Posts Tagged ‘DDASS’


Merci Daniel de SOS PARENTS ABUSÉS de nous avoir parlé de cette chanson avec un clip tout à fait saisissant.

La DDASS s’appelle désormais l’ASE, mais les adultes d’aujourd’hui qui ont pu subir un placement en foyer dans leur enfance étaient bien ce que l’on appelle des enfants de la DDASS.

Pour le reste une exégèse n’est pas utile, il suffit d’écouter la chanson, elle raconte l’histoire d’un enfant placé suite à une dénonciation malveillante, à un rapport social bidonné. L’enfant a un avocat qui ne le défend pas et les parents sont empêchés de voir leur fils qui pense avoir été abandonné.

Arrivés à l’âge adulte les enfants de la DDASS demandent des comptes, nous sommes aussi là pour qu’ils en obtiennent.

Voir l’article original

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Témoignage d’une mère victime de loups déguisés en agneaux…

 

Une mère fait appel aux services sociaux pour l’aider : Une erreur ? En tout cas, les conséquences ne manquent pas de faire "beaucoup de dégâts" pour sa fille notamment (aujourd’hui traumatisée par plusieurs années d’arrachement).

Les services sociaux sont dans le déni de la souffrance des enfants arrachés aux parents. Les dégâts sont colossaux, mais le système parfaitement autiste. L’Inspecteur Général des Services Sociaux reconnait lui même l’ampleur du gâchis humain quand il annonce que "50% des enfants retirés à leur parents, le sont sans nécessité (!)"

C’est un véritable scandale, et ca dure… immuable…. Donc, les parents doivent être très vigilants et sensibilisés sur ces risques : en attendant, que les autorités veuillent bien amorcer "le changement" et se saisissent des problématiques qui n’ont pas l’air de vouloir se régler … (5 ans après, l’Inspecteur Général des Affaires Sociaux faisait ce même constat : rien n’avait été fait)

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Services sociauxA voir également : Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales … qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas mettre en place des solutions alternatives au retrait (assistance, suivi, thérapie, etc…). Et toujours cette même constatation : Une confusion gravissime entre Principe de précaution et Principe de protection…

PROTECTION <!> PRECAUTION
(à répéter 10 fois avant de franchir la porte et rentrer chez une famille.)

 

Quant aux Affaires Familiales et les exclusions parentales "classiques", on continue également de mener une politique de l’autruche ! Pourtant, les professionnels considèrent comme un secret de polichinelle, les problématiques de Non Représentations d’Enfants (NRE) et les Eloignements Géographiques Volontaires (EGV), etc..

Malgré cela : toujours aucune initiative mobilisée pour régler en urgence ces problématiques d’Exclusion. Cela ne nécessiterait pourtant, que très peu d’énergie comparée à celle démesurée mise en balance, pour permettre l’adoption homoparentale Qu’est-ce qu’on attend donc, encore, pour réagir efficacement (et rapidement) pour régler une bonne fois pour toute, ces absurdités et ces vies gâchées ?

 


Voici donc les quelques conseils de Nathalie Courcier, une mère victime, avant de se décider à décrocher le téléphone …

"Attention à Ne pas confondre éducateur et psychologue. Elles savent très bien y faire, pour se rendre sympathique (…) Et elles se sont servies de mes confidences, et les ont amplifiées. Cela nous a porté préjudice"

"Je voudrais que ces erreurs au niveau des enfants soient plus médiatisées (…) parce que ca fait énormément de dégâts dans une vie, dans la famille et ca aurait pu aller plus loin…"

"Je voudrais donner un conseil à toutes les mamans assez fragiles. Surtout mettre en lien votre psychologue avec l’éducateur, si vous êtes suivi : votre psychologue, psychiatre est la seule personne qui peut savoir si vous êtes dangereux ou pas. Pas l’éducateur (…)" (Nathalie Courcier)
 


« Ils m’ont reprochés d’avoir une relation trop fusionnelle » (…)


https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/12/02/recourir-aux-services-sociaux-equivaut-il-a-appeler-un-pyromane-en-cas-dincendie/

 


« La situation de l’Exclusion Parentale est à ce point catastrophique qu’elle donne l’impression d’être traité par la « politique de l’autruche ? »(…).

