Posts Tagged ‘services sociaux’


Un enfant de 8 ans, placé sous la sous la responsabilité des services sociaux (ASE), est torturé et violé dans un foyer pendant des semaines

« Au foyer de placement pour mineurs (à Roanne), un enfant de 8 ans subit les assauts répétés de son co-pensionnaire de 14 ans. Les responsables ne semblent pas s’en émouvoir outre mesure »

« i-TELE vous révèle ce matin (21/01) cette affaire qui a eu lieu à Roanne (Loire) dans un foyer d’accueil pour mineurs. Un adolescent de 14 ans y a torturé physiquement et sexuellement son compagnon de chambre de 8 ans pendant des semaines. Tout cela à l’insu (?) du personnel d’encadrement de l’établissement..»

Le responsable du foyer, au téléphone d’i-Télé déclare : "Moi, je n’ai rien à vous dire… [Affaire criminelle entre mineur]"

Ah, bon ? Ils n’étaient pas sous votre responsabilité ?  Dans votre foyer, on peut y torturer : ce n’est pas votre problème ?

" Le calvaire du jeune garçon de 8 ans a duré 4 semaines. L’agresseur est depuis le 10 janvier dans un centre éducatif fermé dans l’attente de son jugement. Une information judiciaire est ouverte pour viol sur mineur de moins de 15 ans" (Francebleu)
 



"Un enfant de 8 ans torturé dans un foyer d’accueil" (i-Télé)

 


Extrait du Livret d’accueil du foyer au 23 janvier 2013 (PDF) _
Foyer d’Accueil et d’Observation (pour mineur) – FAO "La Livatte"
(144 bis rue Albert Thomas – 42 300 Roanne)
sous la responsabilité de François de Larebeyrette


Bernard Bonne, Conseiller Général de la Loire

"Le conseil général aurait décidé d’ouvrir également une enquête administrative avec la structure concernée pour vérifier le fonctionnement du foyer et peut-être par la suite en tirer certaines préconisations pour éviter que d’autres faits de ce genre puisse se produire" (FranceBleu) "Un travail au long cours" selon Jocelyne Moureau (Directrice de la protection de l’enfance au Conseil Général de la Loire)


« En France, 68 000 placements d’enfants pourraient être évités» (…).

« de l’aveu même de l’ancien Inspecteur Général des Affaires Sociales

«Pierre Naves, 5 ans après dresse le même constat ! [Et rien n’a bougé…] »

 

 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : Services Sociaux : "50% des enfants enlevés sans nécessité"

 

 


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Un enfant enlevé par les services sociaux* témoigne 

« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »

 

Et poursuit…

" Les éducateurs tapent les enfants (…)

 

Le Directeur du foyer nous insulte quand on se plaint.  Ma petite sœur avec des bleues, ils ne disent rien … la justice, elle est pourrie. (…)

Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés.

J’ai fait cette vidéo pour que des personnes agissent à ce niveau"»

 


Témoignage d’un enfant victime des Services Sociaux

 

"Un message poignant d’une jeune fille placée en internat et les ravages de la violence subit et du traumatisme psychologique que les politiciens ; journalistes et Magistrats devraient voir ! Etant moi-même un ancien enfant placé de ma naissance à mes 20 ans et demi, je peux témoigner que ce qu’elle dit est vrai, mais qu’il y a pire encore ! (…)" ( source : Association Sauvons nos enfants)

 


« Voilà, j’ai décidé de réaliser cette vidéo pour parler avant tout des placements en foyer qui détruit beaucoup de personnes. Ca nous a pas détruit seulement nous. J’ai décidé de faire cette vidéo en l’honneur de mon petit frère et de ma petite soeur qui y sont encore aujourd’hui. Le 21 février 2010, on a eu la décision de la justice. On a été placé en foyer. C’est là qu’a débuté l’enfer. On était super attaché à notre mère et ils nous ont séparé d’elle, comme ça. Ca nous a fait un grand vide. Je me souviens le matin, je me réveillais, je regardais le plafond… je me disais, non ce n’est pas chez moi. Le premier soir où j’ai été là bas, je suis arrivé dans ma chambre. Une fille est venue me parler, me demander si ça allait. En me voyant rentrer, ils ont tout de suite remarqué qu’il y avait un souci. J’ai appelé ma mère, je lui ai dit c’est un cauchemar. Je ne pensais pas que ça allait être si dur. J’avais 13 ans. Je ne pensais pas que ça allait être aussi dur. Le soir, j’ai demandé à l’éducatrice de me ramener devant ma petite sœur, 8 ans [5 ans à l’époque], qui a été placée, parce qu’on était 3 [dans ce foyer]. Ma grande sœur a été placée dans un autre foyer. Elle est partie directement en fugue. Elle avait déjà 16 ans. Mon petit frère 14 ans [11 ans à l’époque]… moi et ma petite sœur. J’ai demandé à la voir le soir. Je l’ai vu, elle dormait. Je crois que cette image me restera gravée. Ca se remarquait qu’elle était triste. Je pouvais sentir qu’elle n’était pas bien. Les jours ont passé, les mois ont passé… C’était de pire en pire. Ma mère n’y arrivait plus. Elle se laissait aller. On n’était pas bien. Elle était plus que tout au monde pour nous. On a tous été séparé. Après c’est devenu un vrai calvaire. Pendant 3 ans, j’ai souffert. Et puis un jour, j’ai décidé de m’en aller. Je suis partie. J’ai fugué 7 mois. Puis, ils m’ont relâché. Cela fait à peu près 5 mois que je suis dehors. J’ai été traumatisé par ça. La justice nous dit : ne prenez pas ça comme une punition. Mais en même temps, on peut le prendre pour quoi ? Pour une aide ? Non ! On a juste été séparé. Alors oui, on l’a pris comme une punition. Ma petite sœur y est encore. Mon petit frère aussi. Ils souffrent encore tous les deux. Mon petit frère n’arrive pas à pleurer, à montrer les souffrances. Mais depuis qu’il est là bas, il y arrive. Il pleure tous les soirs. Il appelle ma mère, en pleurant : « Maman, je veux rentrer ». Quand j’entends ça, ça me tue. J’essaye de ne pas montrer à ma famille que je suis mal. J’essaye de faire comme si je ne ressens rien pour mes frères et sœurs. Comme si je m’en fous un peu. Mais tous les soirs, quand je suis seule, c’est là que le manque revient… De plus voir ma petite sœur, de ne pas pouvoir la toucher. De ne pas pouvoir lui dire que je l’aime. C’est juste affreux, ce qu’ils ont fait. Alors je soutiens, toutes ces familles qui ont été séparées aussi. Tous ces cœurs qui ont été brisés. Ces enfants qui sont loin de chez leur mère. Parce qu’un enfant a besoin de sa mère pour grandir, de sa famille… Pas des inconnus comme ça ! Non… Il y a aussi un épisode, où les éducateurs tapent les enfants ! Ca c’est pareil. Je me suis fais tapé par un éducateur, avec des amies à moi. On s’est fait tapé, on l’a dit. On n’a pas été cru. On s’est limite fait insulté par le Directeur du foyer, parce qu’ils nous ont traité de menteuses. Alors que tout ça s’était vrai. Et ma petite sœur, elle rentre avec des bleus, on ne sait pas d’où ça vient, elle dit rien. C’est pour ça que je dis : la justice, elle est pourrie. Depuis ça, elle n’est plus rien. Ca sert à quoi de placer un enfant en foyer ? Un enfant qui en a besoin, il est dehors ! Il ne le place pas, il le laisse crever. Des enfants qui sont bien avec leur parent : ceux-là, ils sont enlevés, ils sont arrachés à leurs parents. Je trouve que c’est juste abusé. Voilà, j’ai fait cette vidéo pour qu’enfin des personnes réagissent… »

 

 


« Au moins 50% des enfants placés ne devraient pas l’être » (…).

« Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités !»

 

C’est donc beaucoup plus que 60 000 enfants qui sont actuellement détenus, de manière illégitime, dans ces centres où ils subissent une souffrance psychologique intense.

