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Un enfant enlevé par les services sociaux* témoigne 

« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »

 

Et poursuit…

" Les éducateurs tapent les enfants (…)

 

Le Directeur du foyer nous insulte quand on se plaint.  Ma petite sœur avec des bleues, ils ne disent rien … la justice, elle est pourrie. (…)

Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés.

J’ai fait cette vidéo pour que des personnes agissent à ce niveau"»

 


Témoignage d’un enfant victime des Services Sociaux

 

"Un message poignant d’une jeune fille placée en internat et les ravages de la violence subit et du traumatisme psychologique que les politiciens ; journalistes et Magistrats devraient voir ! Etant moi-même un ancien enfant placé de ma naissance à mes 20 ans et demi, je peux témoigner que ce qu’elle dit est vrai, mais qu’il y a pire encore ! (…)" ( source : Association Sauvons nos enfants)

 


« Voilà, j’ai décidé de réaliser cette vidéo pour parler avant tout des placements en foyer qui détruit beaucoup de personnes. Ca nous a pas détruit seulement nous. J’ai décidé de faire cette vidéo en l’honneur de mon petit frère et de ma petite soeur qui y sont encore aujourd’hui. Le 21 février 2010, on a eu la décision de la justice. On a été placé en foyer. C’est là qu’a débuté l’enfer. On était super attaché à notre mère et ils nous ont séparé d’elle, comme ça. Ca nous a fait un grand vide. Je me souviens le matin, je me réveillais, je regardais le plafond… je me disais, non ce n’est pas chez moi. Le premier soir où j’ai été là bas, je suis arrivé dans ma chambre. Une fille est venue me parler, me demander si ça allait. En me voyant rentrer, ils ont tout de suite remarqué qu’il y avait un souci. J’ai appelé ma mère, je lui ai dit c’est un cauchemar. Je ne pensais pas que ça allait être si dur. J’avais 13 ans. Je ne pensais pas que ça allait être aussi dur. Le soir, j’ai demandé à l’éducatrice de me ramener devant ma petite sœur, 8 ans [5 ans à l’époque], qui a été placée, parce qu’on était 3 [dans ce foyer]. Ma grande sœur a été placée dans un autre foyer. Elle est partie directement en fugue. Elle avait déjà 16 ans. Mon petit frère 14 ans [11 ans à l’époque]… moi et ma petite sœur. J’ai demandé à la voir le soir. Je l’ai vu, elle dormait. Je crois que cette image me restera gravée. Ca se remarquait qu’elle était triste. Je pouvais sentir qu’elle n’était pas bien. Les jours ont passé, les mois ont passé… C’était de pire en pire. Ma mère n’y arrivait plus. Elle se laissait aller. On n’était pas bien. Elle était plus que tout au monde pour nous. On a tous été séparé. Après c’est devenu un vrai calvaire. Pendant 3 ans, j’ai souffert. Et puis un jour, j’ai décidé de m’en aller. Je suis partie. J’ai fugué 7 mois. Puis, ils m’ont relâché. Cela fait à peu près 5 mois que je suis dehors. J’ai été traumatisé par ça. La justice nous dit : ne prenez pas ça comme une punition. Mais en même temps, on peut le prendre pour quoi ? Pour une aide ? Non ! On a juste été séparé. Alors oui, on l’a pris comme une punition. Ma petite sœur y est encore. Mon petit frère aussi. Ils souffrent encore tous les deux. Mon petit frère n’arrive pas à pleurer, à montrer les souffrances. Mais depuis qu’il est là bas, il y arrive. Il pleure tous les soirs. Il appelle ma mère, en pleurant : « Maman, je veux rentrer ». Quand j’entends ça, ça me tue. J’essaye de ne pas montrer à ma famille que je suis mal. J’essaye de faire comme si je ne ressens rien pour mes frères et sœurs. Comme si je m’en fous un peu. Mais tous les soirs, quand je suis seule, c’est là que le manque revient… De plus voir ma petite sœur, de ne pas pouvoir la toucher. De ne pas pouvoir lui dire que je l’aime. C’est juste affreux, ce qu’ils ont fait. Alors je soutiens, toutes ces familles qui ont été séparées aussi. Tous ces cœurs qui ont été brisés. Ces enfants qui sont loin de chez leur mère. Parce qu’un enfant a besoin de sa mère pour grandir, de sa famille… Pas des inconnus comme ça ! Non… Il y a aussi un épisode, où les éducateurs tapent les enfants ! Ca c’est pareil. Je me suis fais tapé par un éducateur, avec des amies à moi. On s’est fait tapé, on l’a dit. On n’a pas été cru. On s’est limite fait insulté par le Directeur du foyer, parce qu’ils nous ont traité de menteuses. Alors que tout ça s’était vrai. Et ma petite sœur, elle rentre avec des bleus, on ne sait pas d’où ça vient, elle dit rien. C’est pour ça que je dis : la justice, elle est pourrie. Depuis ça, elle n’est plus rien. Ca sert à quoi de placer un enfant en foyer ? Un enfant qui en a besoin, il est dehors ! Il ne le place pas, il le laisse crever. Des enfants qui sont bien avec leur parent : ceux-là, ils sont enlevés, ils sont arrachés à leurs parents. Je trouve que c’est juste abusé. Voilà, j’ai fait cette vidéo pour qu’enfin des personnes réagissent… »

