Non seulement victime d’une tentative d’assassinat, mais maintenant, on lui arrache sa fille !
« Témoignage d’un énième dysfonctionnement judiciaire, révoltant »
« Bonjour,
le 14.06.2012 : ma femme a organisé une tentative d’homicide volontaire en bande organisée contre moi, le père de sa fille qui avait 4 ans à l’époque.
le 27.06.2012 : elle est placée en garde à vue puis en détention provisoire jusqu’à ce jour. Malgré 5 demandes de mise en liberté, elle restera en Maison d’Arrêt jusqu’au procès des assises qui débutera le 13 octobre au TGI de Nanterre. Idem pour son amant et le tireur à gage.
Le 23.10.2012, j’ai fait un stress post traumatique qui a conduit un juge des enfants à placer ma fille immédiatement en famille d’accueil, refusant catégoriquement d’essayer de la maintenir dans son milieu naturel (j’ai des parents, 2 soeurs, des cousins, cousines…bref, une grande famille). Les paroles du juge ce jour-là : « allez, 6 mois ça passe vite ».
Depuis cette date, entre rapports mensongers, accusations de sévices sexuel contre moi, irrespect total du code civil, du code de procédure civile, du code de l’action sociale, etc. ma fille reste placée. Pourtant, le juge a sur son bureau 2 rapports très clairs qui concluent que ma fille n’a subi aucun sévice, qu’elle souffre du placement auquel il faut mettre un terme avant qu’il ne soit trop tard et que je suis tout à fait capable de m’occuper de ma fille. L’intérêt de l’enfant ne l’intéresse pas.
En revanche, l’intérêt étrange qu’elle porte pour ma criminelle d’épouse la conduit à construire coûte que coûte un dossier à ma charge qui sera utilisé aux assises. En clair : ce juge du civil pratique l’ingérance dans une affaire criminelle sans que ni le parquet ni le Ministère Public n’intervienne.
J’ai un dossier lourd et fort bien fourni sur les méthodes staliniennes de trio ase-jde-épouse. Il sera joint au dossier de l’affaire criminelle. Il est évident que le rôle que se donne ce juge sera dénoncé tout comme son immobilisme face à la souffrance d’un enfant.
Le dossier est lourd et pourra être livré à tout organe de presse ou association qui m’accompagnera dans ce combat pour la justice.
Je vous joins ici 3 documents : le reportage diffusé sur l’affaire criminelle, le rapport d’un expert psy commis par le JDE et le dernier rapport de l’ASE.
JE NE ME TAIERAI PAS ! » (Sylvain Lanvers)
« Un contrat de 20 000 € sur la tête de Sylvain Lanvers » (Sept à huit 25.08.2013)
« Deux semaines après ce qui a été qualifié de « tentative d’assassinat », la femme de Sylvain était arrêtée, mise en examen et écrouée. Elle est soupçonnée d’être l’instigatrice d’un plan machiavélique visant à éliminer un mari, dont elle était séparée, pour récupérer leur maison. Devant les enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine, elle a nié, puis concédé avoir voulu « faire peur » à Sylvain. Le tireur, un ouvrier de 38 ans, est mis en examen et incarcéré lui aussi. Il a avoué avoir accepté le contrat contre 20000 €. » (Le Parisien 14.05.2013)
extrait rapport d’expertise (p9)
extrait compte rendu « d’assistante éducative » (Robineau)
Enlevée par les services sociaux
« A 16 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation… »(…).
« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »
« Les éducateurs tapent les enfants (…) »
« Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés. »
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M. Lopez à propos des dysfonctionnements des affaires sociales et familiales :
Le Directeur du foyer nous insulte quand on se plaint. Ma petite sœur avec des bleues, ils ne disent rien … la justice, elle est pourrie. (…)
Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés.
