Non seulement victime d’une tentative d’assassinat, mais maintenant, on lui arrache sa fille !
« Témoignage d’un énième dysfonctionnement judiciaire, révoltant »
« Bonjour,
le 14.06.2012 : ma femme a organisé une tentative d’homicide volontaire en bande organisée contre moi, le père de sa fille qui avait 4 ans à l’époque.
le 27.06.2012 : elle est placée en garde à vue puis en détention provisoire jusqu’à ce jour. Malgré 5 demandes de mise en liberté, elle restera en Maison d’Arrêt jusqu’au procès des assises qui débutera le 13 octobre au TGI de Nanterre. Idem pour son amant et le tireur à gage.
Le 23.10.2012, j’ai fait un stress post traumatique qui a conduit un juge des enfants à placer ma fille immédiatement en famille d’accueil, refusant catégoriquement d’essayer de la maintenir dans son milieu naturel (j’ai des parents, 2 soeurs, des cousins, cousines…bref, une grande famille). Les paroles du juge ce jour-là : « allez, 6 mois ça passe vite ».
Depuis cette date, entre rapports mensongers, accusations de sévices sexuel contre moi, irrespect total du code civil, du code de procédure civile, du code de l’action sociale, etc. ma fille reste placée. Pourtant, le juge a sur son bureau 2 rapports très clairs qui concluent que ma fille n’a subi aucun sévice, qu’elle souffre du placement auquel il faut mettre un terme avant qu’il ne soit trop tard et que je suis tout à fait capable de m’occuper de ma fille. L’intérêt de l’enfant ne l’intéresse pas.
En revanche, l’intérêt étrange qu’elle porte pour ma criminelle d’épouse la conduit à construire coûte que coûte un dossier à ma charge qui sera utilisé aux assises. En clair : ce juge du civil pratique l’ingérance dans une affaire criminelle sans que ni le parquet ni le Ministère Public n’intervienne.
J’ai un dossier lourd et fort bien fourni sur les méthodes staliniennes de trio ase-jde-épouse. Il sera joint au dossier de l’affaire criminelle. Il est évident que le rôle que se donne ce juge sera dénoncé tout comme son immobilisme face à la souffrance d’un enfant.
Le dossier est lourd et pourra être livré à tout organe de presse ou association qui m’accompagnera dans ce combat pour la justice.
Je vous joins ici 3 documents : le reportage diffusé sur l’affaire criminelle, le rapport d’un expert psy commis par le JDE et le dernier rapport de l’ASE.
JE NE ME TAIERAI PAS ! » (Sylvain Lanvers)
« Un contrat de 20 000 € sur la tête de Sylvain Lanvers » (Sept à huit 25.08.2013)
« Deux semaines après ce qui a été qualifié de « tentative d’assassinat », la femme de Sylvain était arrêtée, mise en examen et écrouée. Elle est soupçonnée d’être l’instigatrice d’un plan machiavélique visant à éliminer un mari, dont elle était séparée, pour récupérer leur maison. Devant les enquêteurs de la police judiciaire des Hauts-de-Seine, elle a nié, puis concédé avoir voulu « faire peur » à Sylvain. Le tireur, un ouvrier de 38 ans, est mis en examen et incarcéré lui aussi. Il a avoué avoir accepté le contrat contre 20000 €. » (Le Parisien 14.05.2013)
extrait rapport d’expertise (p9)
extrait compte rendu « d’assistante éducative » (Robineau)
Enlevée par les services sociaux
« A 16 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation… »(…).
« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »
« Les éducateurs tapent les enfants (…) »
« Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés. »
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M. Lopez à propos des dysfonctionnements des affaires sociales et familiales :
Le Directeur du foyer nous insulte quand on se plaint. Ma petite sœur avec des bleues, ils ne disent rien … la justice, elle est pourrie. (…)
Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés.
