Témoignage d’une mère victime de loups déguisés en agneaux…
Une mère fait appel aux services sociaux pour l’aider : Une erreur ? En tout cas, les conséquences ne manquent pas de faire "beaucoup de dégâts" pour sa fille notamment (aujourd’hui traumatisée par plusieurs années d’arrachement).
Les services sociaux sont dans le déni de la souffrance des enfants arrachés aux parents. Les dégâts sont colossaux, mais le système parfaitement autiste. L’Inspecteur Général des Services Sociaux reconnait lui même l’ampleur du gâchis humain quand il annonce que "50% des enfants retirés à leur parents, le sont sans nécessité (!)"
C’est un véritable scandale, et ca dure… immuable…. Donc, les parents doivent être très vigilants et sensibilisés sur ces risques : en attendant, que les autorités veuillent bien amorcer "le changement" et se saisissent des problématiques qui n’ont pas l’air de vouloir se régler … (5 ans après, l’Inspecteur Général des Affaires Sociaux faisait ce même constat : rien n’avait été fait)
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A voir également : Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales … qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas mettre en place des solutions alternatives au retrait (assistance, suivi, thérapie, etc…). Et toujours cette même constatation : Une confusion gravissime entre Principe de précaution et Principe de protection…
PROTECTION <!> PRECAUTION
(à répéter 10 fois avant de franchir la porte et rentrer chez une famille.)
Quant aux Affaires Familiales et les exclusions parentales "classiques", on continue également de mener une politique de l’autruche ! Pourtant, les professionnels considèrent comme un secret de polichinelle, les problématiques de Non Représentations d’Enfants (NRE) et les Eloignements Géographiques Volontaires (EGV), etc..
Malgré cela : toujours aucune initiative mobilisée pour régler en urgence ces problématiques d’Exclusion. Cela ne nécessiterait pourtant, que très peu d’énergie comparée à celle démesurée mise en balance, pour permettre l’adoption homoparentale… Qu’est-ce qu’on attend donc, encore, pour réagir efficacement (et rapidement) pour régler une bonne fois pour toute, ces absurdités et ces vies gâchées ?
Voici donc les quelques conseils de Nathalie Courcier, une mère victime, avant de se décider à décrocher le téléphone …
"Attention à Ne pas confondre éducateur et psychologue. Elles savent très bien y faire, pour se rendre sympathique (…) Et elles se sont servies de mes confidences, et les ont amplifiées. Cela nous a porté préjudice"
"Je voudrais que ces erreurs au niveau des enfants soient plus médiatisées (…) parce que ca fait énormément de dégâts dans une vie, dans la famille et ca aurait pu aller plus loin…"
"Je voudrais donner un conseil à toutes les mamans assez fragiles. Surtout mettre en lien votre psychologue avec l’éducateur, si vous êtes suivi : votre psychologue, psychiatre est la seule personne qui peut savoir si vous êtes dangereux ou pas. Pas l’éducateur (…)" (Nathalie Courcier)
« Ils m’ont reprochés d’avoir une relation trop fusionnelle » (…)
« La situation de l’Exclusion Parentale est à ce point catastrophique qu’elle donne l’impression d’être traité par la « politique de l’autruche ? »(…).
Seulement on ne doit pas abandonner des milliers et des milliers d’enfants à la souffrance muette sans rien faire d’autre que se voiler la face. Il est grand temps d’agir
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Je suis consternée,je crois que parfois les mots ne suffisent plus et pour ma part j’ai mes limites ,je pense que j’en suis a passé a l’acte …faire exploser ce système!!! Ma fille est aujourd’hui traumatisée…et le restera a jamais…où est l’humanité..je ne sais pas …me concernant et au vu du dossier où s’entremêle hypocrisies ,mensonges ,abus de pouvoir je ne suis plus capable à mon tour d’avoir un comportement humain avec la justice et le service de l’enfance…
J’en suis au même point avec en prime une épée de damocles. Si je l’ouvre on peut vous retirer votre enfant.
Attention aussi aux fausses accusations d’attouchements et autres corruptions de mineurs, qui ne reposent que sur les paroles des enfants.
Dans le cas de divorces qui se passent mal, c’est un grand classique, on accuse le mari, le père, le beau-père, le grand-père, mais aussi la mère, belle-mère, grand-mère, tante, nounou etc. de diverses turpitudes.
