Témoignage d’une mère victime d’aliénation parentale et réflexion à propos d’un radeau sans capitaine dans une société à la dérive…

Les enfants sont détruits psychologiquement par les conflits parentaux. La cellule parentale, n’est plus que l’ombre d’elle même : dans le meilleur des cas, encore à deux, accrochés au gouvernail d’un radeau de fortune, sinon l’un des deux, déjà tombé à l’eau… Dans ce cas là, l’enfant est sans repère et se construit (ou se déconstruit) à l’image d’une société, qui semble partir elle-même à vau-l’eau…
Pendant ce temps que font les professionnels des affaires familiales ? N’abusent-ils pas pour certains, du réflexe de l’autruche ? Sinon d’une certaine complaisance liée à l’inertie des habitudes fatalistes ? Voire carrément du déni de la boucherie sociale qui se déverse parfois sur leur pied ? Car du point de vue du justiciable, le cadre légal ressemble plus à une grille de loto où parents et enfants sont bien loin d’être à l’abri de tirer le mauvais lot consistant à repartir avec une vie bouleversée… Il est clair que la complexité de la question familiale est telle qu’elle dépasse la seule réponse juridique et devrait-être prise en compte d’une manière adaptée et plus globale. L’intérêt supérieur de l’enfant restant toujours au coeur de la problématique : encore faut-il ne pas se contenter de l’expression mais s’emparer du sens (sans le déformer).
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L’inertie des mauvaises habitudes sinon la politique du pire ?
La grande question demeure, qu’est-ce qui empêche de redresser la situation ? Pourquoi les clous qui jonchent la route de la résolution des conflits, s’y trouvent toujours après le passage du rouleau compresseur judiciaire ? Pourquoi la politique stagne et périclite en face d’une tumeur qui s’enracine depuis des décennies ?
Au delà des beaux discours, n’est-ce pas déjà là, l’absence réelle de la volonté du "changement", pourtant sans commune mesure avec a contrario l’acharnement obstiné et démesuré, qui est déployé pour tenter d’imposer aux français un projet de loi hasardeux sinon carrément décadent et que ces derniers ne veulent en aucun cas être mis en place. Cet entêtement frisant la pathologie, s’agissant du projet de loi sur le mariage gay avec en ligne de mire la PMA (Procréation Médicalement Assistée) puis la GPA (Gestation Pour Autrui), est assez symptomatique d’une élite parfaitement déconnectée des réalités et des vrais attentes de ses concitoyens. Le rappel à l’ordre clairement manifesté à l’occasion du plus grand rassemblement citoyen depuis des décennies ce dimanche 13 janvier 2013, a été l’occasion de le rappeler.
Ah si seulement ne serait-ce qu’1% de tout cet acharnement, qu’on espère vain, de cette élite politique, pouvait être utilisé avec la volonté a contrario, de résoudre les VRAIS problèmes familiaux qui sont posés depuis plus de 30 ans et ainsi répondre aux vraies attentes des français…
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Des mesures temporaires simples à mettre en oeuvre
Car le problème est bien l’absence de volonté, bien au delà d’un budget même réduit et dont on ne cesse de décrier l’insuffisance. Car une augmentation seule des moyens ne suffirait pas à combler le vide par ailleurs dégagé par cette force d’inertie des mauvaises habitudes sinon par l’absence d’imagination à mettre en place quelques mesures aussi simples qu’efficaces, dans l’attente d’une politique plus ambitieuse qui viserait à restaurer sinon encourager la stabilité des ménages nécessaire à l’éducation des enfants…
Comment ne pas s’étonner par exemple, concernant les séparations, qu’en introduisant la notion de couple parental, personne n’ait envisagé d’y ajouter celle de la zone parentale (?) et ainsi prévenir de facto, une résolution intrinsèque, liée au risque de l’Eloignement Géographique Volontaire (EGV) puisque d’une manière quasi-automatique, elle pouvait prévoir que les deux parents soient de fait encouragés à faire respecter le droit de l’enfant à maintenir ses liens parentaux plutôt qu’à le rendre caduque, par un éloignement ?
