Que peut-on faire pour agir et aider à enrayer la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s) (voire aliénés ou pire encore) ?
Cela fait plus de 30 ans que c’est ainsi, alors pourquoi donc chercher à trouver de quelconques solutions à ce problème, quand on sait que de toute manière, c’est très probablement inutile ?
En effet :
- Près de 18 000 enfants/an prennent le chemin de l’aliénation parentale dans l’indifférence et une inertie scandaleuse (cf. lien)
- 50% des enfants retirés à leur famille (sur un total de 135 000) le sont inutilement (!), de l’aveu même de l’inspecteur général des affaires sociales (cf. lien)
- Des milliers d’enfants maltraités ou abusés
- Et combien jetés dans le réseau de la prostitution voire de l’ignominie sans nom ?… (cf. lien).
Même si le point de non retour semble atteint vis à vis de cette réalité dont on n’ose même plus faire la publicité, il reste à chacun de choisir son camp : celui de ne rien faire ou laisser faire (sinon même d’en être parfaitement complice – même si la plupart du temps, c’est par ignorance ou par manque d’empathie) ou bien d’être de ceux qui tentent modestement d’agir même si c’est inutile et quand bien même ils seraient peu nombreux : pourvu qu’ils soient de ceux-là…
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! — Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac
Car une civilisation qui se comporte ainsi envers ses enfants, abusant de leur incapacité à pouvoir se défendre ou être défendu pour le respect de leurs droits fondamentaux (…), n’ira peut-être pas beaucoup plus loin encore ? …
Face à l’ampleur et la gravité du phénomène, cela est bel et bien devenu l’affaire de tous. Et à chacun désormais, de se saisir du sujet sans plus attendre…
Alors, au moins, si l’on se donne la peine d’avoir fait à son niveau et selon ses moyens, ce que l’on croyait être bon et juste pour tenter d’apporter ne serait-ce qu’une ou plusieurs gouttes d’eau, qui voulaient participer à éteindre cet incendie… Alors peut-être que oui, cela n’aura rien éteint (ou pas grand chose) mais est-ce vraiment cela qui compte ?
Ou bien s’agit-il de s’assurer qu’au moment et pour le cas, où nous devrions tous en payer collectivement l’addition. Si derrière nos pas, le destin nous amène à entendre la cité s’affaisser sous le poids de sa décadence, alors peut-être que l’on n’aura pas agi complètement inutilement : car on pourra au moins se dire dans son for intérieur, que si oui notre action n’aura pas pu empêcher grand chose, elle aura au moins sauvé, ce qu’il y avait peut-être encore à y sauver (?) : son Honneur…
« Face à l’injustice, chacun doit pouvoir agir à sa mesure… »(…).
« Vis à vis des injustices, dans une société qui semble avoir perdu le fil des valeurs, sans attendre une improbable action d’une élite détachée de l’intérêt commun : chacun doit agir à sa mesure et ne pas laisser faire… (…) »
Un cas concret d’Exclusion Parentale (rupture du lien parent-enfant)
Oui, ce n’est pas simple. C’est une double souffrance mais en réalité c’est la souffrance de l’enfant séparé du lien qui est la plus inquiétante, la plus injuste, la plus immorale, et …c’est cela qu’il y a de plus dur.
Que faire vis à vis de ces 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’aliénation, par exemple ?
Il ne sert à rien de convaincre un parent aux réflexes aliénants. C’est un bloc de roche jusqu’au jalon qui lui permettra d’ouvrir les yeux. En attendant, rien ne peut-être fait pour convaincre de son côté : il sera plus facile de déplacer des montagnes… Et bien justement… Comme c’est avant tout un problème de société, une faille du système qui ne semble pas prendre en considération la souffrance des enfants privés de leur lien affectif et parental (puis rentrant progressivement dans une souffrance pathologique), ni à prendre en compte le droit des enfants qui est pourtant explicite (!), ni d’être capable de diagnostiquer la calomnie même quand elle est évidente (car tous azimut). Il va donc falloir déplacer les montagnes et c’est un honneur que de rentrer dans ce combat car il a toute la gloire d’un combat juste, celui de montrer a votre enfant que vous ne l’abandonnerez jamais et que vous vous bâterez, bâterez, encore et encore mais en utilisant tous les moyens nobles et surtout pas ceux détestables auxquels recoure le parent aliénant : il faudra donc se battre à découvert et de manière frontal en utilisant les arguments du droit, de la moral, de l’amour de l’enfant, etc.. .Sans jamais laisser la place aux mauvais sentiments (car ils sont parfaitement improductifs).
