pouvaient peut-être vous échapper auparavant : elle a détruit une partie de votre vie mais elle vous permet désormais d’en construire une autre, sur de nouvelles bases.
J’espère également que le présent site web, vous aidera à mettre des mots sur votre propre situation, mieux la comprendre dans sa globalité et ainsi vous aider à gérer la souffrance.
2) Poursuivez vos démarches personnelles avec patience, pour rétablir une amélioration dans la relation parentale par le biais de l’autre parent si la relation s’améliore ou de la justice.
3) Parallèlement, rejoignez les rangs de ceux qui ont conscience de la situation inacceptable de la maltraitance des enfants (notamment sous ses formes plus subtiles mais destructrices, comme l’exclusion et l’aliénation) et qui se mobilisent pour que la problématique ne soit pas ignorée mais solutionnée.
Lien à suivre : « Que faire ? » https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/
quand j’avais 3 ans, on m’a pris mon papa. je n’ai plus eu le droit d’en parler, de lui manifester de l’amour de l’intérêt, quand il appelait, maman disait que j’étais malade, à force je l’ai détesté sans savoir pourquoi. un jour quand j’avais 6 ans et que la maitresse a dit qu’il fallait obligatoirement un papa pour faire un bébé, je lui ai dit que non car moi j’étais là et j’en avais pas. j’ai pensé à lui des années durant, enfance adolescence, je rêvais de ce moment majeure où j’irai le retrouver. mais il est mort il s’est suicidé. moi je suis morte aussi maintenant, ma mère mon beau père mes freres et soeurs m’accablent de reproches par emails par moments récurrents, aux yeux de l’entière famille, je suis devenue la fille ingrate, je les ignore tous. une épée au dessus de la tête, je ne sais jamais quand elle va tomber. je suis loin mais si proche avec les « nouvelles technologies », je passe mon temps à les fuir, je n’en peux plus,j’ai trop mal, obligée d’aller sur ce genre de site pour me convaincre que c’est pas moi qui suis folle. j’aimerais mourir mais je ne sais pas comment faire pour ne pas me rater.
Avec un prénom comme le celui que vous avez saisi, vous ne pouvez que comprendre ce qu’est cette épreuve que d’endurer le deuil d’un être cher. Ce sont plusieurs dizaines milliers d’enfants qui subissent la souffrance de l’exclusion. Ils ont besoin d’adultes qui comprennent cette problématique pour que l’on cesse de séparer le lien de parenté. Cette compréhension est unique. Des personnes comme vous ont quelque chose d’irremplaçable qu’aucune autre ne saurait égaler : la compréhension intime de l’importance du lien et de la souffrance qu’il induit quand il est rompu. Qui d’autres pourraient mieux le comprendre sinon vous-même ? Nous avons besoin de vous. Les enfants ont besoin de vous. Votre père serait fier s’il vous voyait apporter votre petite pierre, un geste, une aide qui va dans le sens de faire cesser la souffrance ne serait-ce que d’un enfant : cet enfant qui aurait pu être vous même. Merci Marie pour votre message. Je suis heureux ce soir d’avoir pu avoir votre témoignage. Et je comprends ce que vous endurez chaque jour. Je vous invite à consulter cette page : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/ Si vous pouviez aider ne serait-ce qu’un enfant à retrouver le lien ou à ne pas le perdre : imaginez le bonheur que ce simple succès pourrait vous procurer, à vous et à votre père… Il y a une vie merveilleuse qui vous attend…
merci beaucoup
Je suis exactement dans le même cas que vous. Je suis adulte et mon papa s’est laissé mourir…J’aimerais entrer en contact avec vous.
Bonjour Sarah, je vois seulement votre commentaire, je ne connais personne dans mon cas, alors oui j’aimerais bien aussi… Si vous êtes d’accord, l’administrateur du site pourra peut-être me transmettre votre e-mail ?…
« Aliénation Parentale vers la fin du déni » (Paul Bensussan)

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Noël, un parent croise son enfant par hasard…

Mobilisation sur l’aliénation parentale
1/ Refuser de passer les communications téléphoniques aux enfants.
