Posts Tagged ‘féminisme’


« Le mariage gay n’est qu’une première étape
vers la théorie du genre… »

« Patrice André synthétise la problématique et les enjeux sociétaux autour de la théorie du genre»

« (…) Derrière la volonté du mariage entre personnes de même sexe, il y a la volonté d’abolir toute différence entre les sexes. Ce mariage n’est qu’une première étape. C’est la première pierre de quelque chose qui va aller bien au-delà. Il est question d’imposer à la France, d’imposer à l’Europe, d’imposer sur le plan international, une théorie qui s’appelle le gender. Et qui est une théorie dont le but est de subvertir totalement la société dans laquelle nous vivons

Patrice André

« J’attire votre attention sur le fait que c’est en marche. Et quand je dis que vous vivez un moment historique, je n’exagère rien. (…)»

« Et vous irez en prison dans 20 ans, si vous ne bougez pas, simplement si vous dites qu’un homme c’est différent d’une femme (…)»

Vincent Peillon - ministre de l education 2012-2014


La théorie du genre décrédibilisée en Norvège



Vincent Peillon - ministre de l education national  - et de son fils 2

Théorie du genre - atelier pratique pour tous

Théorie du genre – atelier pratique


« Un changement de paradigme s’opère à travers la prise de conscience que les enfants en sont les principales victimes » (…).

« On manipule les revendications féministes qui sont souvent légitimes pour en réalité les mettre au service de la société marchande et de la société du salariat »

« En favorisant une orientation sexiste, un nombre épidémique d’enfants se sont retrouvés séparés de leur parent pour arriver au chiffre astronomique (INSEE) de 34% d’enfants du divorce qui ne voient plus jamais leur père ! Et une fois la mère isolée et en situation de précarité, l’enfant risque à nouveau de perdre le dernier parent qui lui reste… (cf. services sociaux))»


« Grossesse : bientôt des utérus artificiels ? »(…).

Parfois la réalité tend à rejoindre une partie de la fiction. C’est en tout cas, ce qu’on pourrait être amené à croire, par les témoignages rapportés par ces quelques femmes victimes d’expériences à Chicago sur des utérus artificiels (…)»

A suivre : Le plus grand mouvement sociétal jamais vu en France, pour défendre la famille Statistiques, les vrais chiffres du divorce


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Le Meilleur des Mondes ?

La mère n’existe plus :
machine à incuber les foetus

"Le Meilleur des Mondes"(Brave New World – 1931 d’Aldous Huxley) est un roman de science fiction. Il présente un monde aseptisé, "progressiste", "moderne" où la famille n’existerait plus.

Les individus (H/F) seraient "incubés" dans des utérus artificiels. Il n’y aurait plus de mères, plus de pères, relégués aux reliques de l’histoire "barbare". Les individus seraient génétiquement décomposés en caste (des Alphas, Bêtas, Gamma, Delta et Epsilon)…

incubation de foetus en batterie

La notion d’Amour qui relie les individus ne seraient plus que de la luxure. L’Homme et la Femme ne serait plus que des engrenages du système, que l’on pourrait réformer au besoin, comme n’importe quel matériel présentant une imperfection. Les capsules de "soma" (sorte d’anxiolytique, drogue) serait automatiquement ingéré dès le premier questionnement ou sentiment de mal être.

 


partie 1/5

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partie 2/5

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partie 3/5

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partie 4/5

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partie 5/5

Pour télécharger une version numérique du livre
« Le meilleur des mondes » : lien vers le PDF

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Bienvenue à Gattaca

 

"Bienvenue à Gattaca" (Gattaca, Andrew Nicol, 1997) est une sorte de "thriller eugéniste", qui s’ajoute à la liste des oeuvres inspirés du "Meilleur des Mondes" d’Aldous Huxley, comme également "Un bonheur insoutenable"(This Perfect Day, Ira Levin, 1970).

[Synopsis] "Dans un monde futur, on peut choisir le génotype des enfants. Dans cette société hautement technologique qui pratique l’eugénisme à grande échelle, les gamètes des parents sont triés et sélectionnés afin de concevoir in vitro des enfants ayant le moins de défauts et le plus d’avantages possibles.
Bien que cela soit officiellement interdit, entreprises et employeurs recourent à des tests ADN discrets afin de sélectionner leurs employés ; les personnes conçues de manière naturelle se retrouvent, de fait, reléguées à des tâches subalternes.

Gattaca est un centre d’études et de recherches spatiales pour des gens au patrimoine génétique impeccable. Jérôme, candidat génétiquement idéal, voit sa vie détruite par un accident tandis que Vincent, enfant naturel, donc au capital génétique « imparfait », rêve de partir pour l’espace. Chacun des deux va permettre à l’autre d’obtenir ce qu’il souhaite en déjouant les lois de Gattaca."

A voir en streaming : ex. videocourtesclic.com



 


« Grossesse : bientôt des utérus artificiels ? »(…).

Parfois la réalité tend à rejoindre une partie de la fiction. C’est en tout cas, ce qu’on pourrait être amené à croire, par les témoignages rapportés par ces quelques femmes victimes d’expériences à Chicago sur des utérus artificiels (…)»

 

 

A suivre : Destruction de la famille et inertie politique : quel est le projet ? A suivre : Les articles best Of

 

 


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Gianna Jessen, un ex-bébé avorté, témoigne !

 

« Gianna a subi un avortement salin (en tant que bébé). Les seuls stigmates qu’elle conserve de cet avortement raté est un handicap physique à vie. Par contre, d’un grand coeur et d’une détermination à toute épreuve, elle n’est pas en reste…»

« Le docteur qui aurait pu m’achever n’était pas là, c’est ce qui m’a sauvé ! »
 


Ginnia Jessen about her own abortion, as a baby

 


le cri silencieux ? (LLP, Salim Laibi)

 


Une jeune fille de 12 ans fait le bilan

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/08/03/un-bebe-avorte-se-leve-et-temoigne/

Autre article récent : Etiquetages psychiatriques : les enfants malades imaginaires Article connexe : Grossesse : bientôt des utérus artificiels ?

 

 


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Aliénation : la France responsable de torture et maltraitance psychologique ?

A Brest, un breton voit sa fille pour la 41e fois en larme sans pouvoir l’approcher

La torture en France est-elle devenue une discipline imposée par les Affaires Familiales ?

C’est ce qui semble transparaître des 25 000 dépôts de plaintes par an (2009) dont 4% aboutissent à une condamnation tandis que 34% des enfants du divorce ne verront plus jamais leur père ! (INSEE) Les français pourront-ils croire encore longtemps, que l’on soit capable de construire des viaducs de 200 mètres, des Airbus de 300 tonnes, et des navettes pour mettre des singes sur orbite et pas encore d’être capable de faire respecter l’évidence : le lien parental est un lien sacré !

 

L’incompétence ne serait pas si alarmante si elle ne semblait pas éternelle comme les ossements d’un mammouth sous 3m de toundra. Le récit de ce père (accompagné des forces de l’ordre), démontre l’ampleur de l’inefficacité de la justice qui n’a visiblement toujours pas intégré qu’il était primordial (dans l’intérêt supérieur de l’enfant) de privilégier celui des deux parents, qui serait le plus à même de faire respecter le droit de l’enfant à voir ses deux parents.

Comme le sage adage convient qu’on ne peut pas faire boire un âne qui n’a pas soif, il faut convenir également qu’une simple réforme n’y pourra rien : il faudra probablement au moins un tsunami, pour espérer désensevelir une institution manifestement accablée par le poids d’un immobilisme écrasant.