Ces tortionnaires se rendent complices de maltraitance à enfant. Ces enfants devraient être immédiatement relâchés et rendus à leur famille (quitte à trouver des solutions alternatives)

On aura compris par l’inaction manifeste que la volonté est toute autre. Malgré l’urgence, il ne sera pas suffisant de demander à un système manifestement sourd et aveugle, de se changer lui-même….

D’où l’importance d’informer car la situation vécue par ces enfants est purement intolérable !

MERCI DE DIFFUSER CET ARTICLE

 


 

RHUMANTIK – Enfant de la DDASS*

 


La mesure d’urgence : un acte criminel

 

"Dans le fonctionnement des services sociaux, il existe une méthode ô combien destructrice pour l’enfant : la mesure d’urgence. Totalement insupportable pour les parents et souvent irréversible dans l’évolution psychologique d’un enfant.

Les services sociaux mettent en avant la notion de danger et l’intérêt de l’enfant pour justifier cette mesure et permettre l’assistance, laquelle contient en germe le plus grand défaut de l’ASE : l’exclusion.

Le procédé qui consiste, avec ou sans appel à la force publique, à retirer un enfant à la sortie de l’école ou après une réunion ASE – parents sans que cet enfant ne soit préparé, est, disons le tout net, une pratique criminelle qu’on ne peut se permettre que si l’on est sûr d’éviter par là un danger plus grave encore.

Et quel danger est plus grave sinon un risque pour la vie même de l’enfant ou des pratiques pédocriminelles ?

Une séparation dans ces conditions est en elle-même un danger de « mort psychologique ». De plus les liens affectifs rompus sont des maltraitances durables chez un enfant.

Pensons à la façon dont cela se déroule.

L’enfant sort de l’école, il a un projet ; ce soir il fera ceci ou cela. Peut-être voir son feuilleton préféré, lire ses BD, retrouver son chien … et puis il se retrouve derrière les murs et les barreaux d’un foyer pour l’enfance. Il ne reverra plus ce qui faisait sa vie. Imaginez-vous le traumatisme ? Son équilibre psychologique et affectif sera atteint irrémédiablement.

Je pense ici à la naïve satisfaction du gendarme au procureur : » nous avons agi par surprise en l’absence des parents. Tout s’est bien passé » Insupportable ! Inacceptable.

La conclusion appartient à Jenny Aubry, psychanalyste de l’enfance abandonnée : « aucune rupture définitive n’est acceptable, même à l’âge de l’adolescence lorsqu’elle est imposée par des tiers et que ces motifs ne sont pas compréhensibles pour l’enfant« (Eric Dolla, section CEDIF Alpes Maritimes). (source: ComiteCedif)

 

(*) A propos des Services Sociaux

  • FRANCE : Aide Sociale à l’Enfance (ex. DDASS rebaptisé ASE après l‘affaire du Coral)
  • CANADA (Quebec) : Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ)
  • SUISSE : Service de Protection de la Jeunesse (SPJ)
  • BELGIQUE : Aide à la Jeunesse (AJ)
    • Service d’Aide à la Jeunesse (SAJ)
    • Conseil d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ)
    • Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ)
    • Tribunal de la jeunesse (TJ)

 

A suivre : Services sociaux A suivre : Les articles best Of

 

 


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Des enfants maltraités par la DPJ, jusqu’à les rendre fous

De nombreux témoignages rendent compte d’une situation catastrophique au Québec vis à vis de la DPJ (La DPJ est la Direction de la Protection de la Jeunesse au Canada, l’équivalent en France de l’ASE – Aide Sociale à l’Enfance – Services sociaux – ex. DDASS)

Le témoignage suivant va bien au-delà de la maltraitance institutionnelle consistant à organiser la rupture du lien enfant-parent malgré les souffrances qu’elle induit sur l’enfant. Ce qui est en soit, déjà un scandale. Mais ici, on bascule plus loin dans l’horreur…

Stéphane Clavette

Stéphane Clavette, intervenant de la DPJ parmi d’autres, ayant fait l’objet d’une plainte, tente de justifier les marques sur l’anus et les fesses d’un enfant pour expliquer qu’aucune enquête ne soit effectuée. Tandis qu’en outre l’enfant développe des maladies vénériennes, il est incontinent, reclus sur lui-même, il ne s’exprime plus.

Si le moindre prétexte ou dénonciation calomnieuse suffit à la DPJ pour arracher des enfants à leurs parents, de manière quasi-immédiate, il n’en va plus de même dès lors que les sévices s’effectuent sous couvert de la DPJ.

Les nombreux éléments qui justifieraient de mener une enquête ne suffisent plus pour faire cesser des abus sur les enfants. La DPJ convient cette fois, que dire que « l’enfant s’amuse(!) avec son anus » est une réponse tout a fait satisfaisante pour ne pas tenir compte des autres éléments. Aucune enquête criminelle sérieuse n’est effectuée, ni l’enfant éloigné. Pourrait-on imaginer qu’une pareille justification soit suffisante s’il s’était agi d’un simple parent ?

Chantal Carmichael, une autre intervenante (promue depuis) aurait participée à empêcher le rétablissement du lien de l’enfant avec sa mère, aujourd’hui toujours rompu.


Lien alternatif : http://www.douteux.tv/archives/id_emission-62-id_episode-1155-part-1
« Depuis que la DPJ a débarqué dans notre vie, tout a basculé« 

Aucun enfant du Québec ne peut être complétement sans risque vis à vis de la DPJ. Et compte tenu de la situation, il faudra aller bien au-delà de simples « pétitions » ou « plaintes à l’ONU » (déjà formées), pour espérer que ca change.

Il est grand temps que les Quebecois s’organisent efficacement et s’intéressent de trés près aux activités de leurs services sociaux (DPJ) afin d’identifier le réseau qui permet l’arrachement et les sévices sur les petits québécois.

Le changement ne viendra pas tout seul. Les pervers auront leur tribut, mais ce sont surtout aux indifférents et aux ignorants de quitter rapidement leur léthargie pour espérer faire la lumière sur les causes de l’horreur, dans laquelle n’importe quel enfant (y compris le leur) peut se retrouver plongé, pour n’importe quel prétexte.


En Angleterre,

Des enfants subissent également une maltraitance institutionnelle (Cf. reportage de Florence Bellone pour la RTBF :
« Enlèvements d’enfants par les services sociaux britanniques« ) mais dernièrement le scandale a fini par éclater (Cf. Affaire Waterhouse [Lost in Care] / Jimmy Savile) relevant l’ampleur insoupçonnée des sévices que les très nombreux enfants subissaient…

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« 50% des enfants enlevés à leur parent, sans nécessité» (…).

« Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales et de la maltraitance institutionnelle… qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas proposer des solutions alternatives adaptées (assistance, suivi, thérapie, etc…).

«Et toujours cette même constatation : une confusion entre le « principe de précaution » et « le principe de protection« …»

Pour aller plus loin… 

Souffrance de l’enfant séparé

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Témoignage d’une mère victime de loups déguisés en agneaux…

 

Une mère fait appel aux services sociaux pour l’aider : Une erreur ? En tout cas, les conséquences ne manquent pas de faire "beaucoup de dégâts" pour sa fille notamment (aujourd’hui traumatisée par plusieurs années d’arrachement).

Les services sociaux sont dans le déni de la souffrance des enfants arrachés aux parents. Les dégâts sont colossaux, mais le système parfaitement autiste. L’Inspecteur Général des Services Sociaux reconnait lui même l’ampleur du gâchis humain quand il annonce que "50% des enfants retirés à leur parents, le sont sans nécessité (!)"

C’est un véritable scandale, et ca dure… immuable…. Donc, les parents doivent être très vigilants et sensibilisés sur ces risques : en attendant, que les autorités veuillent bien amorcer "le changement" et se saisissent des problématiques qui n’ont pas l’air de vouloir se régler … (5 ans après, l’Inspecteur Général des Affaires Sociaux faisait ce même constat : rien n’avait été fait)

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Services sociauxA voir également : Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales … qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas mettre en place des solutions alternatives au retrait (assistance, suivi, thérapie, etc…). Et toujours cette même constatation : Une confusion gravissime entre Principe de précaution et Principe de protection…

PROTECTION <!> PRECAUTION
(à répéter 10 fois avant de franchir la porte et rentrer chez une famille.)