Comment aussi ne pas permettre aux forces de l’ordre qui constatent une infraction de Non Représentation d’Enfant ( NRE ) – de procéder à une simple verbalisation immédiate ; plutôt qu’à leur faire saisir des plaintes chronophages (25 000/an) et parfaitement inefficaces ; sauf à rendre fou les parents et les enfants indûment séparés (cf. Dr Victor Simon). L’amende (ou astreinte immédiate) au contraire, suffirait dans beaucoup de cas, à dissuader efficacement et immédiatement l’entreprise perverse du parent excluant et ainsi réduire les conséquences graves sur la psychologie de l’enfant …
Au lieu de cela, en semant lâchement les graines des méandres interminables de la procédure judiciaire, on finit par être complice d’une rupture définitive du lien parent-enfant (plutôt que l’inverse). Si les juges ne doivent se soucier que du respect de la loi a posteriori, alors qui, pour encore incarner l’arbitre social et moral nécessaire à la prévention et au dialogue pour désamorcer l’escalade des conflits conjugaux puis parentaux : plus de chef de village, de juges de paix, de chefs de famille (élargie), plus de paroisses, … plus de valeurs (?), l’individualisme trône sur sa tour penchée et la société baigne dans une boue Gnam Gnam, avec pour seul lien social encore solide : la télé du salon voire un compte face-de-bouc…
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En l’absence de structure adaptée, sur qui peut-on encore compter ?
Alors pourquoi, dans un tel contexte où il n’y a d’ailleurs que peu ou prou de "code de la famille", la justice devrait-elle donc continuer à s’occuper de quelque chose dont elle ne dispose visiblement pas de toutes les clefs pour agir efficacement (et rapidement) avec parfois même un rôle inducteur dans le drame familial ? Pourquoi ne met-on pas en place une structure adaptée pour résoudre les problématiques rattachées à ce "pilier de la société" qu’est la famille ?
Car dans le même temps, on multiplie la possibilité que chaque désaccord dans le couple (conjugal ou parental) devienne un risque de ramener le conflit devant une juridiction qui pourtant ne semble pas être adaptée pour le soigner, sauf s’il faut achever le malade. Quand on sait que l’enfant en fera les frais : combien de temps encore, va-t-on à ne pas réagir autrement qu’en mettant la tête dans le sable ?
Face à un problème de société majeur dont les gouvernements successifs au pouvoir, se montrent parfaitement incompétents, doit-on finalement continuer à espérer l’émergence de l’embryon d’une résolution politique ou judiciaire ?
N’est-ce pas finalement à la société toute entière et aux citoyens qui la composent d’incarner chacun l’amorce d’un changement qu’il souhaite voir s’opérer, pour peut-être espérer voir se réaliser l’éventualité d’une réorientation, de plus en plus urgente ?
Ex. d’un appel à l’aide d’un parent qui ne voit plus son enfant…
« Bonsoir,
je suis une maman qui avait un fils qui a 12 ans, j’en parle au passé car mon fils ne veut plus me voir à cause de son père,il y a 2 ans mon fils était en détresse et un dimanche il a fait une menace de suicide par pendaison, j’ai donc fait une chose que tout parent aurait fait, j’ai été au urgence avec mon fils pour qu’il voit un médecin et de pouvoir parler de tout cela avec lui, je ne le regrette pas et si c’était à refaire je le referais, malheureusement son père est arrivé aux urgences aussi, et là, il a été dire à mon fils devant témoin « ta mère veut t’enfermer chez les fous, tu n’en ressortiras jamais » depuis il le harcèle avec ca, et du coup mon fils ne veut plus me voir car il croit son père, son père a profité de la situation pour m’enlever mon fils et ainsi continuer à le manipuler tranquillement sachant que maxime ne veut plus me voir. Ca fait 6 ans que maxime est manipulé, voire pire depuis 2 ans.
Depuis 2 ans, juge, avocat, médiateur, assistante sociale, etc…. on tous remarqué que mon fils était et est toujours manipulé par son père « c’est bien marqué dans les rapports » mais pour une raison qui m’échappe personne ne fait rien contre lui, malgré les plaintes que j’ai déposé, malgré les rdv chez le jaf, le juge pour enfants, personnes personnes ne bougent,
je suis désespérée de ne plus voir mon fils, ma vie s’est brisée le jour ou on me l’a enlevé, j’ai beau faire les choses comme il faut….malgré qu’il ne veuille plus me voir, je lui écris des lettres toutes les semaines, sans jamais de réponse, aucun coup de fil, j’ai perdu mon fils à cause de son père. je demande pas grand chose je veux juste que mon maxime me revienne.