 

En attendant, ce témoignage parlera sans doute aux centaines de milliers d’enfants qui ont pris le chemin de l’Aliénation Parentale et aux parents aliénés. Quel gâchis ! …

« 41 délits consécutifs de non représentation d’enfant caractérisés et aggravés sans condamnation des pouvoirs publics ! Leïla na pas passé son Noël avec son papa pour la 4e année consécutive… En 4 ans, la mère de Leïla a fait entrave à 4 décisions de justice, privé sa fille de son père et du reste de sa famille durant 1480 jours, puis en se moquant ouvertement et à plusieurs reprises aussi bien des magistrats que de la force publique, ignoré la dernière décision de justice, un arrêt de la cour d’appel de rennes en date du 26 Mai 2009 qui n’a donc su être mis à exécution ! Le procureur de la république de Brest « dit » s’être saisi du dossier, depuis plus d’un an… nous attendons une réponse pénale ferme afin que soit respecté la loi, la république, que soit respecté les droits et l’avenir de Leïla mais aussi que soit assuré l’avenir de tous les petits citoyens Français… Avis de la cour de cassation >>> ici Extraits de paroles (consignées) lors de la 5e non représentation : « Nous venons chercher Leïla » « peu t’on avoir Leïla » réponse : « Leïla va bien, elle va très bien ». Sur la question du droit de visite: « Il n’y a pas de droit de visite » et comble de l’ignoble: « mais je peux vous la montrer« . En fin de discussion, notre enfant étant alors présent (malgré mon refus de lui imposer une nouvelle épreuve voulue par sa propre mère)… La mère la retenant fortement par le bras dit : « ta fille, tu ne la reverras jamais »… Puis elle claque violemment la porte. Nous nous devons (moi et ma famille) de repartir avec comme seule image les yeux plein d’éffroi de Leïla lorsqu’elle a entendu les propos de sa maman.» (Yvon Kerlau)

source : http://kerlau.unblog.fr/

Violence et décadence : En France, en 2012, torturer un enfant en l’empêchant de voir son père est normal !?

 

Site du père : http://kerlau.unblog.fr/ & également sur Twitter #FF @yvon_KERLAU

 

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/07/31/prise-dotage-denfants-separes-la-justice-complice-de-torture-psychologique/

A suivre : Les décisions de justice ne s’appliquent-elles qu’à ceux qui s’y soumettent ? A suivre (article connexe) : 34% des enfants du divorce ont une forte probabilité d’avoir un « père perdu »…

 

 


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« Il y a peu de siècles derrière nous les chirurgiens ouvraient le corps des nouveaux nés sans les endormir, on disait qu’ils ne sentaient rien. Aujourd’hui, psychiquement on coupe les enfants en deux et on écarte les pères, eux non plus ne sentiraient rien. Pour l’instant, est considéré pathologique tout ce qui dans les pères crie et supplie, pleure ou tempête, démontre ou s’avance, se tait ou se suicide.

Car ce père qui fait grand bruit et parle de rapt alors qu’on lui tolère tout de même huit heures par mois auprès de son bébé, celui la qui prouve si haut l’amour de son enfant que c’en devient indécent, cet autre qui veut accompagner son fils dans une éducation chaleureuse, ou ce dernier qui se donne la mort parce qu’il ne peut plus respirer l’odeur de sa petite fille, avoir ses sourires dans sa tête et la serrer tendrement contre lui, ( quelle horreur ! ) tout cela prouve combien on a eu raison de ne pas lui confier son enfant.

Mais patience, encore quelques cent années par devant nous, beaucoup de larmes, d’enfants martyrisés, de pères brisés, et nous verrons peut-être l’Esprit venir aux lois.

L’homme qui devient père dès que l’ovule est fécondé, n’a pour l’instant rien à revendiquer. C’est si peu de chose un peu de sperme, alors que c’est si personnel ce qui se passe dans le ventre de la femme. On ne va tout de même pas comparer. Pourquoi se sentirait-il concerné, humilié, désespéré, voire violé dans son intimité quand la femme ne lui concède pas, ou plus, sa place auprès de son propre enfant. Qu’il la laisse donc se sacrifier en paix pour ce pauvre petit qui n’aura jamais de père. Car mieux vaut pas de père du tout que cet homme qui par l’effet de la séparation va perdre toute prérogative éducative et affective, et qui de surcroît, n’aurait jamais été un bon père comme elle le veut, comme elle l’entend.

Depuis des millénaires, la femme a été considérée comme inférieure à l’homme, la place qui lui était dévolue était près des enfants. La conscience collective a bonne mémoire, que vient-il prétendre celui-la, quelle part ose-t-il exiger qu’il a jusqu’à ce jour si durement méprisée. On ne va pas tout de même pas lui donner l’enfant comme ça, à ce rustre, cet intrus.

Un homme, c’est bien connu, reste d’abord un homme quand il devient père, il ne sait pas comment ça marche la paternité. Alors que la femme elle, elle sait, elle devient tout de suite mère. Elle va donc lui apprendre à lui, à l’homme ce qu’il doit dire ou ne pas dire, faire ou ne pas faire avec la chair de sa chair à elle d’abord, avec son bien, sa proie.

Et bien naïf est celui qui croira qu’il s’agit juste là de la température du bain ou de l’achat des couches-culotte.

Certaines femmes elles aussi ont eu des pères, qui les ont plus ou moins niées, traumatisées, saccagées dans leur sensibilité. Et des mères qui les ont laissé faire et sont complices. La vengeance contre la mémoire du père prend effet quand le compagnon est père à son tour. L’enfant devient l’objet de discorde, puisque c’est quelque chose qui vient encore du Père, d’un père.


loi, jurisprudence et moyens preventifs
Et même si nul enfant n’est tenu d’aimer ses deux parents, et nul parent d’aimer son enfant, qu’il est seulement attendu de respecter son père et sa mère et les droits de l’enfant, un peu comme en psychanalyse où la guérison peut venir en plus, l’amour pour son enfant n’est pas un dû, n’est pas forcément inné ni vécu dès sa naissance. C’est bien pourtant au nom de cet amour induit, codifié, perverti, entériné par la société, qu’on donne aux mères, de façon aberrante, souvent inconséquente et réductrice, cette idée de responsabilité unique sur les toutes premières années de son enfant. C’est au nom de cette perversion, de cette – version du père – dans les médias, qu’on stigmatise, qu’on infantilise l’homme en lui niant le droit à ses propres émotions, sa propre sensibilité, à sa part créative. Son image, son éthique, et au plus authentique de lui-même, son propre enfant intérieur, cette part intime de lui-même qui sait comment parler à son bébé, à son petit garçon ou à sa petite fille, sont anéantis..

Alors ce fœtus qui pour l’heure se trouve coincé entre ces deux là qui s’aiment, comment voulez-vous qu’à sa naissance il s’en souvienne, qu’il garde dans son inconscient cette nostalgie du temps d’avant quand il ne culpabilisait pas encore de les avoir séparés ? Et plus tard pourquoi aurait-il le droit d’en avoir un, de père, puisque sa mère n’en veut pas. Pourquoi en voudrait-elle d’ailleurs, il ne lui sert plus à rien, de toute façon maintenant elle l’a l’enfant du père, celui de son complexe d’Electre. Et le pénis aussi, celui qu’elle a découvert chez le petit garçon, elle l’a eu, bien sûr.

Alors comment voulez-vous qu’une femme cède sur de tels privilèges !

Et les décideurs, pourquoi de leur côté accorderaient-ils la résidence de l’enfant à cet homme, eux qui à chaque refus prouvent qu’ils en ont encore à découdre avec le phallus, avec la loi.

Lors de la fixation de la résidence de l’enfant, est-ce vraiment de son intérêt dont il est parlé, ou plus prosaïquement de l’écho d’un inconscient à un autre ? Piteux règlements de comptes entre professionnels tenus de ne pas se laisser déborder et pères désespérés, entre parents grandis trop vite qui ont occulté le temps où ils étaient eux-mêmes des enfants tiraillés, manipulés.