 

 


« Au moins 50% des enfants placés ne devraient pas l’être » (…).

« Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités !»

 

C’est donc beaucoup plus que 60 000 enfants qui sont actuellement détenus, de manière illégitime, dans ces centres où ils subissent une souffrance psychologique intense.

Ces tortionnaires se rendent complices de maltraitance à enfant. Ces enfants devraient être immédiatement relâchés et rendus à leur famille (quitte à trouver des solutions alternatives)

On aura compris par l’inaction manifeste que la volonté est toute autre. Malgré l’urgence, il ne sera pas suffisant de demander à un système manifestement sourd et aveugle, de se changer lui-même….

D’où l’importance d’informer car la situation vécue par ces enfants est purement intolérable !

MERCI DE DIFFUSER CET ARTICLE

 


 

RHUMANTIK – Enfant de la DDASS*

 


La mesure d’urgence : un acte criminel

 

"Dans le fonctionnement des services sociaux, il existe une méthode ô combien destructrice pour l’enfant : la mesure d’urgence. Totalement insupportable pour les parents et souvent irréversible dans l’évolution psychologique d’un enfant.

Les services sociaux mettent en avant la notion de danger et l’intérêt de l’enfant pour justifier cette mesure et permettre l’assistance, laquelle contient en germe le plus grand défaut de l’ASE : l’exclusion.

Le procédé qui consiste, avec ou sans appel à la force publique, à retirer un enfant à la sortie de l’école ou après une réunion ASE – parents sans que cet enfant ne soit préparé, est, disons le tout net, une pratique criminelle qu’on ne peut se permettre que si l’on est sûr d’éviter par là un danger plus grave encore.

Et quel danger est plus grave sinon un risque pour la vie même de l’enfant ou des pratiques pédocriminelles ?

Une séparation dans ces conditions est en elle-même un danger de « mort psychologique ». De plus les liens affectifs rompus sont des maltraitances durables chez un enfant.

Pensons à la façon dont cela se déroule.

L’enfant sort de l’école, il a un projet ; ce soir il fera ceci ou cela. Peut-être voir son feuilleton préféré, lire ses BD, retrouver son chien … et puis il se retrouve derrière les murs et les barreaux d’un foyer pour l’enfance. Il ne reverra plus ce qui faisait sa vie. Imaginez-vous le traumatisme ? Son équilibre psychologique et affectif sera atteint irrémédiablement.

Je pense ici à la naïve satisfaction du gendarme au procureur : » nous avons agi par surprise en l’absence des parents. Tout s’est bien passé » Insupportable ! Inacceptable.