J’ai fait cette vidéo pour que des personnes agissent à ce niveau"»
Témoignage d’un enfant victime des Services Sociaux
"Un message poignant d’une jeune fille placée en internat et les ravages de la violence subit et du traumatisme psychologique que les politiciens ; journalistes et Magistrats devraient voir ! Etant moi-même un ancien enfant placé de ma naissance à mes 20 ans et demi, je peux témoigner que ce qu’elle dit est vrai, mais qu’il y a pire encore ! (…)" ( source : Association Sauvons nos enfants)
« Voilà, j’ai décidé de réaliser cette vidéo pour parler avant tout des placements en foyer qui détruit beaucoup de personnes. Ca nous a pas détruit seulement nous. J’ai décidé de faire cette vidéo en l’honneur de mon petit frère et de ma petite soeur qui y sont encore aujourd’hui. Le 21 février 2010, on a eu la décision de la justice. On a été placé en foyer. C’est là qu’a débuté l’enfer. On était super attaché à notre mère et ils nous ont séparé d’elle, comme ça. Ca nous a fait un grand vide. Je me souviens le matin, je me réveillais, je regardais le plafond… je me disais, non ce n’est pas chez moi. Le premier soir où j’ai été là bas, je suis arrivé dans ma chambre. Une fille est venue me parler, me demander si ça allait. En me voyant rentrer, ils ont tout de suite remarqué qu’il y avait un souci. J’ai appelé ma mère, je lui ai dit c’est un cauchemar. Je ne pensais pas que ça allait être si dur. J’avais 13 ans. Je ne pensais pas que ça allait être aussi dur. Le soir, j’ai demandé à l’éducatrice de me ramener devant ma petite sœur, 8 ans [5 ans à l’époque], qui a été placée, parce qu’on était 3 [dans ce foyer]. Ma grande sœur a été placée dans un autre foyer. Elle est partie directement en fugue. Elle avait déjà 16 ans. Mon petit frère 14 ans [11 ans à l’époque]… moi et ma petite sœur. J’ai demandé à la voir le soir. Je l’ai vu, elle dormait. Je crois que cette image me restera gravée. Ca se remarquait qu’elle était triste. Je pouvais sentir qu’elle n’était pas bien. Les jours ont passé, les mois ont passé… C’était de pire en pire. Ma mère n’y arrivait plus. Elle se laissait aller. On n’était pas bien. Elle était plus que tout au monde pour nous. On a tous été séparé. Après c’est devenu un vrai calvaire. Pendant 3 ans, j’ai souffert. Et puis un jour, j’ai décidé de m’en aller. Je suis partie. J’ai fugué 7 mois. Puis, ils m’ont relâché. Cela fait à peu près 5 mois que je suis dehors. J’ai été traumatisé par ça. La justice nous dit : ne prenez pas ça comme une punition. Mais en même temps, on peut le prendre pour quoi ? Pour une aide ? Non ! On a juste été séparé. Alors oui, on l’a pris comme une punition. Ma petite sœur y est encore. Mon petit frère aussi. Ils souffrent encore tous les deux. Mon petit frère n’arrive pas à pleurer, à montrer les souffrances. Mais depuis qu’il est là bas, il y arrive. Il pleure tous les soirs. Il appelle ma mère, en pleurant : « Maman, je veux rentrer ». Quand j’entends ça, ça me tue. J’essaye de ne pas montrer à ma famille que je suis mal. J’essaye de faire comme si je ne ressens rien pour mes frères et sœurs. Comme si je m’en fous un peu. Mais tous les soirs, quand je suis seule, c’est là que le manque revient… De plus voir ma petite sœur, de ne pas pouvoir la toucher. De ne pas pouvoir lui dire que je l’aime. C’est juste affreux, ce qu’ils ont fait. Alors je soutiens, toutes ces familles qui ont été séparées aussi. Tous ces cœurs qui ont été brisés. Ces enfants qui sont loin de chez leur mère. Parce qu’un enfant a besoin de sa mère pour grandir, de sa famille… Pas des inconnus comme ça ! Non… Il y a aussi un épisode, où les éducateurs tapent les enfants ! Ca c’est pareil. Je me suis fais tapé par un éducateur, avec des amies à moi. On s’est fait tapé, on l’a dit. On n’a pas été cru. On s’est limite fait insulté par le Directeur du foyer, parce qu’ils nous ont traité de menteuses. Alors que tout ça s’était vrai. Et ma petite sœur, elle rentre avec des bleus, on ne sait pas d’où ça vient, elle dit rien. C’est pour ça que je dis : la justice, elle est pourrie. Depuis ça, elle n’est plus rien. Ca sert à quoi de placer un enfant en foyer ? Un enfant qui en a besoin, il est dehors ! Il ne le place pas, il le laisse crever. Des enfants qui sont bien avec leur parent : ceux-là, ils sont enlevés, ils sont arrachés à leurs parents. Je trouve que c’est juste abusé. Voilà, j’ai fait cette vidéo pour qu’enfin des personnes réagissent… »
« Au moins 50% des enfants placés ne devraient pas l’être » (…).
« Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités !»
C’est donc beaucoup plus que 60 000 enfants qui sont actuellement détenus, de manière illégitime, dans ces centres où ils subissent une souffrance psychologique intense.
Ces tortionnaires se rendent complices de maltraitance à enfant. Ces enfants devraient être immédiatement relâchés et rendus à leur famille (quitte à trouver des solutions alternatives)
On aura compris par l’inaction manifeste que la volonté est toute autre. Malgré l’urgence, il ne sera pas suffisant de demander à un système manifestement sourd et aveugle, de se changer lui-même….
D’où l’importance d’informer car la situation vécue par ces enfants est purement intolérable !
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RHUMANTIK – Enfant de la DDASS*
La mesure d’urgence : un acte criminel
"Dans le fonctionnement des services sociaux, il existe une méthode ô combien destructrice pour l’enfant : la mesure d’urgence. Totalement insupportable pour les parents et souvent irréversible dans l’évolution psychologique d’un enfant.
Les services sociaux mettent en avant la notion de danger et l’intérêt de l’enfant pour justifier cette mesure et permettre l’assistance, laquelle contient en germe le plus grand défaut de l’ASE : l’exclusion.