AIDEZ MOI SVP…….. QUE DOIS JE FAIRE……….
VERS QUI ME TOURNER………..
Une maman ! »
[voir ici le témoinage d’une autre mère …(FleurBelge)]
Courage aux mères et aux pères (et surtout à tous ces enfants) abandonnées par cette absence de volonté politique à vouloir s’occuper des vraies problématiques familiales.
Cf. Statistiques « Les vrais chiffres du divorce«
La structure judiciaire actuelle n’est pas adpatée pour gérer le conflit parental
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Seulement comment une structure judiciaire avec ses 15 min consacrés en audience (où les parties s’expriment via leurs avocats, appuyées par des attestations, enquêtes, expertises qui ne reflètent pas toujours la réalité), pourrait-elle décemment prendre en compte des cas souvent complexes ?
Comment peut-on espérer qu’elle puisse dans ces conditions, intégrer des notions pourtant monnaie courante du conflit comme la calomnie(1), l’aliénation parentale(2) (manipulation de l’enfant / conflit de loyauté), la perversion(3), la violence (qui n’a pas de sexe et qui ne s’exprime pas toujours physiquement),… ?
Pourquoi ne pas prévoir au delà de la décision judiciaire, un suivi pour tenir compte de l’évolution, en prévoyant une adaptation et d’autres aménagements visant le bien être de l’enfant dans son contexte familial – autrement que par un retour devant la même juridiction qu’au départ : c’est à dire dans les mêmes circonstances…
La justice fait appliquer la loi. Elle peut arbitrer les conflits du point de vue de la légalité. Il n’y a que peu ou prou de code de la famille en France (cf. article). Puisque une grande liberté est octroyée au juge pour statuer : comment dans le même temps ne pas octroyer le temps nécessaire au bon jugement.
La structure judiciaire actuelle n’est pas en mesure de pouvoir arbitrer correctement, autrement que les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant). Pour les autres cas, il faut faire le constat d’un jugement grevé d’une dimension hasardeuse prédominante.
Il faut donc mettre en place une structure adaptée pour gérer le conflit. Et parallèlement, dans un contexte où la société tend au fil des générations à avoir des unions de plus en plus brèves (et en tout cas inférieures au temps nécessaire à l’éducation des enfants), il faut inverser cette tendance et donc s’attaquer également aux causes plutôt que seulement tenter d’en résorber les conséquences.
Force est de constater que dans un cas, comme de l’autre, rien n’est fait et au contraire la tendance semble même continuer de prendre le chemin inverse. Ne pas agir, ni comprendre que la famille est le pilier de la société, c’est par ignorance ou complicité, s’associer à son destin immanquablement funeste, tant désormais, le problème par son ampleur est devenu quasi-sanitaire (cf. statistiques)
En attendant, on se consolera en constatant que face à cette inertie politique manifeste (sauf quand il s’agit d’imposer des projets parfaitement inopportuns) et donc face à une élite qui ne daigne pas réagir à la hauteur des responsabilités et des enjeux dont elle a le mandat ; le peuple sait lui par contre, témoigner une défiance sans équivoque et un message parfaitement clair (pour qui n’est pas sourd…)
pour dire Oui à la Famille et Non au mariage Gay
Vox populi, vox Dei
QUELLES MESURES PRENDRE ? [Dans l’attente d’une politique de la famille ambitieuse, sur le long terme …]
I/ DES MESURES DE PREMIERES URGENCES :
- 1/ PERMETTRE AUX FORCES DE L’ORDRE DE DRESSER DES PROCES VERBAUX de manière immédiate et automatique en cas de constatation de NRE (Non Représentation d’Enfants). [Plutôt qu’à devoir saisir 25 000 plaintes/an sans effets]
- 2/ DEFINIR UNE ZONE PARENTALE pour prévenir les EGV (Eloignement Géographique Volontaire) et afin de permettre le cas échéant une mise en place ultérieure de la garde alternée si elle est souhaitée. [Pour prévenir à court terme la souffrance de l’enfant séparé et à long terme le risque de conflit de loyauté/aliénation/manipulation et surtout faire respecter les droits de l’enfant à ne pas être arraché de l’un de ses parents]
- 3/ PRIVILEGIER LA RESIDENCE EGALE (Si elle est souhaitée par les deux parents ou si les deux parents sont demandeurs d’une garde privilégiée et qu’aucun accord n’est trouvé)
- Si l’un des deux parents NE résident PAS dans la zone parentale et qu’aucun accord n’est trouvé pour un mode de garde équitable : le parent qui y réside toujours est de facto privilégié pour la garde principale.