La conclusion appartient à Jenny Aubry, psychanalyste de l’enfance abandonnée : « aucune rupture définitive n’est acceptable, même à l’âge de l’adolescence lorsqu’elle est imposée par des tiers et que ces motifs ne sont pas compréhensibles pour l’enfant« (Eric Dolla, section CEDIF Alpes Maritimes). (source: ComiteCedif)

 

(*) A propos des Services Sociaux

  • FRANCE : Aide Sociale à l’Enfance (ex. DDASS rebaptisé ASE après l‘affaire du Coral)
  • CANADA (Quebec) : Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ)
  • SUISSE : Service de Protection de la Jeunesse (SPJ)
  • BELGIQUE : Aide à la Jeunesse (AJ)
    • Service d’Aide à la Jeunesse (SAJ)
    • Conseil d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ)
    • Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ)
    • Tribunal de la jeunesse (TJ)

 

A suivre : Services sociaux A suivre : Les articles best Of

 

 


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Enfance maltraitée : QUE FAIRE pour enrayer ces souffrances ?… Résister !


Que peut-on faire pour agir et aider à enrayer la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s) (voire aliénés ou pire encore) ?

Cela fait plus de 30 ans que c’est ainsi, alors pourquoi donc chercher à trouver de quelconques solutions à ce problème, quand on sait que de toute manière, c’est très probablement inutile ?

En effet :

La situation est alarmante…

  • Près de 18 000 enfants/an prennent le chemin de l’aliénation parentale dans l’indifférence et une inertie scandaleuse (cf. lien)
  • 50% des enfants retirés à leur famille (sur un total de 135 000) le sont inutilement (!), de l’aveu même de l’inspecteur général des affaires sociales (cf. lien)
  • Des milliers d’enfants maltraités ou abusés
  • Et combien jetés dans le réseau de la prostitution voire de l’ignominie sans nom ?… (cf. lien).

Même si le point de non retour semble atteint vis à vis de cette réalité dont on n’ose même plus faire la publicité, il reste à chacun de choisir son camp : celui de ne rien faire ou laisser faire (sinon même d’en être parfaitement complice – même si la plupart du temps, c’est par ignorance ou par manque d’empathie) ou bien d’être de ceux qui tentent modestement d’agir même si c’est inutile et quand bien même ils seraient peu nombreux : pourvu qu’ils soient de ceux-là…

Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile !
— Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac

Car une civilisation qui se comporte ainsi envers ses enfants, abusant de leur incapacité à pouvoir se défendre ou être défendu pour le respect de leurs droits fondamentaux (…), n’ira peut-être pas beaucoup plus loin encore ? …

Face à l’ampleur et la gravité du phénomène, cela est bel et bien devenu l’affaire de tous. Et à chacun désormais, de se saisir du sujet sans plus attendre…

Alors, au moins, si l’on se donne la peine d’avoir fait à son niveau et selon ses moyens, ce que l’on croyait être bon et juste pour tenter d’apporter ne serait-ce qu’une ou plusieurs gouttes d’eau, qui voulaient participer à éteindre cet incendie… Alors peut-être que oui, cela n’aura rien éteint (ou pas grand chose) mais est-ce vraiment cela qui compte ?

Ou bien s’agit-il de s’assurer qu’au moment et pour le cas, où nous devrions tous en payer collectivement l’addition. Si derrière nos pas, le destin nous amène à entendre la cité s’affaisser sous le poids de sa décadence, alors peut-être que l’on n’aura pas agi complètement inutilement : car on pourra au moins se dire dans son for intérieur, que si oui notre action n’aura pas pu empêcher grand chose, elle aura au moins sauvé, ce qu’il y avait peut-être encore à y sauver (?) : son Honneur


Agir face à l’injustice…

« Face à l’injustice, chacun doit pouvoir agir à sa mesure… »(…).

« Vis à vis des injustices, dans une société qui semble avoir perdu le fil des valeurs, sans attendre une improbable action d’une élite détachée de l’intérêt commun : chacun doit agir à sa mesure et ne pas laisser faire… (…) »

Un cas concret d’Exclusion Parentale (rupture du lien parent-enfant)

Oui, ce n’est pas simple. C’est une double souffrance mais en réalité c’est la souffrance de l’enfant séparé du lien qui est la plus inquiétante, la plus injuste, la plus immorale, et …c’est cela qu’il y a de plus dur.

Que faire vis à vis de ces 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’aliénation, par exemple ?

