Les difficultés à faire respecter les droits des enfants poussent certains pères à des retranchements dans un combat du droit des pères, un combat perdu d’avance à la hauteur de l’indifférence vis à vis des souffrances muettes des enfants .. mère, père, justice, enfants – tous plongés dans une bataille qui en premier lieu rend les enfants victimes, dommage collatérale de l’entre-déchirement féministes ou masculinistes ; et nulle enfantiliste ici bas, pour leur rendre la justice dont il sont pourtant officiellement crédités ?? Mais qui pour la faire respecter ?
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Cali – Le Droit des pères (ou la souffrance en musique)
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), I. LES 2 ETAPES DU SCENARIO D'exclusion parentale, I.1. Isolation Parentale, II. LES CAUSES & CONSEQUENCES de l'exclusion parentale, II.2 La Souffrance du Parent Cible, musiques, papas, souffrance, tagged cali, clip, déchirement, divorce, droit des enfants, droit des pères, famille, injustice, justice, music, musique, parent, parents, séparation, société, sos papa, sospapa, souffrance, souffrance du parent on 2 février 2012| 1 Comment »
Les Papas du dimanche film prévu en salle le 25 janvier 2012
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), livres, papas, tagged bande-annonce, cinéma, les papas du dimanche, papa, papas, sortie en salle, sos papa, sospapa on 22 janvier 2012|
NDLR de LPLM : UN FILM A VOIR ABSOLUMENT et si possible en famille avec ses enfants. On peut y voir les émotions et les difficultés inhérentes au droit de visite et d’hébergement (…) [sortie le 25 janvier 2012] Tout père séparé se reconnaîtra dans la peur de perdre le lien avec ses enfants et les difficultés à se reconstruire puis à pouvoir faire à nouveau confiance à une femme après ces épreuves. Mais c‘est surtout au niveau de ce que vivent les enfants que le film est captivant . Le tout est servi avec talent tant au niveau des jeux d’acteurs que du scénario ; la charge émotionnelle forte que déclenche ce film est finement contre balancée par une touche « comédie » et un happy-end . Vous pourrez donc y amener avantageusement vos enfants ( confrontés directement ou non par la question ) ; ils pourront ainsi s’exprimer sur ce qu’ils vivent ou un de leurs amis .
source : LPLM.fr (Association Les Papas = les Mamans) -> http://www.lplm.fr/spip/spip.php?article4032 follow on twitter : @papaegalmaman
diffusion : https://affairesfamiliales.wordpress.com follow on twitter : @EnfantsDroits ; google+ : https://plus.google.com/u/0/110455796350153873414
Des « hommes battus » ca existe ?
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), affaires familiales, avocats, famille, féminisme, II.4 La Perversion (morale et/ou pathologique), III. LES ACTEURS de l'exclusion parentale, III.2 LE Parent Cible ("à bout" puis "zombie"), justice, perversion, psychiatrie, société, statistiques, violences conjugales, tagged affaires familiales, affairesfamiliales, alain soral, avocat, batonnier, calomnie, chantages, décadence, dépôt de plainte, divorce, exclusion parentale, femme, harcélement, homme, hommes battus, JAF, juge, juge aux affaires familiales, justice, lieux médiatisés, lieux neutres, mains courantes, maltraitance psychologique, manipulation morale, manipulations psychologiques, pathologie, pervers, perversion, perversion narcissique, procédures judiciaire, provocation, psychanalyse, psychiatrie, psychologie, psychologue, séparation, société, sos papa, sospapa, souffrance des enfants, TGI, violence, violences conjugales, violences maritales, violences physiques, violences psychologiques, violences verbales on 3 décembre 2011| 9 Comments »
270 000 à 280 000 hommes victimes (déclarées) de violence conjugale, en France en 2010 (ONDRP, 2011)
Les violences conjugales n’épargnent pas non plus les hommes : Il apparaît que les hommes et les femmes sont proportionnellement autant victimes de violences conjugales les uns que les autres. A noter également, qu’un nombre très faible d’hommes "conscient" d’être victime de violence conjugale dépose une plainte (seulement 2% d’entre eux – contre 11% pour les femmes)
Cependant, la forme des violences exercées est différente. En particulier, la difficulté du diagnostique des violences psychologiques et surtout le poids de la honte induit par le regard de la société sur le sujet ne favorisent pas une prise en compte de cette situation et participent au déni des victimes.
