Archive for the ‘mamans’ Category


La sytème actuel participe de la maltraitance par le biais de l’Exclusion Parentale : Comment est-ce possible ?

Des centaines de milliers d’enfants sont victimes d’Exclusion Parentale. Les formes les plus fréquentes sont principalement la Non Représentation d’Enfant (NRE – 150 000 plaintes par an / 250 000 mains courantes) et l’Eloignement Géographique Volontaire (EGV) souvent prémices à des manipulations mentales (Syndrome de Médée et Aliénation Parentale) entrainant le risque d’une destruction psychologique profonde des enfants aliénés.

Malheureusement, cette maltraitance ne serait pas aussi répandue si elle n’était pas appuyée par un système qui  favorise le parent le moins apte à garantir les droits de l’enfant, parmi lesquels, celui fondamental, de garantir ses liens parentaux…

Stéphane Joly ne voit plus ses enfants depuis plusieurs années. Il nous livre son témoignage vis à vis de la situation de ses deux enfants Kristy et Mike…

 


Stéphane Joly avec sa compagne. Il dénonce l’ablation du couple parental comme une volonté politique de fait

Il est rappelé que l’Exclusion Parentale est une maltraitance. L’enfant a des droits. Il est étonnant de devoir constater que la structure judiciaire telle qu’elle est constituée n’est pas en mesure de gérer les séparations conflictuelles des couples et qu’ainsi elle n’est pas en mesure de faire respecter le droit de l’enfant, en particulier celui-ci de pouvoir maintenir le contact avec ses DEUX parents. Au contraire, tout semble favoriser l’Exclusion Parentale.

On nous a pourtant vendu le principe de l’égalité pendant des mois afin d’imposer le mariage gay. Qu’est-il devenu ? Car à contrario, par la voix de son Ministre de la Justice, Christiane Taubira, le pouvoir actuel semble au contraire, obstinément faire obstacle au principe de coparentalité ?  (Nous avons d’ailleurs appris hier qu’il n’était pas dans l’intention de l’actuelle Garde des Sceaux, Madame Christiane Taubira, de prendre en compte cette situation et de recevoir notamment les pères et mères qui étaient montés sur la Basilique du Sacré Coeur à Paris avec des propositions pour tenter de sortir de cette impasse )


Basilique du Sacré Coeur : Refus du Ministre Christiane Taubira d’entendre la détresse de parents et des enfants privés de leurs droits

Il est clair que l’absence de volonté des gouvernements successifs à prendre ce problème quasi-sanitaire en compte (cf. statistiques), conforte l’idée que cela ne puisse pas s’expliquer uniquement par une incompétence chronique. On doit s’interroger sur l’absence de considération pour la souffrance de centaines de milliers de pères, de mères mais plus grave encore, celle des enfants eux-mêmes.

A contrario, on assiste perplexe à une détermination extraordinaire, dès lors qu’il s’agisse de désacraliser le mariage, détruire la filiation, bourrer le crâne des écoliers avec la théorie du genre et des cours de sexualité à un âge précoce. Cette énergie manifeste à détruire la famille et puisqu’elle en est le pilier, la société elle-même, devrait sérieusement interpeler les citoyens. Surtout quand, d’un autre côté, il y a une absence manifeste d’empathie vis à vis de la tragédie des enfants victimes collatérales des séparations et des divorces.

 

L’heure n’est sans doute plus à la tergiversation ou aux fausses réformes. Les millions de pères et mères victimes de voir leurs enfants sacrifiés, ainsi que l’ensemble des français, doivent maintenant s’évertuer à redresser des institutions qui semblent avoir échappées à tout bon sens…

 

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»

«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 

 


Nos propositions… Plus d’infos, suivez ce lien .

 


Les propositions de la « marche des pères du 15 septembre 2013 »
(https://www.facebook.com/collectif.copco)

 

 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : souffrances familiales face à l’inertie politique

 

 


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Un enfant exclu du lien avec sa mère, entreprend de la revoir. A l’occasion d’une émission de téléréalité, et après 30 ans de séparation d’avec sa mère, il la retrouve, enfin…

L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. L’exclusion parentale est une maltraitance

 


[Jésus, Nabi Isa(as), Yeshoua] Que ton Esprit nous donne d’éprouver la souffrance de la séparation, de voir notre péché, et d’espérer au-delà de toute espérance.

 


Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.

Ne me passez pas à l’autre , à la porte de la maison, comme un paquet.

Ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.



L’aliénation parentale ou comment rendre son enfant fou !

Dr Victor Simon
(Dir. du Centre d’Hypnose et Psychosomatique)

"Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…)".(Dr Victor Simon)

L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer. (Dr Victor Simon)


 


Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale


Un enfant aliéné demande des comptes

 

 


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Témoignage d’une mère victime d’aliénation parentale et réflexion à propos d’un radeau sans capitaine dans une société à la dérive…

 

 Dans un monde où les enfants sont les grandes victimes des familles déstructurées, y-a-t-il encore l’espoir d’une volonté politique pour incarner un "changement" ?

Les enfants sont détruits psychologiquement par les conflits parentaux. La cellule parentale, n’est plus que l’ombre d’elle même : dans le meilleur des cas, encore à deux, accrochés au gouvernail d’un radeau de fortune, sinon l’un des deux, déjà tombé à l’eau… Dans ce cas là, l’enfant est sans repère et se construit (ou se déconstruit) à l’image d’une société, qui semble partir elle-même à vau-l’eau…

Pendant ce temps que font les professionnels des affaires familiales ? N’abusent-ils pas pour certains, du réflexe de l’autruche ? Sinon d’une certaine complaisance liée à l’inertie des habitudes fatalistes ? Voire carrément du déni de la boucherie sociale qui se déverse parfois sur leur pied ? Car du point de vue du justiciable, le cadre légal ressemble plus à une grille de loto où parents et enfants sont bien loin d’être à l’abri de tirer le mauvais lot consistant à repartir avec une vie bouleversée… Il est clair que la complexité de la question familiale est telle qu’elle dépasse la seule réponse juridique et devrait-être prise en compte d’une manière adaptée et plus globale. L’intérêt supérieur de l’enfant restant toujours au coeur de la problématique : encore faut-il ne pas se contenter de l’expression mais s’emparer du sens (sans le déformer).

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L’inertie des mauvaises habitudes sinon la politique du pire ?

La grande question demeure, qu’est-ce qui empêche de redresser la situation ? Pourquoi les clous qui jonchent la route de la résolution des conflits, s’y trouvent toujours après le passage du rouleau compresseur judiciaire ? Pourquoi la politique stagne et périclite en face d’une tumeur qui s’enracine depuis des décennies ?

Au delà des beaux discours, n’est-ce pas déjà là, l’absence réelle de la volonté du "changement", pourtant sans commune mesure avec a contrario l’acharnement obstiné et démesuré, qui est déployé pour tenter d’imposer aux français un projet de loi hasardeux sinon carrément décadent et que ces derniers ne veulent en aucun cas être mis en place. Cet entêtement frisant la pathologie, s’agissant du projet de loi sur le mariage gay avec en ligne de mire la PMA (Procréation Médicalement Assistée) puis la GPA (Gestation Pour Autrui), est assez symptomatique d’une élite parfaitement déconnectée des réalités et des vrais attentes de ses concitoyens. Le rappel à l’ordre clairement manifesté à l’occasion du plus grand rassemblement citoyen depuis des décennies ce dimanche 13 janvier 2013, a été l’occasion de le rappeler.

Ah si seulement ne serait-ce qu’1% de tout cet acharnement, qu’on espère vain, de cette élite politique, pouvait être utilisé avec la volonté a contrario, de résoudre les VRAIS problèmes familiaux qui sont posés depuis plus de 30 ans et ainsi répondre aux vraies attentes des français…

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Des mesures temporaires simples à mettre en oeuvre

Car le problème est bien l’absence de volonté, bien au delà d’un budget même réduit et dont on ne cesse de décrier l’insuffisance. Car une augmentation seule des moyens ne suffirait pas à combler le vide par ailleurs dégagé par cette force d’inertie des mauvaises habitudes sinon par l’absence d’imagination à mettre en place quelques mesures aussi simples qu’efficaces, dans l’attente d’une politique plus ambitieuse qui viserait à restaurer sinon encourager la stabilité des ménages nécessaire à l’éducation des enfants…

Comment ne pas s’étonner par exemple, concernant les séparations, qu’en introduisant la notion de couple parental, personne n’ait envisagé d’y ajouter celle de la zone parentale (?) et ainsi prévenir de facto, une résolution intrinsèque, liée au risque de l’Eloignement Géographique Volontaire (EGV) puisque d’une manière quasi-automatique, elle pouvait prévoir que les deux parents soient de fait encouragés à faire respecter le droit de l’enfant à maintenir ses liens parentaux plutôt qu’à le rendre caduque, par un éloignement ?

Comment aussi ne pas permettre aux forces de l’ordre qui constatent une infraction de Non Représentation d’Enfant ( NRE ) – de procéder à une simple verbalisation immédiate ; plutôt qu’à leur faire saisir des plaintes chronophages (25 000/an) et parfaitement inefficaces ; sauf à rendre fou les parents et les enfants indûment séparés (cf. Dr Victor Simon). L’amende (ou astreinte immédiate) au contraire, suffirait dans beaucoup de cas, à dissuader efficacement et immédiatement l’entreprise perverse du parent excluant et ainsi réduire les conséquences graves sur la psychologie de l’enfant

Au lieu de cela, en semant lâchement les graines des méandres interminables de la procédure judiciaire, on finit par être complice d’une rupture définitive du lien parent-enfant (plutôt que l’inverse). Si les juges ne doivent se soucier que du respect de la loi a posteriori, alors qui, pour encore incarner l’arbitre social et moral nécessaire à la prévention et au dialogue pour désamorcer l’escalade des conflits conjugaux puis parentaux : plus de chef de village, de juges de paix, de chefs de famille (élargie), plus de paroisses, … plus de valeurs (?), l’individualisme trône sur sa tour penchée et la société baigne dans une boue Gnam Gnam, avec pour seul lien social encore solide : la télé du salon voire un compte face-de-bouc…

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En l’absence de structure adaptée, sur qui peut-on encore compter ?

Alors pourquoi, dans un tel contexte où il n’y a d’ailleurs que peu ou prou de "code de la famille", la justice devrait-elle donc continuer à s’occuper de quelque chose dont elle ne dispose visiblement pas de toutes les clefs pour agir efficacement (et rapidement) avec parfois même un rôle inducteur dans le drame familial ? Pourquoi ne met-on pas en place une structure adaptée pour résoudre les problématiques rattachées à ce "pilier de la société" qu’est la famille ?

Car dans le même temps, on multiplie la possibilité que chaque désaccord dans le couple (conjugal ou parental) devienne un risque de ramener le conflit devant une juridiction qui pourtant ne semble pas être adaptée pour le soigner, sauf s’il faut achever le malade. Quand on sait que l’enfant en fera les frais : combien de temps encore, va-t-on à ne pas réagir autrement qu’en mettant la tête dans le sable ?

Face à un problème de société majeur dont les gouvernements successifs au pouvoir, se montrent parfaitement incompétents, doit-on finalement continuer à espérer l’émergence de l’embryon d’une résolution politique ou judiciaire ?

N’est-ce pas finalement à la société toute entière et aux citoyens qui la composent d’incarner chacun l’amorce d’un changement qu’il souhaite voir s’opérer, pour peut-être espérer voir se réaliser l’éventualité d’une réorientation, de plus en plus urgente ?