 

Quant aux Affaires Familiales et les exclusions parentales "classiques", on continue également de mener une politique de l’autruche ! Pourtant, les professionnels considèrent comme un secret de polichinelle, les problématiques de Non Représentations d’Enfants (NRE) et les Eloignements Géographiques Volontaires (EGV), etc..

Malgré cela : toujours aucune initiative mobilisée pour régler en urgence ces problématiques d’Exclusion. Cela ne nécessiterait pourtant, que très peu d’énergie comparée à celle démesurée mise en balance, pour permettre l’adoption homoparentale Qu’est-ce qu’on attend donc, encore, pour réagir efficacement (et rapidement) pour régler une bonne fois pour toute, ces absurdités et ces vies gâchées ?

 


Voici donc les quelques conseils de Nathalie Courcier, une mère victime, avant de se décider à décrocher le téléphone …

"Attention à Ne pas confondre éducateur et psychologue. Elles savent très bien y faire, pour se rendre sympathique (…) Et elles se sont servies de mes confidences, et les ont amplifiées. Cela nous a porté préjudice"

"Je voudrais que ces erreurs au niveau des enfants soient plus médiatisées (…) parce que ca fait énormément de dégâts dans une vie, dans la famille et ca aurait pu aller plus loin…"

"Je voudrais donner un conseil à toutes les mamans assez fragiles. Surtout mettre en lien votre psychologue avec l’éducateur, si vous êtes suivi : votre psychologue, psychiatre est la seule personne qui peut savoir si vous êtes dangereux ou pas. Pas l’éducateur (…)" (Nathalie Courcier)
 


« Ils m’ont reprochés d’avoir une relation trop fusionnelle » (…)


https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/12/02/recourir-aux-services-sociaux-equivaut-il-a-appeler-un-pyromane-en-cas-dincendie/

 


« La situation de l’Exclusion Parentale est à ce point catastrophique qu’elle donne l’impression d’être traité par la « politique de l’autruche ? »(…).

Seulement on ne doit pas abandonner des milliers et des milliers d’enfants à la souffrance muette sans rien faire d’autre que se voiler la face. Il est grand temps d’agir

 


 

A suivre : Souffrance de l’enfant séparé de ses parents Les services sociaux, lui retirent son enfant : "Ils m’ont reproché d’avoir pris 20kg pendant ma grossesse"

 

 


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Affaire d’Etat : Le plus grand scandale politique de la décennie, définitivement étouffé ?

Instruction 2383/13/15 – Information contre X – Viol en réunion (sur mineur)

« La plainte pour viol en réunion contre Lang, Hollande était recevable en avril 2012, puis reçue. Une instruction a été ouverte. Un juge (Jean-Louis Jouve) a été saisi de l’affaire, instruite au TGI de Paris, depuis le 23 mars 2013. Le père de la victime censuré depuis.

Emmanuel Verdin est le père de Laureen, une enfant décédée à l’age de 4 ans, d’une MST contractée lors des viols en réunion.

(Ill. de droite à gauche : Jack Lang , François Hollande , Pierre Moscovici )

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Scoop.it – Justice : Droits des enfants & Affaires Familiales
plainte_contre_lang_hollande_num_12-244_TGI_Paris

« Viol en réunion : La plainte contre Lang et Hollande est recevable » [enreg. num. 12/244, TGI Paris] Source : « M. Verdin, le père de Laureen, une enfant décédée d’une MST contractée lors des viols en réunion dont elle a été victime, a déposé une plainte contre Lang, Hollande (…). Celle-ci vient d’être jugée recevable, donc un juge d’instruction devrait (…) instruire. M. Verdin l’a annoncé hier sur la page de son groupe Facebook, la plainte qu’il a déposée (…) est donc retenue par la Justice, ce qui ne manque pas d’étonner. (…) » (Dondevamos)

Pour rappel, DDH 48, Article 11 : « Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées (…)« 

+ voir également : dispositions – Bulletin Officiel Ministère de la Justice n°82 – sur « la présomption d’Innocence et les droits des victimes »relatif à la procédure de dépôt de plainte / 2.1.1.al.3 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Ces déclarations, destinées à permettre l’identification des auteurs des faits, pourront être recueillies ultérieurement par le service qui sera chargé de l’enquête. » / 2.1.2.al.1 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Il convient, ainsi que cela est généralement d’ores et déjà pratiqué, qu’à la demande de la victime lui soit remis un récépissé de dépôt de plainte. »)

Pedocriminalite« (…) Pour résumer l’affaire, Verdin n’a jamais connu sa fille. Elle est née après que sa compagne et mère de l’enfant l’ait quitté, fin 1996. Laureen naît le 31 janvier 1997. Cette année-là, L’ex de Verdin se retrouve dans un foyer pour femmes enceintes: le foyer d’Ariane à La Roche sur Yon. Un foyer qui a défrayé la chronique il y a quelques années.

Etrangement, selon le quotidien Le Parisien du 12/05/2005, le directeur de ce foyer était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur des pensionnaires et des salariées. (…). Le directeur en question, (…) a été condamné à 13 ans de prison pour « deux viols, quatre agressions sexuelles et deux harcèlements », et à 15 ans en appel. (…)

Verdin finit par apprendre que si Laureen a bien été placée, c’était pour des soupçons de pédophilie. Il apprend encore par un témoin, voisin et autre ex de la mère de Laureen, (…) que des partouzes ont bien eu lieu, dont Laureen a été victime.

Verdin lance alors, (…) une procédure pour les viols en réunion, procédure qui s’est perdue, lui explique-t-on en juillet 2011.(…) » (Dondevamos)



Vidéo (2011) témoignage du père de la victime, Emmanuel Verdin
( lien alternatif sur rutube )

(cf également . conférence de presse Emmanuel Verdin 1er septembre 2012)

23/06/2011 : dépôt de plainte, numéro: p11-174-0987


Plainte numéro: p11-174-0987 – Section P4 – TGI de Paris – 23/06/2011 (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)
Acte de Naissance de Laureen Marchet (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)

02/11/2011 : « Maître Jean Chevais accepte officiellement d’assurer la défense d’Emmanuel Verdin« . (Pedopolis)


08/11/2011 : « Audition de E. Verdin: « Emmanuel Verdin a été entendu ce jour pendant + de 4 heures à la gendarmerie de Bourg-sur-Gironde et son récit a été pris au sérieux par les gendarmes. L’interrogatoire a eu lieu dans le cadre d’une enquête préliminaire ordonnée par le procureur de Libourne suite à une plainte d’Emmanuel déposée dans sa région un peu avant sa plainte contre JL. L’interrogatoire a porté essentiellement sur les « viols en réunion » qui se sont produits pendant la soirée anniversaire où la petite Laureen a été abusée par plusieurs adultes. Bien sûr, le volet JL a été évoqué également, mais celui-ci sera surtout exploré par la deuxième plainte, déposée à Paris, à propos de laquelle on attend toujours des nouvelles. Maître Jean Chevais a été informé de ces avancées. » (Pedopolis)


03/01/2012 : Audition «(…) M. Emmanuel VERDIN, père de la victime, [aurait] été auditionné le 3 janvier 2012 à la Gendarmerie de Bourg-sur-Gironde pendant 4h. Il a ainsi impliqué François HOLLANDE et Pierre MOSCOVICI pour non dénonciation de crimes et a porté plainte contre tous les protagonistes de l’affaire. Une information judiciaire [aurait] ainsi été ordonnée par le Procureur de la République de Libourne (Gironde) concernant les services de police et de justice (…) [relatif à] de faux témoignages et de dissimulation de preuves (…). Enfin, le Procureur Général de la Cour d’Appel de Poitiers ainsi que la Chancellerie [auraient été] saisi de l’affaire » (Olivier Berni, blogs.MediaPart [article censuré (?)] / lien alternatif )


23/01/2012 : « Déssaisissement du TGI des Sables d’Olonne au profit de Paris » (source – ci-contre)


03/07/2012 Emmanuel Verdin appelle à venir le soutenir : « Suite a la plainte de jack lang envers le [site wikistrike] je suis convoque devant un juge d instruction pour diffamation le 13 juillet a 11h 45 au TGI de paris là je vais pouvoir apporter les preuves de mes dires alors pour ceux qui veulent me soutenir ce jour la je vous donne rendez vous devant le palais de justice… » (Emmanuel Verdin depuis Facebook – source Pedopolis)


13/07/2012 Mise en examen de Wikistrike (Ghisham Doyle, Directeur de la rédaction) et Emmanuel Verdin (source Pedopolis) [ instruction 407/12/21?]