Les violences conjugales ne sont pas toujours physiques. La violence subtile : les harcèlements, les provocations, les menaces, les reproches, la dévalorisation, les chantages et autres manipulations psychologiques … existent. Et tout comme les violences physiques elles peuvent se poursuivre ou muter (par exemple, dériver en harcèlement ou en calomnie), quand bien même le couple se sépare.
– 270 000 hommes victimes (déclarées) de violences conjugales en France, 2010 (Observatoire Nationale de la Délinquance – ONDRP, 2011)
– 5,4% des hommes subiraient de la violence physique (Canada, 2000)
La honte, le déni et surtout la difficulté du diagnostique cache la réalité du problème. Pourtant une partie non négligeable de suicides des hommes ou de la violence physique en retour, peuvent parfois résulter de ces violences subtiles…
Préjugé sexiste ? Devant une agression psychologique voire physique d’une femme sur un homme, la violence s’opère dans l’indifférence des passants (sauf 1 sur des centaines intervient)
Black out sur ces statistiques dans les campagnes de communication contre les violences conjugales ?
A suivre : Tabou, la pédophilie au féminin ca existe ?
Qu’est-ce que la perversion ? (morale, narcissique, …)
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- Au sens moral c’est celui qui fait le mal ;
- D’un point de vue psychiatrique, on caractérise le fait pervers par son pendant : le sadisme ;
- Dans ce que l’on a dénommé la perversion narcissique (dans le cadre conjugal notamment), on met en avant la manipulation psychologique ;
- Enfin dans le cadre de l’aliénation parentale, l’enfant-otage qui sert de moyen de pression devient peu à peu l’enfant soldat du parent aliénant qui le maltraite par manipulation psychologique…
Dans tous les cas, l’absence d’empathie (par déni, clivage, vice assumé ou projection de ces propres tares… ) est ce qui la caractérise la mieux.. :
Les pervers maintiennent une distance affective suffisante pour ne pas s’engager vraiment. L’efficacité de leurs attaques tient au fait que la victime ou l’observateur extérieur n’imaginent pas qu’on puisse être à ce point dépourvu de sollicitude ou de compassion devant la souffrance de l’autre.
1) Perversion au sens moral
2) Perversion au sens psychiatrique (ou « faits pervers »)
« Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner… » (Un psychiatre lors d’une interview au sujet de l’acception du terme « pervers » en psychiatrie)
3) Perversion narcissique
La « perversion » dite « narcissique » est souvent confondue avec le trouble de la personnalité narcissique, défini comme la surestimation de soi-même et de ses capacités, le besoin d’être reconnu comme exceptionnel, tout en acceptant difficilement les critiques. Au contraire, la perversion désigne le fait de détourner, de renverser et de retourner. Elle correspond aux stratégies du sujet assurant la satisfaction de ses pulsions aux dépens des autres. Ils sont utilisés comme des choses et leurs sentiments sont niés.
La perversion d’un proche, d’un conjoint, d’un parent, d’un supérieur peut briser un couple, défaire une vie ou ruiner une carrière professionnelle. La stratégie perverse cherche à déstabiliser l’autre, par une séduction flatteuse ou un acharnement souvent sournois et subtil, ainsi que par une disqualification insidieuse et récurrente. L’objectif est d’obtenir un moyen de contrôle sur l’affection, l’attention et la disponibilité de l’autre ; sans reconnaître sa propre vulnérabilité.