QUOI FAIRE ?
Avant toute chose : COMMENCER PAR S’INFORMER SOI MÊME : https://affairesfamiliales.wordpress.com
Face à l’injustice, à l’oppression, il faut relever la tête et sourire : le jour tant attendu est arrivée… Alors de la connaissance, de la compassion pour les souffrances de tous les autres dans le même cas : c’est le moment de s’unir et d’aller rétablir la justice et de mettre fin aux souffrances…
Peu importe l’issu : le plus important c’est de se battre, sans haine mais au contraire avec honneur et détermination jusqu’à l’issu complète ou le dernier souffle …
-
Voilà venu le moment de faire son chemin de croix pour en sortir éprouvé et fier d’être resté digne et combattant face à l’adversité (celle induite par l’intense souffrance de votre enfant que vous ressentez par compassion évidente) : transformez votre colère et votre souffrance en quelque chose de lumineux et d’efficace pour les autres et qu’elle serve à tous les enfants (et pas seulement le votre). Et en donnant, vous recevrez (vous verrez).
-
Commencer par donner une grande part de votre temps libre, et le maximum de moyens pour vous permettre de comprendre et ensuite faire comprendre et diffuser cette problématique complexe (à tous, sauf au parent aliénant qui restera hermétique jusqu’à la résolution : ne cherchez pas à convaincre ce dernier, c’est du temps perdu : attaquez vous d’abord aux montagnes : c’est plus simple ;-). Le but est de faire évoluer les consciences pour qu’elles se rendent compte de la manière dont sont élevés nos enfants en les privant de leur parent : Un mal fondamental, aussi inconnu que massivement répandu. Le parent séparé doit donc agir sans fléchir, jusqu’à la libération effective (de son enfant) et toute sa vie si il le faut… Mais toujours avec des moyens nobles sans jamais chercher à basculer dans un comportement aliénant inversé tel un desperado… mais plutôt avec une franche détermination et beaucoup de piété : vous serez surpris de redécouvrir une forme de bonheur pendant votre combat.
Un combat qui vous fera pousser des ailes si vous restez digne et tourné vers les autres. (Chassez votre abattement, votre apitoiement, votre désespérance, votre rancune et pensez à votre enfant et à tous les autres qui comptent sur vous pour agir efficacement et vertueusement..)
Ne perdez pas votre temps à raisonner le parent aux réflexes aliénants (il n’y a pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre : Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent ; et la plupart d’entre eux sont des pervers.) (*pervers : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux.)
- Diffusez l’information…
( ex, via les réseaux sociaux, vos propres réseaux, les lieux médiatisés, etc…)
Ex. Aux Parents victimes d’Exclusion Parentale…qui NE SAVENT PAS UTILISER TWITTER MAIS QUI VOUDRAIENT BIEN… (en 4 étapes)
1) S’inscrire sur Twitter.com et ensuite
2) downloader et installer le logiciel tweeterdeck depuis http://tweetdeck.com/ (qui facilite la gestion des listes tweeter) :
3) suivez les comptes de la iste exclusion parentale récupérable sur https://twitter.com/enfantsdroits/exclusion-parentale/members et également @enfantsdroits
-
Abonnez-vous au site https://affairesfamiliales.wordpress.com[inscription à la mailing liste ou abonnement au flux RSS / dans le menu à droite ]—–>
-
Faîtes connaître cette problématique sur les forums et tous les autres moyens de communication : emails groupés + ciblés (politique, justice, journaliste, …), Facebook, Twitter, ..courrier postaux, … Par tous moyens utiles (y compris originaux).., diffusez l’adresse du site https://affairesfamiliales.wordpress.com et tous les sites pertinents sur le sujet qui prennent le parti de l’enfant. Cela est utile pour plusieurs raisons :
- Faire connaître ce problème, sans quoi ca n’évoluera pas (tout seul)
- Permettre à quelqu’un de prendre conscience (de lui même) de l’erreur qu’il fait,
- Permettre à un enfant ayant grandi, de comprendre et reprendre contact avec un parent (en souffrance)