Seulement on ne doit pas abandonner des milliers et des milliers d’enfants à la souffrance muette sans rien faire d’autre que se voiler la face. Il est grand temps d’agir

 


 

A suivre : Souffrance de l’enfant séparé de ses parents Les services sociaux, lui retirent son enfant : "Ils m’ont reproché d’avoir pris 20kg pendant ma grossesse"

 

 


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Natacha n’a plus pour seul espoir qu’on lui rende son enfant.

« Je me demande pourquoi on s’acharne comme ça sur moi ?»

Témoignage émouvant de Natacha, Maman handicapée, maltraitée, violée dans son enfance et qui maintenant continue une vie pénible alors que le calvaire aurait pu s’arrêter là. On vient de lui retirer ce qui lui était le plus cher : son enfant. »

Services sociaux

Elle a visiblement eu le tort de s’adresser à l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) pour une demande d’aide ponctuelle. L’approche a été avenante de la part du personnel social. Néanmoins, elle en est ressortie avec un signalement. Natacha évoque parmi les raisons : des draps pas propres et pas de barrière de sécurité pour le lit de l’enfant,…

Par contre, force est de constater par ce simple témoignage, que Natacha a de l’Amour à revendre et est demandeuse du lien. Elle ne souhaite pas abandonner son enfant. Même handicapée, elle a pu enfanter et mettre au monde un enfant. Elle l’aime tout naturellement.

Il faut espérer que cela ne soit pas le fait d’être handicapée qui serait cause d’un traitement de défaveur (chose que l’on n’envisagerait pas même pour un animal de zoo) ? Non plus que notre société accorde plus d’importance a un apriori pour un drap ou une « barrière de sécurité » sans tenir compte de l’Amour d’un parent. Serait-il possible de croire que le confort matériel soit vraiment plus important pour entourer un enfant qu’un Amour maternel et dévoué ?

Non plus de se demander si Natacha aurait une habilité suffisante pour prodiguer une éducation digne du point de vue d’une société au bord de la banqueroute mais encore donneuse de leçon ? Car alors, de quelle éducation parlerait-on ? De celle que l’on a déléguée à l’école (maintenant dès la crèche) sinon à celle prodiguée par la télévision ou maintenant Internet ? Ou bien sinon, qu’est-ce qu’un autre parent saurait apporter à son enfant, que Natacha ne saurait pas ? Compter ? Réciter l’alphabet ? Lire une histoire ? Le calcul matriciel ou stochastique et les mathématiques financières afin que l’enfant puisse faire valoir ses diplômes auprès de son agence pour l’emploi de rattachement ?

Car s’il ne s’était agi que d’Amour, Natacha n’est-elle peut-être pas là au contraire, une « surdouée ? Car sinon, comment continuer à se battre sans baisser les bras, malgré les difficultés, son handicap, les stigmates de ses souffrances de l’enfance ? Sinon quoi d’autres pour moteur que celui de vouloir être en mesure de donner à son enfant son Amour parental et légitime ?

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+ A voir également Pierre Naves (alors Inspecteur Général des Affaires Sociales) reconnaissait que 50% des placements (soit 68 000 enfants!) pouvait être évité… Quand on connait le coût de placement (sans  compter les dégâts humains et la souffrance des enfants séparés), on peut légitiment se poser des questions sur ces pratiques de substitution de la légitimité parentale au profit d’organisme comme l’ASE (anciennement appelé DDASS avant 1983, c’est à dire avant l’affaire du Coral).

A suivre (article connexe) : Priver abusivement un enfant d’un de ses parents est une maltraitance psychologique A suivre (article connexe) : La Souffrance de l’Enfant Séparé


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Affaire d’Etat : Le plus grand scandale politique de la décennie, définitivement étouffé ?