Le bourreau ne possède pas de personnalité propre, elle est forgée sur des masques dont il change suivant les besoins, passant de séducteur paré de toutes les qualités, à celui de victime faible et innocente, ne gardant son véritable visage de démon que pour sa victime. Et encore il peut jouer avec elle au chat et à la souris, faisant patte de velours pour mieux la tenir, puis sortant ses griffes lorsqu’elle cherche à s’évader.
Symptomatologie d’une personnalité narcissique (trouble narcissique)
-
le sujet à un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s’attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;
-
est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d’amour idéal ;
-
pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;
-
montre un besoin excessif d’être admiré ;
-
pense que tout lui est dû : s’attend sans raison à bénéficier d’un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;
-
exploite l’autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins (mensonges, chantages, violence verbale, etc.) ;
-
manque d’empathie : n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui ;
-
envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient ;
-
fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants et hautains.
Le désir de l’autre, sa vitalité, leur montre leurs propres manques. On retrouve là l’envie, commune à bien des êtres humains, du lien privilégié que la mère entretient avec son enfant. C’est pour cela qu’ils choisissent le plus souvent leurs victimes parmi des personnes pleines d’énergie et ayant goût à la vie, comme s’ils cherchaient à s’accaparer un peu de leur force.
L’état d’asservissement, d’assujettissement de leur victime à l’exigence de leur désir, la dépendance qu’ils créent leur fournit des témoignages incontestables de la réalité de leur appropriation.
4) Perversion parentale / Parent-pervers
Le parent pervers vise dans un premier temps l’isolement de l’autre parent vis à vis de l’enfant. Il procède le plus souvent, par calomnie pour obtenir des résultats rapides et efficaces. (…)
La voie est ouverte ensuite pour opérer le dénigrement de l’image de l’autre parent et renforcer l’enfant dans l’aliénation parentale.
Le pervers est une personne totalement dépourvue d’empathie, qui n’éprouve aucun respect pour les autres, qu’il considère comme des objets utiles à ses besoins de pouvoir, d’autorité. Le pervers a besoin d’écraser pour exister. L’enfant est une proie de choix car il est fragile et malléable, avec sa confiance illimitée et sa soif d’amour et de reconnaissance.
« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).
Témoignage d’un parent (entraideapn) (…) Si vous avez des enfants communs, sachez que le pervers narcissique s’en prendra forcément à eux s’il n’arrive pas à vous détruire directement. Prenez donc soin de protéger vos enfants avant le combat, si c’est possible. Une fois le combat juridique démarré, le pervers narcissique prendra un immense plaisir à manipuler vos enfants pour mieux vous détruire …«
« La Russie sous le choc, une mère jette ses deux enfants du 15e étage et repart souriante »(…).
« L’affaire a suscité l’émotion dans toute la Russie. Galina Riabkova, une femme de 30 ans, est soupçonnée par la police d’avoir jeté ses fils âgés de 2 et 4 ans d’un immeuble de Dolgoproudny, au nord de Moscou. La femme aurait convaincu les deux petits garçons de quitter leur appartement du huitième étage pour monter au quinzième étage en leur promettant qu’ils pourraient lancer des avions en papier du balcon. »
5) Empathie : Peut-on ressentir une douleur que l’on n’a jamais éprouvée ?
Chez les sujets témoins (à gauche), aucune activité cérébrale n’est corrélée au score d’empathie, tandis que chez les patients ICD (à droite) l’activation du cortex préfrontal ventromédian (zone colorée) est étroitement corrélée au score d’empathie.
De façon intéressante, l’analyse des corrélations entre les réponses cérébrales à la vue de la douleur d’autrui et les capacités d’empathie de l’observateur révélait des différences très significatives entre les patients ICD et les témoins: chez les patients, le degré d’activation du cortex préfrontal ventromédian – une région cérébrale connue entre autres pour son rôle essentiel dans les processus d’inférence de l’état émotionnel d’autrui et dans les émotions sociales telles que la compassion (3) – était étroitement corrélé au score d’empathie: en effet, plus les patients étaient dotés de capacités d’empathie élevées, plus cette région de leur cerveau se trouvait activée à la vue de la douleur d’autrui. En revanche, aucune corrélation entre le score d’empathie et l’activité cérébrale n’était observée dans le groupe témoin dans les mêmes conditions (cf la figure ci-dessous).