01/09/2012 Conférence de presse d’Emmanuel Verdin (chronologie / 1998 à 2011) cf [video]


12/10/2012 Communiqué de Dondevamos : « Affaire Verdin: les poursuites vont démarrer »
« (…) Aujourd’hui, trois plaintes, avec constitution de partie civile, sont en cours:

  • – plainte pour viol en réunion : contre la mère de la petite, trois de ses compagnons, et deux hommes politiques bien connus (…)
  • – plainte pour administration d’un virus entraînant la mort: contre un homme politique.
  • – plainte pour avoir sciemment laissé mourir Loreen: contre les deux parents de Verdin, contre les deux parents de la mère de Loreen, et contre la mère de LoreenVerdin a payé la caution liée à sa plainte avec constitution de partie civile. Dès aujourd’hui, il n’a plus le droit de s’exprimer publiquement sur cette affaire.

Le juge a décidé qu’il y avait de quoi poursuivre, puisqu’il n’a pas déclaré que la plainte était irrecevable. D’ici un mois, des juges d’instruction seront nommés. Plus d’infos sur l’affaire  » (source: Dondevamos)


03/10/2012 Maître Gilbert Collard aurait accepté de prendre le dossier du plaignant (source : Dondevamos)


17/10/2012 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Ayant de gros problèmes personnels dut a l affaire entre guillemets on veut me mettre plus bat que terre je suis oblige d arrêter de communiquer par internet car je vais bientôt me retrouver une nouvelle fois a la rue faute de moyens financier suffisants alors l affaire continue sont cours mais pour l instant sans moi merci de vos soutien et j espère a bientôt sur les roseaux« 


19/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Enfin une bonne nouvelle un juge d instruction de paris viens d etre saisi de l affaire et il est en charge d instruire mon affaire et j espere bientot [des] mises en examen »« Un juge d instruction parisien est saisi de l’affaire depuis mars 2013. Son rôle est d’enqueter sur l’affaire et de poursuivre les personnes citees dans le dossier« 

22/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « un juge d instuction parisien ouvre l enquete pour viol en reunion sur mineur de moins de 15 ans contre [JL, FH, et PM]« 


07/09/2013 Interview d’Emmanuel Verdin postée sur Dailymotion : « Le doyen des Juges d’Instruction a saisi un Juge d’Instruction (…) l’affaire lui a été transmise le 23 mars 2013 » (2:15) – « Instruction ouverte par le parquet de Paris contre JL et PM pour viol en réunion sur mineur de moins de 15 ans » (1:20) – « et indirectement FH pour non dénonciation » (0:30)


24/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Nommé « Vice-président chargé de l’instruction » au
Tribunal de grande instance de Paris : M. Jean-Louis JOUVE, vice-procureur de la République près le tribunal de grande instance de Bobigny. ( Décret du 9 juillet 2010 JORF n°0160 du 13 juillet 2010)

Procédure criminelle 2383 13/15
Procédure criminelle contre X, Instruction 2383/13/15 – 27/03/2014 – ordonnance de commission d’expert

 


29/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet
Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


15/10/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


19/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


26/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


11/04/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin - convocation 15 avril


06/09/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin

Vidéo dans laquelle Emmanuel Verdin déclare à 0:54 « (…) En effet, je suis depuis un petit moment déjà, en possession d’une vidéo, durant 1 min.46, et qui date donc du 30 septembre 2000 à 23h45, où on y voit sur cette vidéo, sur un canapé de salon, Monsieur Jack L*, nu, assis, et une petite fille, et avec son sexe dans la bouche. Et on y voit aussi M. François H*, à côté de lui, en caleçon, et jouant avec le sexe donc de cette petite fille. La scène a été filmée par Dominique M(*), la mère de Laureen et mon ex-compagne. C’est une scène qui a été filmée sur une péniche* amarrée à Paris, pas très loin de la Tour Eiffel. Cette vidéo va être transmise au Juge d’Instruction lors d’audiences qui sont prévus dans les mois prochains (…) » (E.Verdin)


17/09/2014 Convocation d’Emmanuel Verdin pour le 06/10/14 par M. Jean-Louis Jouve, Juge en charge de l’instruction

Procédure criminelle 2383 13/15
Instruction 2383/13/15 – 06/10/2014 – convocation de la partie civile (1 an et demi après le début de l’instruction)

 


03/11/2014 Compte Facebook d’Emmanuel Verdin inaccessible

facebook emmanuel verdin


25/02/2015 Vidéo d’Emmanuel Verdin le 25/02/15 posté sur Youtube, dans laquelle il déclare :

« Bonjour, Je m’appelle Emmanuel Verdin.
Ma fille Laureen âgée de 4 ans a été violée en réunion en 2001 par sa propre mère, ses différents compagnons, ainsi que des hommes politiques connus.
En mars 2012, j’ai fait une plainte avec constitution de partie civile pour des faits de viols en réunion sur mineur de moins de quinze ans. Suite à cette plainte, un juge d’instruction parisien [Jean-Louis Jouve] a été nommé pour instruire cette affaire [Instruction 2383/13/15 – Parquet 1208323023], le 23 mars 2013.Suite à cette instruction, j’ai été convoqué le 06 octobre 2014 pour une audition de partie civile dans le bureau du juge d’instruction parisien Monsieur Jean-Louis Jouve. Il m’a confirmé que en juin 2001, il y avait bien eu une procédure faite par les autorités de la Roche-sur-Yon sur ma fille Laureen pour des faits de viols en réunion commis sur elle par sa propre mère, ses différents compagnons ainsi que des hommes politiques connus.

De mon côté, dans le bureau du juge, j’ai de nouveau cité comme auteurs des faits de viols en réunion sur Laureen Marchet, sa mère Dominique Marchet, ses compagnons ~Stéphane Carvalho* [orthographe incertaine], ~Hubert Jeannot* [orthographe incertaine], et ~Didier Charpentier* [orthographe incertaine], ainsi que Monsieur Jack Lang*, François Hollande* et Pierre Moscovici*.

[(*) l’instruction étant en cours, les personnes citées bénéficient de l’entierté de la présomption d’innocence. Les noms relevés par cette déclaration, ne saurait impliquer un quelconque soupçon de culpabilité qui reste du ressort de l’enquête de l’instruction en cours et du jugement. La prudence doit donc être expressément observée afin de respecter ce principe légitime]

J’ai aussi indiqué au juge dans quelles conditions, les lieux, les dates où Laureen avait été abusée sexuellement. J’ai indiqué qu’en plus de la Roche-sur-Yon, elle avait été abusée à Paris dans une péniche amarrée dans le XVIe arrondissement
[NB. Non précisé s’il est fait allusion à la péniche « Le Kérala » rebaptisée « Le Makaï », depuis son rachat en 2001″], proche de l’Assemblée nationale. J’ai indiqué qu’il y avait aussi une connexion avec des voyages à Marrakech dans un hôtel de luxe et que cela rejoignait les propos de Monsieur Luc Ferry sur Canal Plus. Dans cet affaire, j’ai été auditionné en juin 2011 et j’ai confirmé que qu’il y avait bien des voyages pédophiles qui ont été fait à Marrakech dans un hôtel de luxe et que des personnes avaient bien été inquiétées dans cet hôtel. Je parle bien évidemment des personnes impliquées dans mon affaire.

J’ai aussi révélé l’existence d’une vidéo qui a été faite en 2001, où l’on y voit toutes les personnes citées* avoir une relation sexuelle avec une petite fille. Et après vérification, cette petite fille, il s’agit de Laureen Marchet, ma fille. Donc le juge d’instruction, les services de police et les services de gendarmerie connaissent cette vidéo et elle est enregistrée comme preuve dans ma déposition. Pour répondre à certaines personnes sur le net, je ne mettrai jamais cette vidéo en ligne. Je considère que c’est une preuve qui fait partie du dossier et qui n’a pas sa place sur le net. Si un jour, il y a un procès, évidemment, là dans le cadre juridique, on pourra faire visionner cette vidéo.