Pourtant quand un nourrisson ou un enfant est aimé par son père, sa maison est dans le cœur de son père et où qu’il aille, s’il est avec son père il est chez lui. Et il en est de même pour la mère, si cet enfant est aimé de sa mère, sa maison est dans le cœur de sa mère, et où qu’il aille, s’il est avec sa mère il est chez lui. Et si ces deux adultes sont en capacité d’aimer si tendrement leur enfant, ils sont bien évidemment en mesure de se respecter eux-mêmes, de se rencontrer en égalité pour échanger sur ses besoins physiques et psychologiques.

Tout le reste n’est que haine, littérature et business.

Alors comme chante Higelin : – Alertez les bébés.. – dites-leur de ne plus venir dans ce monde où ils seront orphelins de pères sous prétexte que certaines mères n’ont pas réglé leurs conflits avec leurs propres pères, leurs propres mères. Et certains psy aussi.

Dites-leur que c’est très difficile de marcher sur la corde raide de la vie sans avoir l’aplomb des deux côtés, ça fait tomber.

Dites-leur qu’ici bas l’amour c’est moche, qu’il se parle en euros, en délits, en chantage, et que d’avoir des parents c’est la plupart du temps être pris en otage.

Mais surtout, alertez les bébés que des drôles de gens morts du dedans ont écrit des livres sur eux sans leur demander leur avis.

Qu’ils sont tombés d’accord pour dire qu’ils n’avaient pas besoin des bras d’un papa, de sa chaleur et de l’odeur de son corps. Que leur présence quelques heures, quelques jours ou une semaine sur deux n’était pas utile, que ce n’est que l’absence de la maman qui rend un petit enfant malheureux, avec les carences affectives, les syndromes dépressifs et autres manifestations abandonniques. Que c’est pour son bien qu’ils font cela, les psy, les juges, les mamans, parce que d’autres l’ont dit avant eux, et que ça fait vendre, que ça remplit les cabinets d’avocats et ceux des pédo-psychiatres.

Ainsi la légitime présence, l’émerveillement, l’attendrissement d’un père devant son petit enfant, cet amour, cette force qui le pousse à se dépasser, à tout braver pour le défendre, le préserver, tout cela est sans importance, gênant, grossier même, comment un père pourrait-il aimer véritablement son enfant, c’est incongru.

Donc les bébés, pas de papas, ce n’est même pas la peine d’y penser ! D’ailleurs mieux vaut que tout cela soit réglé avant la naissance, pour ce faire quelques uns s’y emploient déjà en dictant leurs lois et en vendant leurs livres noirs.

Attention bébés, danger, ne venez pas !

Pour un enfant, avoir la possibilité d’aller un temps suffisamment long chez l’un puis chez l’autre de ses parents, c’est lui permettre de souffler un peu, de quitter un lieu pas forcément plaisant pour en retrouver un autre où il pourra parler, s’abandonner, être écouté, où il lui sera fait réparation. C’est aussi tirer un trait sur ces poussifs week-end sur deux avec la moitié des vacances reléguant surtout l’homme au statut de père de deuxième zone qui ne peut plus qu’être le papa du dimanche.

Et quand la résidence est accordée, pourquoi encore ce parti-pris, ces suspicions, cette ingérence dans le foyer du père ? Qu’en sait-on de ce qui se passe quotidiennement entre une maman malmenée par ses affects et son enfant, de ce qu’elle lui dit du père, et de ce qu’elle lui fait subir dans sa petite âme ? Est-ce moindre ou pire que ce que l’on redoute qu’il subisse chez son papa.

Pour certains enfants c’est du domaine de la survie que de pouvoir changer d’univers régulièrement et suffisamment longtemps, l’attente est salvatrice. La résidence alternée fait à chaque fois coupure, permet à la parole et au désir d’advenir.

Et puis chez les parents responsables il y a le dialogue, le fait de rester de part et d’autre clair et vigilant dans ses propos, ses actes. Celui de se retrouver régulièrement face à soi, face à l’autre, et à son enfant. L’habitude et la nécessité de se remettre en question.

Ça remue, ça fait réfléchir et tout le monde avance.

Qui y a-t-il de déstructurant à aller et venir chez papa ou maman, sur ses pieds ou dans le couffin, les voyages forment la jeunesse. De quoi voulez-vous qu’il souffre, qu’il ait peur le nourrisson? Il est à chaque fois attendu par son parent qui l’aime, son papa ou sa maman qui se sont arrangés ensemble pour lui consacrer beaucoup plus de temps qu’il n’en aurait eu dans le foyer classique. Les voyages forment le jeunesse, au pire plus tard il deviendra voyageur de commerce, aventurier, explorateur, il se sentira libre, enthousiaste, curieux de l’autre et de tout. Sans jugement, sans a priori.

 

Mais c’est sûr que de ne pas être projectif demande de favoriser l’intelligence plus que la bêtise.

Nicole DUBREUIL, Psychanalyste, « Pathologie du lien et Résidence Alternée »

psychologue clinicienne

source : jafland.info

 

 

 

« Le père est l’appui affectif où va se heurter l’enfant pour ensuite s’intégrer au monde. Homme et femme étant complémentaires dans la procréation, à parts égales, l’un ne peut rien sans l’autre. Leur place est égale et différente mais toute aussi importante dans la mise au monde affective et sociale de l’enfant.

Cet enfant va grandir en les prenant comme modèles. Inconsciemment il va déjà dès le début du langage prendre les mêmes intonations de voix que le parent de son sexe.

Chaque parent a une double fonction : fonction de repère corporel pour l’enfant de même sexe que lui et fonction de lieu du désir pour l’enfant de sexe opposé. Ce repère corporel dans le parent du même sexe servira de base à l’établissement de l’identité sexuelle qui à son tour, si elle est bien fondée, permettra à l’enfant d’éprouver du désir pour le parent de sexe opposé »

Guy Corneau, Psychanalyste

( complexe d’électre, complexe d’oedipe –
in « Père manquant, fils manqué » )

source : jafland.info

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/11/le-deni-paternel-symptome-dune-civilisation-a-la-derive/

 

Services sociaux   A suivre > « Sans pères et sans repères » : 32% des enfants divorcés ne voit jamais leur père

 

 

 

 


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Le féminisme, est-ce bien l’émancipation pour toutes ?

« En fait il faut bien distinguer le féminisme de la féminité. Le féminisme, c’est un mouvement politique un peu sur le modèle du marxisme qui prétend que l’histoire c’est la lutte des classes ; là, il prétend que l’histoire c’est la lutte des sexes. Et qu’en fait le but de l’histoire, c’est de libérer les femmes de l’oppression qu’elles subissent de la part des hommes. Donc c’est une vision du monde, que j’appelle moi, un communautarisme victimaire. Effectivement, il y a un petit côté mono déterminisme, c’est à dire : "les femmes sont aliénés par les hommes et il faut qu’elles se libèrent de l’oppression masculine." (C’est la première définition sérieuse du féminisme…)

On manipule les revendications féministes qui sont souvent légitimes : la libération des femmes, pour en réalité les mettre au service de la société marchande et de la société du salariat, ce qui est la même chose : pour acheter, il faut un salaire. En fait, on s’est servi des revendications féminines d’émancipation pour mettre les femmes au travail salarié. Pour en faire des travailleuses salariées et des consommatrices. Ca été en deux temps.(…) (Alain Soral, Sociologue)

 

 

D’ailleurs, ca a commencé aux Etats-Unis. Ca s’appelle la théorie de "la nouvelle femme" qui consiste à sortir la femme du foyer qui est un rôle non-marchand, on va dire sans pouvoir d’achat direct. Et de la culpabiliser et en même temps, de lui faire prendre conscience, forcer sa conscience pour qu’elle pense qu’être femme au foyer, mère de famille, épouse, c’est une aliénation, une souffrance. Et finalement de la faire passer de la sphère d’influence de son mari, à la sphère d’influence du patron : ce qui est assez ambigüe… Puisque l’on se rend compte à l’arrivée que la femme se retrouve, grâce au combat féministe, avec une double aliénation qui est de subir à la fois le mari et le patron. C’est ce qu’on appelle "la double journée" : être à la fois, mère au foyer et en même temps, travailleuse salariée. Et que ca a souvent, surtout dans les classes populaires, aggravé sa situation au quotidien, que ca l’a amélioré.