Pour compenser leur manque de résonance émotionnelle automatique avec la douleur d’autrui, les patients congénitalement insensibles à la douleur doivent donc nécessairement recourir à un travail d’inférence émotionnelle complexe qui dépend étroitement de leur capacité d’empathie. Ces résultats suggèrent plus généralement que c’est grâce à ce type de processus de cognition sociale que nous pouvons éventuellement imaginer et partager avec autrui des affects liés à une expérience que nous n’avons nous-mêmes jamais vécue. (source : extrait, « Peut-on partager une douleur que l’on n’a jamais éprouvée ?(…) » (Nicolas Danziger, Isabelle Faillenot et Roland Peyron) CHU Bellevue, Groupe Hospitalier Pitié-Salpétrière)
Inversement qu’est-ce qui pourrait expliquer la propension d’un schéma autoreproductif de la souffrance (comme la maltraitance) ?
La question est posée, en effet : si l’on peut comprendre avoir des difficultés à éprouver par empathie une souffrance que l’on a soi-même jamais ressentie : inversement, comment expliquer que ceux-là même qui au contraire, ont déjà éprouvé cette douleur, et en particulier, ceux qui l’ont éprouvée de manière très marquée, peuvent inversement avoir une propension à reproduire le schéma originel de cette souffrance cette fois en tant que « bourreau » plutôt que « supplicié » ? Cette reproduction du scénario originel de la souffrance s’accomplissant alors avec une absence quasi-totale d’empathie de la part du pervers rejouant la scène sadique originelle. Un peu comme si, justement la « case » sollicitée par la victime était devenue inactive à l’empathie. Et si l’on considère la possibilité d’une jubilation dans l’accomplissement du fait pervers : y-aurait-il une « empathie inversée », ou une « empathie déplacée » c’est à dire non pas le ressentie de la « souffrance de la victime » mais remplacée par celle du « plaisir du bourreau » ? Ce qui permettrait alors d’expliquer d’une part l’absence d’empathie lors de l’acte sadique mais également l’encouragement à la reproduction du schéma de la souffrance (de manière pathologique) ? La question est posée… (source : affairesfamilliales.com )
6) Pervers pour la vie ?
Que peux-t-on faire face à un pervers narcissique ?
* Pascal Couderc (Psychologue, Psychanalyste) *: « C’est compliqué parce qu’il séduit ceux qui sont susceptibles de l’être et il écarte les autres… En général, la prise de conscience se fait petit à petit, vraiment très progressivement, par des éléments épars dans l’histoire qui viennent jeter une ombre sur cette image idéale de [la personne] qu’elle prétend être.«
* Jounaliste * : Est-ce que les pervers sont conscients d’avoir basculé dans une pathologie ou bien se disent-ils, « Mais non, c’est pour son bien, c’est moi qui dirige parce que finalement, elle était trop faible pour le faire, et puis c’était ma façon à moi, de lui montrer que je l’aimais, etc. » enfin, ils sont jamais conscient ces pervers ?