Le procédé qui consiste, avec ou sans appel à la force publique, à retirer un enfant à la sortie de l’école ou après une réunion ASE – parents sans que cet enfant ne soit préparé, est, disons le tout net, une pratique criminelle qu’on ne peut se permettre que si l’on est sûr d’éviter par là un danger plus grave encore.
Et quel danger est plus grave sinon un risque pour la vie même de l’enfant ou des pratiques pédocriminelles ?
L’enfant sort de l’école, il a un projet ; ce soir il fera ceci ou cela. Peut-être voir son feuilleton préféré, lire ses BD, retrouver son chien … et puis il se retrouve derrière les murs et les barreaux d’un foyer pour l’enfance. Il ne reverra plus ce qui faisait sa vie. Imaginez-vous le traumatisme ? Son équilibre psychologique et affectif sera atteint irrémédiablement.
Je pense ici à la naïve satisfaction du gendarme au procureur : » nous avons agi par surprise en l’absence des parents. Tout s’est bien passé » Insupportable ! Inacceptable.
La conclusion appartient à Jenny Aubry, psychanalyste de l’enfance abandonnée : « aucune rupture définitive n’est acceptable, même à l’âge de l’adolescence lorsqu’elle est imposée par des tiers et que ces motifs ne sont pas compréhensibles pour l’enfant« (Eric Dolla, section CEDIF Alpes Maritimes). (source: ComiteCedif)
(*) A propos des Services Sociaux
FRANCE : Aide Sociale à l’Enfance (ex. DDASS rebaptisé ASE après l‘affaire du Coral)
CANADA (Quebec) : Direction de la Protection de la Jeunesse (DPJ)
SUISSE : Service de Protection de la Jeunesse (SPJ)
BELGIQUE : Aide à la Jeunesse (AJ)
Service d’Aide à la Jeunesse (SAJ)
Conseil d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ)
Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ)
Le monde n’est pas « ou blanc ou noir »
mais souvent les deux
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Il peut y avoir des manipulations mentales de l’enfant « désaffection parentale » (sans parler de « syndrome » – terme inapproprié techniquement puisqu’il exige une exhaustivité de la symptomatologie) et il peut également exister l’utilisation du concept SAP (Aliénation Parentale) comme d’un parapluie (dans le cas d’inceste par exemple).
Cependant, l’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de désaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologiques (cf. ce reportage) où l’enfant est soumis à un lavage de cerveau. D’enfant-otage, isolé de son parent, il devient peu à peu enfant-soldat. Aucun lien avec la pédophilie dans tous ces cas…
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Si demain, les pédophiles se mettent à réclamer des droits et que, par exemple, sous couvert d’un droit à la différence, ils se mettent à vouloir s’abriter à nouveau d’un énième concept pour justifier leur basse besogne :
Devrions-nous considérer alors qu’il faille s’attaquer au concept même du droit à la différence d’une manière généralisée ? Voire de déclarer que tous ceux qui évoquent le droit à la différence (et même si il n’y a aucun lien avec la pédophilie) soient dès lors considérés comme « sectes », « adeptes », etc… ? Ne serait-ce pas là, un petit peu excessif ?
Comme un taureau dans une arène, ne faudrait-il pas songer à s’attaquer directement à celui qui agite un chiffon rouge plutôt qu’à tous les chiffons qu’il puisse agiter ?
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Quant à Gardner, si demain on apprenait qu’Einstein était un escroc devrait-on alors remettre en cause la théorie de la relativité pour autant ?
Et que faisons-nous des oeuvres d’art produites et exposées par des artistes dont on découvrirait des penchants abjectes ? Ou qui seraient politiquement condamnables ? Que feriez-vous par exemple, des cendres de Victor Hugo et de son oeuvre, si vous appreniez qu’il était antisémite ? L’objectivité juge l’objet, la subjectivité, le sujet…
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Par ailleurs, même si la pédophilie au féminin existe, comment considérer également les nombreux cas où c’est la mère qui est rejetée par son enfant ?
« (…) je suis désespérée de ne plus voir mon fils, ma vie s’est brisée le jour ou on me l’a enlevé, j’ai beau faire les choses comme il faut….malgré qu’il ne veuille plus me voir, je lui écris des lettres toutes les semaines, sans jamais de réponse, aucun coup de fil, (…) »
Pour tous ces cas, ne devrions-nous pas plutôt apprendre à discerner la calomnie ?… (sinon d’apprendre à faire la différence entre un enfant-victime et un « enfant-soldat »… )
« Il faut cesser de dire que ce ne que sont les pères qui sont rejetés!
Je suis moi une mère aimante, A 3 ans pour ma fille et 6 ans pour mon fils, mes 2 enfants adorés ont subi l’aliénation parentale par leur père contre moi…. (….) » [la suite ici]
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Doit-on faire le distinguo ?
Faire une association systématique de deux concepts pratiquement disjoints, entre pédophilie et aliénation est une simplification mensongère (mais possiblement de bonne foi quand on ne fait que survoler le sujet).
Il y a en effet énormément de cas (la grande majorité en réalité) où il n’y a absolument aucune accusation de pédophilie même de la part du parent excluant.