J’ai fait cette vidéo pour que des personnes agissent à ce niveau"»
Témoignage d’un enfant victime des Services Sociaux
"Un message poignant d’une jeune fille placée en internat et les ravages de la violence subit et du traumatisme psychologique que les politiciens ; journalistes et Magistrats devraient voir ! Etant moi-même un ancien enfant placé de ma naissance à mes 20 ans et demi, je peux témoigner que ce qu’elle dit est vrai, mais qu’il y a pire encore ! (…)" ( source : Association Sauvons nos enfants)
« Voilà, j’ai décidé de réaliser cette vidéo pour parler avant tout des placements en foyer qui détruit beaucoup de personnes. Ca nous a pas détruit seulement nous. J’ai décidé de faire cette vidéo en l’honneur de mon petit frère et de ma petite soeur qui y sont encore aujourd’hui. Le 21 février 2010, on a eu la décision de la justice. On a été placé en foyer. C’est là qu’a débuté l’enfer. On était super attaché à notre mère et ils nous ont séparé d’elle, comme ça. Ca nous a fait un grand vide. Je me souviens le matin, je me réveillais, je regardais le plafond… je me disais, non ce n’est pas chez moi. Le premier soir où j’ai été là bas, je suis arrivé dans ma chambre. Une fille est venue me parler, me demander si ça allait. En me voyant rentrer, ils ont tout de suite remarqué qu’il y avait un souci. J’ai appelé ma mère, je lui ai dit c’est un cauchemar. Je ne pensais pas que ça allait être si dur. J’avais 13 ans. Je ne pensais pas que ça allait être aussi dur. Le soir, j’ai demandé à l’éducatrice de me ramener devant ma petite sœur, 8 ans [5 ans à l’époque], qui a été placée, parce qu’on était 3 [dans ce foyer]. Ma grande sœur a été placée dans un autre foyer. Elle est partie directement en fugue. Elle avait déjà 16 ans. Mon petit frère 14 ans [11 ans à l’époque]… moi et ma petite sœur. J’ai demandé à la voir le soir. Je l’ai vu, elle dormait. Je crois que cette image me restera gravée. Ca se remarquait qu’elle était triste. Je pouvais sentir qu’elle n’était pas bien. Les jours ont passé, les mois ont passé… C’était de pire en pire. Ma mère n’y arrivait plus. Elle se laissait aller. On n’était pas bien. Elle était plus que tout au monde pour nous. On a tous été séparé. Après c’est devenu un vrai calvaire. Pendant 3 ans, j’ai souffert. Et puis un jour, j’ai décidé de m’en aller. Je suis partie. J’ai fugué 7 mois. Puis, ils m’ont relâché. Cela fait à peu près 5 mois que je suis dehors. J’ai été traumatisé par ça. La justice nous dit : ne prenez pas ça comme une punition. Mais en même temps, on peut le prendre pour quoi ? Pour une aide ? Non ! On a juste été séparé. Alors oui, on l’a pris comme une punition. Ma petite sœur y est encore. Mon petit frère aussi. Ils souffrent encore tous les deux. Mon petit frère n’arrive pas à pleurer, à montrer les souffrances. Mais depuis qu’il est là bas, il y arrive. Il pleure tous les soirs. Il appelle ma mère, en pleurant : « Maman, je veux rentrer ». Quand j’entends ça, ça me tue. J’essaye de ne pas montrer à ma famille que je suis mal. J’essaye de faire comme si je ne ressens rien pour mes frères et sœurs. Comme si je m’en fous un peu. Mais tous les soirs, quand je suis seule, c’est là que le manque revient… De plus voir ma petite sœur, de ne pas pouvoir la toucher. De ne pas pouvoir lui dire que je l’aime. C’est juste affreux, ce qu’ils ont fait. Alors je soutiens, toutes ces familles qui ont été séparées aussi. Tous ces cœurs qui ont été brisés. Ces enfants qui sont loin de chez leur mère. Parce qu’un enfant a besoin de sa mère pour grandir, de sa famille… Pas des inconnus comme ça ! Non… Il y a aussi un épisode, où les éducateurs tapent les enfants ! Ca c’est pareil. Je me suis fais tapé par un éducateur, avec des amies à moi. On s’est fait tapé, on l’a dit. On n’a pas été cru. On s’est limite fait insulté par le Directeur du foyer, parce qu’ils nous ont traité de menteuses. Alors que tout ça s’était vrai. Et ma petite sœur, elle rentre avec des bleus, on ne sait pas d’où ça vient, elle dit rien. C’est pour ça que je dis : la justice, elle est pourrie. Depuis ça, elle n’est plus rien. Ca sert à quoi de placer un enfant en foyer ? Un enfant qui en a besoin, il est dehors ! Il ne le place pas, il le laisse crever. Des enfants qui sont bien avec leur parent : ceux-là, ils sont enlevés, ils sont arrachés à leurs parents. Je trouve que c’est juste abusé. Voilà, j’ai fait cette vidéo pour qu’enfin des personnes réagissent… »
« Au moins 50% des enfants placés ne devraient pas l’être » (…).
« Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités !»
C’est donc beaucoup plus que 60 000 enfants qui sont actuellement détenus, de manière illégitime, dans ces centres où ils subissent une souffrance psychologique intense.
Ces tortionnaires se rendent complices de maltraitance à enfant. Ces enfants devraient être immédiatement relâchés et rendus à leur famille (quitte à trouver des solutions alternatives)
On aura compris par l’inaction manifeste que la volonté est toute autre. Malgré l’urgence, il ne sera pas suffisant de demander à un système manifestement sourd et aveugle, de se changer lui-même….
D’où l’importance d’informer car la situation vécue par ces enfants est purement intolérable !
MERCI DE DIFFUSER CET ARTICLE
RHUMANTIK – Enfant de la DDASS*
La mesure d’urgence : un acte criminel
"Dans le fonctionnement des services sociaux, il existe une méthode ô combien destructrice pour l’enfant : la mesure d’urgence. Totalement insupportable pour les parents et souvent irréversible dans l’évolution psychologique d’un enfant.
Les services sociaux mettent en avant la notion de danger et l’intérêt de l’enfant pour justifier cette mesure et permettre l’assistance, laquelle contient en germe le plus grand défaut de l’ASE : l’exclusion.
Le procédé qui consiste, avec ou sans appel à la force publique, à retirer un enfant à la sortie de l’école ou après une réunion ASE – parents sans que cet enfant ne soit préparé, est, disons le tout net, une pratique criminelle qu’on ne peut se permettre que si l’on est sûr d’éviter par là un danger plus grave encore.
Et quel danger est plus grave sinon un risque pour la vie même de l’enfant ou des pratiques pédocriminelles ?
L’enfant sort de l’école, il a un projet ; ce soir il fera ceci ou cela. Peut-être voir son feuilleton préféré, lire ses BD, retrouver son chien … et puis il se retrouve derrière les murs et les barreaux d’un foyer pour l’enfance. Il ne reverra plus ce qui faisait sa vie. Imaginez-vous le traumatisme ? Son équilibre psychologique et affectif sera atteint irrémédiablement.
Je pense ici à la naïve satisfaction du gendarme au procureur : » nous avons agi par surprise en l’absence des parents. Tout s’est bien passé » Insupportable ! Inacceptable.
La conclusion appartient à Jenny Aubry, psychanalyste de l’enfance abandonnée : « aucune rupture définitive n’est acceptable, même à l’âge de l’adolescence lorsqu’elle est imposée par des tiers et que ces motifs ne sont pas compréhensibles pour l’enfant« (Eric Dolla, section CEDIF Alpes Maritimes). (source: ComiteCedif)
(*) A propos des Services Sociaux
FRANCE : Aide Sociale à l’Enfance (ex. DDASS rebaptisé ASE après l‘affaire du Coral)
CANADA (Quebec) : Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ)
SUISSE : Service de Protection de la Jeunesse (SPJ)
BELGIQUE : Aide à la Jeunesse (AJ)
Service d’Aide à la Jeunesse (SAJ)
Conseil d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ)
Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ)
Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités ! (Comité CEDIF, source)
« A 16 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation… »(…).
« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »
« Les éducateurs tapent les enfants (…) »
« Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés. »
NB : l’IGAS est actuellement sous la direction de Pierre Boissier. L’IGAS est rattachée aux ministres en charge des affaires sociales, elle intervient également à la demande du Premier Ministre ainsi que du ministre en charge des comptes sociaux. (plus d’infos)
Sauf s'il s'agit de gérer les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant), il faut faire le constat d'une structure d'arbitrage qui n’est actuellement pas adaptée au conflit parental.