 

Ce qui amène d’ailleurs, à un autre constat : le féminisme ne transcende pas les rapports de classe. Parce qu’en réalité, l’intérêt de l’émancipation féministe a surtout été l’intérêt des bourgeoises, c’est à dire des femmes de la bourgeoisie, et elles l’ont rarement identifié comme tel. En réalité, les 3/4 des combattantes féministes sont des bourgeoises. Et effectivement, essayent de s’émanciper de leur rôle de femme au foyer, ou de femme entretenue, de mère de famille pour aller vers la société civile qui est pour elle un plus parce que ca consiste à avoir des métiers intéressants (avocate, chercheuse, libraire, etc…). Alors que chez les femmes des classes populaires, c’est non seulement s’occuper de la maison, des enfants et du ménage et en plus se retrouver ouvrière à la chaîne, …

Et ce qui est assez intéressant, c’est que du côté des classes populaires, l’émancipation des femmes passe plutôt par échapper à l’impératif de production du salariat pour pouvoir à la limite devenir femme entretenue, femme au foyer : ce qui est un luxe et une aspiration pour les femmes des couches populaires. Alors que dans la bourgeoisie, c’est échapper à l’ennui de la maîtresse de maison de la bourgeoisie pour accéder à une vie sociale plus intéressante, dans des métiers intéressants… Il y a une opposition en terme de classe entre ce à quoi aspire la bourgeoise, en terme d’émancipation et ce à quoi aspire une femme des couches populaires. Et le féminisme a rarement identifié cette contradiction. Et il est assez facile de voir que la plupart des leaders féministes sont en générale, des femmes de la bourgeoisie. (…) (Alain Soral, Sociologue)

 

 

 


#humour – Les Monty Pythons : la revendication masculine à avoir des bébés

 


#humour : dérision autour d’autres « revendications » (plus pragmatiques)

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/21/le-feminisme-aurait-on-menti-aux-femmes-pendant-50-ans/

 

 


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Le Meilleur des Mondes (Aldous Huxley, 1931) (Brave New World) est un roman du XXe siècle qui dresse l’image d’un monde "parfait", dans le mauvais sens du terme : des hommes et des femmes épurées de leur humanité et sans âme. C’est bien évidemment un roman de science fiction. Une des dimensions du film aborde le sujet de naissances programmées dans des utérus artificiels pour constituer une population en 5 castes (Alphas, Betas, Gamma, Delta, Epsilon).

Parfois la réalité tend à rejoindre une partie de la fiction. C’est en tout cas, ce qu’on pourrait être amené à croire, par les témoignages rapportés par ces quelques femmes victimes d’expériences à Chicago sur des utérus artificiels…

 

 


« Destruction de la famille : est-ce vraiment le "meilleur des mondes" ? »(…).

"Le Meilleur des Mondes"(Brave New World – 1931 d’Aldous Huxley) est un roman de science fiction. Il présente un monde aseptisé, "progressiste", "moderne" où la famille n’existerait plus (…)»

 

 

A suivre : Destruction de la famille et inertie politique : quel est le projet ? A suivre : Les articles best Of

 

 


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Les Burkinabés victimes de violence conjugale ?

 


Un article de LeFaso.net ("VIOLENCES FAITES AUX HOMMES : Il faut briser le tabou")

« Je causais avec Guemsyaaba. Je lui disais ceci : « Tu sais, il y a un homme qui gémissait hier nuit dans une cour sous le mur de laquelle je dormais. Contrairement à ce que tu peux penser, c’est sa femme qui le bastonnait. » « Safouroulahi ! Ce n’est pas un garçon, celui-là ! Il fait la honte des hommes ! Ce sont les hommes qui battent les femmes. Pas le contraire ! » Je poussai un soupir. Guemsyaaba pensait comme la plupart des Burkinabè et même des Africains. C’est inconcevable pour eux qu’un homme soit battu par sa femme. Et les hommes le savent et pour ne pas être la risée de leurs camarades, ils se taisent et ne disent rien. Oui, des hommes, et il y en a beaucoup, qui sont victimes de violences conjugales de la part de leur moitié.

Et je l’ai fait savoir à Guemsyaaba. Ils sont copieusement battus et passent leur temps à expliquer leurs sparadraps et leurs yeux au beurre noir par des accidents inexistants, des poteaux et des murs drôlement aveugles et j’en passe. Mais il n’y a pas que la violence physique. Il y a celle morale, plus pernicieuse et blessante. « Imagine, dis-je à Guemsyaaba, une femme qui passe son temps à traiter son mari d’incapable, à l’injurier et à l’humilier en public parce que, par exemple, son « en bas » ne répond pas. Et il y a pire. Ces femmes qui, à force d’insister, de chanter dans l’oreille de leur mari qu’elles ne ressemblent pas à la femme d’un DG ou d’un ministre, finissent par envoyer le pauvre (s’il succombe) à détourner des sous. »

J’ai oublié de lui parler de ces filles issues de familles riches qui épousent des hommes pauvres et qui finissent par les étouffer avec leur richesse et leur arrogance. « Bon, pour le gars qui s’est fait bastonner, tu dis qu’il est petit non ? Coupa Guemsyaaba. Il ne pouvait pas prendre une femme aussi petite que lui ? C’est bien fait pour lui s’il est allé manger une mangue que son estomac ne peut pas digérer ! » Sur ce point, j’ai concédé à mon partenaire de causerie qu’effectivement, de nos jours, le mariage ne se fait plus comme avant. A notre époque, la fille proposée en mariage faisait l’objet d’une véritable enquête de moralité et les familles s’impliquaient dans le mariage de telle sorte que quand il y a un problème, ce sont les familles qui le réglaient.

Mais à l’heure de l’individualisme à outrance, il ne faut pas s’étonner de ce qui arrive. Et ce qui arrive, c’est que ces hommes victimes de violences se taisent, endurent dans leur coin et même s’il existe une association de défense de leurs droits et que le ministère des Droits humains se préoccupe de leur sort, ils préfèrent se morfondre dans la solitude. Et cela, par pur orgueil et compte tenu du contexte social. « Un contexte que tu as résumé, cher Guemsyaaba, par ton exclamation au début de notre discussion. Elle traduit la chape de plomb, le tabou imposé sur cette question. Pourtant, il est temps qu’il soit brisé, ce tabou. Une femme qui violente son mari gâche son foyer. L’éducation des enfants va en prendre un sérieux coup. Le foyer perd le nord et les enfants le sud. Le résultat est le même quand l’homme fuit la cour ou, pire, déménage totalement ou devient un coureur de jupons s’il ne finit pas par devenir un disciple de Bacchus. »

Alors, je dis à Guemsyaaba ce que je pensais : que les femmes mariées qui violentent leur mari, d’une manière ou d’une autre, sachent qu’elles ont des sœurs qui en cherchent vainement. Je demande aussi aux Burkinabè de briser ce tabou et de ne plus considérer les hommes violentés comme des ratés ou des veules. Cela permettrait peut-être à l’Association des hommes battus par leurs femmes d’être prise plus au sérieux et de défendre au mieux les intérêts de ces hommes et rendre plus visible la problématique des hommes victimes de violences au même titre que les femmes. Guemsyaaba a-t-il été convaincu ? Je n’en sais rien. Ce que je sais, c’est que Guemsyaaba et moi, c’est le même esprit dans le même corps. La folie a souvent sa logique que la logique ignore. (Le Fou) »

 

source : Lefaso.net

 

Que les Burkinabés se rassurent :

En France et au Canada, les hommes battus c’est aussi fréquent que pour les femmes (et un tabou également) …

 

270 000 hommes victimes de violences conjugales en France (l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales, 2010)

5,4% des hommes subiraient de la violence physique au Canada (Direction de la santé publique Canadienne, 2000)

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/08/debat-de-societe-au-burkina-faso-sur-les-violences-faites-aux-hommes/

 


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Les hommes peuvent-ils allaiter ?