Pour exemple : le cas d’un parent qui ne peut plus voir sa fille qui vit à 400 m de chez lui. Même après voir déposé de nombreuses plaintes pour NRE – Non Représentation d’Enfants et sans avoir été même accusé de quoi que soit… Le parent refusant le droit de visite, devant les forces de l’ordre invoque tout simplement sa propre décision arbitraire (!) malgré un jugement octroyant un droit de visite habituel… et tenant fermement la main de sa fille, éructe : « De toute façon, tu ne reverras jamais ta fille ! » – sans rien invoquer d’autres…
Imaginez la tragédie de cette situation pour le parent témoin de cette scène, mais surtout pour l’enfant à ce moment là… Quelle sera la prochaine étape, si on s’obstine à ne vouloir rien faire (le procureur malgré les plaintes, a décidé de ne pas poursuivre). Cette situation pour l’enfant n’est-elle pas scandaleuse ?
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« Comment rendre son enfant fou ! »
« …Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…) » »(…).
« L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer »
Des enfants abandonnés par un système judiciaire incapable de faire face. On parle de 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’enfant-otage voire de l' »enfant-soldat » avec des interjections de haine, aussi paradoxales que : « Tu me frappais quand j’étais dans le ventre de ma mère ! » (les souvenirs sont tenaces)…
Le maintien dans l’ignorance fait que ce problème reste insoluble et s’enracine dans la société depuis des décennies (dénoncé par de nombreux professionnels).
Ceux qui veulent dénoncer la pédophilie, c’est une TRES bonne chose. Mais, si se faisant et par ignorance, ils condamnent des parents au désespoir et des enfants à une souffrance muette, alors c’est parfaitement contre-productif.
Mais si le sujet de la pédophilie intéresse vraiment, je vous invite à visionner notamment ces cas intéressants relevés sur la page suivante…
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Un enfant aliéné dmd des comptes
« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père» (…).
L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…
« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).
L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique
(NB : Les dégrés d’aliénation peuvent être divers : c’est l’intensité, la durée, le contexte, la fragilité de l’enfant, etc… qui pourront accélérer le refoulement de souffrance de l’enfant (liée à la séparation)en pathologie : l’enfant-otage de la situation pourra alors basculer plus ou moins sévèrement en « enfant-soldat », prenant parti du parent aliénant avec toutes les conséquences et la destruction psychologique qui en découlent…
Aliénation : la France responsable de torture et maltraitance psychologique ?
A Brest, un breton voit sa fille pour la 41e fois en larme sans pouvoir l’approcher
La torture en France est-elle devenue une discipline imposée par les Affaires Familiales ?
C’est ce qui semble transparaître des 25 000 dépôts de plaintes par an (2009) dont 4% aboutissent à une condamnation tandis que 34% des enfants du divorce ne verront plus jamais leur père ! (INSEE) Les français pourront-ils croire encore longtemps, que l’on soit capable de construire des viaducs de 200 mètres, des Airbus de 300 tonnes, et des navettes pour mettre des singes sur orbite et pas encore d’être capable de faire respecter l’évidence : le lien parental est un lien sacré !
L’incompétence ne serait pas si alarmante si elle ne semblait pas éternelle comme les ossements d’un mammouth sous 3m de toundra. Le récit de ce père (accompagné des forces de l’ordre), démontre l’ampleur de l’inefficacité de la justice qui n’a visiblement toujours pas intégré qu’il était primordial (dans l’intérêt supérieur de l’enfant) de privilégier celui des deux parents, qui serait le plus à même de faire respecter le droit de l’enfant à voir ses deux parents.
Comme le sage adage convient qu’on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, il faut convenir également qu’une simple réforme n’y pourra rien : il faudra probablement au moins un tsunami, pour espérer désensevelir une institution manifestement accablée par le poids d’un immobilisme écrasant.
En attendant, ce témoignage parlera sans doute aux centaines de milliers d’enfants qui ont pris le chemin de l’Aliénation Parentale et aux parents aliénés. Quel gâchis ! …
« 41 délits consécutifs de non représentation d’enfant caractérisés et aggravés sans condamnation des pouvoirs publics ! Leïla na pas passé son Noël avec son papa pour la 4e année consécutive… En 4 ans, la mère de Leïla a fait entrave à 4 décisions de justice, privé sa fille de son père et du reste de sa famille durant 1480 jours, puis en se moquant ouvertement et à plusieurs reprises aussi bien des magistrats que de la force publique, ignoré la dernière décision de justice, un arrêt de la cour d’appel de rennes en date du 26 Mai 2009 qui n’a donc su être mis à exécution ! Le procureur de la république de Brest « dit » s’être saisi du dossier, depuis plus d’un an… nous attendons une réponse pénale ferme afin que soit respecté la loi, la république, que soit respecté les droits et l’avenir de Leïla mais aussi que soit assuré l’avenir de tous les petits citoyens Français… Avis de la cour de cassation >>> ici Extraits de paroles (consignées) lors de la 5e non représentation : « Nous venons chercher Leïla » « peu t’on avoir Leïla » réponse : « Leïla va bien, elle va très bien ». Sur la question du droit de visite: « Il n’y a pas de droit de visite » et comble de l’ignoble: « mais je peux vous la montrer« . En fin de discussion, notre enfant étant alors présent (malgré mon refus de lui imposer une nouvelle épreuve voulue par sa propre mère)… La mère la retenant fortement par le bras dit : « ta fille, tu ne la reverras jamais »… Puis elle claque violemment la porte. Nous nous devons (moi et ma famille) de repartir avec comme seule image les yeux plein d’éffroi de Leïla lorsqu’elle a entendu les propos de sa maman.» (Yvon Kerlau)
Quelles dispositions pourraient figurer dans une nouvelle Charte des droits de la famille / ou plus concrétement peut-être, dans un nouveau chapitre du Code de la Famille* -> relatif aux unions, séparations ou aux droits des enfants de parents séparés, etc… ?