* Pascale Chapaux-Morelli (Présidente d’Association) * : « Non, [les pervers] ne sont pas vraiment conscients, d’ailleurs ils accusent toujours l’autre. Lorsque quelque chose ne va pas, c’est toujours l’autre qui est coupable. Et ils ne se remettent pas en question. [Les victimes] en générale se conseillent toutes de fuir… «
* Journaliste * : « En gros, si un pervers narcissique arrive dans votre cabinet… «
* Pascal Couderc * : « Non [il n’arrivera jamais dans notre cabinet]. Parce que lui, ne souffre pas.«
* Journaliste * : « Alors, s’il est condamné pour une raison quelconque et qu’il a une injonction thérapeutique, et qu’il arrive un jour chez vous : est-ce que vous pouvez quelquechose pour lui ? »
* Pascal Couderc * : « L’aider à prendre conscience des choses mais c’est assez vain. (…) Oui, on les reçoit, il se passe un certain nombre de séances mais la prise de conscience est vraiment, vraiment compliquée. Parce que c’est la structure psychique. C’est pas juste un symptôme… «
Existe-t-il néanmoins, l’espoir d’une prise de conscience radicale ?
+ Explications sur l’EMI/NDE Cf. le Dr Charbonnier (Médecin anesthésiste-réanimateur) –
(expériences vécues par environ 3% de la population)
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/05/introduction-a-la-perversion-narcissique/
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Pour le Noël de vos enfants : offrez leur donc, leur « père zombie » ! (« père perdu »)
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), affaires familiales, aliénation parentale, calomnie, divorce, droits des enfants, enfants, exclusion parentale, famille, féminisme, I. LES 2 ETAPES DU SCENARIO D'exclusion parentale, I.2. Aliénation Parentale (AP), II. LES CAUSES & CONSEQUENCES de l'exclusion parentale, II.2 La Souffrance du Parent Cible, III. LES ACTEURS de l'exclusion parentale, III.2 LE Parent Cible ("à bout" puis "zombie"), justice, psychiatrie, souffrance, tagged aliénation parentale, calomnie, divorce, drames familiaux, Droit de voir les deux parents, droit des enfants, Droits de l'enfant, Droits des enfants droits, enfance maltraitée, enfants otages, exclusion parentale, injustice, isolation parentale, JAF, juge aux affaires familiales, Juge pour enfants, justice, législation, lien enfant-parent, lien parent-enfant, lieux médiatisés, lieux neutres, maltraitance psychologique, manipulation morale, morale, pathologie, père pendu, père perché, père perdu, père-zombie, pédopsychiatre, points rencontres, procédures judiciaire, psychanalyse, psychiatrie, psychologie, psychologue, rupture du lien parent-enfant, séparation, société à la dérive, société malade, sos enfant, sos papa, sospapa, souffrance, souffrance des enfants on 21 octobre 2011| 5 Comments »
L’aliénation parental, un signe de la décadence familiale : 34% des enfants du divorce ont une forte probabilité d’avoir un "père perdu"…
En facilitant la rupture du lien enfant-parent, la société a finalement produit des hordes de "pères zombies".
Privés de leur enfant (et réciproquement), ils n’ont évidemment pas réussi à faire le deuil d’un enfant encore vivant !
Alors faîtes un geste, laissez jouer votre enfant avec leur père-zombie et vous en ferez enfin : l’enfant le plus heureux du monde…
partie 1 : http://www.dailymotion.com/video/xflrwt_peres-perdus-partie1-mer-10-nov-2010_news
partie 2 : http://www.dailymotion.com/video/xflpdl_peres-perdus-partie2-mer-10-nov-2010_news
partie 3 : http://www.dailymotion.com/video/xflqy2_peres-perdus-partie3-mer-10-nov-2010_news
« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).
« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »
Ces Femmes Amazones au secours des hommes broyés !
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On assiste à l’émergence des Nouvelles Femmes qui prennent le taureau par les cornes et viennent au secours des hommes broyés par la machine matrimoniale
Devant le blocage constitué par ce qu’on pourrait appeler l’aliénation sociétale, on assiste à l’émergence d’une issue crédible : des femmes ont décidé de se regrouper en association active pour la défense de leurs hommes. On les appelle les « nouvelles femmes ». Ce sont des centaines de milliers d’enfants partout dans le monde qui souffrent du lien parental coupé et qui attendent toute initiative d’où qu’elle vienne avec espoir… Notamment pourquoi pas grâce à cette nouvelle cavalerie d’Amazones …
Asuivre : Lettre ouverte d’un homme au féminisme
L’aliénation parentale : Ca suffit !