Instruction 2383/13/15 – Information contre X – Viol en réunion (sur mineur)

« La plainte pour viol en réunion contre Lang, Hollande était recevable en avril 2012, puis reçue. Une instruction a été ouverte. Un juge (Jean-Louis Jouve) a été saisi de l’affaire, instruite au TGI de Paris, depuis le 23 mars 2013. Le père de la victime censuré depuis.

Emmanuel Verdin est le père de Laureen, une enfant décédée à l’age de 4 ans, d’une MST contractée lors des viols en réunion.

(Ill. de droite à gauche : Jack Lang , François Hollande , Pierre Moscovici )

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Scoop.it – Justice : Droits des enfants & Affaires Familiales
plainte_contre_lang_hollande_num_12-244_TGI_Paris

« Viol en réunion : La plainte contre Lang et Hollande est recevable » [enreg. num. 12/244, TGI Paris] Source : « M. Verdin, le père de Laureen, une enfant décédée d’une MST contractée lors des viols en réunion dont elle a été victime, a déposé une plainte contre Lang, Hollande (…). Celle-ci vient d’être jugée recevable, donc un juge d’instruction devrait (…) instruire. M. Verdin l’a annoncé hier sur la page de son groupe Facebook, la plainte qu’il a déposée (…) est donc retenue par la Justice, ce qui ne manque pas d’étonner. (…) » (Dondevamos)

Pour rappel, DDH 48, Article 11 : « Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées (…)« 

+ voir également : dispositions – Bulletin Officiel Ministère de la Justice n°82 – sur « la présomption d’Innocence et les droits des victimes »relatif à la procédure de dépôt de plainte / 2.1.1.al.3 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Ces déclarations, destinées à permettre l’identification des auteurs des faits, pourront être recueillies ultérieurement par le service qui sera chargé de l’enquête. » / 2.1.2.al.1 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Il convient, ainsi que cela est généralement d’ores et déjà pratiqué, qu’à la demande de la victime lui soit remis un récépissé de dépôt de plainte. »)

Pedocriminalite« (…) Pour résumer l’affaire, Verdin n’a jamais connu sa fille. Elle est née après que sa compagne et mère de l’enfant l’ait quitté, fin 1996. Laureen naît le 31 janvier 1997. Cette année-là, L’ex de Verdin se retrouve dans un foyer pour femmes enceintes: le foyer d’Ariane à La Roche sur Yon. Un foyer qui a défrayé la chronique il y a quelques années.

Etrangement, selon le quotidien Le Parisien du 12/05/2005, le directeur de ce foyer était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur des pensionnaires et des salariées. (…). Le directeur en question, (…) a été condamné à 13 ans de prison pour « deux viols, quatre agressions sexuelles et deux harcèlements », et à 15 ans en appel. (…)

Verdin finit par apprendre que si Laureen a bien été placée, c’était pour des soupçons de pédophilie. Il apprend encore par un témoin, voisin et autre ex de la mère de Laureen, (…) que des partouzes ont bien eu lieu, dont Laureen a été victime.

Verdin lance alors, (…) une procédure pour les viols en réunion, procédure qui s’est perdue, lui explique-t-on en juillet 2011.(…) » (Dondevamos)



Vidéo (2011) témoignage du père de la victime, Emmanuel Verdin
( lien alternatif sur rutube )

(cf également . conférence de presse Emmanuel Verdin 1er septembre 2012)

23/06/2011 : dépôt de plainte, numéro: p11-174-0987


Plainte numéro: p11-174-0987 – Section P4 – TGI de Paris – 23/06/2011 (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)
Acte de Naissance de Laureen Marchet (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)

02/11/2011 : « Maître Jean Chevais accepte officiellement d’assurer la défense d’Emmanuel Verdin« . (Pedopolis)