Une particularité française ? peu ou prou de "Code de la Famille" dans notre pays, pourquoi ?
S’il était envisageable d’imaginer un complément : quel(s) article(s) pourrai(en)t venir compléter cette nouvelle Charte des droits de la Famille ou ce Code de la Famille ?
-> Pourrait-on imaginer de nouvelles dispositions ? si vous avez une/des idée(s) pour compléter cette "nouvelle charte" / ou ce "code de la famille", n’hésitez pas à la placer en commentaire …
Êtat des lieux sur l’ASE : des associations(*) font le point
« La protection de l’enfance telle qu’elle est mise en place concrètement par les Présidents des Conseils Généraux et appliquée par les services de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), a donné lieu dans des cas trop nombreux pour être considérés comme exceptionnels, à des dérapages inacceptables et destructeurs remettant en cause les prérogatives parentales.
De nombreux témoignages à cet égard nous ont permis de réaliser un constat alarmant quant aux pratiques des services de l’ASE et de leurs conséquences sur l’institution familiale et l’avenir des enfants objets de mesures.
Il appartenait donc au Comité Élargi de Défense de l’Individu et des Familles (CEDIF) de confronter les réalités aux principes et d’en tirer des conclusions.
Ces conclusions sont à l’origine de neuf solutions que nous entendons soumettre aux décideurs afin d’obtenir leur soutien nominatif.
Nous voulons ne pas douter du bon accueil que ceux-ci porteront à ces préconisations dans l’intérêt des enfants et afin de remettre la famille à sa place, celle de la première de nos institutions. (…) »
Points abordés :
Constats
Solutions proposées
Placements abusifs
Destins gâchés
Corporatisme
Familles brisées
Institution
Notion de l’intérêt de l’enfant
Présomptions d’innocence
Respect du contradictoire
Revoir la définition des fonctions de l’ASE
Motivation des griefs
Définir la carence éducative
Non intervention de l’ASE dans les conflits parentaux
Que peut-on faire pour agir et aider à enrayer la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s) (voire aliénés ou pire encore) ?
Cela fait plus de 30 ans que c’est ainsi, alors pourquoi donc chercher à trouver de quelconques solutions à ce problème, quand on sait que de toute manière, c’est très probablement inutile ?
En effet :
La situation est alarmante…
Près de 18 000 enfants/an prennent le chemin de l’aliénation parentale dans l’indifférence et une inertie scandaleuse (cf. lien)
50% des enfants retirés à leur famille (sur un total de 135 000) le sont inutilement (!), de l’aveu même de l’inspecteur général des affaires sociales (cf. lien)
Des milliers d’enfants maltraités ou abusés
Et combien jetés dans le réseau de la prostitution voire de l’ignominie sans nom ?… (cf. lien).
Même si le point de non retour semble atteint vis à vis de cette réalité dont on n’ose même plus faire la publicité, il reste à chacun de choisir son camp : celui de ne rien faire ou laisser faire (sinon même d’en être parfaitement complice – même si la plupart du temps, c’est par ignorance ou par manque d’empathie) ou bien d’être de ceux qui tentent modestement d’agir même si c’est inutile et quand bien même ils seraient peu nombreux : pourvu qu’ils soient de ceux-là…
Que dites-vous ?… C’est inutile ?… Je le sais !
Mais on ne se bat pas dans l’espoir du succès !
Non ! Non, c’est bien plus beau lorsque c’est inutile ! — Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac
Car une civilisation qui se comporte ainsi envers ses enfants, abusant de leur incapacité à pouvoir se défendre ou être défendu pour le respect de leurs droits fondamentaux (…), n’ira peut-être pas beaucoup plus loin encore ? …
Face à l’ampleur et la gravité du phénomène, cela est bel et bien devenu l’affaire de tous. Et à chacun désormais, de se saisir du sujet sans plus attendre…
Alors, au moins, si l’on se donne la peine d’avoir fait à son niveau et selon ses moyens, ce que l’on croyait être bon et juste pour tenter d’apporter ne serait-ce qu’une ou plusieurs gouttes d’eau, qui voulaient participer à éteindre cet incendie… Alors peut-être que oui, cela n’aura rien éteint (ou pas grand chose) mais est-ce vraiment cela qui compte ?