«Il existe en Afrique centrale une population de 20 000 pygmées dont les représentants mâles ont été baptisés "les meilleurs papas du monde" : les pères passent énormément de temps auprès des nouveaux-nés (plus que dans n’importe quelle autre société au monde) et certains arrivent même à se provoquer un processus de lactation. En clair : ils sont capables d’allaiter les bébés.

Anomalie génétique ? Pas vraiment. Les mâles de l’espèce humaine possèdent le même dispositif nourricier que les femmes : des tétines, des glandes mammaires et une hypophyse. Dans son ouvrage The Descent of Man, Darwin s’était beaucoup intéressé à cette particularité. Comment expliquer que les hommes possèdent deux mamelons et tout le dispositif afférent mais que ces organes restent "muets", non-fonctionnels ? Darwin pensait qu’à une époque lointaine, chez les mammifères, les deux sexes allaitaient leur progéniture mais que les mâles avaient progressivement délégué ce rôle à la femelle et que leur système nourricier avait fini par devenir inactif.

Aucun indice (sur les fossiles) ne permettant de corroborer cette hypothèse, les biologistes l’ont longtemps tenue pour une divagation. Certains, comme l’ornithologue Douglas Long (interrogé par la journaliste Susan MacCarthy), affirment doctement : « Sur les milliers d’espèces mammifères, aucune d’entre elles n’est capable d’allaiter. C’est très intrigant, mais il faut se rendre à l’évidence. » Des tétons, on se contentait donc d’affirmer qu’il s’agissait d’un résidu de cette étape du développement embryologique correspondant à la phase hermaphrodite du foetus (1). C’était tout.

Et puis voilà qu’en juillet et en août 1992, « dans la forêt pluviale de la Krau Game Reserve, à Kuala Lompat en Malaisie, le zoologiste canadien Charles Francis et ses collègues font une découverte unique et, au plus haut point, déconcertante », raconte Stéphane Deligeorges, journaliste à La Recherche. Ils attrapent une vingtaine de chauve-souris frugivores de Dyak, appelées également dyacoptères (Dyacopterus spadiceus) et découvrent avec effarement que les mâles matures présentent des mamelles fonctionnelles : elles délivrent du lait quand on les presse. De quatre à six microlitres. « Minimes, certes, en comparaison de celles fournies par les chauves-souris femelles, soit quelques 350 microlitres », mais tout de même bien suffisant pour faire attendre le petit quand sa maman s’absente… Lorsque cette découverte est publiée, de nombreux chercheurs s’interrogent : si les tissus mammaires des mammifères mâles sont similaires à ceux des femelles, qu’est-ce qui les empêche de fonctionner ? Tout semble tenir à quelques hormones.

Chez les femmes, c’est la prolactine (produite notamment lorsqu’elle accouche) qui met en route la laiterie. Mais chez les hommes, la dopamine inhibe presque systématiquement la production de prolactine et empêche le circuit nourricier de fonctionner. Pour que la lactation des mâles puisse survenir, il suffirait de modifier chez eux le taux de dopamine. Il arrive d’ailleurs que certains désordres ou traitements hormonaux aient cet effet : dans son article, Stéphane Deligeorges cite deux cas de lactogenèse mâle observé chez des hommes âgés de 62 et 64 ans qui, au cours de leur chimiothérapie, se seraient mis à produire des quantités de lait « importantes et prolongées ». Ces cas ne sont pas isolés.

Sur le site Momlogic, un article intitulé "The men who breastfeed"(13/08/2009) relate plusieurs cas de pères ayant allaité leur progéniture. Le plus célèbre, rapporté par l’Agence France Presse, est celui du Sri Lankais B. Wijeratne. En 2002, il perd sa femme qui meurt en couche, laissant au monde une petite fille de 18 mois et un nouveau-né orphelin. Les deux enfants refusent de boire du lait de vache. « Elles le rejetaient chaque fois que je les nourrissais avec une bouteille, raconte Wijeratne.Alors, incapable de supporter leurs cris, je leur ai offert ma poitrine et je me suis aperçu que je pouvais les nourrir. » David Livingstone, voyageur et explorateur, avait relaté une histoire très similaire dans ses mémoires (2) : vers 1858, en Ecosse, l’épouse d’un homme ayant été mise à mort, elle avait laissé au monde un petit garçon qu’il semblait impossible à sevrer… L’enfant mourait de faim. Dans son désespoir extrême, l’homme mit son fils à la poitrine et constata avec stupeur que sa poitrine produisait du lait.

A la même époque, le naturaliste allemand Alexander Freiherr von Humboldt affirmait avoir vu de ses propres yeux, en Amérique du sud, un père de 32 ans nourrir son enfant au téton pendant la maladie de sa femme. En 1896 dans le livre Anomalies and Curiosities of Medicine, George Gould et Walter Pyle affirment qu’à Baltimore, un Américain de 55 ans était devenu la nourrice de sa maîtresse… Le cas des pygmées Aka n’est donc pas totalement isolé. Pour le Docteur Suzanne Gilberg-Lenz, qui consacre au phénomène un article sur Momlogic, « Il est en effet possible que sous l’effet d’un choc un homme se mette spontanément à produire du lait, mais c’est rare, très très très rare. Nous avons tous, de façon instinctive, la capacité de produire du lait pour sauver la vie de bébés. Mais en dehors de ces cas extrêmes, il faut avoir pris des médicaments qui augmentent le taux de prolactine pour que cela ait lieu. Ou bien il faut souffrir d’une tumeur affectant la sécrétion de certaines hormones pituitaires… J’ai entendu parler de mères adoptives qui procédaient à des pompages de sein réguliers, plusieurs fois par jour, afin de déclencher en elles le processus de lactation, donc je suppose qu’un homme pourrait également y parvenir, mais même en stimulant sa poitrine pendant plusieurs mois, il ne parviendrait guère à produire que quelque gouttes… Pas de quoi contenter un bébé. » Sigbritt Werner, professeure d’endocrinologie à l’Institut Karolinska de Stockholm confirme : « Les femmes baignent dans un bain »d’oestrogène pendant neuf mois avant d’allaiter. Ça prend du temps de mettre en marche le processus. Les hommes peuvent bien essayer mais au final ils n’obtiendront guère que quelques gouttes. Est-ce que ça vaut le coup ? Je ne crois pas ». (…)

 

source : Liberation via lplm (les papas = les mamans)

 

NB : A défaut de pouvoir allaiter, les hommes pourront se consoler en lisant cet extrait d’expertise psychiatrique et se conforter qu’ils ont pleinement leur place dans la relation avec l’enfant, et ce, dès le plus jeune age :

"Autrefois, on prenait la relation à deux (dyade) entre la mère et son enfant comme prioritaire; aujourd’hui, les résultats de la recherche prénatale et néonatologique nous apprennent que l’enfant est, depuis sa conception, un dans une relation à trois (triade).

C’est à partir de la deuxième et notamment à partir de la troisième et quatrième année que l’enfant suit le rythme naturel et commence à se développer en s’éloignant de sa mère, en se détachant d’elle et, pour ce faire, il a besoin de son père pour réussir son individuation, sa séparation et son autonomie.

Lorsque celui-ci manque, pour quelques raisons que ce soit, l’enfant reste souvent littéralement lié à sa mère avec tous les impacts sur le développement de sa personnalité. Les complexes de symbiose non résolus (relations fusionnelles à la mère) jouent un rôle important pour de nombreuses maladies de l’âge adulte telles que les névroses d’angoisse, les dépendances, les troubles de conduites du comportement alimentaire et les maladies psychosomatiques"

(EXPERTS – CHRONIQUE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE – N° 67 – pp. 24-30 – juin 2005, Jean-Marc DELFIEU, Expert Cour d’Appel Nîmes) [Citations d’expertise psychiatriques]

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/07/une-bonne-nouvelle-pour-le-feminisme-les-hommes-aussi-peuvent-allaiter/

 

A suivre : Les articles les plus populaires A suivre : Un bébé avorté se lève et témoigne

 

 


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Les débats politiques passionnent-ils les francais ?