Il ne sert à rien de convaincre un parent aux réflexes aliénants. C’est un bloc de roche jusqu’au jalon qui lui permettra d’ouvrir les yeux. En attendant, rien ne peut-être fait pour convaincre de son côté : il sera plus facile de déplacer des montagnes… Et bien justement… Comme c’est avant tout un problème de société, une faille du système qui ne semble pas prendre en considération la souffrance des enfants privés de leur lien affectif et parental (puis rentrant progressivement dans une souffrance pathologique), ni à prendre en compte le droit des enfants qui est pourtant explicite (!), ni d’être capable de diagnostiquer la calomnie même quand elle est évidente (car tous azimut). Il va donc falloir déplacer les montagnes et c’est un honneur que de rentrer dans ce combat car il a toute la gloire d’un combat juste, celui de montrer a votre enfant que vous ne l’abandonnerez jamais et que vous vous bâterez, bâterez, encore et encore mais en utilisant tous les moyens nobles et surtout pas ceux détestables auxquels recoure le parent aliénant : il faudra donc se battre à découvert et de manière frontal en utilisant les arguments du droit, de la moral, de l’amour de l’enfant, etc.. .Sans jamais laisser la place aux mauvais sentiments (car ils sont parfaitement improductifs).

Et si un parent se lève, un autre suivra, et encore un autre jusqu’à ce que la société change et dans l’espoir que l’évidence voit enfin le jour… car trop d’enfants ont subi, subissent et subiront encore, surtout si personne ne se lève pour dire STOP !

QUOI FAIRE ?

Avant toute chose : COMMENCER PAR S’INFORMER SOI MÊME : https://affairesfamiliales.wordpress.com


Face à l’injustice, à l’oppression, il faut relever la tête et sourire : le jour tant attendu est arrivée… Alors de la connaissance, de la compassion pour les souffrances de tous les autres dans le même cas : c’est le moment de s’unir et d’aller rétablir la justice et de mettre fin aux souffrances…

Peu importe l’issu : le plus important c’est de se battre, sans haine mais au contraire avec honneur et détermination jusqu’à l’issu complète ou le dernier souffle …


MESSAGE AU PARENT SEPARE DE SON ENFANT

    • Voilà venu le moment de faire son chemin de croix pour en sortir éprouvé et fier d’être resté digne et combattant face à l’adversité (celle induite par l’intense souffrance de votre enfant que vous ressentez par compassion évidente) : transformez votre colère et votre souffrance en quelque chose de lumineux et d’efficace pour les autres et qu’elle serve à tous les enfants (et pas seulement le votre). Et en donnant, vous recevrez (vous verrez).
    • Commencer par donner une grande part de votre temps libre, et le maximum de moyens pour vous permettre de comprendre et ensuite faire comprendre et diffuser cette problématique complexe (à tous, sauf au parent aliénant qui restera hermétique jusqu’à la résolution : ne cherchez pas à convaincre ce dernier, c’est du temps perdu : attaquez vous d’abord aux montagnes : c’est plus simple ;-). Le but est de faire évoluer les consciences pour qu’elles se rendent compte de la manière dont sont élevés nos enfants en les privant de leur parent : Un mal fondamental, aussi inconnu que massivement répandu. Le parent séparé doit donc agir sans fléchir, jusqu’à la libération effective (de son enfant) et toute sa vie si il le faut… Mais toujours avec des moyens nobles sans jamais chercher à basculer dans un comportement aliénant inversé tel un desperado… mais plutôt avec une franche détermination et beaucoup de piété : vous serez surpris de redécouvrir une forme de bonheur pendant votre combat. Un combat qui vous fera pousser des ailes si vous restez digne et tourné vers les autres. (Chassez votre abattement, votre apitoiement, votre désespérance, votre rancune et pensez à votre enfant et à tous les autres qui comptent sur vous pour agir efficacement et vertueusement..)
MESSAGE A TOUS…

  • Parent pervers , perversion , sadisme
    Ne perdez pas votre temps à raisonner le parent aux réflexes aliénants
    (il n’y a pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre : Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent ; et la plupart d’entre eux sont des pervers.) (*pervers : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux.)
  • Diffusez l’information…
    ( ex, via les réseaux sociaux, vos propres réseaux, les lieux médiatisés, etc…)


    Twitter
    Twittergoogle plusfacebookpinterestlinkedinYoutubetumblr
    1 exemple, pour Twitter :Tweetdeck, 1 tableau de bord (gratuit)