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Cette vidéo québécoise dénonce un fléau mondial et en particulier occidental qui n’a pas l’air de cesser de prendre de l’ampleur dans notre société…
Commentaire de l’auteur : Ce « fléau » cause des dégâts irréparables sur les enfants. Certains accommodements, certaines démissions ou lachetés, certaines incompétences ont mis en péril l’avenir de nombreux enfants qui grandissent et qui aujourd’hui dénoncent. De nombreuses études ou recherches commencent à chiffrer les conséquences d’une société aliénée et l’impacte de la maltraitance engendrée par L’ALIÉNATION PARENTALE.
Notre manière de prendre les enfants pour des otages est affligeante. Le mépris de la souffrance des enfants se paye, les enfants le payent, la société le paye : Maintenant, ca suffit !
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/10/20/lalienation-parentale-ca-suffit/
L’arrachement parent-enfant : une souffrance ultime
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), I. LES 2 ETAPES DU SCENARIO D'exclusion parentale, I.1. Isolation Parentale, II. LES CAUSES & CONSEQUENCES de l'exclusion parentale, II.2 La Souffrance du Parent Cible, III. LES ACTEURS de l'exclusion parentale, III.2 LE Parent Cible ("à bout" puis "zombie"), III.5 Les Grands Parents (inducteurs ou victimes), papas, souffrance, tagged affaires familiales, affairesfamiliales, aliénation parentale, amour, arrachement, calomnie, Défenseur des enfants, divorce, droit de l'enfant, Droit de voir les deux parents, droit des enfants de voir les deux parents, Droits de l'enfant, Droits des enfants droits, empathie, enfance maltraitée, enfants otages, exclusion parentale, impuissance, indifférence, isolation parentale, lien brisé, lien enfant-parent, lien parent-enfant, maltraitance, maltraitance psychologique, manipulation morale, papa, pathologie, perversion, privé de parent, procédures judiciaire, psychiatrie, psychologie, psychologue, rupture du lien parent-enfant, SAP, séparation, société, sos papa, sospapa, souffrance, souffrance des enfants, souffrance ultime, suppression du lien on 18 octobre 2011|
Marchons nous sur la tête ?
Au delà de l’aliénation parentale et de son pendant, le SAP (Syndrome d’Aliénation Parentale),
la souffrance déchirante d’un père à qui l’on a arraché son enfant et qui témoigne d’un mal aussi grand qu’inconscient. Et suffisamment répandu par ailleurs pour achever là, le portrait d’une société qui marche visiblement sur la tête..
Comment est-ce possible de ne pas prendre en considération la souffrance d’un enfant privé de son parent, quand on sait à quel point on a soi-même souffert dans les mêmes circonstances : un mélange d’impuissance, d’injustice, de sentiment de trahison, de privation d’amour. Un cocktail qui prépare à développer de la rancoeur mais surtout une vraie souffrance, peut-être la pire : s’agissant d’un enfant qui n’est normalement pas programmé pour ne plus aimer mais au contraire dans l’attente d’en recevoir… Quel est ce déréglement qui amène à perpétuer cette même souffrance cette fois sur son propre enfant ?