Ou bien s’agit-il de s’assurer qu’au moment et pour le cas, où nous devrions tous en payer collectivement l’addition. Si derrière nos pas, le destin nous amène à entendre la cité s’affaisser sous le poids de sa décadence, alors peut-être que l’on n’aura pas agi complètement inutilement : car on pourra au moins se dire dans son for intérieur, que si oui notre action n’aura pas pu empêcher grand chose, elle aura au moins sauvé, ce qu’il y avait peut-être encore à y sauver (?) : son Honneur…
Agir face à l’injustice…
« Face à l’injustice, chacun doit pouvoir agir à sa mesure… »(…).
« Vis à vis des injustices, dans une société qui semble avoir perdu le fil des valeurs, sans attendre une improbable action d’une élite détachée de l’intérêt commun : chacun doit agir à sa mesure et ne pas laisser faire… (…) »
Un cas concret d’Exclusion Parentale (rupture du lien parent-enfant)
Oui, ce n’est pas simple. C’est une double souffrance mais en réalité c’est la souffrance de l’enfant séparé du lien qui est la plus inquiétante, la plus injuste, la plus immorale, et …c’est cela qu’il y a de plus dur.
Que faire vis à vis de ces 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’aliénation, par exemple ?
Il ne sert à rien de convaincre un parent aux réflexes aliénants. C’est un bloc de roche jusqu’au jalon qui lui permettra d’ouvrir les yeux. En attendant, rien ne peut-être fait pour convaincre de son côté : il sera plus facile de déplacer des montagnes… Et bien justement… Comme c’est avant tout un problème de société, une faille du système qui ne semble pas prendre en considération la souffrance des enfants privés de leur lien affectif et parental (puis rentrant progressivement dans une souffrance pathologique), ni à prendre en compte le droit des enfants qui est pourtant explicite (!), ni d’être capable de diagnostiquer la calomnie même quand elle est évidente (car tous azimut). Il va donc falloir déplacer les montagnes et c’est un honneur que de rentrer dans ce combat car il a toute la gloire d’un combat juste, celui de montrer a votre enfant que vous ne l’abandonnerez jamais et que vous vous bâterez, bâterez, encore et encore mais en utilisant tous les moyens nobles et surtout pas ceux détestables auxquels recoure le parent aliénant : il faudra donc se battre à découvert et de manière frontal en utilisant les arguments du droit, de la moral, de l’amour de l’enfant, etc.. .Sans jamais laisser la place aux mauvais sentiments (car ils sont parfaitement improductifs).
Et si un parent se lève, un autre suivra, et encore un autre jusqu’à ce que la société change et dans l’espoir que l’évidence voit enfin le jour… car trop d’enfants ont subi, subissent et subiront encore, surtout si personne ne se lève pour dire STOP !
Face à l’injustice, à l’oppression, il faut relever la tête et sourire : le jour tant attendu est arrivée… Alors de la connaissance, de la compassion pour les souffrances de tous les autres dans le même cas : c’est le moment de s’unir et d’aller rétablir la justice et de mettre fin aux souffrances…
Peu importe l’issu : le plus important c’est de se battre, sans haine mais au contraire avec honneur et détermination jusqu’à l’issu complète ou le dernier souffle …
MESSAGE AU PARENT SEPARE DE SON ENFANT…
Voilà venu le moment de faire son chemin de croix pour en sortir éprouvé et fier d’être resté digne et combattant face à l’adversité (celle induite par l’intense souffrance de votre enfant que vous ressentez par compassion évidente) : transformez votre colère et votre souffrance en quelque chose de lumineux et d’efficace pour les autres et qu’elle serve à tous les enfants (et pas seulement le votre). Et en donnant, vous recevrez (vous verrez).
Commencer par donner une grande part de votre temps libre, et le maximum de moyens pour vous permettre de comprendre et ensuite faire comprendre et diffuser cette problématique complexe (à tous, sauf au parent aliénant qui restera hermétique jusqu’à la résolution : ne cherchez pas à convaincre ce dernier, c’est du temps perdu : attaquez vous d’abord aux montagnes : c’est plus simple ;-). Le but est de faire évoluer les consciences pour qu’elles se rendent compte de la manière dont sont élevés nos enfants en les privant de leur parent : Un mal fondamental, aussi inconnu que massivement répandu. Le parent séparé doit donc agir sans fléchir, jusqu’à la libération effective (de son enfant) et toute sa vie si il le faut… Mais toujours avec des moyens nobles sans jamais chercher à basculer dans un comportement aliénant inversé tel un desperado… mais plutôt avec une franche détermination et beaucoup de piété : vous serez surpris de redécouvrir une forme de bonheur pendant votre combat. Un combat qui vous fera pousser des ailes si vous restez digne et tourné vers les autres. (Chassez votre abattement, votre apitoiement, votre désespérance, votre rancune et pensez à votre enfant et à tous les autres qui comptent sur vous pour agir efficacement et vertueusement..)
MESSAGE A TOUS…
Ne perdez pas votre temps à raisonner le parent aux réflexes aliénants (il n’y a pas plus sourd que quelqu’un qui ne veut pas entendre : Ils vous satisfont de leurs bouches, tandis que leurs coeurs se refusent ; et la plupart d’entre eux sont des pervers.) (*pervers : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux.)