 



un dialogue de sourd entre responsables politiques et la jeunesse ?

Pourtant, ca n’est pas faute à Madame Morano d’évoquer ici, une question de société qui a son importance… Peut-être alors, faudrait-il envisager d’aborder la question sous un angle neuf ? Par exemple en évoquant une réalité de terrain constatée qui révèle aujourd’hui que les hommes, et pas seulement les femmes, sont victimes eux aussi, de ces violences conjugales(*)… Outre le fait de présenter la chose selon une approche nouvelle sinon plus exacte, cela aurait au moins le mérite d’espérer relancer une thématique abordée uniquement (et bien trop longtemps), sous un seul de ses deux angles. Et peut-être alors (qui sait ?), espérer ainsi susciter, parmi ces quelques jeunes semblants déjà blasés, un éventuel émoi , arraché à la faveur d’un de ces débats dont ils n’auraient pas cure, outre-mesure ?…

 

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/27/les-jeunes-sinteressent-ils-au-debat-sur-les-violences-conjugales/

 

Services sociaux   (*) A suivre : 280 000 hommes victimes de violence conjugale, en France : pourquoi un black out ?

 



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« Pédophilie féminine »…

Lorsqu’on prononce, en les associant, ces deux mots, notre interlocuteur nous regarde d’abord avec incrédulité puis, dans un deuxième temps, demande : « ça existe vraiment ?! » La pédocriminalité a récemment conquis l’espace médiatique, mais ce crime est encore tabou quand il est commis par une femme.

 

Pedocriminalite"Notre société refuse l’idée que la sexualité féminine puisse être violente, dominatrice et qu’elle puisse être active. Dans sa vision toute masculine, la femme est une icône : celle qui donne la vie, protège son enfant et l’élève dans la douceur. Elle est l’épouse, la compagne ou la maîtresse aimante.

Dans l’horreur, la violence sexuelle, elle ne peut être l’égale de l’homme, sous prétexte de faire exploser l’ordre sociétal. L’idée qu’une femme puisse abuser d’un enfant est l’ultime forme de discrimination. Occulter cette transgression sexuelle, c’est contester, peut-être inconsciemment mais, par définition, toute sexualité féminine. Les femmes pédophiles reproduisent, en tout point, le schéma de leurs homologues masculins. En grande majorité, elles se cachent dans le milieu familial ou le cercle des proches.

S’il y a peu de prédatrice, c’est que souvent leur métier leur donne accès à l’enfant. Les agressions sexuelles commises sur des mineurs sont considérées comme les crimes les plus horribles, mais lorsque l’acte est perpétré par une femme, par une mère, on touche à l’impensable, à l’irreprésentable, à l’indicible." (Réalisation : Jean-Pierre Igoux – http://www.francetvod.fr/site-vod/pedophilie-au-feminin-le-tabou/)

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/22/tabou-la-pedophilie-au-feminin-ca-existe/

 

Services sociaux   Asuivre : 280 000 hommes victimes de violence conjugale, en France : pourquoi un black out ?

 

 


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Une fois n’est pas coutume, l’occasion suite aux découvertes de l’historienne Marion Sigaut sur l’affaire des Poissons, de faire un peu d’histoire…

 

En mai 1750, une rumeur persistante faisant état d’enlèvements d’enfants mis Paris en émoi. Les gens disaient que des agents de police déguisés s’emparaient d’enfants et d’adolescents et les envoyaient à l’Hôpital général. Des émeutes graves éclatèrent, des commissariats furent incendiés et des gardes tués. La répression de cette « Marche rouge » fut sévère et se solda par des condamnations à mort. Mais qu’était donc cet Hôpital général de sinistre réputation ?

Fondé en 1656 par Louis XIV, il était destiné d’abord à résoudre le problème de la mendicité par le « renfermement » des mendiants. Mais très vite cet établissement laïque géré par le parlement de Paris fut également utilisé pour enfermer d’autres catégories de population : les prostituées, les ivrognes et bientôt les enfants abandonnés, ou confiés à l’institution par des parents sans ressources, puis ceux qui traînaient dans les rues ou simplement y jouaient…

 


Vidéo 30min interview sur ce thème avec Marion Sigaut

 


Pedocriminalite

Les enfants disparaissaient par milliers. Ces gens là avaient la main mise sur des enfants qui rentraient dans l’hôpital général, et qui disparaissaient… (…) Sur ceux qui rentrent des centaines et des centaines disparaissent littéralement. Il y a vraisemblablement des affaires de mœurs à l’Hôpital général : L’hôpital général était au cœur d’un gigantesque trafic d’enfant…

"Pourquoi, brusquement on se met à enlever [service de police] des enfants dans la rue ?"
Cela coïncide exactement au moment où l’hôpital général se met en grève suite à l’arrivée de l’archevêque de Paris nommé pour y faire un contrôle." Ca a duré, jusqu’à ce qu’il y ait un enlèvement de trop. Un policier est pris en chasse par un parent et sa famille et l’affaire éclate…


Ces enlèvements ont conduit le peuple de Paris à se révolter sous la forme d’une guerre civile "la marche rouge" (par équivalence avec la "marche blanche" belge relative à l’affaire Dutroux) mais extrêmement sanglante…

Les domestiques ont pris les armes et ont fait la chasse à l’enleveur d’enfants. Il y a eu de très grosses émeutes sur Paris.

Il y a eu un procès (abominablement truqué). Condamnation des enleveurs d’enfants à 3 livres d’amende ! (Marion Sigaut)



 

Avant le XIXe siècle, On ne différencie pas les catégories de problèmes [délinquance, situation sociale, handicap] et d’enfants. La prime enfance est marquée par les faits suivants, les bébés illégitimes où des femmes les plus pauvres et isolées sont abandonnés au tour. La mortalité infantile est très grande. Les enfants même des familles bourgeoises ou nobles sont souvent élevés et allaités par des nourrices soit au sein de la famille (pour les plus riches) soit à la campagne. Voir L’enfant et la vie familiale sous l’Ancien Régime Philippe Ariès Pour les enfants abandonnés plus âgés, ils relèvent au XXVIIIe siècle de l’Hôpital Général notamment, l’hôpital des incurables à Bicêtre à la fois infirmerie, orphelinat, et prison.

Après cette période, l’enfant est éduqué en famille pour la plus grande majorité des enfants, il y apprend le métier de son père avant de devenir compagnon à son adolescence. L’éducation dans les collèges religieux est réservée à l’aristocratie ou la grande bourgeoisie. 200 Établissements scolaires jésuites existaient avant leur interdiction en 1763. L’éducation y était régie par le Ratio Studiorum ( plan des études ). Les obligations des élèves y étaient très détaillées y compris celles pour dormir la nuit. Le châtiment corporel y était pratiqué fréquemment. Le redressement des corps humains procédait au redressement moral, chacun devenant son propre censeur, tout au long de sa vie, une fois qu’il y avait été corrigé par la règle éducative.(Michel Foucault Surveiller et punir).

L’enfermement est de la compétence du parlement de Paris qui gère l’Hôpital Général et des lettres de cachets qui sont produites par le lieutenant de police à Paris. L’hôpital n’est pas un lieu de soin mais une prison et un hospice. Le terme infirmerie provient du mot latin firmus qui à la même étymologie que le mot fermer: Firmus: ferme au moral et au physique → ( verbe )Firmare ; rendre ferme, solide, en ancien français Enfermerie → Infirmerie[4] Le code pénal de 1791 envisage le mineur comme un auteur de violences potentiel qu’il faut dissuader par des menaces de sanctions exemplaires[5].

source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_du_travail_social_en_France

 


Hopital Général « Les enfants sous tutelle sous l’Ancien Régime : des secrets bien gardés » (avril 2013)

 


[pour aller plus loin.. ] 2h00 conférence au sujet des "Lumières" XVIIIe. (juin 2012)

 


Conférence de Marion Sigaut – L’affaire Damiens : une affaire de mœurs ? (Réseau pédocriminel élitiste au 18° siècle)

 

Du même auteur (Marion Sigaut)..