 

Ex. d’un appel à l’aide d’un parent qui ne voit plus son enfant…

« Bonsoir,
je suis une maman qui avait un fils qui a 12 ans, j’en parle au passé car mon fils ne veut plus me voir à cause de son père,

il y a 2 ans mon fils était en détresse et un dimanche il a fait une menace de suicide par pendaison, j’ai donc fait une chose que tout parent aurait fait, j’ai été au urgence avec mon fils pour qu’il voit un médecin et de pouvoir parler de tout cela avec lui, je ne le regrette pas et si c’était à refaire je le referais, malheureusement son père est arrivé aux urgences aussi, et là, il a été dire à mon fils devant témoin « ta mère veut t’enfermer chez les fous, tu n’en ressortiras jamais » depuis il le harcèle avec ca, et du coup mon fils ne veut plus me voir car il croit son père, son père a profité de la situation pour m’enlever mon fils et ainsi continuer à le manipuler tranquillement sachant que maxime ne veut plus me voir. Ca fait 6 ans que maxime est manipulé, voire pire depuis 2 ans.

Depuis 2 ans, juge, avocat, médiateur, assistante sociale, etc…. on tous remarqué que mon fils était et est toujours manipulé par son père « c’est bien marqué dans les rapports » mais pour une raison qui m’échappe personne ne fait rien contre lui, malgré les plaintes que j’ai déposé, malgré les rdv chez le jaf, le juge pour enfants, personnes personnes ne bougent,

je suis désespérée de ne plus voir mon fils, ma vie s’est brisée le jour ou on me l’a enlevé, j’ai beau faire les choses comme il faut….malgré qu’il ne veuille plus me voir, je lui écris des lettres toutes les semaines, sans jamais de réponse, aucun coup de fil, j’ai perdu mon fils à cause de son père. je demande pas grand chose je veux juste que mon maxime me revienne.

AIDEZ MOI SVP…….. QUE DOIS JE FAIRE……….

VERS QUI ME TOURNER………..

Une maman ! »

[voir ici le témoinage d’une autre mère …(FleurBelge)]

Courage aux mères et aux pères (et surtout à tous ces enfants) abandonnées par cette absence de volonté politique à vouloir s’occuper des vraies problématiques familiales.

Cf. Statistiques « Les vrais chiffres du divorce« 

La structure judiciaire actuelle n’est pas adpatée pour gérer le conflit parental

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Seulement comment une structure judiciaire avec ses 15 min consacrés en audience (où les parties s’expriment via leurs avocats, appuyées par des attestations, enquêtes, expertises qui ne reflètent pas toujours la réalité), pourrait-elle décemment prendre en compte des cas souvent complexes ?

Comment peut-on espérer qu’elle puisse dans ces conditions, intégrer des notions pourtant monnaie courante du conflit comme la calomnie(1), l’aliénation parentale(2) (manipulation de l’enfant / conflit de loyauté), la perversion(3), la violence (qui n’a pas de sexe et qui ne s’exprime pas toujours physiquement),… ?

Pourquoi ne pas prévoir au delà de la décision judiciaire, un suivi pour tenir compte de l’évolution, en prévoyant une adaptation et d’autres aménagements visant le bien être de l’enfant dans son contexte familial – autrement que par un retour devant la même juridiction qu’au départ : c’est à dire dans les mêmes circonstances…

La justice fait appliquer la loi. Elle peut arbitrer les conflits du point de vue de la légalité. Il n’y a que peu ou prou de code de la famille en France (cf. article). Puisque une grande liberté est octroyée au juge pour statuer : comment dans le même temps ne pas octroyer le temps nécessaire au bon jugement.

La structure judiciaire actuelle n’est pas en mesure de pouvoir arbitrer correctement, autrement que les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant). Pour les autres cas, il faut faire le constat d’un jugement grevé d’une dimension hasardeuse prédominante.

Il faut donc mettre en place une structure adaptée pour gérer le conflit. Et parallèlement, dans un contexte où la société tend au fil des générations à avoir des unions de plus en plus brèves (et en tout cas inférieures au temps nécessaire à l’éducation des enfants), il faut inverser cette tendance et donc s’attaquer également aux causes plutôt que seulement tenter d’en résorber les conséquences.

Force est de constater que dans un cas, comme de l’autre, rien n’est fait et au contraire la tendance semble même continuer de prendre le chemin inverse. Ne pas agir, ni comprendre que la famille est le pilier de la société, c’est par ignorance ou complicité, s’associer à son destin immanquablement funeste, tant désormais, le problème par son ampleur est devenu quasi-sanitaire (cf. statistiques)

En attendant, on se consolera en constatant que face à cette inertie politique manifeste (sauf quand il s’agit d’imposer des projets parfaitement inopportuns) et donc face à une élite qui ne daigne pas réagir à la hauteur des responsabilités et des enjeux dont elle a le mandat ; le peuple sait lui par contre, témoigner une défiance sans équivoque et un message parfaitement clair (pour qui n’est pas sourd…)

 

Manifestations historiques 2013 à Paris
pour dire Oui à la Famille et Non au mariage Gay
Vox populi, vox Dei



 

QUELLES MESURES PRENDRE ? [Dans l’attente d’une politique de la famille ambitieuse, sur le long terme …]

 

I/ DES MESURES DE PREMIERES URGENCES :

  • 1/ PERMETTRE AUX FORCES DE L’ORDRE DE DRESSER DES PROCES VERBAUX de manière immédiate et automatique en cas de constatation de NRE (Non Représentation d’Enfants). [Plutôt qu’à devoir saisir 25 000 plaintes/an sans effets]
  • 2/ DEFINIR UNE ZONE PARENTALE pour prévenir les EGV (Eloignement Géographique Volontaire) et afin de permettre le cas échéant une mise en place ultérieure de la garde alternée si elle est souhaitée. [Pour prévenir à court terme la souffrance de l’enfant séparé et à long terme le risque de conflit de loyauté/aliénation/manipulation et surtout faire respecter les droits de l’enfant à ne pas être arraché de l’un de ses parents]
  • 3/ PRIVILEGIER LA RESIDENCE EGALE (Si elle est souhaitée par les deux parents ou si les deux parents sont demandeurs d’une garde privilégiée et qu’aucun accord n’est trouvé)

    • Si l’un des deux parents NE résident PAS dans la zone parentale et qu’aucun accord n’est trouvé pour un mode de garde équitable : le parent qui y réside toujours est de facto privilégié pour la garde principale.
    • Si les deux parents résident dans la zone parentale et que l’un des deux refuse un mode de garde équitable qui est demandé par l’autre. Charge à celui qui refuse de démontrer qu’il est "le plus à même de faire respecter le droit de l’enfant à voir ses deux parents".
  • D’une manière générale : PRIVILEGIER DES DEUX PARENTS, CELUI LE PLUS A MEME DE GARANTIR A L’ENFANT DE RESTER EN CONTACT AVEC SES DEUX PARENTS – A défaut d’accord entre les parents ou ultérieurement, en cas de naissance d’un conflit parental.

 

II/ DES MESURES DANS UN SECOND TEMPS : [Visant la réduction des conflits et une meilleure régulation par une plus grande proximité et une meilleure prise de conscience de l’intérêt de l’enfant.]

  • PREVENIR LE CONFLIT PARENTAL [par des mesures de prise de conscience.]
  • REGULER LE CONFLIT PARENTAL de manière rapide et évolutive
    [Le contexte du conflit parental exige une réactivité, une proximité et une écoute nécessaire pour le réguler et assurer le suivi de son évolution.]

    • Désigner une personne de proximité à qui on délègue la charge d’arbitrer le conflit naissant ou le suivi d’un conflit latent, dans la limite de son autorité morale, afin de tenter de le désamorcer. Cela peut-être n’importe quelle personne qui a la confiance des deux parents et qui en accepte la charge ou à défaut, un médiateur ou une autorité locale qui en accepte la charge.
    • Eventuellement renforcer la prise de conscience de l’intérêt de l’enfant à se développer dans le contexte d’un couple parental serein (stages/formation visant la sensibilisation sur ce thème)

 

III/ DES MESURES A LONG TERME :

  • ENCOURAGER DES UNIONS AVEC ENFANT(S), PERENNES [Au moins le temps nécessaire à l’éducation des enfants]

 


« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).

« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »

  

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2013/01/16/souffrances-familiales-et-autisme-gouvernemental/

 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : Lost Story ou la recherche du modèle sociétal perdu

 

 


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Témoignage d’une mère victime de loups déguisés en agneaux…

 

Une mère fait appel aux services sociaux pour l’aider : Une erreur ? En tout cas, les conséquences ne manquent pas de faire "beaucoup de dégâts" pour sa fille notamment (aujourd’hui traumatisée par plusieurs années d’arrachement).

Les services sociaux sont dans le déni de la souffrance des enfants arrachés aux parents. Les dégâts sont colossaux, mais le système parfaitement autiste. L’Inspecteur Général des Services Sociaux reconnait lui même l’ampleur du gâchis humain quand il annonce que "50% des enfants retirés à leur parents, le sont sans nécessité (!)"

C’est un véritable scandale, et ca dure… immuable…. Donc, les parents doivent être très vigilants et sensibilisés sur ces risques : en attendant, que les autorités veuillent bien amorcer "le changement" et se saisissent des problématiques qui n’ont pas l’air de vouloir se régler … (5 ans après, l’Inspecteur Général des Affaires Sociaux faisait ce même constat : rien n’avait été fait)

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Services sociauxA voir également : Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales … qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas mettre en place des solutions alternatives au retrait (assistance, suivi, thérapie, etc…). Et toujours cette même constatation : Une confusion gravissime entre Principe de précaution et Principe de protection…

PROTECTION <!> PRECAUTION
(à répéter 10 fois avant de franchir la porte et rentrer chez une famille.)

 

Quant aux Affaires Familiales et les exclusions parentales "classiques", on continue également de mener une politique de l’autruche ! Pourtant, les professionnels considèrent comme un secret de polichinelle, les problématiques de Non Représentations d’Enfants (NRE) et les Eloignements Géographiques Volontaires (EGV), etc..

Malgré cela : toujours aucune initiative mobilisée pour régler en urgence ces problématiques d’Exclusion. Cela ne nécessiterait pourtant, que très peu d’énergie comparée à celle démesurée mise en balance, pour permettre l’adoption homoparentale Qu’est-ce qu’on attend donc, encore, pour réagir efficacement (et rapidement) pour régler une bonne fois pour toute, ces absurdités et ces vies gâchées ?

 


Voici donc les quelques conseils de Nathalie Courcier, une mère victime, avant de se décider à décrocher le téléphone …

"Attention à Ne pas confondre éducateur et psychologue. Elles savent très bien y faire, pour se rendre sympathique (…) Et elles se sont servies de mes confidences, et les ont amplifiées. Cela nous a porté préjudice"

"Je voudrais que ces erreurs au niveau des enfants soient plus médiatisées (…) parce que ca fait énormément de dégâts dans une vie, dans la famille et ca aurait pu aller plus loin…"

"Je voudrais donner un conseil à toutes les mamans assez fragiles. Surtout mettre en lien votre psychologue avec l’éducateur, si vous êtes suivi : votre psychologue, psychiatre est la seule personne qui peut savoir si vous êtes dangereux ou pas. Pas l’éducateur (…)" (Nathalie Courcier)
 


« Ils m’ont reprochés d’avoir une relation trop fusionnelle » (…)


https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/12/02/recourir-aux-services-sociaux-equivaut-il-a-appeler-un-pyromane-en-cas-dincendie/

 


« La situation de l’Exclusion Parentale est à ce point catastrophique qu’elle donne l’impression d’être traité par la « politique de l’autruche ? »(…).