Je précise aussi qu’en 2012, Monsieur Jack Lang a porté plainte contre moi pour diffamation et que le procès a eu lieu, le 15 janvier dernier. Je vais être condamné pour diffamation, car malgré l’instruction en cours, Monsieur Jack Lang est toujours considéré comme innocent. Et le 15 janvier, le juge n’a pas retenu le fait qu’il y avait une instruction en cours. Donc je vais être certainement condamné mais nous allons faire appel car il y a une instruction en cours qui doit déterminer si oui ou non, Monsieur Lang est bien auteur des faits qui lui sont reprochés. » (déclaration d’Emmanuel Verdin dans vidéo id. uvZXLlOaaY4 postée sur youtube le 25.02.2015)

 


2015 Affaire Verdin définitivement étoufféee ?

Affaire Emmanuel Verdin censurée
3 ans après le dépôt de plainte, 1 an et demi après le début d’instruction
groupe facebook de soutien de la partie civile (Emmanuel Verdin)


jack lang 3 affaires 0 proces
jack lang citation decouvreurs du xxi siecle


Roger Holeindre à propos de l’Affaire du « lieu de vie » Le Coral (1982)


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ci-dessus Archives télévisuelles / Autres archives

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« Ceux qui violent des gosses n’ont pas d’avenir (…) Les affaires vont sortir… » (Marion Sigaut)

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« Ca ne viendra pas d’en haut… C’est les gens d’en bas qui changeront les choses… Il y a une vague qui monte. Et la vague, c’est la prise de conscience.(…) Avec le mariage pour tous ils se tirent une balle dans le pied : les gens discutent et commencent à se poser des questions… «  » (Marion Sigaut)

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A suivre (article connexe) : En Lituanie, des citoyens montent la garde 24/24h pour protéger une fillette A suivre (article connexe) : En Belgique, le député fédéral Laurent Louis réouvre l’Affaire Dutroux


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Êtat des lieux sur l’ASE : des associations(*) font le point

 

« La protection de l’enfance telle qu’elle est mise en place concrètement par les Présidents des Conseils Généraux et appliquée par les services de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), a donné lieu  dans des cas trop nombreux pour être considérés comme exceptionnels, à des dérapages inacceptables et destructeurs remettant en cause les prérogatives parentales.


Services sociaux
De nombreux témoignages à cet égard nous ont permis de réaliser un constat alarmant quant aux pratiques des services de l’ASE et de leurs conséquences sur l’institution familiale et l’avenir des enfants objets de mesures.

Il appartenait donc au Comité Élargi de Défense de l’Individu et des Familles (CEDIF) de confronter les réalités aux principes et d’en tirer des conclusions.

Ces conclusions sont à l’origine de neuf solutions que nous entendons soumettre aux décideurs afin d’obtenir leur soutien nominatif.

Nous voulons ne pas douter du bon accueil que ceux-ci porteront à ces préconisations dans l’intérêt des enfants et afin de remettre la famille à sa place, celle de la première de nos institutions. (…) »

Points abordés :

Constats Solutions proposées
  • Placements abusifs
  • Destins gâchés
  • Corporatisme
  • Familles brisées
  • Institution
  • Notion de l’intérêt de l’enfant
  1. Présomptions d’innocence
  2. Respect du contradictoire
  3. Revoir la définition des fonctions de l’ASE
  4. Motivation des griefs
  5. Définir la carence éducative
  6. Non intervention de l’ASE dans les conflits parentaux
  7. Mise en place d’un projet pour l’enfant
  8. Saisine de l’IGAS
  9. Moralisation de la profession

Rapport complet (pdf) à télécharger ([click droit] sur ce lien/ puis "enregistrer la cible sous")

+ également visible sur Cedif ; Sos Parent Abusés

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/20/quelles-evolutions-pour-lase-aide-sociale-a-lenfance/

 

 
A suivre : commentaires sur le rapport : "Bientôt un livre noir sur la protection de l’enfance"?

 

 

 


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« 
La DDASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales), ancêtre de l’ASE, avait désigné le Coral comme un de ces « lieux de vie » vers lesquels elle a pu orienter un public de pré-délinquants, d’autistes, de trisomiques et d’handicapés mentaux légers ; [dont aurait abusés sexuellement de nombreuses personnalités issues du monde politique, artistique, judiciaire et journalistique].

Le Coral, c’est aussi une expérience d’une collaboration qui débute en 1976 et qui a impliqué des travailleurs sociaux de la protection de l’enfance soucieux de nouveaux modes de gestion pédagogique et thérapeutiques.

Intégré aux néo-ruraux anti-enfermement, les ”lieux de vie” sont un mouvement qui a sa revue appelée « Possible » et plusieurs centres appartenant au Collectif des Réseaux Alternatifs (CRA), le Coral est conçu comme une expérience porteuse de libération, celle d’éducateurs « progressistes » menés par Claude Sigala, également président du CRA. Là bas, on récupère tous les jeunes et on les soigne en considérant que la délinquance, la toxicomanie, la déficience mentale, ce sont des maladies.

Malade aussi un adolescent de 17 ans qui viole à mort un enfant de 11 ans en 1979. Un meurtre sexuel au Coral, une absence de surveillance, rien de plus. Vraiment ?

PedocrimaliteToujours est-il qu’au secrétariat d’Etat à la famille, le Coral et le CRA en général sont très bien vus, il est question de les intégrer à la DDASS, un dossier à ce sujet est remis à Georgina Dufoix. Mais les pratiques du Coral vont aussi enthousiasmer un public interlope attiré par le retour à la nature et le rejet de toute décence, on ne semble donc pas soigner la pédophilie au Coral. Il se dira d’ailleurs de plus en plus que des personnalités aient fait de cette communauté autogérée, installée à Aimargues dans le Gard, un lieu de villégiature et débauche pour des pulsions contre-nature. On entendra aussi parler de pensionnaires fugueurs recueillis dans les environs, leurs récits sont particulièrement évocateurs, enfin alertés, des parents portent plainte pour actes pédophiles.

Le 13 octobre 1982, la gendarmerie fait une descente au Coral. Le juge Michel Salzmann décide d’y inculper l’éducateur fondateur du lieu de vie, Claude Sigala, un autre éducateur, Jean-Noël Bardy, mais aussi le médecin psychiatre, Alain Chiapello. Ultérieurement c’est un professeur d’université, René Schérer, favorable à l’abaissement de l’âge du consentement aux relations sexuelles, qui est inquiété. Puis, un éducateur stagiaire, Jean-Claude Krief en fonction entre noël 1981 et février 1982, est aussi arrêté pour une affaire délinquance économique. Mais il a des révélations à produire sur des pratiques bien plus graves que ses petites escroqueries.

Jean-Claude Krief parle d’une pédagogie à base de pédophilie, d’enfants confiés par les services sociaux et objets de pratiques immondes, ainsi que d’un trafic de photos pornograpiques mettant en scène des enfants. D’ailleurs des pédocriminels seraient invités à se « défouler » sur les handicapés mentaux qui leur sont « confiés ».(…)»

source : comitéCédif

 .

« Le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare en audience publique le 29 avril 1997 : « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. » Parmi ces personnalités présumées : Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président Mitterrand. Ce réseau Coral impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire et journalistique qui auraient abusé d’enfants handicapés et autistes. » (Balawou)

Roger Holeindre à propos du « lieu de vie » Le Coral


Pédocriminalité institutionnelle : la coupe est pleine !

« Pédocriminalité institutionnelle : la coupe est pleine ! »(…).

« L’OVERDOSE !
Même s’ils sont de plus en plus nombreux, les témoins directs ou indirects de l’abjecte qui commencent à dénoncer l’inimaginable : ils sont encore trop peu pour que ca change. Néanmoins, des notables, des magistrats, des personnalités commencent à saturer : ils dénoncent la gangrène d’une Nation bientôt arrivée au paroxysme de la décadence …
»

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« (…)Les sévices sociaux enlèvent des enfants sous prétexte de maltraitances et pratiquent des placements en foyer injustifiés dans 50 % des cas[de l’aveu même de l’Inspecteur général des Affaires Sociales].
Services sociaux

Atterrant non ?