- Permettre à un parent indûment séparés de trouver du courage pour se battre pour son enfant et les autres
- Faire connaître aux professionnels des affaires familiales ce gâchis et surtout cette souffrance des enfants séparés (voire aliénés)
-
Mener/Participer aux opérations de communication pour faire connaître la problématique et l’urgence de la situation ; en se regroupant : ex. Printemps 2013 (cf. ici pour la mise à jour des liens et les exemples)
-
Soutenez la cause de l’enfant (ne vous laissez pas berner par la calomnie tous azimuts qui justifie vouloir isoler l’enfant « au nom de » : les calomniateurs, ce sont eux les véritables pervers ; sinon pourquoi 1000 prétextes et 0 témoins !?) ; non plus les ignorants qui se rendent complices en confondant le principe de précaution avec le principe de protection
-
Transmettez des attestations en toute occasion pour soutenir l’enfant et son droit : c’est à dire celui de ne pas avoir son lien parental réduit en miette. (Donc sans se soucier du couple conjugal dont personne n’a que faire, l’enfant le premier !).
-
Soutenez le parent en détresse, en lui faisant connaître l’information utile pour qu’il prenne conscience lui-même du problème dont son enfant est victime (qu’il puisse mettre des mots c’est essentiel !) : attestations formalisées ou simples témoignages de soutien pour la cause de l’enfant au parent séparé de son enfant.
« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)
.
« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).
« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »
« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).
« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »
Toujours garder à l’esprit que ce qui est le plus détestable c’est la souffrance de l’enfant privé du lien (Car on ne doit pas faire d’un enfant, un orphelin (de parent vivant) ! Et la pire maison, celle où un orphelin est maltraité.)
! MERCI DE DIFFUSER CE MESSAGE !
… Aux personnes sensibles à ce type de problème (ou pouvant l’être)
C’est un très beau combat : des centaines de milliers d’enfants victimes !
Source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/
A ceux qui se sont éloignés, eux-mêmes
(…)
– Assurez vous d’être dans le même secteur géographique que celui de votre ex-compagne/gnon – si ça n’est pas le cas et que vous aillez vous même quitté la zone qui permette l’exercice du rôle parental.
Aux croyants…
(…)
– Cultivez l’Amour pour vous inscrire dans ce combat avec endurance et patience. Le premier ennemi à vaincre est en vous : prenez vos souffrances pour des bénédictions, vos humiliations pour des sanctifications et votre chemin pour une expiation et une renaissance.Dieu est avec les endurants, les patients, les pardonneurs, les repentants, les sages, les humbles.. et donc avec vous : si vous le souhaitez…
« Les épreuves sont un cadeau de Dieu » (Rav Ron Chaya)
mon ex femme arrive petit à petit à ce que je ne vois plus ma fille elle aura tout fait non présentations d enfant répétés au cours des 10 ans que nous sommes séparés puis est partie vivre du jour au lendemain à 800 km maintenant elle remonte ma fille contre moi et sa grand mère que faire ? ma fille vient de témoigner contre moi en m accusant d être responsable de son mal être elle a 12 ans et se scarifie aidez moi avant qu il ne soit trop tard merci ps/ j ai essayé de résumer 10 ans de procédure pour voir ma fille sébastien lelaurain []
Votre enfant est victime. Il aura besoin de vous. Le moment venu, vous devrez être là.
Parallèlement à votre combat personnel, rejoignez les pères et mères qui vivent cette même ignominie.
Soit le système parvient à se réformer et la maltraitance psychologique des enfants séparés et aliénés, devenue évidente. Soit il continue de scier la branche sur laquelle il est assis. Dans les deux cas, vous devrez être là.
A ceux qui comprennent l’urgence de cette situation intolérable qu’est l’exclusion parentale voir l’aliénation, de prier pour tous ces enfants qui sont séparés indûment de leur père ou de leur mère, voire des deux. Quelle tragique calvaire que cela.