Seulement on ne doit pas abandonner des milliers et des milliers d’enfants à la souffrance muette sans rien faire d’autre que se voiler la face. Il est grand temps d’agir

 


 

A suivre : Souffrance de l’enfant séparé de ses parents Les services sociaux, lui retirent son enfant : "Ils m’ont reproché d’avoir pris 20kg pendant ma grossesse"

 

 


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Gianna Jessen, un ex-bébé avorté, témoigne !

 

« Gianna a subi un avortement salin (en tant que bébé). Les seuls stigmates qu’elle conserve de cet avortement raté est un handicap physique à vie. Par contre, d’un grand coeur et d’une détermination à toute épreuve, elle n’est pas en reste…»

« Le docteur qui aurait pu m’achever n’était pas là, c’est ce qui m’a sauvé ! »
 


Ginnia Jessen about her own abortion, as a baby

 


le cri silencieux ? (LLP, Salim Laibi)

 


Une jeune fille de 12 ans fait le bilan

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/08/03/un-bebe-avorte-se-leve-et-temoigne/

Autre article récent : Etiquetages psychiatriques : les enfants malades imaginaires Article connexe : Grossesse : bientôt des utérus artificiels ?

 

 


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Natacha n’a plus pour seul espoir qu’on lui rende son enfant.

« Je me demande pourquoi on s’acharne comme ça sur moi ?»

Témoignage émouvant de Natacha, Maman handicapée, maltraitée, violée dans son enfance et qui maintenant continue une vie pénible alors que le calvaire aurait pu s’arrêter là. On vient de lui retirer ce qui lui était le plus cher : son enfant. »

Services sociaux

Elle a visiblement eu le tort de s’adresser à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) pour une demande d’aide ponctuelle. L’approche a été avenante de la part du personnel social. Néanmoins, elle en est ressortie avec un signalement. Natacha évoque parmi les raisons : des draps pas propres et pas de barrière de sécurité pour le lit de l’enfant,…

Par contre, force est de constater par ce simple témoignage, que Natacha a de l’Amour à revendre et est demandeuse du lien. Elle ne souhaite pas abandonner son enfant. Même handicapée, elle a pu enfanter et mettre au monde un enfant. Elle l’aime tout naturellement.

Il faut espérer que cela ne soit pas le fait d’être handicapée qui serait cause d’un traitement de défaveur (chose que l’on n’envisagerait pas même pour un animal de zoo) ? Non plus que notre société accorde plus d’importance a un apriori pour un drap ou une « barrière de sécurité » sans tenir compte de l’Amour d’un parent. Serait-il possible de croire que le confort matériel soit vraiment plus important pour entourer un enfant qu’un Amour maternel et dévoué ?

Non plus de se demander si Natacha aurait une habilité suffisante pour prodiguer une éducation digne du point de vue d’une société au bord de la banqueroute mais encore donneuse de leçon ? Car alors, de quelle éducation parlerait-on ? De celle que l’on a déléguée à l’école (maintenant dès la crèche) sinon à celle prodiguée par la télévision ou maintenant Internet ? Ou bien sinon, qu’est-ce qu’un autre parent saurait apporter à son enfant, que Natacha ne saurait pas ? Compter ? Réciter l’alphabet ? Lire une histoire ? Le calcul matriciel ou stochastique et les mathématiques financières afin que l’enfant puisse faire valoir ses diplômes auprès de son agence pour l’emploi de rattachement ?

Car s’il ne s’était agi que d’Amour, Natacha n’est-elle peut-être pas là au contraire, une « surdouée ? Car sinon, comment continuer à se battre sans baisser les bras, malgré les difficultés, son handicap, les stigmates de ses souffrances de l’enfance ? Sinon quoi d’autres pour moteur que celui de vouloir être en mesure de donner à son enfant son Amour parental et légitime ?

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+ A voir également Pierre Naves (alors Inspecteur Général des Affaires Sociales) reconnaissait que 50% des placements (soit 68 000 enfants!) pouvait être évité… Quand on connait le coût de placement (sans  compter les dégâts humains et la souffrance des enfants séparés), on peut légitiment se poser des questions sur ces pratiques de substitution de la légitimité parentale au profit d’organisme comme l’ASE (anciennement appelé DDASS avant 1983, c’est à dire avant l’affaire du Coral).

A suivre (article connexe) : Priver abusivement un enfant d’un de ses parents est une maltraitance psychologique A suivre (article connexe) : La Souffrance de l’Enfant Séparé


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Le féminisme, est-ce bien l’émancipation pour toutes ?

« En fait il faut bien distinguer le féminisme de la féminité. Le féminisme, c’est un mouvement politique un peu sur le modèle du marxisme qui prétend que l’histoire c’est la lutte des classes ; là, il prétend que l’histoire c’est la lutte des sexes. Et qu’en fait le but de l’histoire, c’est de libérer les femmes de l’oppression qu’elles subissent de la part des hommes. Donc c’est une vision du monde, que j’appelle moi, un communautarisme victimaire. Effectivement, il y a un petit côté mono déterminisme, c’est à dire : "les femmes sont aliénés par les hommes et il faut qu’elles se libèrent de l’oppression masculine." (C’est la première définition sérieuse du féminisme…)

On manipule les revendications féministes qui sont souvent légitimes : la libération des femmes, pour en réalité les mettre au service de la société marchande et de la société du salariat, ce qui est la même chose : pour acheter, il faut un salaire. En fait, on s’est servi des revendications féminines d’émancipation pour mettre les femmes au travail salarié. Pour en faire des travailleuses salariées et des consommatrices. Ca été en deux temps.(…) (Alain Soral, Sociologue)

 

 

D’ailleurs, ca a commencé aux Etats-Unis. Ca s’appelle la théorie de "la nouvelle femme" qui consiste à sortir la femme du foyer qui est un rôle non-marchand, on va dire sans pouvoir d’achat direct. Et de la culpabiliser et en même temps, de lui faire prendre conscience, forcer sa conscience pour qu’elle pense qu’être femme au foyer, mère de famille, épouse, c’est une aliénation, une souffrance. Et finalement de la faire passer de la sphère d’influence de son mari, à la sphère d’influence du patron : ce qui est assez ambigüe… Puisque l’on se rend compte à l’arrivée que la femme se retrouve, grâce au combat féministe, avec une double aliénation qui est de subir à la fois le mari et le patron. C’est ce qu’on appelle "la double journée" : être à la fois, mère au foyer et en même temps, travailleuse salariée. Et que ca a souvent, surtout dans les classes populaires, aggravé sa situation au quotidien, que ca l’a amélioré.

 

Ce qui amène d’ailleurs, à un autre constat : le féminisme ne transcende pas les rapports de classe. Parce qu’en réalité, l’intérêt de l’émancipation féministe a surtout été l’intérêt des bourgeoises, c’est à dire des femmes de la bourgeoisie, et elles l’ont rarement identifié comme tel. En réalité, les 3/4 des combattantes féministes sont des bourgeoises. Et effectivement, essayent de s’émanciper de leur rôle de femme au foyer, ou de femme entretenue, de mère de famille pour aller vers la société civile qui est pour elle un plus parce que ca consiste à avoir des métiers intéressants (avocate, chercheuse, libraire, etc…). Alors que chez les femmes des classes populaires, c’est non seulement s’occuper de la maison, des enfants et du ménage et en plus se retrouver ouvrière à la chaîne, …

Et ce qui est assez intéressant, c’est que du côté des classes populaires, l’émancipation des femmes passe plutôt par échapper à l’impératif de production du salariat pour pouvoir à la limite devenir femme entretenue, femme au foyer : ce qui est un luxe et une aspiration pour les femmes des couches populaires. Alors que dans la bourgeoisie, c’est échapper à l’ennui de la maîtresse de maison de la bourgeoisie pour accéder à une vie sociale plus intéressante, dans des métiers intéressants… Il y a une opposition en terme de classe entre ce à quoi aspire la bourgeoise, en terme d’émancipation et ce à quoi aspire une femme des couches populaires. Et le féminisme a rarement identifié cette contradiction. Et il est assez facile de voir que la plupart des leaders féministes sont en générale, des femmes de la bourgeoisie. (…) (Alain Soral, Sociologue)

 

 

 


#humour – Les Monty Pythons : la revendication masculine à avoir des bébés

 


#humour : dérision autour d’autres « revendications » (plus pragmatiques)

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/21/le-feminisme-aurait-on-menti-aux-femmes-pendant-50-ans/

 

 


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Les hommes peuvent-ils allaiter ?

«Il existe en Afrique centrale une population de 20 000 pygmées dont les représentants mâles ont été baptisés "les meilleurs papas du monde" : les pères passent énormément de temps auprès des nouveaux-nés (plus que dans n’importe quelle autre société au monde) et certains arrivent même à se provoquer un processus de lactation. En clair : ils sont capables d’allaiter les bébés.

Anomalie génétique ? Pas vraiment. Les mâles de l’espèce humaine possèdent le même dispositif nourricier que les femmes : des tétines, des glandes mammaires et une hypophyse. Dans son ouvrage The Descent of Man, Darwin s’était beaucoup intéressé à cette particularité. Comment expliquer que les hommes possèdent deux mamelons et tout le dispositif afférent mais que ces organes restent "muets", non-fonctionnels ? Darwin pensait qu’à une époque lointaine, chez les mammifères, les deux sexes allaitaient leur progéniture mais que les mâles avaient progressivement délégué ce rôle à la femelle et que leur système nourricier avait fini par devenir inactif.

Aucun indice (sur les fossiles) ne permettant de corroborer cette hypothèse, les biologistes l’ont longtemps tenue pour une divagation. Certains, comme l’ornithologue Douglas Long (interrogé par la journaliste Susan MacCarthy), affirment doctement : « Sur les milliers d’espèces mammifères, aucune d’entre elles n’est capable d’allaiter. C’est très intrigant, mais il faut se rendre à l’évidence. » Des tétons, on se contentait donc d’affirmer qu’il s’agissait d’un résidu de cette étape du développement embryologique correspondant à la phase hermaphrodite du foetus (1). C’était tout.

Et puis voilà qu’en juillet et en août 1992, « dans la forêt pluviale de la Krau Game Reserve, à Kuala Lompat en Malaisie, le zoologiste canadien Charles Francis et ses collègues font une découverte unique et, au plus haut point, déconcertante », raconte Stéphane Deligeorges, journaliste à La Recherche. Ils attrapent une vingtaine de chauve-souris frugivores de Dyak, appelées également dyacoptères (Dyacopterus spadiceus) et découvrent avec effarement que les mâles matures présentent des mamelles fonctionnelles : elles délivrent du lait quand on les presse. De quatre à six microlitres. « Minimes, certes, en comparaison de celles fournies par les chauves-souris femelles, soit quelques 350 microlitres », mais tout de même bien suffisant pour faire attendre le petit quand sa maman s’absente… Lorsque cette découverte est publiée, de nombreux chercheurs s’interrogent : si les tissus mammaires des mammifères mâles sont similaires à ceux des femelles, qu’est-ce qui les empêche de fonctionner ? Tout semble tenir à quelques hormones.