Mais pire, vos enfants enlevés sans la moindre maltraitance vont en subir une, et une vraie celle-là, entre les mains des professionnels de l’enfance.

Des faits pas si isolés que le prétendent les Conseils Généraux.

Tenez, alors que nous nous étions intéressés de près au mémoire rédigé en 2007 sur le Centre Départemental Enfance et Famille Villepinte par une future chef d’établissement d’accueil pour enfant (http://comitecedif.wordpress.com/2011/06/27/le-blues-de-leducateur/), un mémoire relevant un problème grave de motivation des personnels, nous n’avions pas relevé encore que des enfants y subissaient à cette époque de véritables calvaires.

Depuis le centre de placement d’urgence foyer de l’enfance (CDEF) de Villepinte a été fermé.

Les faits qui s’y sont produits consistent en des mauvais traitements gravissimes à même de laisser des séquelles, voire de tuer les enfants, puisque les éducateurs ont dû répondre d’actes aussi lourds que des douches froides, des coups. Les enfants étaient aussi enfermés, humiliés, forcés de faire des pompes dans la boue, ce dont d’autres salariés avaient été témoins.(…)

[La cour d’appel] condamnera les éducateurs de choc à 6 mois de prison avec sursis et 3 années d’interdiction d’exercice de leur profession.

Trois ans de répit pour les enfants avant que cela ne recommence avec peut-être le même directeur relaxé pour faute d’éléments probants – et dont on ne peut même pas citer le nom – ?« 

source : Comitecedif

 


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« Jean-Marie Calise, né en 1950 est de ces éducateurs qui inspirent la confiance. Un de ces prédateurs qui sévissent dans les foyers pour mineurs où l’on place bien souvent de façon abusive.

Échappant à des risques familiaux réels ou fantasmés, six garçons et une fille de 7 à 10 ans n’échapperont pas, eux, [aux viols]. Il y aurait eu d’autres victimes encore, mais on ne parle pas trop de cela dans les foyers, on y a la pudeur mal placée de l’étouffoir.

D’ailleurs les services du Conseil Général ne sont jamais responsables, la faute à pas de chance ou plutôt aux parents qui ont fait que la collectivité a été obligée de mettre leurs enfants entre les mains de pervers grouillant dans les services de la protection de l’enfance.
Services sociaux

Cette fois cependant, l’éducateur ne passe pas entre les mailles du filet et comparaissant devant les assises à Versailles, il écopera de 10 ans de prison dont il en effectuera 6. (…)

La rééducation de l’éducateur est rapide, sorti fin 1988, le voila formateur pour futurs directeurs de centres de vacances !« 

source : comité Cedif  

article connexe : « Une liste noire des éducateurs » (20minutes)

 


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« Nous avons appris que notre rapport relatif à la protection de l’enfance était lu et apprécié, y compris par des décideurs. C’est une bonne nouvelle, et nous espérons que les 8 propositions que nous avons eu l’occasion de formuler seront assez rapidement adoptées.

Entretemps, nous nous attelons à une nouvelle mission complémentaire : recenser certains modes opératoires désastreux des travailleurs sociaux et leurs conséquences sur les familles dans le cadre d’un livre noir de la protection de l’enfance. Nous espérons bien sûr ne dénoncer que des exceptions, mais l’inhabituel invoqué sous prétexte fallacieux de moyens se reproduit un peu trop souvent.
Services sociaux

Aux manques d’écoute, aux interprétations partiales, peuvent s’additionner dans les cas les plus outranciers de véritables délits commis par des enquêteurs, éducateurs, assistantes sociales, psy, dans le cadre de leurs missions.

C’est face à de telles situations que notre rapport rajoute un neuvième point, celui de la nécessaire moralisation de la profession d’enquêteurs sociaux et plus largement des agents chargés de mission en terme de protection de l’enfance.

Moraliser consiste donc à sanctionner véritablement les faux intellectuels commis par des fonctionnaires dans l’exercice de leur fonction.

Moraliser c’est permettre à la loi de s’exercer d’abord en excluant de la profession les brebis galeuses, mais aussi insister sur la répression des faux et usage de faux commis par personne dépositaire de l’autorité publique agissant dans l’exercice de ses fonctions ou de sa mission.

Rappelons donc que ceux qui seront reconnus coupables de tels délits encourent des peines de 15 ans de prison et de 225 000 euros d’amende en vertu des articles 441-2 et 441-4 du Code Pénal. Nous insistons d’ailleurs pour que les contrevdenants effectuent l’intégralité de telles peines !

À ce sujet des plaintes sont d’ailleurs déjà parties, nous serons vigilents quant à la façon dont elles seront traitées, il importe en effet que la chancellerie soit sensibilisée et sensibilise à cette question. Des classements intempestifs seraient un très mauvais signal envoyé aux justiciables en terme de politique judiciaire. (ComiteCedif) »

source : ComitéCedif

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/29/bientot-un-livre-noir-de-la-protection-de-lenfance/
 

 

 

 


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En France, 68 000 placements enfants pourraient être évités, de l’aveu même de l’Inspecteur Général des Affaires Sociales
 

Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités ! (Comité CEDIF, source)

Pierre Naves, 5 ans après dresse le même constat ! [Rien n’a bougé] — (également sur dailymotion…)


« A 16 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation… »(…).

« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »

« Les éducateurs tapent les enfants (…) »

« Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés. »



 

NB : l’IGAS est actuellement sous la direction de Pierre Boissier. L’IGAS est rattachée aux ministres en charge des affaires sociales, elle intervient également à la demande du Premier Ministre ainsi que du ministre en charge des comptes sociaux. (plus d’infos)

 

A suivre : Services Sociaux A suivre : Une famille anglaise témoigne sur les méthodes des Services Sociaux britanniques

 


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En Angleterre, ils les appellent les « SS » : les Services Sociaux anglais dressés aux quotas et à la prime de rendement sous Tony Blair ne se sont pas encore remis des habitudes prises dans l’enlèvement des enfants, arrachés sans ménagement à leur parents afin d’alimenter un trafic d’adoption … Voici le cas d’une famille anglaise (les Challenor) dont la fille est une victime post-traumatique des actions de ces « brigades » qui ont littéralement détruit psychologiquement et socialement cette famille …

 
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/21/une-famille-anglaise-temoigne-des-methodes-des-services-sociaux/

 

 
Services sociauxA suivre : L’enquête de Florence Bellone RTBF sur les enlèvements d’enfants par les services sociaux britanniques


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On peut continuer à démolir les enfants : la justice ne va pas tellement s’y opposer…


C’est gratuit et c’est sans frais ! (…) On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer…
Ca c’est terrible !
(Maître Jean Pannier à propos de l’aliénation parentale)

NB : VIDEO : à la fin de l’article …
 

(..) En général, les magistrats n’aiment pas ça l’aliénation parentale : on a l’impression qu’ils se sentent dépassés par la gravité accumulée de cette aliénation comme si on avait atteint un point de non retour et que mis devant le fait accompli, ils ont décidé que ca ne servait à rien d’essayer de renverser la vapeur alors "on gère la misère".

Les parquets ferment les yeux d’ailleurs. Ils font des réquisitoires qui dépassent rarement trois lignes ; ils ne s’investissent pas dans les dossiers. De sorte que le traitement de ces affaires là, laisse largement à désirer. Et ça encourage ceux qui sont bien évidemment à l’écoute de ce genre de "laisser-aller".. Ca encourage à multiplier les cas d’aliénation. C’est gratuit et c’est sans frais !

On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer.. Ca c’est terrible !

* Votre constat est consternant : Doit-on considérer qu’il y a une véritable démission de la justice face aux souffrances des enfants ?

C’est pas une démission chaque fois qu’un magistrat fait bien son travail, c’est à dire qu’il ne se contente pas des analyses de certains experts qui sont beaucoup trop consensuels…

A Paris, il y a quelques "experts maisons" qui sont redoutables en ce sens qu’ils prennent l’oreille du juge : ils essayent de savoir "où va le vent" et à ce moment là, on sait d’avance, quel sera le contenu des rapports. Ca c’est fabriqué sur-mesure…

* Vous insinuez qu’il y a une convenance entre le juge et l’expert ?