Ensuite, merci de bien vouloir transmettre cette lettre au(x) parent(s) en position de pouvoir agir pour améliorer le sort de l’enfant…
1 autre exemple de détermination et de coup média qui porte la cause des opprimés : ici un collectif de parent qui réclament de voir leur enfant
2 Papas en colère prennent des grues Titan d’assault et font le siège (02/2013)
Idem,
Je suis la mère de Yohan-Franck, aujourd’hui 19 ans, qui devais passer son Bac en juin 2013 mais se retrouve prisonnier d’une situation qui dure depuis 2006.
Pour étouffer une affaire de pédophilie présumée au sein de son collège, l’ASE et la justice des mineurs a préféré placer mon fils et me faire passer pour folle en m’hospitalisant d’office en même temps que la Force publique m’enlevait Yohan pour le placer dans une famille d’accueil de Juilly-77.
Malgré les deux expertises psychiatriques obtenues suite à cet internement, la justice des mineurs et l’ASE ont maintenu ce placement injustifié donc destructeur en soi. Ceci, en dépit de la détérioration progressive de l’état de santé mental de Yohan (échecs scolaires répétés, fugues, entrée en primo délinquance puis récidive, toujours sur son lieu de placement).
Finalement, mon fils me sera remis de force en 2010, sur intervention du psychiatre qui l’a suivi lors de son hospitalisation pour tentative de suicide (comprimés avalés avec de l’eau de javel) : hospitalisation de neuf jours à l’hôpital de Meaux-77.
Mais l’ASE a poursuivi ses exactions en passant par le lycée où j’avais inscrit Yohan, et par la mère d’un de ses amis où il lui arrivait de dormir pour pouvoir continuer ses cours de danse (son seul exutoire, car l’ASE m’a rendu mon fils sans ses papiers officiels, dont sa carte d’identité, sa carte de sécurité sociale, son diplôme du Brevet des collèges, etc.), et mes tentatives de récupération des dits papiers, voire même mes démarches auprès de la Sécurité Sociale pour obtenir une autre carte vitale à mon fils, se sont toutes soldées par un échec. Yohan ne pouvait donc plus poursuivre son nécessaire suivi psychiatrique…
Le 25/11/2011, mon fils et moi avons donc entrepris de porter plainte contre le Conseil Général, la justice des mineurs et le Maire de notre ville, qui n’ont jamais rien fait pour éviter d’en arriver à de tels extrêmes : plainte déposée au bureau du Procureur de Meaux-77, lieu de résidence (sous placement) et du déroulement des faits (tentative de suicide).
Le 06/03/2012, je recevais une lettre du même Procureur m’annonçant que, se jugeant « incompétent à se saisir de cette plainte, il la transmettait à son collègue le Procureur de la ville de Bobigny », soit à la juridiction contre laquelle mon fils et moi avons clairement et nommément porté plainte, en tant que personne morale.
Depuis, notre plainte est bloquée par cette juridiction et, de mars à juin, le calvaire de Yohan dans son lycée à été tel, qu’il a fini par tout abandonner pour résider chez
Début juin 2012, peu avant de passer son Bac de Français, Yohan a subitement disparu du domicile familial et a raté certaines épreuves du Bac, je ne l’apprendrais que peu après de sa propre bouche.
Au début de cette escapade, mon fils parlait de reprendre ses études mais il n’en est rien : il traîne au domicile de cette dame qu’il prend pour sa seconde maman et limite au maximum ses relations avec sa famille (fratrie compris).
Si quelqu’un peut nous aider à faire évoluer cette situation avant que le pire ne survienne, je l’en remercie par avance. Car, hélas, Yohan a besoin de soins en urgence.