 

I. L’achèvement de la centralisation

 

X – Le nouveau jansénisme

 

II L’humanisme

 

XI – La guerre des juges contre l’Eglise

 

III – L’anti-humanisme

 

XII – Le supplice de Damiens, ou le triomphe des barbares

 

IV – Le jansénisme au Grand siècle

 

XIII – L’humanisme des Lumières revisité : Voltaire

 

V – La chasse aux sorcières

 

XIV – L’humanisme des Lumières revisité : l’Encyclopédie

 

VI – La justice du roi : les Grands jours d’Auvergne

 

XV – Turgot ou l’avènement du libéralisme : la fin de l’Ancien Régime

 

VIII – Le satanisme au cœur de l’Etat : l’affaire des poisons.

 

XVI – Turgot ou l’avènement du libéralisme : la fin de l’Ancien Régime

 

IX – Le tournant de la régence

   

 

Pour aller plus loin…

 


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Vers une société d’aliénés ?

Compte tenu de ces statistiques, on peut considérer qu’il s’agisse d’un problème sanitaire majeur avec des répercussions sociales à long terme. L’exclusion parentale conduit à une déstructuration psychologique de l’enfant avec des répercussions à long terme, pour l’enfant mais aussi pour la société…

.

.


Les vrais chiffres du divorce et de la séparation en France

(INED, INSEE, Ministère de l’Intérieur, …)

La famille française (ou ce qu’il en reste)

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  • 155 253 divorces (2006) dont 70.000 divorces impliquant des enfants mineurs (3 X plus de divortialité qu’en 1970)
  • 20% de familles monoparentale (2008) contre 12.5% (1990) – femme dans 85% des cas (cf. tableauInsee)
  • Les époux sont condamnés aux torts dans les 4 / 5 des divorces pour faute (contre 1/5 pour les épouses qui sont demanderesses du divorce dans 3 cas sur 4)

INSEE, soure « divorce « en forte augmentation »

  • 34 % de ces enfants ne voient plus jamais leur père et seulement 42% d’enfants le voit au moins 1 fois par mois !?
    (Rapport num 2832 Assemblée Nationale – "Mission d’information sur la famille et les droits de l’enfant" – p 212 – 25/01/2006 )

  • Selon l’Ined, seules 15% de familles monoparentales sont constituées par le père.
  • Au total, 1,3 million de pères seraient privés de leur enfant.

.INED, source

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  • 25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans) [+ d’infos sur les N.R.E ici]
  • qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales)
  • Une situation qui tend à s’aggraver : "27 000 plaintes (2011) pour «non-représentation» et 150 000 mains courantes par an ! " (Ined via marianne.net)

.MINISTERE DE L’INTERIEUR, source : Ministère de l’Intérieur, 2010 via ACALPA

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Autres statistiques

    • 2,24 millions d’enfants avec des parents divorcés soit 16 % des français âgés de moins de 18 ans.- 140 000 divorces et environ 350 000 séparations.

(cf. article « Enfants sans pères et sans repères »)

    • 270 000 hommes victimes (déclarées) de violences conjugales en France, 2010 (violences conjugales, les non-dits)

ONDRP Observatoire National de la Délinquance , 2011
(cf. articles « Hommes battus ca existe ?« )

    • 18 000 enfants victimes d’Aliénation Parentale (maltraitance psychologique) (6% à 13% des divorces)

(cf. article « Ces enfants que le divorce rend fou« )

 

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La famille disloquée

Séparations : quel effet sur la structure familiale ?

« Plus l’enfant majeur de l’union rompue a cessé de vivre tôt avec ses parents, moins il les voit" (Résumé Insee 2005 enquête Erfiversion imprimable)

"Les ouvriers et employés séparés ont des relations moins fréquentes avec leurs enfants majeurs que les pères de milieux plus aisés. Ainsi, 46 % des enfants majeurs dont le père est ouvrier ou employé non qualifié ne le voient jamais, contre 13 % pour les enfants de cadres. Quand le couple parental est rompu, les enfants majeurs vivent plus loin de leurs parents. Bien que la distance pénalise tous les pères, les ouvriers et employés ont plus de mal à surmonter cet obstacle. Par ailleurs, la moitié des enfants majeurs d’une union rompue ont cessé de vivre sous le même toit que leur père avant leurs dix-huit ans ; les relations sont alors plus distendues. " (Résumé Insee 2005 enquête Erfiversion imprimable)

Une situation qui s’aggrave avec le temps écoulé depuis la séparation, l’éloignement géographique, la situation socio-professionelle du parent et d’autant si l’enfant était jeune au moment de la séparation.

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La famille monoparentale

Un model "dégénérationnel" ?

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Les familles monoparentales en constante augmentation . 12,4% en 1990 et 20,9% en 2009 (femmes avec enfants dans 85% des cas)


La famille monocellulaire

Des individus de plus en plus isolés…

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La taille des familles réduite à peau de chagrin… (Des individus de plus en plus isolés dans un contexte économique défavorable et où a contrario la famille aurait pu représenter, le premier niveau de solidarité naturelle. Plutôt qu’à les laisser seuls directement sous la coupe d’un Etat qui ne cesse de se désengager (coupures budgétaires, retraites, sécurité, emploi, etc.. )

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Que dire de ces chiffres ?

L’inaction pour enrayer cette situation ?

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Ces statistiques font froid dans le dos. L’absence manifeste d’une prise de conscience des autorités politiques face à ce problème sanitaire et l’inertie dans laquelle la société s’est plongée au cours des dernières décennies, témoigne soit d’une incompétence éloquente, soit d’un grave problème de remontée de l’information, ou alors d’une volonté (consciente ou non) de déstructuration de la cellule famiale et par voie de conséquence de la société toute entière puisqu’elle en est le pillier…
[cf. article « Les souffrances familiales face à l’inertie politique « ]

Cette dislocation prenant sa source dès la séparation du couple avec enfant(s), il faut donc s’attaquer à la racine du mal et favoriser le maintien du lien (ou à défaut ne plus encourager sa rupture).

Il faut donc mettre en place un cadre qui encourage la proximité du couple parental. Se soucier de l’intérêt de l’enfant, c’est prendre en compte cette réalité et agir ! Définir « une zone parentale pour le couple parental  » paraîtrait une solution judicieuse (à défaut d’espérer voir les couples se maintenir en union, le temps nécessaire à l’éducation). Les parents seraient alors toujours libre de s’éloigner, mais comme ils mettent ainsi à mal le droit de l’enfant de "maintenir ses liens avec ses deux parents" : ils ne seraient plus encouragés à le faire. Celui des deux parents responsable de cet éloignement devra garantir le maintien du lien et assumer les contraintes liées à la nouvelle situation qu’il aura lui même imposé (frais de transport, redéfinition du mode de garde,…)


Quelles perspectives pour les parents exclus ?

Quels moyens d’action restent-ils
aux parents indûment séparés de leur(s) enfant(s) ?

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« pères perdus »

Le documentaire (ci-avant) permet d’apprécier la détresse dans laquelle se retrouve plongée certains parents séparés de leur enfant, …

 

nicolas_moreno_pere_1_jour_pere_toujours
…avant qu’ils n’en soient réduits à "monter sur des grues…"

"Comment se fait-il que vous soyez obligés d’en venir à de telles extrémités ?