08/11/2011 : « Audition de E. Verdin: « Emmanuel Verdin a été entendu ce jour pendant + de 4 heures à la gendarmerie de Bourg-sur-Gironde et son récit a été pris au sérieux par les gendarmes. L’interrogatoire a eu lieu dans le cadre d’une enquête préliminaire ordonnée par le procureur de Libourne suite à une plainte d’Emmanuel déposée dans sa région un peu avant sa plainte contre JL. L’interrogatoire a porté essentiellement sur les « viols en réunion » qui se sont produits pendant la soirée anniversaire où la petite Laureen a été abusée par plusieurs adultes. Bien sûr, le volet JL a été évoqué également, mais celui-ci sera surtout exploré par la deuxième plainte, déposée à Paris, à propos de laquelle on attend toujours des nouvelles. Maître Jean Chevais a été informé de ces avancées. » (Pedopolis)


03/01/2012 : Audition «(…) M. Emmanuel VERDIN, père de la victime, [aurait] été auditionné le 3 janvier 2012 à la Gendarmerie de Bourg-sur-Gironde pendant 4h. Il a ainsi impliqué François HOLLANDE et Pierre MOSCOVICI pour non dénonciation de crimes et a porté plainte contre tous les protagonistes de l’affaire. Une information judiciaire [aurait] ainsi été ordonnée par le Procureur de la République de Libourne (Gironde) concernant les services de police et de justice (…) [relatif à] de faux témoignages et de dissimulation de preuves (…). Enfin, le Procureur Général de la Cour d’Appel de Poitiers ainsi que la Chancellerie [auraient été] saisi de l’affaire » (Olivier Berni, blogs.MediaPart [article censuré (?)] / lien alternatif )


23/01/2012 : « Déssaisissement du TGI des Sables d’Olonne au profit de Paris » (source – ci-contre)


03/07/2012 Emmanuel Verdin appelle à venir le soutenir : « Suite a la plainte de jack lang envers le [site wikistrike] je suis convoque devant un juge d instruction pour diffamation le 13 juillet a 11h 45 au TGI de paris là je vais pouvoir apporter les preuves de mes dires alors pour ceux qui veulent me soutenir ce jour la je vous donne rendez vous devant le palais de justice… » (Emmanuel Verdin depuis Facebook – source Pedopolis)


13/07/2012 Mise en examen de Wikistrike (Ghisham Doyle, Directeur de la rédaction) et Emmanuel Verdin (source Pedopolis) [ instruction 407/12/21?]


01/09/2012 Conférence de presse d’Emmanuel Verdin (chronologie / 1998 à 2011) cf [video]


12/10/2012 Communiqué de Dondevamos : « Affaire Verdin: les poursuites vont démarrer »
« (…) Aujourd’hui, trois plaintes, avec constitution de partie civile, sont en cours:

  • – plainte pour viol en réunion : contre la mère de la petite, trois de ses compagnons, et deux hommes politiques bien connus (…)
  • – plainte pour administration d’un virus entraînant la mort: contre un homme politique.
  • – plainte pour avoir sciemment laissé mourir Loreen: contre les deux parents de Verdin, contre les deux parents de la mère de Loreen, et contre la mère de LoreenVerdin a payé la caution liée à sa plainte avec constitution de partie civile. Dès aujourd’hui, il n’a plus le droit de s’exprimer publiquement sur cette affaire.

Le juge a décidé qu’il y avait de quoi poursuivre, puisqu’il n’a pas déclaré que la plainte était irrecevable. D’ici un mois, des juges d’instruction seront nommés. Plus d’infos sur l’affaire  » (source: Dondevamos)


03/10/2012 Maître Gilbert Collard aurait accepté de prendre le dossier du plaignant (source : Dondevamos)


17/10/2012 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Ayant de gros problèmes personnels dut a l affaire entre guillemets on veut me mettre plus bat que terre je suis oblige d arrêter de communiquer par internet car je vais bientôt me retrouver une nouvelle fois a la rue faute de moyens financier suffisants alors l affaire continue sont cours mais pour l instant sans moi merci de vos soutien et j espère a bientôt sur les roseaux« 