Madame Valérie MOUKAGA
E-Mail : ztockafymoi@live.fr
Un bel exemple de ténacité :
ou comment Bruno Boulefkhad sort courageusement d’une dépression improductive, en transformant la souffrance liée à une injustice, en combat perpétuel http://www.bruno-boulefkhad.fr/ – Société Générale et Crédit Agricole à Lons le Saunier
204 jours -> hiver et forcé de se transformer en homme-sandwich – il ne lachera pas : une question d’Honneur… http://www.bruno-boulefkhad.fr/ – Société Générale et Crédit Agricole à Lons le Saunier
250 jours ! pour Bruno Boulefkhad toujours devant sa banque malgré l’hiver et le froid. (Europe1) « Qu’il fasse -5° ou -40° je ne lâcherai pas » (Bruno Boulefkhad)
visite de soutien du célèbre journaliste et auteur – M. Pierre Jovanovic
A lui seul, il est l’icône de l’ensemble des français spoliés par les banques. Si vous êtes du côté de Lons le Saunier, n’hésitez pas à passer devant la Société Générale (cause de ses malheurs) afin de lui témoigner votre soutien. Son site web : http://www.bruno-boulefkhad.fr/
270 jours !
Bruno Boulefkhad passe sur i-télé : son combat est le combat de tous les français roulés par les usuriers : passez le soutenir moralement à Lons Le Saunier : http://www.bruno-boulefkhad.fr/
Epuisé moralement, physiquement, il ne lâchera pas : « c’est une question d’Honneur »
Clip de soutien réalisé en soutien à Bruno Boulefkhad..
La cour d’appel de Besançon donne raison à Bruno Boulefkhad :
Il peut rester devant l’agence de la Société générale. Après le tribunal de Lons, la cour d’appel a estimé que sa présence ne causait pas un « trouble manifestement illicite : « Il n’est, dès lors, pas démontré que Bruno Boulefkhad outrepasserait les limites du droit d’usage du domaine public qui appartient à tous ». (Leprogres – 15/02/2013)
Selon le journaliste Pierre Jovanovic, le standard de la SG explose :
Départ pour Paris cet près midi à 15 heures (10/03/2013)
Passez soutenir Bruno Boulefkhad à Paris
Indestructible : Bruno Boulefkhad est-il un "super héros" ?
(La panoplie "Bruno Boulefkhad bientôt en vente à Noël ?) http://www.bruno-boulefkhad.fr/
« Il n’y a rien qui m’arrêtera : c’est sans appel » (Bruno Boulefkhad)
Dites vous bien que ce que je fais n’est pas permit à tout le monde, au bout de 306 jours de siège. Vu qu’ils m’ont cassé ma chaise, j’ai décidé qu’il n’y en aurait plus et que je me tiendrais debout pour bien leur montrer que rien ne m’affaiblis et qu’ils n’ont fait que renforcer ma détermination. D’autre part, je remercie de tout cœur tous les Parisiens et ceux qui se sont déplacer de très loin qui me soutiennent et viennent passer une ou deux heures avec moi, et ceux qui me soutiennent via PayPal (les dons). Ce combat est aussi le votre, et j’espère qu’il vous sortira du virtuel pour passer ENFIN au choses concrètes.
Bonne soirée, Bruno.
En attendant, la panoplie « Bruno Boulefkhad » à Noël, voici l’affiche :

« Flash info : Bruno vient de tirer une flèche en plein coeur du siège de la société générale à Paris »
A la fin de sa journée devant le siège de la SG (bd Haussmann), Bruno se déplace devant l’AFP

Pour soutenir Bruno : http://www.bruno-boulefkhad.fr
326e jour d’occupation de la société générale, 4e semaine devant le siège de la Société Générale de 7H45 à 18H15 non-stop : Une page facebook en soutien au combat de Bruno Boulefkhad contre la Banque est créée.
https://www.facebook.com/SoutientABrunoBoulefkhad
Bruno Boulefkhad, portrait

manifestation de soutien à Bruno Boulefkhad le 18 mai 2013 à Paris

Manifestation de soutien Bruno Boulefkhad ce 18 mai 2013
Tous invités : Bruno fête ses 1 an devant la banque, demain (18 mai 2013 à Paris) :
Bruno Boulefkhad reçoit une « quenelle d’or » (22/06) pour son combat courageux face à la société générale
35°C, 15kg sur le dos, 431 jours… moral d’acier
La chaine Boulefkhad…

Aujourd’hui au garde à vous devant la banque mais demain à l’intérieur ?