Oui bien sûr, ils se parlent au téléphone, ce qui normalement ne devrait pas avoir lieu. Mais manifestement, surtout pour les vieux magistrats, il y a belle lurette qu’ils se sont accommodés de ce genre de facilités et ca devient consensuel… et ca peut même remonter à l’échelon supérieur : on voit bien que ces "experts maisons" qu’on voit d’ailleurs venir en compagnie des mêmes magistrats dans les colloques, dans les séminaires où vous retrouvez les dignes représentants de l’Aide Sociale à l’Enfance…

Tout ça, c’est consensuel. Et ca se passe très bien, en ce sens qu’il n’y a pas de fausses notes… Donc si on a décidé que l’aliénation parentale "faut pas en parler" et bien, ils vont faire tout ce qu’il faut pour qu’on n’en parle pas.

Sauf qu’il y a des couacs : vous avez des magistrats (même au tribunal pour enfants de Paris) qui reconnaissent que l’aliénation parentale est un vrai problème et qui en tirent les conséquences au point de parfois même de décider de mettre un terme à des mesures d’assistance éducative qui n’ont servi à rien et qui sont même responsables d’avoir aggravé la situation !

* Ca discrédite complètement les expertises ?

Vous avez des experts tout à fait honnêtes et consciencieux mais il y a aussi les négationnistes. Il y a des gens qui vous disent carrément que "l’aliénation parentale, c’est une fumisterie inventée par un pédopsychiatre américain, le Dr Gardner". Ils ne veulent pas admettre que ca existe !

* Vous m’aviez cité un psychiatre du nom de Lopez ?

Oui, M. Gérard Lopez est venu un jour nous expliquer dans une conférence du barreau de Paris que "l’aliénation parentale c’est quelque chose qu’on a inventé de toute pièce mais qui n’existe pas". Ce monsieur enseigne à Paris, dans un institut de criminologie. C’est totalement incompréhensible qu’on le laisse encore venir étaler ce genre de théorie mais c’est la réalité. Et d’ailleurs, il avait suscité l’indignation de tous les avocats qui étaient présent.


« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique


* Est-ce que ça n’est pas une volonté alors ?

Vous savez vous avez des négationnistes dans d’autres domaines.. Parfois ces gens là sont déterminés… Un peu comme les parents qui veulent s’emparer d’un enfant quelques soient les conséquences sur l’enfant…

Il y a un vrai problème dans l’aliénation parentale, c’est que les experts qui ne la rejettent pas et qui admettent même qu’elle existe et qui en tirent les conséquences, qui attirent l’attention des magistrats : ces experts là sont pour l’instant peu nombreux ! Donc au départ, on est inquiet de cette difficulté. On a du mal à trouver des experts qui soient spécialisés sur l’aliénation parentale et en plus, les juges qui n’aiment pas l’aliénation parentale ne vont pas se précipiter pour nommer des experts spécialisés ! C’est un vrai problème !

* On tourne en rond ?

On tourne en rond et la justice est rendue à partir d’apriori. C’est à dire qu’… on nie l’existence de phénomènes qui sont gravissimes (pour l’avenir des enfants) !

 

***

A propos des scénarios des fausses accusations …

* En cas de maltraitance, le premier juge qui devrait être saisi, c’est le juge des enfants avant même le JAF ?

Le tribunal pour enfant, lui va être saisi à la suite d’un signalement : c’est à dire qu’un médecin va constater de mauvais traitements et va faire un signalement au procureur de la république (ou un service social ou toute personne qui peut avoir à donner son avis sur une situation qui n’est pas normale). Les parents de leur côté vont essayer avec plus ou moins de bonne foi dans certains cas de sensibiliser le tribunal pour enfant, vont s’adresser à un avocat qui va déposer une requête. Le magistrat aura à faire attention à ce que la requête soit légitime : est-ce qu’elle est fondée ; il faut faire un certain nombre de vérification..

* Ils peuvent le faire sans avocat d’ailleurs ?

En général, ils prennent un avocat (quand ils veulent arriver à leur fin). Et c’est là que ca devient plus compliqué voir plus dangereux. Les juges bien rôdés savent très bien que dans un certain nombre de cas, il faut savoir dire NON : parce qu’il y a un scénario qui se met en place et le juge va servir d’instrument.

Malheureusement, il y a des juges qui se laissent convaincre plus facilement que d’autres. Mais les magistrats bien trempés qui ont vraiment une bonne expérience savent aussi dire NON..

* La dans ce cas, les juges devraient demander une enquête sociale ?

Ah mais ils le font ! Mais faut voir dans quelles conditions travaillent les services sociaux ! C’est pas toujours édifiant. Souvent, ils ont aussi l’argument de dire "on a trop de boulot, on est débordé, on doit faire vite : les juges sont pressés. Ils nous demandent de faire cela dans un délai relativement bref. (..)".

Là aussi, il y a beaucoup à dire sur les rapports des services sociaux. Parfois, les services sociaux ont tendance à essayer de savoir si le juge n’a pas déjà une petite idée pour essayer de ne pas se retrouver en porte-à-faux par rapport à ce que le juge pense au départ… C’est très suggestif et souvent les parents qui sont confrontés à l’enquête sociale découvrent une réalité complètement déformée : c’est manipulé du début jusqu’à la fin !

* Est-ce que les enquêtes sont bien faites en générale, sinon ?

Pour celles que j’ai vu, franchement : c’est n’importe quoi ! C’est fait sur des ragots. Parfois même on oublie d’aller consulter les gens qui seraient les mieux à même de donner un renseignement. A la campagne, c’est bien classique : ce sont les maires qui sont les principaux informateurs et qui devraient être sollicités en premier pour savoir ce qui se passe dans le village parce qu’il peut y avoir des problèmes de proximités, de voisinage.. (…) ou des représentants les mieux à même de donner des avis objectifs. On va se contenter de ce qu’on a mis en avant : c’est à dire des gens qu’on a soigneusement désigné pour vendre un discours convenu avec des preuves fabriquées.. C’est assez calamiteux dans l’ensemble. Il faut dire les choses comme elles sont..

* Une enquête qui serait bien faîte consiste en quoi ?

Vous savez tout ce qui est béni de l’étiquette "politiquement correcte" est à prendre avec vraiment des pincettes : c’est parce que c’est politiquement correct qu’on fait confiance au système alors que le système dans bien des cas ne fonctionne pas !

* Pourquoi ce système ne fonctionne pas ?

Parce qu’il y a des gens qui sont assez rusés, assez malin pour le pervertir et qu’en fasse il y a des gens qui ne sont pas assez malin, ni assez rusé pour s’en rendre compte ou pire : que ca ne dérange pas ! Là c’est le comble : mais c’est une réalité quotidienne !

* C’est une réalité quotidienne ?

Oui, bien sûr.. Mais ça on a du mal à l’admettre parce que ca choque un peu. On se dit "mais enfin quand même ce sont des gens de métier : ils auraient dû être un peu plus prudent…" Non non, non, non..

* Les français ont a priori beaucoup de mal avec leur justice : ça n’est pas très encourageant ?

Ca n’est pas très encourageant. Mais .. Par contraste vous avez des magistrats extrêmement consciencieux.. des gens avisés, prudents. Mais surtout .. des magistrats courageux : il y en a !

Le fait qu’il y en ait c’est plutôt rassurant : mais il n’y en a pas assez ! (Maître Jean Pannier)

 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/12/on-peut-continuer-a-demolir-les-enfants-la-justice-ne-va-pas-tellement-sy-opposer/

 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (M. Jean Pannier)

 

 

 


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L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

"On ne devrait pas à avoir à se poser des questions. Il y a en face de nous une réalité massive : l’aliénation parentale. Le rapport du défenseur des enfants(*) dresse en ce sens un rapport qui lui est quasiment dédié.

Il y a un problème. Il faut donc le traiter. Ca semble dur pour nos juges nationaux à mettre en œuvre. Tandis que la cour européenne donne déjà le ton en ce sens.