2/ Planifier toutes sortes d’activités avec les enfants durant la période où l’autre parent doit normalement exercer son droit de visite.
3/ Présenter le nouveau conjoint aux enfants comme leur nouvelle mère ou leur nouveau père.
4/ Intercepter le courrier et les paquets envoyés aux enfants.
5/ Dévaloriser et injurier l’autre parent en présence des enfants.
6/ Refuser d’informer l’autre parent au sujet des activités dans lesquelles les enfants sont impliqués (match de sports, représentation théâtrale, activités scolaires…)
7/ Parler d’une manière désobligeante du nouveau conjoint de l’autre parent.
8/ Empêcher l’autre parent d’exercer son droit de visite.
9/ « Oublier » de prévenir l’autre parent des rendez-vous importants (dentiste, médecin, psychologue…)
10/ Impliquer son entourage (sa mère, son nouveau conjoint…) dans le lavage de cerveau des enfants.
11/ Prendre d’importantes décisions concernant les enfants sans consulter l’autre parent (choix de la religion, choix de l’école)
12/ Empêcher l’autre parent d’avoir accès aux dossiers scolaire et/ou médical des enfants
(via Luigi Bruno Rota)
Le conflit parental, [peut déboucher en] une forme de maltraitance
« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)
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« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).
« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »
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https://affairesfamiliales.wordpress.com/2013/02/26/fiche-pratique-renouer-les-liens-parent-enfant-aliene/
« Les divorces et separations sont de plus en plus nombreux
Dans 15% des cas de separation, un parent cherche a exclure l’autre parent
Les enfants deviennent alors injustement otages et victimes »
cf Article :
http://recitalienationparentale.wordpress.com/2012/04/16/lalienation-parentale/
+ Stats « Les vrais chiffres du divorce » : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/10/societe-alienee-insee-34-des-enfants-ne-voient-plus-jamais-leur-pere/
Aliénation parentale au Canada
A-liéner… ou rompre le lien
[…] Phase 2 (Alienation) -> Au comportement de l’enfant (cf. symptômes de l’enfant aliéné) […]
J’etais une mere aimante, je le suis d’ailleurs toujours, mais sans mes enfants qui m’ont ete enleves par leur pere…! Mes enfants ne veulent plus me voir, au dire du pere kidnappeur. Elles sembleraient me detester, vouloir me voir morte… Jusqu’a maintenant, je n’ai jamais baisse les bras, mes enfants sont ma force, je menerai mon combat pour retrouver mes enfants jusqu’a allez dans la Lune…
Appel à tous les lecteurs : Dorothée Marro est journaliste à Paris. Elle prépare un documentaire sur les dérives dans le divorce, et elle est a la recherche de témoignages… en France… de personnes, actuellement en procédure de divorce, qui sont victimes de fausses accusations (pédophilie, violences conjugales ou sur l’enfant, aliénation parentale…) et dont elle souhaiterait suivre le combat. Contacts : dmarro@tac-presse.fr et Tél. 0634620369
Merci beaucoup pour votre collaboration et bien à vous.
Par ailleurs elle cherche aussi des victimes d’arnaques de la part d’avocats ou de notaires.
Si vous avez des contacts d’associations ou autres qui pourraient l’aider, n’hésitez pas à contacter cette Journaliste !
Oui, vivre sans possibilité de voir ses enfants, c’est une amputation psychologique au quotidien. C’est une souffrance indescriptible ! C’est, je pense, encore plus horrible que d’avoir un enfant décédé. Car mes 5 enfants vivent sans que je puisse les voir depuis 17 ans, et ce, après mon expulsion de mon foyer sans que la justice ne s’inquiète du bien fondé des accusations de mon « EX », une alcoolique et une menteuse notoire ! Je n’ai pourtant rien fait de grave pour mériter un tel sort…
D’autres témoignages sur :
Il n’attend plus rien
Accusé à tort, Michel ne reverra jamais plus ses cinq enfants
http://laviedeperes.over-blog.com/article-16340155-6.html#anchorComment
Michel versus perversité au féminin
http://laviedeperes.over-blog.com/article-12857842-6.html#anchorComment