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/10/18/marchons-nous-sur-la-tete/
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Tentative inutile : Exprimer des regrets face à la calomnie
Posted in * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), calomnie, II. LES CAUSES & CONSEQUENCES de l'exclusion parentale, II.3 La Calomnie, lettre ouverte, tagged affaires familiales, affairesfamiliales, aliénation parentale, avocat, calomnie, divorce, exclusion parentale, isolation parentale, juge aux affaires familiales, justice, lien enfant-parent, lien parent-enfant, lieux médiatisés, lieux neutres, maltraitance psychologique, manipulation morale, procédures judiciaire, psychologie, séparation, sos papa, sospapa, souffrance des enfants on 26 septembre 2011| 1 Comment »
Source : Article de https://affairesfamiliales.wordpress.com
Sur le même sujet, à voir : Cas de l’utilisation abusive de la Calomnie pour isoler l’enfant de l’un de ses parents dans le cas d’un divorce ou d’une séparation
(8 avril 2011)
Ma femme m’a quitté. Elle m’a dit au téléphone aujourd’hui, que c’était à cause de l’attitude inquiétante que je pouvais avoir : je fais du stock, j’achète du matériel de Trek, je parle de complots, etc…
J’ai en fait très mal calibré l’impact que ca pouvait avoir sur mon entourage. Beaucoup de philosophe se cantonne à l’abstraction. Je suis passé à la pratique. En complète cohérence avec les informations dont je disposais (même si je n’ai plus internet depuis que ma femme est partie avec la Livebox – mais ca y est les voisins me permettent de squatter leur ligne). Seulement, mon discours, mon attitude, mes anticipations étaient en complète dissonance avec le « commun des mortels » ou la personne lambda.J’ai même dû me justifier à la gendarmerie d’avoir fait du stock !
Ma femme aujourd’hui veut me retirer la garde complète de mon fils compte tenu du risque que cela représenterait pour lui. Inutile de chercher à savoir quels pourraient être ces risques ? Ma femme qui a toute les certitudes est certaine que ce comportement qui est en décalage, relève de la folie et qu’il reflète « de graves dysfonctionnements psychologiques » (dixit la demande de son avocat pour la convocation au TIG dans un mois et demi).
J’avais fait une vidéo un peu théorique mais qui a touché beaucoup d’hurluberlu en mon genre et qui en gros expliquait pourquoi la différence de point de vue pouvait amener à être perçu comme un fou par d’autres (sous entendu plus fou encore que je ne prétends être). Et bien, c’est chose faite. Je ne suis pas venu sur Terre pour rien car j’expérimente finalement mes propres théories.
Cela dit, la situation est grave car ma femme prive notre fils de son père (pour « sa sécurité » bien entendu) et prive son père de son fils. En limitant l’opportunité à 1 fois tous les 15 jours « en milieu médiatisé(*) avec interdiction de sortie »… Inutile de faire un dessin sur le fait que j’ai l’impression d’être envoyé dans la célèbre série « Le Prisonnier » : à ne plus savoir si c’est moi qui marche sur la tête ou le système qui nous environne ? C’est assez incroyable comme être en dehors de la norme (c’est à dire celle qui émane de la folie commune) vous amène à être considéré comme fou : c’est fou !
Donc la situation est tragique : je suis à la merci totale de la mère de mon fils et mon fils lui–même – et au moins pour une dizaine d’années. Et Ma femme étant la mère et la dénonciatrice de ces faits – je suis totalement esclave de ses décisions… Je n’ai droit à l’expression que par sa bonté à m’accorder quelques minutes d’écoute – à son bon vouloir… C’est tout simplement extraordinaire !
A choisir, si un jour je me réincarne : ca sera l’Iran ou Jupiter mais rien d’autres !
Blague à part. Donc je suis fou ou j’abjure ? Que faire ?
Aussi, j’abjure !
- Oui, j’ai fait du stock croyant que les prix des matières premières (sucre, coton, etc..) dont également les matières énergétiques (essence, ..) allaient augmenter
Oui, c’était de la pure folie de penser une telle chose ! Et même si quelques prix aient pu augmenter : hasard ou effets temporaires – peu importe : là n’est pas la question. C’est de la folie – voilà tout : sinon pourquoi suis-je le seul ? … Alors : folie !- Oui, j’ai fait du stock de matériel de trekking visant à faire des randonnées en autonomie.
Hobby, Opportunité, Projection, peu importe : pure folie !- Oui, j’ai eu accès à de l’information anxiogène et subversive et j’ai moi-même pris part à alimenter la rumeur notamment celle consistant à croire que la crise n’était pas finie, pire : qu’il y avait un risque obligataire sur le dollar et les bons du trésor américain – ainsi que sur la zone euro.