- Si les deux parents résident dans la zone parentale et que l’un des deux refuse un mode de garde équitable qui est demandé par l’autre. Charge à celui qui refuse de démontrer qu’il est "le plus à même de faire respecter le droit de l’enfant à voir ses deux parents".
- D’une manière générale : PRIVILEGIER DES DEUX PARENTS, CELUI LE PLUS A MEME DE GARANTIR A L’ENFANT DE RESTER EN CONTACT AVEC SES DEUX PARENTS – A défaut d’accord entre les parents ou ultérieurement, en cas de naissance d’un conflit parental.
II/ DES MESURES DANS UN SECOND TEMPS : [Visant la réduction des conflits et une meilleure régulation par une plus grande proximité et une meilleure prise de conscience de l’intérêt de l’enfant.]
- PREVENIR LE CONFLIT PARENTAL [par des mesures de prise de conscience.]
- Exemple : Faire signer un engagement de bonne attitude parentale visant une prise de conscience pour maintenir de bons liens avec chacun de ses deux parents, dans son intérêt : vis à vis de son affect et de son développement psychologique
(ex. qqs idées dans cette lettre d’un enfant à ses 2 parents séparés)
- Exemple : Faire signer un engagement de bonne attitude parentale visant une prise de conscience pour maintenir de bons liens avec chacun de ses deux parents, dans son intérêt : vis à vis de son affect et de son développement psychologique
- REGULER LE CONFLIT PARENTAL de manière rapide et évolutive
[Le contexte du conflit parental exige une réactivité, une proximité et une écoute nécessaire pour le réguler et assurer le suivi de son évolution.]- Désigner une personne de proximité à qui on délègue la charge d’arbitrer le conflit naissant ou le suivi d’un conflit latent, dans la limite de son autorité morale, afin de tenter de le désamorcer. Cela peut-être n’importe quelle personne qui a la confiance des deux parents et qui en accepte la charge ou à défaut, un médiateur ou une autorité locale qui en accepte la charge.
- Eventuellement renforcer la prise de conscience de l’intérêt de l’enfant à se développer dans le contexte d’un couple parental serein (stages/formation visant la sensibilisation sur ce thème)
III/ DES MESURES A LONG TERME :
- ENCOURAGER DES UNIONS AVEC ENFANT(S), PERENNES [Au moins le temps nécessaire à l’éducation des enfants]
« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).
« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »
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C’est horrible! Des hommes privés de leurs enfants et maltraités par leur femme. Et les enfants y patissent! Et la société ne veut rien entendre; ni mème la justice! Bravo à notre société incapable de voir et d’accepter la vérité. Les préjugés l’emporte. Le combat pour une société plus juste doit continuer! Et continuera!
Les propositions de la « marche des pères du 15 septembre 2013 »

https://www.facebook.com/collectif.copco
Contribution d’Eric Verdier dans le cadre du groupe de travail « Genre, violence et santé » – Travaux préparatoires à l’élaboration du Plan Violence et Santé – Extraits du Rapport général « Violence et Santé » — Docteur Anne Tursz (INSERM)
Il est urgent que la justice respecte l ‘ègalité parental pour le bon équilibre de l ‘enfant
Des centaines de milliers d’enfants plongés dans la soufrance de la séparation. Il est temps que ces maltraitances cessent enfin.

« De nombreux textes internationaux protègent le droit de l’enfant au maintien de son lien filial avec ses deux parents. »
Cet article sonne tout à fait vrai et rend compte d’une situation que les media ne souhaitent pas aborder. Avec le recul du temps des sociologues pourront analyser notre époque en France comme celle de la « déconstruction familiale ». En effet, au-delà d’une inertie visant à ne pas résoudre la décomposition en cours, il existe bien une volonté de déresponsabiliser les parents afin d’entretenir des structures parasites qui au nom d’un service public d’aide et de soutien à la parentalité vit du malheur conséquent à la perte de repères et de valeurs dans la famille. Cette évolution est à analyser et nécessite une conscientisation afin que les familles victimes comprennent le piège mortel d »un Etat « nounou » qui met leur parentalité sous tutelle.