19/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Enfin une bonne nouvelle un juge d instruction de paris viens d etre saisi de l affaire et il est en charge d instruire mon affaire et j espere bientot [des] mises en examen »« Un juge d instruction parisien est saisi de l’affaire depuis mars 2013. Son rôle est d’enqueter sur l’affaire et de poursuivre les personnes citees dans le dossier« 

22/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « un juge d instuction parisien ouvre l enquete pour viol en reunion sur mineur de moins de 15 ans contre [JL, FH, et PM]« 


07/09/2013 Interview d’Emmanuel Verdin postée sur Dailymotion : « Le doyen des Juges d’Instruction a saisi un Juge d’Instruction (…) l’affaire lui a été transmise le 23 mars 2013 » (2:15) – « Instruction ouverte par le parquet de Paris contre JL et PM pour viol en réunion sur mineur de moins de 15 ans » (1:20) – « et indirectement FH pour non dénonciation » (0:30)


24/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Nommé « Vice-président chargé de l’instruction » au
Tribunal de grande instance de Paris : M. Jean-Louis JOUVE, vice-procureur de la République près le tribunal de grande instance de Bobigny. ( Décret du 9 juillet 2010 JORF n°0160 du 13 juillet 2010)

Procédure criminelle 2383 13/15
Procédure criminelle contre X, Instruction 2383/13/15 – 27/03/2014 – ordonnance de commission d’expert

 


29/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet
Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


15/10/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


19/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


26/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


11/04/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin - convocation 15 avril


06/09/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin

Vidéo dans laquelle Emmanuel Verdin déclare à 0:54 « (…) En effet, je suis depuis un petit moment déjà, en possession d’une vidéo, durant 1 min.46, et qui date donc du 30 septembre 2000 à 23h45, où on y voit sur cette vidéo, sur un canapé de salon, Monsieur Jack L*, nu, assis, et une petite fille, et avec son sexe dans la bouche. Et on y voit aussi M. François H*, à côté de lui, en caleçon, et jouant avec le sexe donc de cette petite fille. La scène a été filmée par Dominique M(*), la mère de Laureen et mon ex-compagne. C’est une scène qui a été filmée sur une péniche* amarrée à Paris, pas très loin de la Tour Eiffel. Cette vidéo va être transmise au Juge d’Instruction lors d’audiences qui sont prévus dans les mois prochains (…) » (E.Verdin)


17/09/2014 Convocation d’Emmanuel Verdin pour le 06/10/14 par M. Jean-Louis Jouve, Juge en charge de l’instruction

Procédure criminelle 2383 13/15
Instruction 2383/13/15 – 06/10/2014 – convocation de la partie civile (1 an et demi après le début de l’instruction)

 


03/11/2014 Compte Facebook d’Emmanuel Verdin inaccessible

facebook emmanuel verdin


25/02/2015 Vidéo d’Emmanuel Verdin le 25/02/15 posté sur Youtube, dans laquelle il déclare :

« Bonjour, Je m’appelle Emmanuel Verdin.
Ma fille Laureen âgée de 4 ans a été violée en réunion en 2001 par sa propre mère, ses différents compagnons, ainsi que des hommes politiques connus.
En mars 2012, j’ai fait une plainte avec constitution de partie civile pour des faits de viols en réunion sur mineur de moins de quinze ans. Suite à cette plainte, un juge d’instruction parisien [Jean-Louis Jouve] a été nommé pour instruire cette affaire [Instruction 2383/13/15 – Parquet 1208323023], le 23 mars 2013.Suite à cette instruction, j’ai été convoqué le 06 octobre 2014 pour une audition de partie civile dans le bureau du juge d’instruction parisien Monsieur Jean-Louis Jouve. Il m’a confirmé que en juin 2001, il y avait bien eu une procédure faite par les autorités de la Roche-sur-Yon sur ma fille Laureen pour des faits de viols en réunion commis sur elle par sa propre mère, ses différents compagnons ainsi que des hommes politiques connus.