Chez les femmes, c’est la prolactine (produite notamment lorsqu’elle accouche) qui met en route la laiterie. Mais chez les hommes, la dopamine inhibe presque systématiquement la production de prolactine et empêche le circuit nourricier de fonctionner. Pour que la lactation des mâles puisse survenir, il suffirait de modifier chez eux le taux de dopamine. Il arrive d’ailleurs que certains désordres ou traitements hormonaux aient cet effet : dans son article, Stéphane Deligeorges cite deux cas de lactogenèse mâle observé chez des hommes âgés de 62 et 64 ans qui, au cours de leur chimiothérapie, se seraient mis à produire des quantités de lait « importantes et prolongées ». Ces cas ne sont pas isolés.

Sur le site Momlogic, un article intitulé "The men who breastfeed"(13/08/2009) relate plusieurs cas de pères ayant allaité leur progéniture. Le plus célèbre, rapporté par l’Agence France Presse, est celui du Sri Lankais B. Wijeratne. En 2002, il perd sa femme qui meurt en couche, laissant au monde une petite fille de 18 mois et un nouveau-né orphelin. Les deux enfants refusent de boire du lait de vache. « Elles le rejetaient chaque fois que je les nourrissais avec une bouteille, raconte Wijeratne.Alors, incapable de supporter leurs cris, je leur ai offert ma poitrine et je me suis aperçu que je pouvais les nourrir. » David Livingstone, voyageur et explorateur, avait relaté une histoire très similaire dans ses mémoires (2) : vers 1858, en Ecosse, l’épouse d’un homme ayant été mise à mort, elle avait laissé au monde un petit garçon qu’il semblait impossible à sevrer… L’enfant mourait de faim. Dans son désespoir extrême, l’homme mit son fils à la poitrine et constata avec stupeur que sa poitrine produisait du lait.

A la même époque, le naturaliste allemand Alexander Freiherr von Humboldt affirmait avoir vu de ses propres yeux, en Amérique du sud, un père de 32 ans nourrir son enfant au téton pendant la maladie de sa femme. En 1896 dans le livre Anomalies and Curiosities of Medicine, George Gould et Walter Pyle affirment qu’à Baltimore, un Américain de 55 ans était devenu la nourrice de sa maîtresse… Le cas des pygmées Aka n’est donc pas totalement isolé. Pour le Docteur Suzanne Gilberg-Lenz, qui consacre au phénomène un article sur Momlogic, « Il est en effet possible que sous l’effet d’un choc un homme se mette spontanément à produire du lait, mais c’est rare, très très très rare. Nous avons tous, de façon instinctive, la capacité de produire du lait pour sauver la vie de bébés. Mais en dehors de ces cas extrêmes, il faut avoir pris des médicaments qui augmentent le taux de prolactine pour que cela ait lieu. Ou bien il faut souffrir d’une tumeur affectant la sécrétion de certaines hormones pituitaires… J’ai entendu parler de mères adoptives qui procédaient à des pompages de sein réguliers, plusieurs fois par jour, afin de déclencher en elles le processus de lactation, donc je suppose qu’un homme pourrait également y parvenir, mais même en stimulant sa poitrine pendant plusieurs mois, il ne parviendrait guère à produire que quelque gouttes… Pas de quoi contenter un bébé. » Sigbritt Werner, professeure d’endocrinologie à l’Institut Karolinska de Stockholm confirme : « Les femmes baignent dans un bain »d’oestrogène pendant neuf mois avant d’allaiter. Ça prend du temps de mettre en marche le processus. Les hommes peuvent bien essayer mais au final ils n’obtiendront guère que quelques gouttes. Est-ce que ça vaut le coup ? Je ne crois pas ». (…)

 

source : Liberation via lplm (les papas = les mamans)

 

NB : A défaut de pouvoir allaiter, les hommes pourront se consoler en lisant cet extrait d’expertise psychiatrique et se conforter qu’ils ont pleinement leur place dans la relation avec l’enfant, et ce, dès le plus jeune age :

"Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade).

C’est à partir de la deuxième et notamment à partir de la troisième et quatrième année que l’enfant suit le rythme naturel et commence à se développer en s’éloignant de sa mère, en se détachant d’elle et, pour ce faire, il a besoin de son père pour réussir son individuation, sa séparation et son autonomie.

Lorsque celui-ci manque, pour quelques raisons que ce soit, l’enfant reste souvent littéralement lié à sa mère avec tous les impacts sur le développement de sa personnalité. Les complexes de symbiose non résolus (relations fusionnelles à la mère) jouent un rôle important pour de nombreuses maladies de l’âge adulte telles que les névroses d’angoisse, les dépendances, les troubles de conduites du comportement alimentaire et les maladies psychosomatiques"

(EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes) [Citations d’expertise psychiatriques]

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/07/une-bonne-nouvelle-pour-le-feminisme-les-hommes-aussi-peuvent-allaiter/

 

A suivre : Les articles les plus populaires A suivre : Un bébé avorté se lève et témoigne

 

 


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Merci de bien vouloir diffuser cette lettre

à tous les parents séparés
(ainsi qu’à tous ceux qui pourraient être sensibilisés par la situation des enfants du divorce)


« Chère Maman,  Cher Papa ,

N’oubliez jamais: je suis l’enfant de vous deux . Maintenant, vous ne vivez plus ensemble, mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre.

Ne me demandez pas si j’aime plus l’un ou l’autre. Je vous aime tous les deux tout autant. Ne critiquez donc pas l’autre devant moi. Car cela me fait mal.

Aidez-moi à maintenir le contact avec celui d’entre-vous chez qui je ne suis pas. Formez son numéro de téléphone pour moi, ou écrivez-moi son adresse sur une enveloppe. Aidez-moi, à Noël ou à l’occasion de son anniversaire, de lui confectionner ou de lui acheter un beau cadeau. De mes photos, faites-en toujours une copie pour l’autre.

Conversez comme des adultes . Mais conversez. Et ne m’utilisez pas comme messager entre vous – encore moins pour des messages qui rendront l’autre triste ou furieux.

Ne soyez pas triste quand je vais chez l’autre. Celui que je quitte ne doit pas penser que je ne l’aimerai plus d’ici quelques jours. Je préférerais toujours être avec vous deux. Mais je ne peux pas me couper en deux – seulement parce que notre famille s’est déchirée.

Ne prévoyez jamais rien durant le temps qui m’appartient avec l’autre. Une partie de mon temps est à ma Maman et à moi; une partie de mon temps est à mon Papa et à moi. Soyez compréhensifs.

Ne soyez ni étonnés ni fâchés quand je suis chez l’autre et que je ne donne pas de nouvelles. J’ai maintenant deux maisons. Et je dois bien les distinguer – sinon je ne m’y retrouve plus du tout. Ne me passez pas à l’autre , à la porte de la maison, comme un paquet. Invitez l’autre pour un court instant à l’intérieur et conversez . Quand je suis recherché ou ramené, laissez-moi un court instant avec vous deux. Ne détruisez pas ce moment en vous fâchant ou vous disputant.

Laissez-moi être ramené par quelqu’un d’autre de la Maternelle ou de chez des amis si vous ne pouvez supporter le regard de l’autre.

Ne vous disputez pas devant moi . Soyez au moins aussi poli que vous le seriez avec d’autres personnes, comme vous l’exigez aussi de moi.

Ne me racontez pas des choses que je ne peux pas encore comprendre. Discutez-en avec d’autres adultes, mais pas avec moi.

Laissez-moi amener mes amis chez tous les deux. Je souhaite qu’ils puissent connaître ma Maman et mon Papa et les trouver sympa.

Mettez-vous d’accord au sujet de l’argent. Je ne souhaite pas que l’un en ait beaucoup et l’autre très peu. Il faut que ce soit bien pour tous les deux, ainsi je pourrai être à l’aise chez tous les deux.

N’essayez pas de m’habituer à la surenchère. De toutes les façons, je ne pourrais jamais manger tout le chocolat que j’aimerais.

Dites-moi franchement s’il vous arrive de ne pas pouvoir boucler le budget. Pour moi, le temps est bien plus important que l’argent. Je m’amuse bien plus avec un jouet simple et comique qu’avec un nouveau jouet.

Ne soyez pas toujours "actifs" avec moi. Cela ne doit pas toujours être quelque chose de fou ou de neuf quand vous faites quelque chose avec moi. Pour moi, le plus beau c’est quand nous sommes simplement heureux en train de jouer et que nous ayons un peu de calme.

Laissez le plus possible de choses identiques dans ma vie, comme c’était avant la séparation. Cela commence par ma chambre, ensuite sur les petites choses que j’ai faites tout seul avec mon Papa ou ma Maman.

Soyez aimable avec les grands-parents. Ils m’aiment et je les aime, ils veulent aussi être à mes côtés. Vous seriez aussi à mes côtés si je n’allais pas bien ! Je ne veux pas perdre, en plus, mes grands-parents.

Soyez "fairplay" avec le nouveau compagnon que l’un d’entre-vous rencontre ou a déjà rencontré. Je dois aussi m’entendre avec ces autres personnes. Je préfère quand vous ne vous espionnez pas jalousement l’un l’autre. Ce serait de toute façon mieux pour moi si vous rencontriez rapidement tous les deux quelqu’un que vous aimiez. Vous ne serez plus aussi fâché l’un envers l’autre.

Soyez optimistes. 

Vous n’avez pu gérer votre couple, mais laissez-nous au moins le temps que cela se passe ensuite bien. Relisez toutes mes demandes

Peut-être en discuterez-vous. Mais ne vous chamaillez pas. N’utilisez pas mes demandes pour faire des reproches à l’autre, aussi mal qu’il ait pu être avec moi ou que vous ayez cru qu’il le soit.

Si vous ne faites pas cela, vous n’aurez pas compris comment je me sens et ce dont j’ai besoin pour me sentir heureux. » (Jafland)

 


« L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. »(…).

Si la souffrance de l’enfant est négligée et qu’elle est intense par le fait d’une exclusion parentale, l’enfant va apprendre à se durcir, à ne plus aimer.

 


« …Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…) » »(…).

« L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer »


« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père» (…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr



« Garde alternée, retours d’expérience et jurisprudence » (…).

Pour préserver les enfants de la séparation, le plus important est de préserver la coparentalité au-delà de la séparation


.

Merci de bien vouloir diffuser cette lettre à tous les parents séparés (ainsi qu’à tous ceux qui pourraient être sensibilisés par la situation des enfants du divorce)
"Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés"
https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/04/les-20-demandes-dun-enfant-de-parents-separes/

 


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Jeudi 23/02/2012.