Diffusez l’information…
( ex, via les réseaux sociaux, vos propres réseaux, les lieux médiatisés, etc…)
Faîtes connaître cette problématique sur les forums et tous les autres moyens de communication : emails groupés + ciblés (politique, justice, journaliste, …), Facebook, Twitter, ..courrier postaux, … Par tous moyens utiles (y compris originaux).., diffusez l’adresse du site https://affairesfamiliales.wordpress.com et tous les sites pertinents sur le sujet qui prennent le parti de l’enfant. Cela est utile pour plusieurs raisons :
Faire connaître ce problème, sans quoi ca n’évoluera pas (tout seul)
Permettre à quelqu’un de prendre conscience (de lui même) de l’erreur qu’il fait,
Permettre à un enfant ayant grandi, de comprendre et reprendre contact avec un parent (en souffrance)
Permettre à un parent indûment séparés de trouver du courage pour se battre pour son enfant et les autres
Soutenez la cause de l’enfant (ne vous laissez pas berner par la calomnie tous azimuts qui justifie vouloir isoler l’enfant « au nom de » : les calomniateurs, ce sont eux les véritables pervers ; sinon pourquoi 1000 prétextes et 0 témoins !?) ; non plus les ignorants qui se rendent complices en confondant le principe de précaution avec le principe de protection
Transmettez des attestations en toute occasion pour soutenir l’enfant et son droit : c’est à dire celui de ne pas avoir son lien parental réduit en miette. (Donc sans se soucier du couple conjugal dont personne n’a que faire, l’enfant le premier !).
Soutenez le parent en détresse, en lui faisant connaître l’information utile pour qu’il prenne conscience lui-même du problème dont son enfant est victime (qu’il puisse mettre des mots c’est essentiel !) : attestations formalisées ou simples témoignages de soutien pour la cause de l’enfant au parent séparé de son enfant.
« AUX PARENTS/ ENFANTS DEVENUS ADULTES – Pour RENOUER LE LIEN PARENTAL (après l’Aliénation/Séparation/Manipulation)
.
Renouer le lien parental
« FICHE Pratique : Que faire vis à vis de l’enfant aliéné/manipulé ayant grandi ? »(…).
« Notamment celui DEVENU ADULTE
et avec qui la RELATION est encore difficile(…) »
Un enfant aliéné dmd des comptes
« Un enfant, à qui on a appris à haïr son parent, témoigne… »(…).
« L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr… (…) »
Toujours garder à l’esprit que ce qui est le plus détestable c’est la souffrance de l’enfant privé du lien (Car on ne doit pas faire d’un enfant, un orphelin (de parent vivant) ! Et la pire maison, celle où un orphelin est maltraité.)
(…)
– Assurez vous d’être dans le même secteur géographique que celui de votre ex-compagne/gnon – si ça n’est pas le cas et que vous aillez vous même quitté la zone qui permette l’exercice du rôle parental.
Aux croyants…
(…)
– Cultivez l’Amour pour vous inscrire dans ce combat avec endurance et patience. Le premier ennemi à vaincre est en vous : prenez vos souffrances pour des bénédictions, vos humiliations pour des sanctifications et votre chemin pour une expiation et une renaissance.
Dieu est avec les endurants, les patients, les pardonneurs, les repentants, les sages, les humbles.. et donc avec vous : si vous le souhaitez…
La Calomnie est une violence subtile mais réelle, au service du pervers, pouvant conduire à la séparation du lien enfant-parent et ainsi priver l’enfant de ses droits
CHECKLIST : Comment distinguer la Calomnie, de l’accusation justifiée ?
Si vous n’êtes pas en mesure de qualifier le danger, alors vous ne pouvez pas mettre en oeuvre un plan qui permet de réguler le risque et mesurer l’évolution de la situation.
Mais en réalité, si vous n’êtes pas à même de qualifier avec précision ce risque, vous êtes probablement victime des effets de la calomnie… (mais vous n’êtes pas le premier : il était jadis condamné âprement mais aujourd’hui la calomnie et la médisance gangrènent l’espace de la vie quotidienne jusque sur la scène médiatique… Tant elle est efficace et finalement peu répréhensible – du moins a priori… )
Car dans le doute, ne vaudrait-il pas mieux se poser les questions suivantes ?
A) Est-ce qu’il y a plusieurs prétextes ou accusations pêle-mêles ?
B) Est-ce que les prétextes sont contradictoires ou incohérents entre eux ?
En entassant des imputations contradictoires, la calomnie se découvre elle-même : mais la malignité est aveugle et la passion ne raisonne pas. (JJ Rousseau)(cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)
C) Quel est précisément, le danger immédiat, réel et sérieux qui est invoqué ?
En amalgamant un principe de précaution avec le principe de protection, on concrétise de fait, un principe d’exclusion au préjudice du respect des droits de l’enfant.