L’enfant va ainsi accuser, parce qu’un enfant va naturellement faire ce que son père ou sa mère lui dit de dire. Il se peut même que cet enfant se mette à réellement croire à des faits qui ne se sont jamais produits.
Et autant cogner, violer, ça laisse des traces (qu’un médecin peut déceler), autant dire « le nouveau mari de maman il me met la main dans le slip » ou « papa, il me fait voir des films porno », on n’aura pas de preuves.
Bien sûr, dans certains cas, c’est vrai. Mais il faut quand même savoir que ce genre d’accusation, c’est un grand classique des divorces conflictuels, et donc il faut y regarder à deux fois avant de prendre la parole de l’enfant comme étant forcément véridique.
Je connais très bien ces éducateurs . Dasn mon cas, premiere fois pendant quelques années ils ont niés que l’enfant avait parlé d’être victime de pédophile. Et ils ont fait des faux temoignages à la police et l’enquête a été etouffée. 2 ans plus tard, l’enquête a été reouverte, vu les nouvelles preuves. Mais ça était un peu tard : l’autre association – OSE fait un chantage à mon enfant – soit tu acceptes des psys, sois tu va être placé. Ces educateurs peuvent porter que malheur.
« Nous allons à travers cet interview vous faire le récit d’un sauvetage puis du torpillage d’une vie sous le rouleau compresseur de l’ASE…
source: ComiteCedif
Quand je relève du business d’enfant en bas de cette page Mediapart vas se pencher sur les pupilles de l’état et de l’adoption…
Donner plus de pouvoir a l’ ASE c’est ouvrir les portes a la mise en place prochaine de situations identiques a la Grande- Bretagne, le retrait de l’enfant pour le soumettre à l’adoption plénière (Elle est irrévocable, soumise à conditions, et doit faire l’objet d’un jugement. )
Les situations de précarités, de pauvretés, de mal logés, etc… seront susceptibles d’ être saisies pour le retrait de l’enfant, nous ne rentrons pas dans la maltraitance physique ou psychologique, mais ils invoqueront des carences éducatives a cause de la position et situation sociale des parents..!!
Imaginez seulement que l’adoption est un cout et qu’il peut rapporter à l’état !!
http://journalistesabishkek.typepad.fr/journalistes_sur_les_rout/2012/09/mediapart-lenfance-sans-parent-15-malaise-à-laide-sociale.html
Corinne Couget fait appel aux services sociaux… Resultat : elle ne reverra plus ses filles pendant 7 ans Cf. documentaire
Plus d’infos sur les additifs alimentaires – cf. le site de Corinne Couget

http://www.santeendanger.net
PETITION DE SOUTIEN
POUR NOTRE COMBAT CONTRE L ASE
MR et Mme Comorge Lionel et Séverine
5, allée des camélias
40100 DAX
tel 06 32 83 65 25
émail: lionelcomorge@hotmail.com
site de la pétition : http://www.petitions24.net/signatures/petition_de_soutien_pour_notre_combat_contre_l_ase
STOP AUX PLACEMENTS ABUSIFS
VOICI NOTRE HISTOIRE
Nous essayons de SAUVEZ NOTRE FILLE OCEANE de 13 ans
Elle est placé depuis 2001 auprès de l’ASE (Aide Sociale à l’Enfance) la pensant en sécurité on faisait confiance à ce service gardien censé protéger les enfants, mais maintenant c’est fini. Notre fille n’est pas en sécurité.
Elle a fait 15 familles d’accueils, 5 écoles, 1 foyer de l’enfance, 2 lieux de vie, 2 IME, et 7 éducatrices de l’ASE et plusieurs traitement médicaux extrêmement lourd.( neuleptil, concerta, terciant, abilifly, miansérinne ect…)
Depuis qu’elle est née, elle a subit 4 attouchements,
– 1 à l’âge de 2 ans de la part de soit disant, le gendre de la 1ere famille d’accueil, on en sait pas plus car on nous a refusé de regarder le dossier d’assistance éducative, alors qu’on est les parents.
– 3 à l’âge de 13 ans de la part de 2 de ses camarades enquête encore en cours.