Bonjour Eric,

Je viens de lire la page de Corinne séparée de ces deux filles…

Depuis quelques mois j’ai eu l’occasion d’éprouver ces douleurs d’arrachements et de les considérer profondes et inextricables car on ne peut pas faire le deuil de son enfant vivant. Et encore moins au bilan, imaginer la souffrance de son propre enfant qui souffre de manière muette cette rupture (avec des sentiments d’autant plus à fleur de peau, qu’il est en bas âge)

On ne sait pas tout sur l’homme mais quelque chose me dit qu’il y a un ressenti sans mots entre un parent et son enfant. Et c’est donc bien heureusement (si je puis dire) qu’il y a cette souffrance en soi, car elle est immense et permet d’y puiser l’énergie suffisante pour continuer le combat sans discontinuer…

Tout le problème est d’apprendre à accepter cette souffrance (comme un chemin de croix, une épreuve de vie) pour enfin, canaliser cette énergie non pas dans l’expression d’une douleur jaillissante et sans contrôle qui serait alors perçue de manière inintelligible par ceux qui ne sont pas épris d’empathie ou qui sont ignorants. Pour ceux là, les appels de détresses et autres cris du cœur résonnent à point nommé comme une justification de leur ignominie. Dans pareil cas, s’acharner à faire entendre celui qui reste sourd est une pure perte de temps … S’il se complait dans la haine et l’ignorance, c’est qu’il aime le feu et veut s’y consumer …

Comme un cheval fougueux, il faudra donc apprendre à dompter la souffrance. C’est donc en expurgeant la haine et en canalisant la douleur, que pourra s’opérer la transformation de ces sentiments d’injustice et de désarroi, vis à vis de la détresse non pas seulement de son enfant mais aussi de tous les autres : ces 18 0000 enfants qui subissent l’aliénation parentale en France et ces 70 000 enfants enlevés par les services sociaux sans nécessité, et y compris tous ceux dans une adversité sans nom…

Ainsi, le combat pourra s’inscrire dans une dynamique vertueuse, patiente, sans coups bats, avec l’esprit du pardon car il nécessitera d’apprendre à aimer même ceux qui vous brisent, qui vous humilient, qui vous oppressent car vous n’êtes pas juge et ils ont leur libre arbitre : celui de se complaire dans la corruption, le déni, le clivage, la lâcheté,.. ou bien de s’y déplaire.

C’est donc avec l’esprit de leur donner l’opportunité de (se) réaliser (à leur rythme, suivant leur volonté) pour qu’ils empruntent la voie qu’ils ne connaissent pas (ou qu’ils ont oubliés) : celle de la justice, de l’honneur, de la compassion, …

Mais qui dit pardon, ne dit pas acceptation ou résignation mais bien au contraire détermination. Cela sans limite puisqu’il s’agit, non pas seulement de se tourner vers les égarés eux-mêmes mais de combattre principalement jusqu’au mal qui les égare…

Et quand sur ce champ de bataille où ils vous auront trainés et battus … et qu’enfin, la brume de leurs combats effrénés, pervers, et haineux… finira de se dissiper… Alors, ils vous y découvriront encore là, planter au beau milieu du champ, impassible et compatissant.

Leur haine a beau être vivace, bouillonnante et concentrée d’amertume ; l’Amour lui, sait être patient, apaisé et expansif sans limite : pour qui s’y plonge, sans hypocrisie et sans s’en détourner….

Et quand, ils comprendront enfin que chaque coup qu’ils portent sont des coups qu’ils se portent, qu’ils s’y souillent et qu’ils s’y brûlent : alors ils comprendront peut-être et se sauveront eux-mêmes … Car eux-seuls sont maîtres de leur honneur et de leur vertu … parfaitement libres d’en disposer, bon gré mal gré… et même parés du voile hypocrite, du déni de leur cruauté …

Merci Eric pour cette info.

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/23/aux-parents-dont-les-enfants-sont-victimes-dexclusion-parentale/

 

 


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Vers une société d’aliénés ?

Compte tenu de ces statistiques, on peut considérer qu’il s’agisse d’un problème sanitaire majeur avec des répercussions sociales à long terme. L’exclusion parentale conduit à une déstructuration psychologique de l’enfant avec des répercussions à long terme, pour l’enfant mais aussi pour la société…

.

.


Les vrais chiffres du divorce et de la séparation en France

(INED, INSEE, Ministère de l’Intérieur, …)

La famille française (ou ce qu’il en reste)

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  • 155 253 divorces (2006) dont 70.000 divorces impliquant des enfants mineurs (3 X plus de divortialité qu’en 1970)
  • 20% de familles monoparentale (2008) contre 12.5% (1990) – femme dans 85% des cas (cf. tableauInsee)
  • Les époux sont condamnés aux torts dans les 4 / 5 des divorces pour faute (contre 1/5 pour les épouses qui sont demanderesses du divorce dans 3 cas sur 4)

INSEE, soure « divorce « en forte augmentation »

  • 34 % de ces enfants ne voient plus jamais leur père et seulement 42% d’enfants le voit au moins 1 fois par mois !?
    (Rapport num 2832 Assemblée Nationale – "Mission d’information sur la famille et les droits de l’enfant" – p 212 – 25/01/2006 )

  • Selon l’Ined, seules 15% de familles monoparentales sont constituées par le père.
  • Au total, 1,3 million de pères seraient privés de leur enfant.

.INED, source

.

  • 25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans) [+ d’infos sur les N.R.E ici]
  • qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales)
  • Une situation qui tend à s’aggraver : "27 000 plaintes (2011) pour «non-représentation» et 150 000 mains courantes par an ! " (Ined via marianne.net)

.MINISTERE DE L’INTERIEUR, source : Ministère de l’Intérieur, 2010 via ACALPA

.

Autres statistiques

    • 2,24 millions d’enfants avec des parents divorcés soit 16 % des français âgés de moins de 18 ans.- 140 000 divorces et environ 350 000 séparations.

(cf. article « Enfants sans pères et sans repères »)

    • 270 000 hommes victimes (déclarées) de violences conjugales en France, 2010 (violences conjugales, les non-dits)

ONDRP Observatoire National de la Délinquance , 2011
(cf. articles « Hommes battus ca existe ?« )

    • 18 000 enfants victimes d’Aliénation Parentale (maltraitance psychologique) (6% à 13% des divorces)

(cf. article « Ces enfants que le divorce rend fou« )

 

.


La famille disloquée

Séparations : quel effet sur la structure familiale ?

« Plus l’enfant majeur de l’union rompue a cessé de vivre tôt avec ses parents, moins il les voit" (Résumé Insee 2005 enquête Erfiversion imprimable)

"Les ouvriers et employés séparés ont des relations moins fréquentes avec leurs enfants majeurs que les pères de milieux plus aisés. Ainsi, 46 % des enfants majeurs dont le père est ouvrier ou employé non qualifié ne le voient jamais, contre 13 % pour les enfants de cadres. Quand le couple parental est rompu, les enfants majeurs vivent plus loin de leurs parents. Bien que la distance pénalise tous les pères, les ouvriers et employés ont plus de mal à surmonter cet obstacle. Par ailleurs, la moitié des enfants majeurs d’une union rompue ont cessé de vivre sous le même toit que leur père avant leurs dix-huit ans ; les relations sont alors plus distendues. " (Résumé Insee 2005 enquête Erfiversion imprimable)

Une situation qui s’aggrave avec le temps écoulé depuis la séparation, l’éloignement géographique, la situation socio-professionelle du parent et d’autant si l’enfant était jeune au moment de la séparation.

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La famille monoparentale

Un model "dégénérationnel" ?

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Les familles monoparentales en constante augmentation . 12,4% en 1990 et 20,9% en 2009 (femmes avec enfants dans 85% des cas)


La famille monocellulaire

Des individus de plus en plus isolés…

.

La taille des familles réduite à peau de chagrin… (Des individus de plus en plus isolés dans un contexte économique défavorable et où a contrario la famille aurait pu représenter, le premier niveau de solidarité naturelle. Plutôt qu’à les laisser seuls directement sous la coupe d’un Etat qui ne cesse de se désengager (coupures budgétaires, retraites, sécurité, emploi, etc.. )

.


Que dire de ces chiffres ?

L’inaction pour enrayer cette situation ?

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Ces statistiques font froid dans le dos. L’absence manifeste d’une prise de conscience des autorités politiques face à ce problème sanitaire et l’inertie dans laquelle la société s’est plongée au cours des dernières décennies, témoigne soit d’une incompétence éloquente, soit d’un grave problème de remontée de l’information, ou alors d’une volonté (consciente ou non) de déstructuration de la cellule famiale et par voie de conséquence de la société toute entière puisqu’elle en est le pillier…
[cf. article « Les souffrances familiales face à l’inertie politique « ]

Cette dislocation prenant sa source dès la séparation du couple avec enfant(s), il faut donc s’attaquer à la racine du mal et favoriser le maintien du lien (ou à défaut ne plus encourager sa rupture).

Il faut donc mettre en place un cadre qui encourage la proximité du couple parental. Se soucier de l’intérêt de l’enfant, c’est prendre en compte cette réalité et agir ! Définir « une zone parentale pour le couple parental  » paraîtrait une solution judicieuse (à défaut d’espérer voir les couples se maintenir en union, le temps nécessaire à l’éducation). Les parents seraient alors toujours libre de s’éloigner, mais comme ils mettent ainsi à mal le droit de l’enfant de "maintenir ses liens avec ses deux parents" : ils ne seraient plus encouragés à le faire. Celui des deux parents responsable de cet éloignement devra garantir le maintien du lien et assumer les contraintes liées à la nouvelle situation qu’il aura lui même imposé (frais de transport, redéfinition du mode de garde,…)


Quelles perspectives pour les parents exclus ?

Quels moyens d’action restent-ils
aux parents indûment séparés de leur(s) enfant(s) ?

.

 


« pères perdus »

Le documentaire (ci-avant) permet d’apprécier la détresse dans laquelle se retrouve plongée certains parents séparés de leur enfant, …

 

nicolas_moreno_pere_1_jour_pere_toujours
…avant qu’ils n’en soient réduits à "monter sur des grues…"

"Comment se fait-il que vous soyez obligés d’en venir à de telles extrémités ?

"Je ne sais pas. Cela fait trois mois que nous bataillons (…). C’est une honte qu’on soit obligé de monter sur des grues pour être entendus ! On se met à genoux et on ne nous entend pas. Mais que faut-il faire ?" (Interview de Nicolas Moreno – source 17/02/2013)

En vérité, nous assistons à la montée d’une nouvelle forme d’exclusion, qui vise les pères, et atteint, bien évidemment les enfants" (Marianne – 19/02/13)

"Divorce : pensez-vous que les pères sont discriminés pour la garde de leurs enfants ?" sur 35479 votants : 89.59% oui / 10.41% non (Sondage Le Figaro 18/02/13)

 


Des pères transforment leur souffrance individuelle en combat collectif…

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Quelles perspectives pour les enfants amputés du lien ?

Les enfants,
les sempiternelles victimes de la décadence familiale…

La méconnaissance de la souffrance de l’enfant séparé est le premier mur à faire tomber.
Le suivant est de faire enfin respecter la loi et en particulier l’application concrète des droits de l’enfant à être en contact avec ses deux parents. La situation est urgente. (Mais cela fait 30 ans que ca devrait l’être !) C’est maintenant aux citoyens de prendre également leurs responsabilités en s’intéressant au débat pour que cela évolue rapidement et efficacement …

« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père»(…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…

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Services sociaux A suivre : Nouveau regard sur le féminisme A suivre : Des hommes victimes de violence conjugale, ca existe ?


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L’ancienne star de la série AB Production Le Miel et les abeilles, Mallaury Nataf, est devenue SDF, nous apprend Le Parisien de ce jour…

« Je n’ai plus rien. Mes trois enfants m’ont été retirés. La brigade des mineurs m’a pris le plus petit samedi et l’a placé auprès de l’aide sociale à l’enfance. Depuis, il est à l’hôpital Saint-Vincent-de-Paul (*), à Paris, qui m’a appelée pour me dire qu’il pleure sa maman », raconte Mallaury Nataf.