    Ex. Aux Parents victimes d’Exclusion Parentale…qui NE SAVENT PAS UTILISER TWITTER MAIS QUI VOUDRAIENT BIEN… (en 4 étapes)

    1) S’inscrire sur Twitter.com et ensuite

    2) downloader et installer le logiciel tweeterdeck depuis http://tweetdeck.com/ (qui facilite la gestion des listes tweeter) :

    3) suivez les comptes de la iste exclusion parentale récupérable sur https://twitter.com/enfantsdroits/exclusion-parentale/members et également @enfantsdroits

  • Abonnez-vous au site https://affairesfamiliales.wordpress.com[inscription à la mailing liste ou abonnement au flux RSS / dans le menu à droite ]—–>

  • ex. les articles les plus populaires

    Faîtes connaître cette problématique sur les forums et tous les autres moyens de communication : emails groupés + ciblés (politique, justice, journaliste, …), Facebook, Twitter, ..courrier postaux, … Par tous moyens utiles (y compris originaux).., diffusez l’adresse du site https://affairesfamiliales.wordpress.com et tous les sites pertinents sur le sujet qui prennent le parti de l’enfant. Cela est utile pour plusieurs raisons :

    • Faire connaître ce problème, sans quoi ca n’évoluera pas (tout seul)
    • Permettre à quelqu’un de prendre conscience (de lui même) de l’erreur qu’il fait,
    • Permettre à un enfant ayant grandi, de comprendre et reprendre contact avec un parent (en souffrance)
    • Permettre à un parent indûment séparés de trouver du courage pour se battre pour son enfant et les autres
    • Faire connaître aux professionnels des affaires familiales ce gâchis et surtout cette souffrance des enfants séparés (voire aliénés)
  • Mener/Participer aux opérations de communication pour faire connaître la problématique et l’urgence de la situation ; en se regroupant : ex. Printemps 2013 (cf. ici pour la mise à jour des liens et les exemples)

  • Services sociaux Soutenez la cause de l’enfant (ne vous laissez pas berner par la calomnie tous azimuts qui justifie vouloir isoler l’enfant « au nom de » : les calomniateurs, ce sont eux les véritables pervers ; sinon pourquoi 1000 prétextes et 0 témoins !?) ; non plus les ignorants qui se rendent complices en confondant le principe de précaution avec le principe de protection
  • Transmettez des attestations en toute occasion pour soutenir l’enfant et son droit : c’est à dire celui de ne pas avoir son lien parental réduit en miette. (Donc sans se soucier du couple conjugal dont personne n’a que faire, l’enfant le premier !).
  • Soutenez le parent en détresse, en lui faisant connaître l’information utile pour qu’il prenne conscience lui-même du problème dont son enfant est victime (qu’il puisse mettre des mots c’est essentiel !) : attestations formalisées ou simples témoignages de soutien pour la cause de l’enfant au parent séparé de son enfant.


« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)

.

Renouer le lien parental

« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).

« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »

 

 

 



Un enfant aliéné dmd des comptes

« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).

« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »


Toujours garder à l’esprit que ce qui est le plus détestable c’est la souffrance de l’enfant privé du lien (Car on ne doit pas faire d’un enfant, un orphelin (de parent vivant) ! Et la pire maison, celle où un orphelin est maltraité.)

! MERCI DE DIFFUSER CE MESSAGE !

… Aux personnes sensibles à ce type de problème (ou pouvant l’être)

C’est un très beau combat : des centaines de milliers d’enfants victimes !

Source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/


A ceux qui se sont éloignés, eux-mêmes

(…)
– Assurez vous d’être dans le même secteur géographique que celui de votre ex-compagne/gnon – si ça n’est pas le cas et que vous aillez vous même quitté la zone qui permette l’exercice du rôle parental.


Aux croyants…

(…)
– Cultivez l’Amour pour vous inscrire dans ce combat avec endurance et patience. Le premier ennemi à vaincre est en vous : prenez vos souffrances pour des bénédictions, vos humiliations pour des sanctifications et votre chemin pour une expiation et une renaissance.

Dieu est avec les endurants, les patients, les pardonneurs, les repentants, les sages, les humbles.. et donc avec vous : si vous le souhaitez…


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