En 2001 on est parti à Paris pour trouver du travail et s éloigner de notre famille. Elle est placée auprès des services de l’ASE, à notre demande car on est tombé à la rue et pour protéger notre fille on a demandé à la placer dans un endroit sécurisant. A l’âge de 2 ans on a dit aux services de l’ASE de Chelles (77) qu’il y avait un problème avec notre fille, on nous a répondu qu’elle découvrait sa sexualité, quelques temps plus tard on nous a annoncé qu’il s’était passé quelque chose de grave avec notre fille et qu’elle avait subit des attouchements, d’abord ils ont cherché si c’était pas nous ou autour de nous. Après il se sont intéressés à la famille d’accueil et à son entourage, l’affaire a été classé sans suite par manque de preuves, et ma fille avait peur des services de police, car ce lui qui a soit disant été accusé, était le mari de la fille de la famille d’accueil, qui elle était agent de police à Meaux dans le ( 77 ). Après ça, elle a fait 9 familles d’accueil.
En 2004 on nous l’a rendu détruite il a fallut lui réapprendre à avoir confiance en elle, en nous et en la police.
Nous sommes revenue en 2005 dans les Landes chez le Père de mon mari, elle avait enfin retrouvé la joie de vivre et avait reçu un vélo pour son anniversaire. Elle ne savait pas en faire donc elle est tombée plusieurs fois de vélo se faisant des bleus.
En 2005 une maitresse d’école de Hinx/Adour fait un signalement de maltraitance. Nous l’avons amené à l’école le matin, et nous sommes allés la chercher le soir, mais notre fille n’était plus là, le directeur nous a dit qu’une éducatrice de l’ASE des Landes l’avait emmené dans un foyer de l’Enfance à Tarnos. Là après on nous a accusé d’être alcoolique et des personnes infréquentables, car on essayait de dire ce qu’il se passé mais ca plaisait pas. Après le foyer, elle a fait une autre famille d’accueil où là elle a fait une grosse crise. Et là, la famille d’accueil a dit qu’elle ne l’a voulait plus, donc 5 autres familles d’accueil et 2 lieux de vie.
En 2010 on nous l’a rendu car plus de solution de place, mais avec un suivi AEMO car ils disent que l’on ne sait pas gérer les crises de notre fille. Là elle est scolarisée dans un IME ou elle a subi 3 attouchement de la part de 2 de ses camarades l’enquête est toujours en cours.
Nous l’avions retiré de l’école pour son bien être physique et morale, elle a été hospitalisée car elle a fait une grosse crise suite a ce qui c’est passé. Nous avons eu un rendez-vous avec l’inspectrice de l’ASE qui a exigé de la re-scolariser dans cet établissement avec le motif suivant « c’est elle qui a cherché les garçons ».
Nous lui avons dit qu’elle ne repartirait pas dans cette institution car notre fille ne se sentez pas en sécurité et qu’elle avait peur d’avoir de nouveaux problèmes, et comme on a refusé elle en a informé le Juge.
Suite à ce rendez-vous nous sommes allés voir notre avocate, qui est allée voir la Juge des enfants de Dax, qui lui a confirmé qu’on devait remettre notre fille dans cette école.
Où sont nos DROITS de parents? Où sont les DROITS de notre enfant?
Où es-ce que notre fille est protégée?
STOP A LA MALTRAITANCE INSTITUTIONELLE.
SAVEZ-VOUS QU’EN FRANCE 1 ENFANT SUR 2 EST VICTIME DE PLACEMENTS ABUSIFS.
SI VOUS VOULEZ NOUS SOUTENIR ENVOYER VOTRE COURIER A L ADRESSE EN TETE.
VOUS POUVEZ SIGNEZ LA PETITION SUR LE SITE EN TETE
bonjour, je viens de lire les articles sur les services sociaux et effectivemement ils ne font pas grand chose. j’ai eu fais appel à une association pour mon fils, ça a duré 6 mois, et vu que leur système ne marchait pas ils ont décidé de tout arrêter, mon fils je ne le vois plus depuis presque 2 ans, malgré les plaintes déposé pour NRE contre mon ex, rien n’y fait, il y a 2 mois le juge pour enfant m’a dit qu’il fallait que je ressaisisse le JAF pour remettre en place des droits de visites et d’hébergement, mais pour cela il faut un avocat et j’ai pas les moyens du coup un médiateur à été saisis par le procureur et depuis j’ai de nombreux rdv avec lui et on va mettre petit à petit en place des visites de quelques heures avec mon fils et avancé tranquillement. tout ceci pour dire qu’il vaut mieux aller voir un médiateur qui vous écoute réellement que les services sociaux qui n’en n’on rien à faire que votre ex vous est enlevé votre enfant.