Les militaires soutiennent Bruno Boulefkhad
Il faut être dans l’endurance et non pas le sprint car la plupart des problèmes (ex. calomnie, le manque d’empathie, la perversion,…) se règlent avec la patience. Pour avoir de la patience, il faut transformer la haine générée par sa propre souffrance mais ne pas abandonner le combat : il faut l’inscrire dans la durée. Ouvrir 2 fronts : la démarche de résolution pour son propre cas (ex. procédures juridiques, avocat, psy, etc..) ; et parallèlement ouvrir une ligne de front sur une démarche collective.
Il faut non pas résorber la souffrance qui est immense mais bien au contraire apprendre à la canaliser jusqu’à une transformation complète : parce que cette énergie est immense (à la hauteur de la douleur ressentie quand elle venu s’abattre sur soi, dans les premiers instants). En opposant la patience à la calomnie, l’amour de ses ennemis à la perversion des ignorants, on renversant les vraies valeurs (cette fois dans le bon sens) : on peut soulever des montagnes.
Mais il faut choisir son chemin en bonne cohérence : car on ne peut pas à la fois aimer et haïr ses ennemis, être impatient d’une résolution et patient en même temps, être soucieux de sa propre peine et ignorer celle des autres, etc. C’est un travail de longue haleine.
En bout de course, un bonheur vraiment mérité… Alors bon courage et patience…
« Etape n1 – Reveiller les consciences »
Bonjour,
Je suis le papa de Thomas, Marion, Gaëlle et Pauline, 4 enfants qui refusent malheureusement de me voir depuis plus de15 ans (1994 date du divorce)…
C’est en pensant à eux, et fort de mon expérience dans le domaine juridique et social, que je pense ma battre contre l’ALIENATION PARENTALE … pour permettre à tous les enfants de continuer à voir leurs 2 parents dans le cadre des séparations parentales conflictuelles, et leur permettre de devenir des adultes responsables et équilibrés, tout en respectant une égalité hommes/femmes dans le domaine des relations parents/enfants.
Malheureusement, quand le divorce devient une guerre, « l’enfant-soldat » comme on les appelle, est l’objet et l’enjeu du conflit parental, ainsi qu’une arme impitoyablement efficace pour détruire l’autre parent et toute sa famille, ce qui est mon cas.
J’ai essayé, depuis plusieurs années, avec la femme qui partage ma vie, de comprendre leur haine qui me frappe.
Alors, tout doucement, à force de recherches, de recoupements, le mot « conflit de loyauté » est apparu évident.
Mais je n’avais jamais entendu ce mot, et encore moins celui de » Syndrome d’Aliénation Parentale ».
J’avais le choix, comme beaucoup d’autres, entre souffrir en silence, jour après jour, nuit après nuit, ou souffrir mais faire découvrir ce phénomène qui frappe des centaines d’enfants de part le monde.
J’ai choisi cette deuxième voie, pour que cette douleur intime et inexplicable ne soit plus un tabou.
Mes enfants aujourd ‘hui vivent leur vie, ils n’ont rien oublié, ils sont simplement sous l’emprise d’un phénomène, aujourd’hui expliqué mais encore trop méconnus en France.
Chaque jour, je dois survivre à l’absence, à la haine et au silence.
Je pense que c’est par la connaissance de ce syndrome, auprès des parents, que d’autres enfants seront un jour mieux protégés d’un parent aliénant, c’est le combat de ma vie.
Je suis entièrement d’accord avec certaines personnes, qui déclare qu’un enfant victime d’aliénation parentale considère celui qu’il rejette comme un étranger, voire comme un ennemi, et il peut développer à ce moment-là une cruauté tout à fait étonnante.
C’est mon calvaire depuis plus de 15 ans.
On a l’impression qu’il entre en guerre.
De là l’appellation « enfants soldats ».
Dans ce combat contre la folie des adultes, la justice a un rôle essentiel à jouer, mais aussi les Associations qui par leur travail font connaître ce processus auprès du public, je souhaite être actif et m’engager avec d’autres, pour poursuivre ce combat contre l’Aliénation Parentale, dans ma région.
Cordialement,
Michel DEMUYTER (Hellemmes – Lille)
06 12 72 87 64