La structure judiciaire actuelle n’est pas adpatée pour gérer le conflit parental (voir article)
Témoignage d’un parent qui ne trouve plus d’écoute…
"Malgré ma bonne foi présentée en audience, ainsi que les preuves, je n’ai pas réussi jusqu’à présent à obtenir gain de cause.
Aujourd’hui, nos deux enfants agé de 12 ans et 13 ans (en 2013) sont avec leur mère et je n’ai pu obtenir qu’une visite en milieu médiatisé de 3h par mois.
Mon ex-femme vit à 500 km de mon domicile.
En 2001, mon ex-femme a abandonné les enfants à la naissance. J’en ai obtenu de facto la garde pendant les 8 premières années (de 2001 à 2008).
A la suite d’une enquête sociale en 2008, la garde principale a été obtenue par la mère (je ne voyais plus mes deux fils que la moitié des vacances scolaire et un week-end sur deux)
A l’occasion de vacances passés à la maison en 2010, j’ai relevé un comportement inhabituel de mon fils aîné, âgé alors de 10 ans (attouchement sexuel sur son petit demi-frère) et j’ai contacté les gendarmes (pour savoir si cela nécessitait une thérapie). Le procureur a ordonné une thérapie pour les deux enfants (l’auteur et la victime, son demi-frère).
Mais du fait que cela se soit passé à mon domicile, on n’a pas tenu compte que le comportement perturbé de l’enfant pouvait être du fait de la responsabilité du parent qui en avait la garde principale. De fait, c’est même cette dernière qui a obtenu une garde élargie.
– Abandon des enfants en (2001)
NB : L’agression m’a conduit à une incapacité physique (ITT) de 17 jours et des complications encore aujourd’hui. Les enfants ont pu être in-extremis, soustraits à la vigilance des 2 agresseurs pendant l’agression, par une voisine. Par la suite, j’ai dû partir en foyer d’hommes et femmes battus pour la sécurité des enfants. Des témoins ont été menacés physiquement et directement à leur domicile, pour ne pas témoigner.
Depuis 2010, je n’ai plus jamais revu mes deux enfants et je ne sais pas non plus où ils vivent depuis que leur mère a déménagé sans laisser d’adresse"
(Témoignage recueilli auprès d’un parent qui n’arrive plus du tout, à rentrer en contact avec la justice pour s’occuper de ce dossier et se voit renvoyer une fin de non recevoir !)
« Privé de mes fils depuis plusieurs années »
Inaction manifeste du politique pour s’attaquer au problème URGENT de l’exclusion parentale
Le mariage gay, est un projet de loi qui a été monté en 4 mois. La problématique familiale est une situation urgente et pénible qui elle concerne des millions de français (parents, grands-parents, frères/sœurs, etc… mais surtout les enfants 1eres victimes). Cela fait des décennies que cela traîne et empire… Mais visiblement, ça n’est toujours pas considéré comme une situation urgente pour quelques uns, malgré les statistiques éloquentes sur ce thème.
Le document suivant permet de juger de la rapidité comparée de mise en œuvre. Et constater qu’il y a beaucoup moins d’entrain à agir que lorsqu’il s’agit de permettre à des messieurs, riches et motivés, comme M. Lang ou M. Bergé de pouvoir éventuellement adopter de jeunes enfants (ou les faire faire), au nom de la sacro-sainte «égalité » (sauf pour ces enfants-là…), quand ca n’est pas au nom de la « différence »
Que doivent faire maintenant les français pour obtenir des ministres qu’ils agissent rapidement et efficacement pour non pas seulement servir les intérêts d’un lobby aussi infime qu’il est puissant, mais plutôt pour servir l’intérêt citoyen et national ?
réponse du cabinet du Ministre, à la question de M. Nicolas Moreno (source)
170 juristes ont adressé une lettre aux sénateurs, vendredi 15 mars, pour critiquer le texte de loi sur le mariage pour tous, qui sera examiné dans deux semaines au Sénat. Dans ce texte, les juristes critiquent ce qu’ils appellent un « marché des enfants ».