- Oui, j’ai encouragé les gens à investir dans l’or et dans l’argent physique quand les cours étaient respectivement à 1000$ et 20$ l’once tandis qu’ils sont aujourd’hui à 1470$ et 40$ l’once (D’autres l’ont encouragé bien avant)
Ce qui était pure hasard et pure folie dans tous les cas !- Oui, j’ai informé les gens sur les sociétés dites secrètes, celles-là même dénoncées par Kennedy, 10 jours avant sa mort, et fait la promotion de l’excellent Best Seller d’Alain Soral « Comprendre l’Empire » et même lu le non moins excellent ouvrage de Pierre Jovanovic qui porte un titre des plus suspect : « Enquête sur l’Existence des Anges Gardiens » – Ce qui était nuisible et contraire à une pensée saine, globale voire unique et dans tous les cas : pure folie !
- Oui, j’ai même été jusqu`à me demander si Dieu pouvait finalement exister ?? Le fait même de douter de son inexistence est en soi un comportement douteux et probable d’une névrose. Dans tous les cas, c’est tout simplement absurde !
Oui j’abjure ce comportement. Oui je reconnais qu’il s’agissait de pure folie.
- Oui, je revends ou cède à une organisation caritative type « les resto du cœur » tous les stocks alimentaires que j’ai pu faire.
- Oui, j’arrête d’acheter sur Internet (ou sinon des biens de consommation courant)
- Oui, je reconnais m’être égaré, victime et tantôt acteur, de la pensée subversive sur Internet.
- Oui, je ne remettrai plus les pieds sur ces sites
- Oui, j’arrête d’informer mes congénères sur des choses qui n’ont ni queue ni tête, qui ne sont pas démontrées quand elles sont tout simplement absurdes ou de toute manière : anxiogènes, subversives et inutiles tout au mieux !
- Oui, d’ailleurs, je me contenterai de divaguer sur la nature du temps qu’il fait, avec mes voisins ou des péripéties sexuelles de telle ou telle star, avec mes collègues de bureau.
- Oui, j’arrête d’aller en dehors des clous (d’une manière générale)
- Oui, je reprends la télé, qui me sera d’ailleurs donnée dans mon nouvel abonnement internet ce qui me permettra d’accéder à de l’information vérifiée et officielle et pas à n’importe quoi !
- Oui – la gauche / la droite –
- Oui, Métro – Boulot – Dodo… – et même Mac Do si il le faut ?
- Oui à une consommation responsable, durable, bio, non polluante : c’est à dire sans CO2 !
- Oui, je prendrai des capsules de soma (s’il en existe) à la moindre suspicion de nouveau comportement déviant.
- Oui à tout ca – et au reste.
Maintenant je veux en faire la démonstration – j’enlève donc ma robe noir de brebis galeuse et je rejoins la masse …
Cheveux gominés, mode vestimentaire « assortie », cravate quand nécessaire, chemise repassée. Un peu de « Jogging » – ventre plat. Quelques maîtresses – mais pour quelques heures seulement (ou une semaine, si elle parle pas français) … A terme je revendrai ma Clio pour un petit ramasse-pétasse – histoire de fournir la cadence … Voilà donc un nouveau f… ! (mais propre sur lui – rassurons nous – et respectable, « normé » quoi). Vous ne l’aimez pas ? Et vous ne savez pas pourquoi ? qu’est-ce qu’on s’en fout : soyons « in »!
Maintenant merci, arrêtons la blague. Je vais faire ca. Je vais être normal (ou dans la norme). Mais arrêtons de jouer avec mon gosse !
Maintenant : vous pouvez me rendre mon fils ! Et lui rendre son père !
PS : je n’ai pas de rancune vis à vis de la mère – je demande juste à revoir mon fils « normalement »…