PROTECTION <!> PRECAUTION
Pour l’illustrer.. .Si on généraliserait ce principe (la précaution au lieu de la protection) et que l’on considère (par exemple) la maxime populaire qui veut que l’exercice du pouvoir corrompt : dans ce cas une application stricte de ce principe de précaution ne suggérait-elle pas de devoir prendre des dispositions préalables à l’encontre des hommes politiques ; et pourquoi pas même, dès leur candidature ? Ca serait évidemment absurde (?). Et en l’appliquant au pénal, pourquoi ne pas non plus envisager d’appliquer ce principe de précaution et de décider de mettre hors d’état de nuire des personnes qui appartiendraient à des groupes considérés (~) comme étant statistiquement « à risque » (même s’ils n’ont jamais rien commis) ? .. Et ainsi de se hasarder de choisir de condamner un innocent plutôt que de libérer un coupable.
Cela n’ouvre-t-il pas la voie à n’importe quels abus ? Pourquoi se permet-on finalement d’user en matière familiale, d’un principe que l’on s’interdit de manière évidente dans d’autres circonstances. Ne gagnerait-on pas mieux plutôt, à travailler pour améliorer le discernement de la calomnie ? Car au bilan, le principe de précaution ne garantie finalement pas même qu’un « futur coupable » ne puisse pas passer (et parfois mieux qu’un innocent) à travers les mailles d’un filet resserré (s’il reste inadapté) ; ajoutant donc une inefficacité à l’injustice...
Par contre, il garantie assez bien (et on peut le constater…), qu’un parent pervers puisse pleinement compter sur l’instrumentalisation qu’il fait de l’institution pour arriver facilement à isoler l’enfant de son autre parent, à priver l’enfant de ses droits et à le propulser dans la souffrance de la séparation destructrice de la psychologie de l’individu ; sans parler des parents exclus voire aliénés eux-mêmes (non plus des cas de désespérance qui amènent à des tentatives de suicides, d’enlèvements inutiles, de maladies psychosomatiques – non plus des grands-parents, victimes collatérales, etc..etc.. ) .. et c’est donc pour le coup, avec beaucoup plus de certitudes, que l’application simple de ce principe (appliqué à défaut de pouvoir discerner le calomniateur/trice) conduit donc invariablement à une maltraitance psychologique de masse…
D’ailleurs, le paroxysme de cette démarche trouve son comble en Angleterre où « des milliers de femmes [sont] accusées de «future négligence» ou «futur dommage émotionnel» de leur enfant, dès les premiers jours de la grossesse…[!!] » (Le Monde).
D) Combien y’a-til de témoins ? Moins de 4 (ou 3, ou 2) … ?
Un seul témoin ne pourra se dresser contre un homme à propos d’une faute ou d’un péché quelconque, pour un péché quelconque qu’il peut commettre. Ce n’est que sur le dire de deux témoins ou sur le dire de trois témoins que l’affaire tiendra. (…). (La Bible – Deutéronome 19:16-21)(cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)
Pourquoi n’ont-ils pas produit [à l’appui de leurs accusations] quatre témoins? S’ils ne produisent pas de témoins, alors ce sont eux, auprès d’Allah, les menteurs. (Le Coran – La Lumière, s24-13)(cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)
En relisant cette liste, apparaît l’évidence..
Pourquoi, lorsque vous l’avez entendue [cette calomnie], les croyants et les croyantes n’ont-ils pas, en eux-mêmes, conjecturé favorablement, et n’ont-ils pas dit : “C’est une calomnie évidente?” (Le Coran – La Lumière, s24-12)(cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)
La Calomnie est plus horrible que l’assassinat. L’assassin n’en veut qu’à votre vie ; le calomniateur en veut à votre honneur : on peut se défendre contre l’un, on ne le peut contre l’autre. (Hypolite de Livry) (cf. la calomnie, un procédé vieux comme le monde)
Les Calomnies fréquentes dans les cas d’Exclusion Parentale (stéréotypes)
Tableau récapitulatif des principaux thèmes(*) supports des calomnies :
Différence de genre ? On reproche rarement aux femmes d’être pédophiles (/incestueuses), ou d’être responsable de violences conjugales et peu aux hommes d’être « séducteurs »…
(*)Les « tendances » médiatiques influent sur l’ordre des thèmes de prédilection.
» La dénonciation, effectuée par tout moyen et dirigée contre une personne déterminée, d’un fait qui est de nature à entraîner des sanctions judiciaires, administratives ou disciplinaires et que l’on sait totalement ou partiellement inexact, lorsqu’elle est adressée soit à un officier de justice ou de police administrative ou judiciaire, soit à une autorité ayant le pouvoir d’y donner suite ou de saisir l’autorité compétente, soit aux supérieurs hiérarchiques ou à l’employeur de la personne dénoncée, est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende.
La fausseté du fait dénoncé résulte nécessairement de la décision, devenue définitive, d’acquittement, de relaxe ou de non-lieu, déclarant que le fait n’a pas été commis ou que celui-ci n’est pas imputable à la personne dénoncée.
En tout autre cas, le tribunal saisi des poursuites contre le dénonciateur apprécie la pertinence des accusations portées par celui-ci. » (JafLand)
Sauf s'il s'agit de gérer les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant), il faut faire le constat d'une structure d'arbitrage qui n’est actuellement pas adaptée au conflit parental.