Quelles mesures prendre d’urgence vis à vis du conflit parental ?
Plus d’infos, suivez ce lien
8 pères et 1 mère escaladent la cathédrale d’Orléans (RMC – Les Grandes gueules)
voir l’article consacré à l’escalade sur la cathédrale d’Orléans. (NB : video ci-dessus telechargeable, ici )
A voir également:
Ex: Témoignage d’une autre mère victime d’aliénation (FleurBelge) [en tant que Maman] :
"Il faut cesser de dire que ce ne que sont les pères qui sont rejetés!
Je suis moi une mère aimante, A 3 ans pour ma fille et 6 ans pour mon fils, mes 2 enfants adorés ont subi l’aliénation parentale par leur père contre moi…. (….)" [¨la suite ici]
Parents désespérés…
avant que les parents n’en soient réduits à
« monter sur des grues… » (1.3 million concernés selon l’INED)
La médiation largement insuffisante pour régler le problème d’Exclusion selon les associations…
Ardèche (Privas, 09/03/2013), une grand-mère de 70 ans qui ne voit plus sa petite fille, prends une grue d’assaut (accompagnée par Nicolas Moreno)
J’ai eu la même situation. Ma fille a fait une tentative de suicide.Elle m’a appelé un mercredi après-midi. elle avait quinze ans. Quand je suis arrivé près de chez elle, elle est sorti de l’appartement en titubant. j’ai tout de suite vu que son comportement était étrange. Elle tenait entre les mains des photos de nous ensemble, des photos de notre appartement ou nous semblions heureux. Je lui ai demandé ce qu’elle avait fait et m’a tout de suite avoué qu’elle avait bu beaucoup d’alcool avec des comprimés. Il était peut être 12h00, ou fin de matinée. J’ai fait ni une ni deux, je l’ai emmené à l’hôpital pour la confier aux médecins en leur disant ce qui était arrivé. Ils l’ont prise en charge aussitôt. Il n’y avait rien de grave, juste un appel au secours. J’ai appelé la mère aussitôt, chez qui ma fille résidait normalement. elle est arrivée accompagnée du petit ami de ma fille ; a commencé par me dire que c’était de ma faute, que j’étais responsable. J’ai aussitôt été éjecté du chevet de ma fille et ai juste obtenu de revenir la voir quelques heures plus tard. Je suis rentré et je me suis occupé de mon fils de 2 ou 3 ans à l’époque. Préoccupé par l’état de santé de ma fille , j’ai eu l’idée de faire une petite vidéo de mon fils pour sa soeur. Elle adorait son petit frère. Je me suis présenté à l’hopital dans la soirée ou elle avait été hospitalisée. J’ai voulu rester un instant en tête à tête seul à seul avec elle. Mon ex fermme a d’abord refusé de sortir un instant. J’ai pu rester quelques minutes, pas plus, avec elle. A peine avais eu le temps de sortir l’appareil pour visionner le message du petit frère qu’elle était déjà de retour dans la chambre. Elle s’est assise sur le lit, face au mur, sans nous regarder. J’ai alors passé à ma fille le message. Et là, je crois que j’ai eu une vision que je n’avais jamais eu jusqu’à présent. Le visage tordu de haine, elle s’est retourné vers moi en disant « Elle n’en a rien a faire de ça ». C’était peut être une erreur que de montre ce petit frère. Une altercation s’est produit et l’infirmière a du nous demander de quitter la chambre an nous reprochant ce comportement. Elle avait sans doute raison. Je n’ai jamais eu de nouvelles de l’hospitalisation de ma fille. Je n’ai jamais rien su. J’ai juste su un jour que ma fille était suivie par un psychiatre depuis longtemps déjà.
Après d’autres événement comme ceux ci, en dépit de demandes de gardes alternées refusées parce que Madame les refusait (nous habitions à 200 m l’un de l’autre), je ne vois plus mes filles. Ma deuxième relation a aussi été brisée par ce conflit. Je me retrouve aujourd’hui ayant eu trois enfants, vidé par ce sentiment d’injustice profond à mon égard, ayant voulu assumer mes devoirs de père pleinement, et détruit par une justice qui ne voit que les droits a travers ce divin état de droit qu’elle défend.
Alors je sais une chose : voir la société imploser du cancer qui grandit en elle me rendra heureux.