"Je ne sais pas. Cela fait trois mois que nous bataillons (…). C’est une honte qu’on soit obligé de monter sur des grues pour être entendus ! On se met à genoux et on ne nous entend pas. Mais que faut-il faire ?" (Interview de Nicolas Moreno – source 17/02/2013)

En vérité, nous assistons à la montée d’une nouvelle forme d’exclusion, qui vise les pères, et atteint, bien évidemment les enfants" (Marianne – 19/02/13)

"Divorce : pensez-vous que les pères sont discriminés pour la garde de leurs enfants ?" sur 35479 votants : 89.59% oui / 10.41% non (Sondage Le Figaro 18/02/13)

 


Des pères transforment leur souffrance individuelle en combat collectif…

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Quelles perspectives pour les enfants amputés du lien ?

Les enfants,
les sempiternelles victimes de la décadence familiale…

La méconnaissance de la souffrance de l’enfant séparé est le premier mur à faire tomber.
Le suivant est de faire enfin respecter la loi et en particulier l’application concrète des droits de l’enfant à être en contact avec ses deux parents. La situation est urgente. (Mais cela fait 30 ans que ca devrait l’être !) C’est maintenant aux citoyens de prendre également leurs responsabilités en s’intéressant au débat pour que cela évolue rapidement et efficacement …

« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père»(…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…

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Services sociaux A suivre : Nouveau regard sur le féminisme A suivre : Des hommes victimes de violence conjugale, ca existe ?


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Un homme se lève contre le "mauvais" féminisme

 34% des enfants du divorce ne voient plus jamais leur père (INSEE) : 30 ans d’oppression et de souffrance : les enfants ont subis et subissent encore mais maintenant… ils en ont marre !

-> Réponse d’un homme au fanatisme qui prône le féminisme (ou même le masculinisme) en matière familiale … et contre la discrimination sexiste qui conduit à la violation des droits élémentaires des enfants qui ne sont pas capables de les faire respecter eux même…
 

Les Mamans ici, les Papas par là… et les enfants dans tout ca ?

Est-ce qu’ils ont encore leur mot à dire dans cette guerre de tranchée ? Il faut partir du postulat (sauf démonstration contraire mais au cas par cas) que la mère comme le père sont des parents aimants : l’un comme l’autre ! .. Intrigante perception, n’est-ce pas ?
 
Pour donc les autres cas particuliers, il faut juger les actes sans chercher à en faire des généralités, prétexte au déversement d’une haine ségrégationniste… Car nul doute que ceux qui cherchent le loup, sauront y voir la queue et sans doute stigmatiser à toute occasion, le mâle qu’ils pensent y déceler.

Cette approche en fonction du sexe, est une approche sexiste ! (-> de même des considérations raciales et discriminantes constituent-elles une approche raciste ? etc..). Faire des généralités caricaturales et discriminatoires est injuste.

Mais au contraire, il faudrait considérer à juste titre qu’il y a des bons et des mauvais Papas tout comme il y a des bonnes et de mauvaises mamans.

 

Quelle est la conséquence pour les enfants ?

Parmi ces enfants, il y a des garçons et il y a des filles. Ces filles en particulier seront des femmes plus tard ! Ces femmes n’avaient-elles pas le droit de profiter de leurs deux parents ? Qui/quoi pour s’ériger au nom des femmes et priver ces femmes-ci de leur droit ? L’ont-elles sollicité ? Ceux qui prônent le féminisme auraient-ils souhaités qu’on les prive de leur propre père ? Pourquoi ?

Le féminisme en matière familiale révèle en réalité un concept discriminatoire "anti-hommes". Le sexisme, comme le racisme ou l’antisémitisme,… (ou tous ces -ismes quand ils conduisent – de fait – à opprimer), n’ont aucune cohérence quand il s’habille faussement et sournoisement d’une façade en carton, de principes égalitaires…

Cela fait trop longtemps que cette oppression s’exerce. Elle est d’autant plus intolérable et abjecte quand elle entraîne la souffrance silencieuse de milliers d’enfants ; qui souffrent d’autant de nous voir ignorants, sinon indifférents. Maintenant, il faut que ca cesse…

 

Les féministes sont-ils tous des sexistes haineux
ou se trompent-ils de voie ?

En matière familiale on ne peut nier que si "oppression en fonction du sexe" il y a, alors plaise à certain de s’en servir pour non pas se justifier d’un féminisme mais dans ce cas-ci, de son pendant : le masculinisme… Mieux : pourquoi enfin ne pas cesser de balancer d’un côté ou de l’autre sans jamais atteindre l’équilibre ? Pourquoi, au contraire ne pas viser plus juste et prôner alors un égalitarisme ?

Sinon de considérer la réalité d’une véritable misandrie qui coule dans les veines du féminisme et donc une haine contre l’homme ? …mais en réalité, probablement et plus simplement, une haine tout court…
 

Définition : La misandrie est un sentiment sexiste d’aversion pour les hommes en général, ou une doctrine professant l’infériorité des hommes par rapport aux femmes. Elle peut être ressentie ou professée par des personnes des deux sexes.

 
Un choix « égalitariste » oui … mais non fanatique (radical, hystérique,…) ! Un choix légitime si l’objectif et l’action vise sincèrement la fin d’une oppression. Mais rien n’enlèvera au fait que l’homme et la femme ont bel et bien des différences qui vont au-delà même du caractère extérieur ou non de leur appareil génital. Et c’est tant mieux : car c’est bien pour leurs différences qu’ils s’aiment (et non pas qu’ils devraient se haïr… )

Il y a finalement un point commun entre un féministe haineux ou un masculiniste haineux : la haine. Et c’est justement cela qui les différencie profondément avec ceux avec qui, ils se retrouvent par ailleurs associés (s’agissant d’un homme ou d’une femme sincère qui se bat contre la haine, plutôt que mue par elle…). Cette différence est de taille car se battre pour des causes nobles mais porté dans un esprit qui tire son énergie d’une haine vengeresse ou d’une perversion plutôt que de chercher à apaiser les souffrances : change tout de l’esprit qui incarne ce combat. Tout comme la fin ne justifie pas les moyens, c’est bien plus encore la question de l’énergie utilisée (l’Amour ou la haine) qui fait toute la différence… Car, si c’est la haine qui motive nos passions et nos combats : à qui croit-on rendre gloire en agissant ainsi ? Toute une vie suffirait-elle pour apporter la lumière sur cette simple évidence ?

 
Et à chacun de veiller à se débarrasser de la haine qui brûle dans son coeur, avant de finir par en être totalement consumé… (Seuls s’y complaisent les gens du feu…)

 

Hommes et Femmes sont-ils si … égaux ?

Les hommes et les femmes sont différents. C’est pour cela que même le féminisme le plus exacerbé n’empêcherait pas qu’il se trouve parmi les plus fanatiques d’entres elles, quelques unes encore béates, ne serait-ce que devant le simple postérieur du mâle… Et pareillement, qu’y-a-t-il pour l’homme de plus merveilleux encore qu’une femme ? (sinon son sourire  😉 …

 

Quelle est la plus grande urgence en matière familiale actuellement ?

Cela fait plus de 30 ans que la maltraitance psychologique des enfants séparés se perpétue dans l’indifférence générale.

Il est grand temps maintenant de se lever pour ce qui apparaît comme une urgence de taille et par tout moyen d’amener à faire cesser enfin, la souffrance des enfants séparés de leur(s) parent(s).

Et dans ce combat comme pour tout combat contre la haine et ses pendants que sont l’ignorance et la lâcheté (…) tous les hommes et toutes les femmes de bonne volonté sont les bienvenus !

Voici donc, nos « armes » (celles de la connaissance) et quelques idées d’actions à votre entière disposition …

Bon combat !

MERCI DE DIFFUSER…


source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/01/17/reponse-dun-homme-au-feminisme-lache/

 

Services sociaux   Asuivre : 280 000 hommes victimes de violence conjugale, en France : pourquoi un black out ?

 

 


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