ASE _ Délai pour les parents pour reprendre l’enfant

Le ou les parents ont la possibilité de reprendre leur enfant dans un délai de 2 mois.

Le délai est de 6 mois lorsque ce n’est pas le parent qui a remis l’enfant au service de l’ASE.

La restitution doit être acceptée ou refusée par le tuteur ou le conseil de famille.

En cas de refus de restitution de l’enfant par le tuteur ou le conseil de famille, les parents peuvent saisir le tribunal de grande instance.

Son visage à bien changé depuis l’époque où l’actrice tournait dans les séries de TF1. « Je suis SDF depuis mars, lorsque j’ai dû laisser mon compagnon, victime d’une rupture d’anévrisme, et quitter mon appartement. Et depuis dix semaines, j’allais avec mon fils Shiloh, 2 ans et demi, d’hôtels de banlieue en logements amicaux. Le 115, je connais », résume-t-elle. Après La Ferme Célébrités, j’ai choisi de me consacrer à mes enfants. Mais, les quatre premières années, j’ai été une très mauvaise mère avec Rafaël. J’ai toujours été élevée comme une princesse, très narcissique. J’ai fait l’objet de deux longues enquêtes sociales, j’ai reconnu mes torts, j’ai décidé d’apprendre et j’ai été suivie par un psy. Et mes enfants sont restés avec moi. Je les ai élevés seule (…) Mon seul tort est d’être juive orthodoxe pratiquante. Il y a quatre ans, je suis tombée amoureuse d’un homme croyant, Abraham, qui a révélé mon judaïsme et celui de ma mère. Un bonheur pour moi. Mais les pères de mes enfants, mes parents, mes amis m’ont rejetée ». ( Mallaury Nataf)

 Télé, 20 ans plus tôt …

-> Chanson « Fleur Sauvage »

-> Générique « Le Miel et les Abeilles« 

-> chez Ardisson (Tout le Monde en Parle)

Elle vit depuis seule et n’a plus personne vers qui se tourner, à part l’association d’aide aux personnes en difficulté qui l’a recueillie dimanche et le Secours islamique. C’est bien simple, Mallaury Nataf se « retrouve seule au monde. Le métier me fuit. Seuls quelques esprits libres, comme Agnès Soral et Gérard Depardieu, me tendent la main. Et la communauté juive me rejette. »

L’association Pause-Café, qui lui prête un appartement à Saint-Ouen, est en train de monter un dossier avec son avocate. « J’ai été touchée par son histoire, elle en a bavé, avoue sa présidente, Marie Magrino. Maintenant qu’elle a un hébergement d’urgence, nous allons tout faire pour qu’elle retrouve son enfant. »

source : Le Parisien

« Le seul centre (115) destiné à accueillir les mères avec enfants est en plus insalubre ! »

Le 115 vous dit « il faut aller prendre rendez-vous avec votre assistante sociale comme ça, ca sera plus fluide avec nous »

Avant ces associations, on pouvait y avoir accès en direct. Maintenant, c’est terminé. Quelque association vous puissiez voir est forcé de se fédérer sous la coupelle de l’assistance sociale. Toutes les associations doivent se fédérer sous l’assistance sociale. Toutes les associations (EMAUS, La Croix Rouge, Secours catholique) vous répondent : « Ah non, nous on ne gère plus les places, il faut appeller le 115 ou voir l’assistance sociale »

La première étape : vous perdez votre logement. Ensuite comme vous n’avez plus de logement, dans les 2 mois qui suivent ils vous retirent votre minima social. Vous vous retrouvez donc très rapidement sans ressources (et sans logement).
( Mallaury Nataf

)

source : interview sur le plateau de Paul Amar, Revu et corrigé (France 5)

A propos de son petit garçon (Shiloh, âgé de deux ans et demi)…

Il a été envoyé à la brigade des mineurs immédiatement et le lendemain, il a été placé à ce qu’on appelle l’Action Sociale pour l’Enfance (l’ASE). Donc, vous voulez que je fasse quoi ? Que j’aille le voir dans sa prison ? Il n’en n’est pas question. Vous allez sortir cet enfant d’ici, là où il a pas à se trouver et vous allez me le rendre ! Et moi, je ne metterai pas un pied chez vous ! J’en crève : la nuit je ne dors pas. Cette nuit, j’ai dormi, j’ai fait des cauchemards. J’ai peur : je me dis est-ce qu’ils vont me le rendre ? (…) On est une victime, une proie facile (…) Mon seul objectif dans la vie, c’était de devenir une bonne maman et on finit par me priver de ma seule raison d’être ? (…) ( Mallaury Nataf )

[voix Off] Mallaury a souhaité nous emmener (..) au Commissariat du VIIe ARR de Paris où la police l’avait emmenée alors qu’elle errait dans la rue avec son enfant….

J’ai été traité comme criminelle dans ce commissariat : cad ces 4 bonnets qui sont sortis sur leur vélo, ils m’ont pris mon fils samedi à 23H, de dos ! Pendant que je leur parlais. Pendant que je parlais à un policier. Mon fils était endormi dans son berceau. Je me suis retourné, il n’y avait plus la poussette. Et depuis samedi à 23H, mon fils est séparé de sa mère : c’est pas normal ! Ca veut dire : ces gens ont des méthodes mafieuses…
( Mallaury Nataf)

source : Reportage / Interview sur le plateau de Jean-Marc Morandini

Questions …

  • Pourquoi soustraire l’enfant à sa mère ?
  • Quelle est la différence entre principe de précaution et principe de protection ?
  • Ce qui représente un coût pour la soustraction de l’enfant : pourquoi, ne pas l’utiliser dans l’accompagnement de la mère ?
  • Pourquoi, enlever un enfant à la sauvette et par derrière dans les conditions décrites ?
  • Qui se soucie de des souffrances de l’enfant séparé et quel est le coût des dégats post-traumatiques tout au long de sa vie ?
  • et … Que fait la Police ?

Tous nos voeux pour la Maman, l’enfant et tous ceux qui sont dans un cas similaire…

(*)Hopitâl Saint Vincent de Paul (prévu de déménager depuis 2004)

L’hospice des Enfants-Assistés fut fondé par saint Vincent de Paul en 1638. D’abord installé près de la Porte Saint-Victor, il fut transféré par la suite au château de Bicêtre, puis près de Saint-Lazare, enfin sur le parvis de Notre-Dame. La reine Marie-Thérèse d’Autriche ayant fondé en 1676 un autre hospice pour les enfants trouvés dans le faubourg Saint-Antoine, les deux établissements furent réunis par Bonaparte en 1802 et installés dans les bâtiments de l’Oratoire de la rue d’Enfer.

Durant tout le XIXe et jusqu’au années 1960 la congrégation de sœurs de Saint Vincent de Paul ont été des auxiliaires de santé dans cet hôpital – hospice d’abord massivement puis à partir de 1920 elles ont été peu-à-peu remplacées par des infirmières et aides soignantes laïques.

« L’affaire des foetus » (2005) :

Le 2 août 2005, des journaux (Le Figaro, Libération) rapportèrent que de nombreux fœtus humains étaient conservés dans des conditions anormales dans le laboratoire d’histologie et de fœtopathologie de l’hôpital (c’est-à-dire, gardés depuis de nombreuses années pour des raisons inconnues et non scientifiques).

Le chiffre officiel fut celui de 351 fœtus conservés, très certainement, depuis la fin des années 1970.L’enquête menée par la direction de l’AP-HP a permis de faire apparaître différents dysfonctionnements : tout d’abord, des conditions de conservation douteuses au regard des pratiques professionnelles, ensuite des carences dans la tenue des archives qui empêchèrent la traçabilité des opérations et enfin l’absence de maîtrise dans l’organisation du système de conservation. La direction de l’AP-HP fit paraitre un communiqué suite à cette affaire et s’engagea à mener une plus grande vigilance vis-à-vis de l’organisation des services d’anatomo-pathologie généralement chargés de l’organisation de la conservation des corps dans les hôpitaux.

La chambre mortuaire de Saint-Vincent-de-Paul a été fermée et toute son activité transférée vers la chambre mortuaire de l’hôpital Cochin. Les deux responsables médicaux ont fait l’objet d’un blâme.

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4pital_Saint-Vincent-de-Paul

diffusion : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/03/lex-star-de-la-tele-mallaury-nataf-devient-sdfet-perd-la-garde-de-ses-enfants/

Services sociaux
Asuivre : Marion Sigaut : Sous Louis XV, l’Hôpital Général au cœur d’un vaste trafic d’enfants


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L’Exclusion Parentale se déroule en 2 étapes : isolement parental (Parental Isolation) puis aliénation parentale (Parental Alienation). … https://affairesfamiliales.wordpress.com/plan-de-site/
6% à 13% des divorces soit 18 000 enfants concernés

A suivre : Les étapes de l’Exclusion Parentale A suivre : La souffrance de l’enfant séparé

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Citations sur la souffrance de l’enfant séparé de son parent


Citations d’expertises psychiatriques

 

Les conséquences sur l’enfant, de la rupture du lien

 


L’interruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents.

Le devenir ultérieur des enfants est particulièrement préoccupant.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Le taux des maladies psychosomatiques telles que les troubles anxieux, les dépressions, les troubles de la conscience de soi et les troubles relationnels est significativement plus élevé chez les personnes adultes examinées dont le père a été absent pendant une période prolongée au cours des six premières années de leur vie.

Environ 50 à 70 % des hommes et femmes subissent encore à l’âge adulte des problèmes considérables pour avoir grandi sans leur père.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Le maintien du contact affectif et relationnel est considéré aujourd’hui comme étant un critère important du « bien-être psychique et moral de l’enfant ».

Le respect des relations et des contacts affectifs naturels de l’enfant avec ses deux parents et du maintien de la fréquentation des deux parents est un critère important quand il s’agit pour les tribunaux d’évaluer la capacité d’éducation et d’attribuer l’exercice de l’autorité parentale.   EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade).

C’est à partir de la deuxième et notamment à partir de la troisième et quatrième année que l’enfant suit le rythme naturel et commence à se développer en s’éloignant de sa mère, en se détachant d’elle et, pour ce faire, il a besoin de son père pour réussir son individuation, sa séparation et son autonomie.

Lorsque celui-ci manque, pour quelques raisons que ce soit, l’enfant reste souvent littéralement lié à sa mère avec tous les impacts sur le développement de sa personnalité. Les complexes de symbiose non résolus (relations fusionnelles à la mère) jouent un rôle important pour de nombreuses maladies de l’âge adulte telles que les névroses d’angoisse, les dépendances, les troubles de conduites du comportement alimentaire et les maladies psychosomatiques  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


La perte d’un des parents bouleverse profondément le soi de l’enfant, sa structure et sa substance.

L’enfant se sent brisé. Il a l’impression que la perte d’un des parents se dirige contre lui : « C’est de ma faute », ou « Je n’ai pas mérité que maman (ou papa) reste. »   EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


La perte d’une relation s’accompagne d’une douleur qui peut se manifester de manière complètement variée (par exemple, sous forme de dépression, d’angoisse, de symptômes psychosomatiques, etc.).

Souvent, l’entourage de l’enfant n’aperçoit pas ses signaux, ou ne les comprend pas correctement, ce qui fait que l’aide ne vient pas. Pour supporter sa situation d’une manière quelconque, l’enfant refoule sa douleur, il la dissocie. Vu de l’extérieur, on ne peut plus s’apercevoir de rien.