Comment peux-t-on avoir autant de réticence pour régler un problème qui se passe devant nos yeux tous les jours. On connait tous dans notre entourage des gens qui se sont comportés de cette façon là par rapport aux enfants, au risque de les entraîner dans une aventure psychique, psychologique… Et de fragiliser leur avenir de manière totalement anormale.

L’institution judiciaire face à cette réalité est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger

C’est d’abord au parquet que devrait revenir la tâche de faire face à ce phénomène et de l’endiguer. Alors qu’on constate que chaque week-end, on constate le refus de présentation. Et le parquet fait la sourde oreille.

Est-ce qu’il faut le régler avec des expertises souvent longues, souvent couteuse mais d’autant qu’il n’y a pas beaucoup d’experts spécialisés. Il n’y a pas forcément besoin de se couvrir derrière des experts.

Il y a même des négationnistes. Ce qui est inquiétant car certains en sont arrivés même à nier l’évidence. Alors qu’est-ce qui les inspire, qu’est-ce qui les anime ? … Le problème est réel et existe, peu importe qu’il y ait des écoles de pensée : il faut voler au secours des enfants.

Il faut s’attacher à ce que ces situations d’aliénation parentale s’arrêtent !

Certains magistrats ont trouvés judicieux de s’attaquer au portefeuille en prononçant des astreintes. C’est plus adapté : la prison n’est pas une solution. Alors pourquoi hésitent-ils à utiliser ce petit arsenal qui a fonctionné. Il faut donc continuer dans cette voie là plutôt que de laisser les enfants entraînés dans des conséquences qui peuvent être terribles.." (Maitre Jean Pannier).

 

(*) "Maintenir les liens avec l’enfant n’est pas seulement un droit pour le parent,
c’est aussi un devoir. Il s’agit avant tout d’un droit pour l’enfant.
"

(Simone LERMISSION "Enfants au coeur des séparations conflictuelles) lors de la présentation du rapport Thématique 2008 – Défenseur des Enfants)

Le maintien des relations personnelles entre l’enfant et chacun de ses parents
est avant tout un droit de l’enfant. Il découle de l’article 373-2 al.2 du code civil qui
prévoit une obligation importante, mise à la charge des parents: " chacun des père et
mère doit maintenir des relations personnelles avec l’enfant et respecter les liens de
celui-ci avec l’autre paren
t."


Autre témoignage de professionnels du secteur :

Alors qu’actuellement le concept du syndrôme d’aliénation parentale est fortement débattu par nombreux professionnels, la réalité nous montre qu’il existe bel et bien de nombreuses situations où suite à une séparation, l’enfant est manipulé par un des parents afin qu’il ne veut plus avoir de contact avec l’autre parent. Même si certains experts débattent de la dénomination de ce mécanismes, en tant que professionnel du secteur on rencontre ce genre de situations beaucoup trop souvent. Les parents, tellement pris dans leur conflit conjugal ne se rendent pas compte à quel point ils causent du tort à leurs enfants.
Le parent “attaqué” perd son temps à démontrer son innocence, tandis que l’autre essaie d’organiser de plus en plus de témoignages….Entre temps l’enfant souffre et se trouve dans un véritable conflit de loyauté.
J’ai vu des cas où l’enfant a dû être hospitalisé en psychiatrie afin de protéger l’enfant contre la manipulation du parent.
Pour les professionnels du secteur il s’agit de désamorcer le conflit le plutôt possible avec une médiation. Au cas où une médiation s’avère impossible, les choses vont mal tourner pour l’enfant.
Il ne faut jamais oublier que ce n’est pas parce que le mari était un mauvais mari qu’il est forcément un mauvais père (et vice versa)
Manhanako, ProtectionJeunesse 02.02.2012

 source: https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/04/linstitution-judiciaire-en-etat-de-non-assistance-a-personne-en-danger-face-a-lalienation-parentale/

A suivre . Il y a des choses à changer dans le système et qui ne fonctionnent pas : il faudrait qu’il y ait un peu plus de "culture psy" dans les milieux policiers et dans les milieux de justice. (Dr Victor Simon, Directeur du Centre d’Hypnose et Psychomatique – Paris)

 

 

 


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(Source : protectnet.wordpress.com " Pour mieux évaluer le risque de négligence et de maltraitance des enfants")

"Même si le terme est à l’heure actuelle fortement débattu, nous avons malgré tout décider de l’utiliser vu qu’il définit bien ce que nombreux professionnels constatent dans la réalité du terrain. L’aliénation parentale. Lorsqu’un couple se sépare, l’enfant se retrouve très souvent dans un conflit conjugal important. Très souvent le parent qui passe le plus de temps avec son enfant (pour la plupart du temps des mères), un véritable lavage de cerveau commence pour l’enfant. D’un moment à l’autre l’enfant n’a plus le droit d’aimer l’autre parent.

Les séquelles pour les enfants sont importantes, d’autant plus si le parent “hostile” ignore la souffrance de son enfant. En tant que professionnel du secteur il importe de ne jamais perdre de vue l’enfant en souffrance. Lorsque les parents s’amènent avec de classeurs plein de témoignages attestant de l’incapacité de l’autre parent, le professionnel risque d’entrer dans le jeu et d’oublier l’intérêt de l’enfant.

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/02/lenfant-et-la-separation-des-parents/

 

 

Services sociaux   A suivre : Aliénation Parentale, Diagnostic et prise en charge médico-juridique

 

 

 

 


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« L’enquête de Florence Bellone RTBF sur les enlèvements d’enfants par les services sociaux britanniques avait fait sensation l’an dernier. Ce reportage vient de lui valoir le prestigieux prix européen Lorenzo Natali pour les droits de l’homme.
Notre correspondante à Londres revient avec de nouvelles pièces, de nouveaux témoignages, toujours aussi forts et parfois même hallucinants… »

Source et suite de l’article:

Source reportage Journalistique (audio) :

Diffusion : Contenxia

(…) «En novembre 2010, la diffusion du reportage de Florence Bellone sur la problématique de l’adoption forcée en Grande-Bretagne avait suscité l’émoi. Les mots «adoption forcée» évoquent des scandales comme celui de «l’Arche de Zoé» dans lequel des Occidentaux embarquent des enfants étrangers sous prétexte de les extraire à leur misère, et sans vérifier s’ils sont vraiment abandonnés, pour les placer sur le marché de l’adoption internationale.
(…)Le Royaume-Uni a pourtant une histoire douteuse en matière de «protection de l’enfance» depuis le 19ème siècle. L’un des épisodes les plus dramatiques a duré 70 ans : les enfants volés aux familles pauvres étaient envoyés en Australie dans le cadre du programme d’état «Migrant Children» pour y créer «une bonne souche blanche» ! 40 ans après la fin du programme, au début de l’année 2010, Gordon Brown, David Cameron et Nick Clegg ont produit des excuses publiques à la Chambre des Communes pour ce désastre historique.
(…)Et surtout, il y a ces milliers de femmes accusées de «future négligence» ou «futur dommage émotionnel» de leur enfant, dès les premiers jours de la grossesse… On leur enlève le nourrisson à la naissance et on leur enlèvera ainsi chaque nouveau bébé, sur la seule foi d’un psychiatre payé par les services sociaux. Leur crime : avoir été victime de violence domestique, soit par leurs parents, soit par leur partenaire, et très souvent par la famille d’accueil ou l’orphelinat ou elles-mêmes avaient été placées. Plusieurs centaines de ces mères, seules ou en couple, ont fui à l’étranger afin de pouvoir garder leur bébé.
Source : Le Monde.fr

 


RT à propos du trafic d’enfants via les services sociaux : "5 policiers et 2 éducatrices viennent enlever le bébé juste après l’accouchement"

Quelle est la situation en France ? -> COMITE CEDIF -> Jean-Pierre Rosenczveig sur l’adoption d’enfants placés

 
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/01/29/vols-denfants-par-services-sociaux-angleterre/

 

Services sociauxA suivre : 1 famille témoigne de l’enlévement de leur fille par les services sociaux  A suivre : L’ex-star de la télé, Mallaury Nataf devient SDF et se fait enlever son bébé par les services sociaux

 


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