C’est ce clivage entre une partie souffrante et refoulée de la personnalité et l’image « normative » donnée à voir aux autres (on parle de façade) qui est responsable des problèmes psychiatriques ultérieurs.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Compte tenu des conséquences de la dissociation, il importe que l’aliénation parentale soit diagnostiquée le plus tôt possible et que toutes les parties intervenantes des procédures des divorces, (parents, juges aux Affaires matrimoniales, services sociaux, conseillers, experts judiciaires, avocats) responsables du bienêtre psychique de l’enfant y contribuent.

Si le premier secours – judiciaire et extrajudiciaire – n’a pas lieu à temps et de manière appropriée, il est plus difficile d’interrompre le processus de désaffection.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


La tâche primordiale des parents, des services psychosociaux et des tribunaux compétents dans les affaires matrimoniales consistent à garantir, voire à rétablir, un maximum de relations afin que l’enfant puisse vivre avec ses deux parents.

L’enfant est entre de bonnes mains s’il vit avec celui de ses parents qui coopère avec l’autre et qui, après la séparation ou le divorce du couple, est prêt et capable d’incorporer l’autre parent de manière active et responsable dans l’évolution et dans l’éducation de l’enfant ou des enfants communs.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Le contact entre l’enfant et celui des parents qui vit à part ne doit pas être rompu de manière unilatérale.

Capituler devant les cas particulièrement difficiles, c’est agir aux dépens de l’enfant. En effet, les traumatismes provoqués par la perte forcée d’une relation parentale sont profonds et perdurent nettement jusqu’à l’âge adulte.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Il semble apparemment plus douloureux et psychologiquement plus annihilant de perdre un enfant par le PAS (Parental Alienation Syndrom) que par la mort.

La mort est définitive et aucun espoir de réconciliation subsiste… L’enfant atteint du PAS toutefois vit encore et peut même habiter quelque part dans les environs immédiats… Pour certains parents aliénés, cette douleur continue se transforme en une sorte de « mort vivante du coeur. »  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


Face à cette souffrance, il est indispensable d’agir le plus tôt possible et avec le plus de détermination possible pour éviter les conséquences les plus graves.  EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes


 

telechargement_pdf EXTRAITS: Télécharger les extraits cités précédemment sous format PDF (pouvant être utile pour vos communications auprès des acteurs sociaux)

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Aliénation Parentale (SAP) _ Diagnostic et prise en charge médico-juridique

Dr Jean-Marc Delfieu
(Expert Psychiatre – Cour d’Appel de Nîmes)

RAPPORT (Complet)

Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade). (Dr Jean-Marc Delfieu)

L’interruption des contacts et des relations entre les enfants et l’un des parents après une séparation ou un divorce exerce un impact traumatisant aussi bien sur les enfants concernés que sur leurs parents. Le devenir ultérieur des enfants est particulièrement préoccupant. (Dr Jean-Marc Delfieu)

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A suivre : Dossier / Souffrance de l’enfant séparé A suivre : Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés

 

 


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Enfance maltraitée : QUE FAIRE pour enrayer ces souffrances ?… Résister !


Que peut-on faire pour agir et aider à enrayer la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s) (voire aliénés ou pire encore) ?

Cela fait plus de 30 ans que c’est ainsi, alors pourquoi donc chercher à trouver de quelconques solutions à ce problème, quand on sait que de toute manière, c’est très probablement inutile ?

En effet :

La situation est alarmante…

  • Près de 18 000 enfants/an prennent le chemin de l’aliénation parentale dans l’indifférence et une inertie scandaleuse (cf. lien)
  • 50% des enfants retirés à leur famille (sur un total de 135 000) le sont inutilement (!), de l’aveu même de l’inspecteur général des affaires sociales (cf. lien)
  • Des milliers d’enfants maltraités ou abusés
  • Et combien jetés dans le réseau de la prostitution voire de l’ignominie sans nom ?… (cf. lien).

Même si le point de non retour semble atteint vis à vis de cette réalité dont on n’ose même plus faire la publicité, il reste à chacun de choisir son camp : celui de ne rien faire ou laisser faire (sinon même d’en être parfaitement complice – même si la plupart du temps, c’est par ignorance ou par manque d’empathie) ou bien d’être de ceux qui tentent modestement d’agir même si c’est inutile et quand bien même ils seraient peu nombreux : pourvu qu’ils soient de ceux-là…

Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !
— Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac

Car une civilisation qui se comporte ainsi envers ses enfants, abusant de leur incapacité à pouvoir se défendre ou être défendu pour le respect de leurs droits fondamentaux (…), n’ira peut-être pas beaucoup plus loin encore ? …

Face à l’ampleur et la gravité du phénomène, cela est bel et bien devenu l’affaire de tous. Et à chacun désormais, de se saisir du sujet sans plus attendre…

Alors, au moins, si l’on se donne la peine d’avoir fait à son niveau et selon ses moyens, ce que l’on croyait être bon et juste pour tenter d’apporter ne serait-ce qu’une ou plusieurs gouttes d’eau, qui voulaient participer à éteindre cet incendie… Alors peut-être que oui, cela n’aura rien éteint (ou pas grand chose) mais est-ce vraiment cela qui compte ?

Ou bien s’agit-il de s’assurer qu’au moment et pour le cas, où nous devrions tous en payer collectivement l’addition. Si derrière nos pas, le destin nous amène à entendre la cité s’affaisser sous le poids de sa décadence, alors peut-être que l’on n’aura pas agi complètement inutilement : car on pourra au moins se dire dans son for intérieur, que si oui notre action n’aura pas pu empêcher grand chose, elle aura au moins sauvé, ce qu’il y avait peut-être encore à y sauver (?) : son Honneur


Agir face à l’injustice…

« Face à l’injustice, chacun doit pouvoir agir à sa mesure… »(…).

« Vis à vis des injustices, dans une société qui semble avoir perdu le fil des valeurs, sans attendre une improbable action d’une élite détachée de l’intérêt commun : chacun doit agir à sa mesure et ne pas laisser faire… (…) »

Un cas concret d’Exclusion Parentale (rupture du lien parent-enfant)

Oui, ce n’est pas simple. C’est une double souffrance mais en réalité c’est la souffrance de l’enfant séparé du lien qui est la plus inquiétante, la plus injuste, la plus immorale, et …c’est cela qu’il y a de plus dur.

Que faire vis à vis de ces 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’aliénation, par exemple ?

Il ne sert à rien de convaincre un parent aux réflexes aliénants. C’est un bloc de roche jusqu’au jalon qui lui permettra d’ouvrir les yeux. En attendant, rien ne peut-être fait pour convaincre de son côté : il sera plus facile de déplacer des montagnes… Et bien justement… Comme c’est avant tout un problème de société, une faille du système qui ne semble pas prendre en considération la souffrance des enfants privés de leur lien affectif et parental (puis rentrant progressivement dans une souffrance pathologique), ni à prendre en compte le droit des enfants qui est pourtant explicite (!), ni d’être capable de diagnostiquer la calomnie même quand elle est évidente (car tous azimut). Il va donc falloir déplacer les montagnes et c’est un honneur que de rentrer dans ce combat car il a toute la gloire d’un combat juste, celui de montrer a votre enfant que vous ne l’abandonnerez jamais et que vous vous bâterez, bâterez, encore et encore mais en utilisant tous les moyens nobles et surtout pas ceux détestables auxquels recoure le parent aliénant : il faudra donc se battre à découvert et de manière frontal en utilisant les arguments du droit, de la moral, de l’amour de l’enfant, etc.. .Sans jamais laisser la place aux mauvais sentiments (car ils sont parfaitement improductifs).

Et si un parent se lève, un autre suivra, et encore un autre jusqu’à ce que la société change et dans l’espoir que l’évidence voit enfin le jour… car trop d’enfants ont subi, subissent et subiront encore, surtout si personne ne se lève pour dire STOP !

QUOI FAIRE ?

Avant toute chose : COMMENCER PAR S’INFORMER SOI MÊME : https://affairesfamiliales.wordpress.com


Face à l’injustice, à l’oppression, il faut relever la tête et sourire : le jour tant attendu est arrivée… Alors de la connaissance, de la compassion pour les souffrances de tous les autres dans le même cas : c’est le moment de s’unir et d’aller rétablir la justice et de mettre fin aux souffrances…

Peu importe l’issu : le plus important c’est de se battre, sans haine mais au contraire avec honneur et détermination jusqu’à l’issu complète ou le dernier souffle …


MESSAGE AU PARENT SEPARE DE SON ENFANT

    • Voilà venu le moment de faire son chemin de croix pour en sortir éprouvé et fier d’être resté digne et combattant face à l’adversité (celle induite par l’intense souffrance de votre enfant que vous ressentez par compassion évidente) : transformez votre colère et votre souffrance en quelque chose de lumineux et d’efficace pour les autres et qu’elle serve à tous les enfants (et pas seulement le votre). Et en donnant, vous recevrez (vous verrez).
    • Commencer par donner une grande part de votre temps libre, et le maximum de moyens pour vous permettre de comprendre et ensuite faire comprendre et diffuser cette problématique complexe (à tous, sauf au parent aliénant qui restera hermétique jusqu’à la résolution : ne cherchez pas à convaincre ce dernier, c’est du temps perdu : attaquez vous d’abord aux montagnes : c’est plus simple ;-). Le but est de faire évoluer les consciences pour qu’elles se rendent compte de la manière dont sont élevés nos enfants en les privant de leur parent : Un mal fondamental, aussi inconnu que massivement répandu. Le parent séparé doit donc agir sans fléchir, jusqu’à la libération effective (de son enfant) et toute sa vie si il le faut… Mais toujours avec des moyens nobles sans jamais chercher à basculer dans un comportement aliénant inversé tel un desperado… mais plutôt avec une franche détermination et beaucoup de piété : vous serez surpris de redécouvrir une forme de bonheur pendant votre combat. Un combat qui vous fera pousser des ailes si vous restez digne et tourné vers les autres. (Chassez votre abattement, votre apitoiement, votre désespérance, votre rancune et pensez à votre enfant et à tous les autres qui comptent sur vous pour agir efficacement et vertueusement..)
MESSAGE A TOUS…

  • Parent pervers , perversion , sadisme
    Ne perdez pas votre temps à raisonner le parent aux réflexes aliénants
    (il n’y a pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre : Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent ; et la plupart d’entre eux sont des pervers.) (*pervers : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux.)
  • Diffusez l’information…
    ( ex, via les réseaux sociaux, vos propres réseaux, les lieux médiatisés, etc…)


    Twitter
    Twittergoogle plusfacebookpinterestlinkedinYoutubetumblr
    1 exemple, pour Twitter :Tweetdeck, 1 tableau de bord (gratuit)

    Ex. Aux Parents victimes d’Exclusion Parentale…qui NE SAVENT PAS UTILISER TWITTER MAIS QUI VOUDRAIENT BIEN… (en 4 étapes)

    1) S’inscrire sur Twitter.com et ensuite

    2) downloader et installer le logiciel tweeterdeck depuis http://tweetdeck.com/ (qui facilite la gestion des listes tweeter) :

    3) suivez les comptes de la iste exclusion parentale récupérable sur https://twitter.com/enfantsdroits/exclusion-parentale/members et également @enfantsdroits

  • Abonnez-vous au site https://affairesfamiliales.wordpress.com[inscription à la mailing liste ou abonnement au flux RSS / dans le menu à droite ]—–>

  • ex. les articles les plus populaires

    Faîtes connaître cette problématique sur les forums et tous les autres moyens de communication : emails groupés + ciblés (politique, justice, journaliste, …), Facebook, Twitter, ..courrier postaux, … Par tous moyens utiles (y compris originaux).., diffusez l’adresse du site https://affairesfamiliales.wordpress.com et tous les sites pertinents sur le sujet qui prennent le parti de l’enfant. Cela est utile pour plusieurs raisons :

    • Faire connaître ce problème, sans quoi ca n’évoluera pas (tout seul)
    • Permettre à quelqu’un de prendre conscience (de lui même) de l’erreur qu’il fait,
    • Permettre à un enfant ayant grandi, de comprendre et reprendre contact avec un parent (en souffrance)
    • Permettre à un parent indûment séparés de trouver du courage pour se battre pour son enfant et les autres
    • Faire connaître aux professionnels des affaires familiales ce gâchis et surtout cette souffrance des enfants séparés (voire aliénés)
  • Mener/Participer aux opérations de communication pour faire connaître la problématique et l’urgence de la situation ; en se regroupant : ex. Printemps 2013 (cf. ici pour la mise à jour des liens et les exemples)

  • Services sociaux Soutenez la cause de l’enfant (ne vous laissez pas berner par la calomnie tous azimuts qui justifie vouloir isoler l’enfant « au nom de » : les calomniateurs, ce sont eux les véritables pervers ; sinon pourquoi 1000 prétextes et 0 témoins !?) ; non plus les ignorants qui se rendent complices en confondant le principe de précaution avec le principe de protection
  • Transmettez des attestations en toute occasion pour soutenir l’enfant et son droit : c’est à dire celui de ne pas avoir son lien parental réduit en miette. (Donc sans se soucier du couple conjugal dont personne n’a que faire, l’enfant le premier !).
  • Soutenez le parent en détresse, en lui faisant connaître l’information utile pour qu’il prenne conscience lui-même du problème dont son enfant est victime (qu’il puisse mettre des mots c’est essentiel !) : attestations formalisées ou simples témoignages de soutien pour la cause de l’enfant au parent séparé de son enfant.


« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)

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Renouer le lien parental

« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).

« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »

 

 

 



Un enfant aliéné dmd des comptes

« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).

« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »


Toujours garder à l’esprit que ce qui est le plus détestable c’est la souffrance de l’enfant privé du lien (Car on ne doit pas faire d’un enfant, un orphelin (de parent vivant) ! Et la pire maison, celle où un orphelin est maltraité.)

! MERCI DE DIFFUSER CE MESSAGE !

… Aux personnes sensibles à ce type de problème (ou pouvant l’être)

C’est un très beau combat : des centaines de milliers d’enfants victimes !

Source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/


A ceux qui se sont éloignés, eux-mêmes

(…)
– Assurez vous d’être dans le même secteur géographique que celui de votre ex-compagne/gnon – si ça n’est pas le cas et que vous aillez vous même quitté la zone qui permette l’exercice du rôle parental.


Aux croyants…

(…)
– Cultivez l’Amour pour vous inscrire dans ce combat avec endurance et patience. Le premier ennemi à vaincre est en vous : prenez vos souffrances pour des bénédictions, vos humiliations pour des sanctifications et votre chemin pour une expiation et une renaissance.

Dieu est avec les endurants, les patients, les pardonneurs, les repentants, les sages, les humbles.. et donc avec vous : si vous le souhaitez…


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On assiste à l’émergence des Nouvelles Femmes qui prennent le taureau par les cornes et viennent au secours des hommes broyés par la machine matrimoniale

Devant le blocage constitué par ce qu’on pourrait appeler l’aliénation sociétale, on assiste à l’émergence d’une issue crédible : des femmes ont décidé de se regrouper en association active pour la défense de leurs hommes. On les appelle les « nouvelles femmes ». Ce sont des centaines de milliers d’enfants partout dans le monde qui souffrent du lien parental coupé et qui attendent toute initiative d’où qu’elle vienne avec espoir… Notamment pourquoi pas grâce à cette nouvelle cavalerie d’Amazones

 



 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/10/20/ces-femmes-amazones-au-secours-des-hommes-broyes/

 

Services sociaux   Asuivre : Lettre ouverte d’un homme au féminisme

 

 

 


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Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale !


L’aliénation parentale consiste à éliminer un ou plusieurs parents (mère, père, grands-parents…) de la vie d’un enfant. Cette attitude qui commence par détruire les souvenirs, l’image et la place d’un parent dans la vie d’un enfant est une maltraitance psychologique, dont les effets destructeurs perdurent à l’âge adulte…

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Le Syndrome d’Aliénation Parentale (SAP)

Alienation, définition :
Du latin alienatio, dérivé d’alienare et d’alienus (« étranger« , « qui appartient à un autre »)

Transférer la propriété à autrui
Abandonner, renoncer volontairement à [Figuré]. Éloignement que des personnes ont les unes pour les autres. Aliénation des volontés, des esprits.
Asservir, exploiter quelqu’un. Synonyme inféoder
– (Médecine) Égarement d’esprit, folie. Aliénation d’esprit ou aliénation mentale

a été défini et décrit en 1986 par Richard Gardner (Etude scientifique portant sur 700 cas pendant 12 ans) Il s’agit d’un désordre psychologique qui atteint l’enfant lorsque l’un des parents effectue sur lui, de manière implicite, un «lavage de cerveau» visant à détruire l’image de l’autre parent.

Selon la description donnée par R. Gardner, quatre critères permettent de diagnostiquer l’action du parent aliénant :

  • l’entrave à la relation et au contact;
  • les fausses allégations d’abus divers;
  • la réaction de peur des enfants;
  • la détérioration de la relation depuis la séparation.

Vivre sans son enfant ? C’est une amputation psychologique au quotidien

Ana Milheiro, Présidente de SOS Privé de Maman et porte parole du Collectif Parents privés d’enfants, à propos du problème de l’aliénation parentale : »Les enfants se retrouvent tantôt à refouler leur besoin d’amour, refouler l’amour qu’ils ont pour leur parent. Et ils sont des fois amené à haïr (comme l’ont fait les fascistes), l’autre parent. Ca les empêche de se construire et ca peut les amener à la destruction, à la paranoïa, à des crises d’angoisses qui peuvent être fatale, à des comportements totalement anormaux ou sinon dans le meilleur des cas, à porter la haine dans leur coeur qui va les empêcher de vivre une vie normale, de constituer une famille, d’avoir eux-mêmes des enfants. »

Richard Gardner a décrit huit manifestations chez l’enfant (résultant de la campagne de rejet et de diffamation) :

  • 1 > le parent rejeté est complètement dévalorisé, quoique l’enfant soit incapable de motiver cette dévalorisation par des exemples concrets.
  • 2 > Rationalisation absurde : à l’appui du rejet, l’enfant invoque des motifs dérisoires ou sans rapport avec la réalité.
  • 3 > Absence d’ambivalence normale : le parent rejeté est décrit comme exclusivement mauvais, le parent aliénant est décrit comme bon exclusivement.
  • 4 > Réflexe de prise de position pour le parent aliénant, lorsque les deux parents sont présents, et même avant que le parent rejeté se soit exprimé.
  • 5 > Extension des hostilités à toute la famille et à l’entourage du parent rejeté (grands-parents, amis, proches) qui sont à leur tour rejetés avec autant de force.
  • 6 > Affirmation d’une « opinion propre » artificielle : il s’agit en fait de l’opinion du parent aliénant, que l’enfant est conditionné à présenter comme venant de lui.
  • 7 > Absence de culpabilité du fait de la cruauté supposée du parent adversaire.
  • 8 > Adoption de « scénarios empruntés », qui ont été fabriqués par le parent manipulateur : l’enfant les reprend à son compte.

Paul Bensussan (expert psychiatre auprès de la cour de cassation), à propos de l’aliénation parentale : C’est le plus éprouvant de ce qui nous est donné à voir en matière d’expertise : c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.

Paul Bensussan : Cette pathologie redoutable et encore méconnue ne menace pas que le parent rejeté : elle sape le fondement même de l’identité et de la personnalité de l’enfant, compromettant même, lorsque le stade de sévérité va jusqu’à la rupture durable, son « droit élémentaire d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents », droit qui lui est normalement garanti par l’article 9 de la Convention internationale des Droits de l’Enfant, entrée en vigueur le 2 septembre 1990.(source : paulbensussan.fr )

Est-ce que ce syndrome est comparable à un embrigadement au sein d’une secte ? Paul Bensussan : « C’est totalement ça. En fait, on pourrait se demander quelle est la différence entre un banal conflit et ce syndrome d’aliénation parental. Il existe deux grosses différences : dans le cas du SAP, l’enfant est totalement sous l’emprise de l’un de ses parents, à tel point qu’il a une vision du monde sectaire : tout est blanc ou noir. « 

Plus d’infos sur le P.A.S (thérapies, bibliographie, …)

Témoignage de François : François est un adolescent de 15 ans. Cela fait trois années de suite qu’il ne peut terminer son année, sans être rejeté par les enseignants ou exclu de l’établissement. C’est que dans ses relations avec les adultes, il peut se montrer tout autant fin et sensible, qu’insultant et méprisant. Cette violence qui le taraude a certainement à voir avec son vécu familial.


« Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…)» L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer…


Parental alienation from a child perspective Illustre la souffrance d’un enfant privé de son parent


« Couple déchiré, enfant otage » (Olivier Pighetti)
… La suite du reportage ici…

(+ d’infos sur la perversion, parent-pervers)


Couple déchiré, enfant otage (Olivier Pighetti)

« Ils se mettent à hurler quand leurs pères leur rendent visite, déversent des flots d’injures sur leurs mères qu’ils ne veulent plus voir, ou frappent parfois les uns ou les autres sans raison. Des enfants déchirés par le divorce (…)

Il s’agit de la manipulation d’un enfant par son père ou sa mère, afin de transformer l’autre parent en un être néfaste et détesté. Une forme de soumission inconsciente et forcée similaire à ce que l’on retrouve dans les sectes ; l’enfant devient alors un outil de guerre pour détruire l’ex-conjoint (…) »

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* A quoi ca ressemble (concrêtement) une manipulation d’enfant ? Ici, 2 exemples de manipulation (enregistrement téléphonique) 1 père / et 1 mère


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Mémoire de Didier Erwoine sur le SAP _ Syndrome d’Aliénation Parentale

 

Thèse de Dominique Goudard sur le SAP _ Syndrome d’Aliénation Parentale


« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père»(…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…


« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 


« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique


FICHE PRATIQUE

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Comment renouer le lien parental avec un enfant aliéné/manipulé et devenu adulte ?

(…)

[ci-contre]



« Les 20 demandes d’un enfant de parents séparés »(…).

Chère Maman, Cher Papa,

N’oubliez jamais que je suis l’enfant de vous deux.

Maintenant, vous ne vivez plus ensemble mais j’ai besoin aussi bien de l’un que de l’autre …



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A suivre (article connexe) : Dr Victor Simon : L’Aliénation Parentale ou Comment rendre son enfant FOU ! A suivre DOSSIER : Les étapes de l’Exclusion Parentale

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/10/02/les-enfants-detruits-par-lalienation-parentale/


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