De mon côté, dans le bureau du juge, j’ai de nouveau cité comme auteurs des faits de viols en réunion sur Laureen Marchet, sa mère Dominique Marchet, ses compagnons ~Stéphane Carvalho* [orthographe incertaine], ~Hubert Jeannot* [orthographe incertaine], et ~Didier Charpentier* [orthographe incertaine], ainsi que Monsieur Jack Lang*, François Hollande* et Pierre Moscovici*.

[(*) l’instruction étant en cours, les personnes citées bénéficient de l’entierté de la présomption d’innocence. Les noms relevés par cette déclaration, ne saurait impliquer un quelconque soupçon de culpabilité qui reste du ressort de l’enquête de l’instruction en cours et du jugement. La prudence doit donc être expressément observée afin de respecter ce principe légitime]

J’ai aussi indiqué au juge dans quelles conditions, les lieux, les dates où Laureen avait été abusée sexuellement. J’ai indiqué qu’en plus de la Roche-sur-Yon, elle avait été abusée à Paris dans une péniche amarrée dans le XVIe arrondissement
[NB. Non précisé s’il est fait allusion à la péniche « Le Kérala » rebaptisée « Le Makaï », depuis son rachat en 2001″], proche de l’Assemblée nationale. J’ai indiqué qu’il y avait aussi une connexion avec des voyages à Marrakech dans un hôtel de luxe et que cela rejoignait les propos de Monsieur Luc Ferry sur Canal Plus. Dans cet affaire, j’ai été auditionné en juin 2011 et j’ai confirmé que qu’il y avait bien des voyages pédophiles qui ont été fait à Marrakech dans un hôtel de luxe et que des personnes avaient bien été inquiétées dans cet hôtel. Je parle bien évidemment des personnes impliquées dans mon affaire.

J’ai aussi révélé l’existence d’une vidéo qui a été faite en 2001, où l’on y voit toutes les personnes citées* avoir une relation sexuelle avec une petite fille. Et après vérification, cette petite fille, il s’agit de Laureen Marchet, ma fille. Donc le juge d’instruction, les services de police et les services de gendarmerie connaissent cette vidéo et elle est enregistrée comme preuve dans ma déposition. Pour répondre à certaines personnes sur le net, je ne mettrai jamais cette vidéo en ligne. Je considère que c’est une preuve qui fait partie du dossier et qui n’a pas sa place sur le net. Si un jour, il y a un procès, évidemment, là dans le cadre juridique, on pourra faire visionner cette vidéo.

Je précise aussi qu’en 2012, Monsieur Jack Lang a porté plainte contre moi pour diffamation et que le procès a eu lieu, le 15 janvier dernier. Je vais être condamné pour diffamation, car malgré l’instruction en cours, Monsieur Jack Lang est toujours considéré comme innocent. Et le 15 janvier, le juge n’a pas retenu le fait qu’il y avait une instruction en cours. Donc je vais être certainement condamné mais nous allons faire appel car il y a une instruction en cours qui doit déterminer si oui ou non, Monsieur Lang est bien auteur des faits qui lui sont reprochés. » (déclaration d’Emmanuel Verdin dans vidéo id. uvZXLlOaaY4 postée sur youtube le 25.02.2015)

 


2015 Affaire Verdin définitivement étoufféee ?

Affaire Emmanuel Verdin censurée
3 ans après le dépôt de plainte, 1 an et demi après le début d’instruction
groupe facebook de soutien de la partie civile (Emmanuel Verdin)


jack lang 3 affaires 0 proces
jack lang citation decouvreurs du xxi siecle


Roger Holeindre à propos de l’Affaire du « lieu de vie » Le Coral (1982)


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ci-dessus Archives télévisuelles / Autres archives

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« Ceux qui violent des gosses n’ont pas d’avenir (…) Les affaires vont sortir… » (Marion Sigaut)

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« Ca ne viendra pas d’en haut… C’est les gens d’en bas qui changeront les choses… Il y a une vague qui monte. Et la vague, c’est la prise de conscience.(…) Avec le mariage pour tous ils se tirent une balle dans le pied : les gens discutent et commencent à se poser des questions… «  » (Marion Sigaut)

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A suivre (article connexe) : En Lituanie, des citoyens montent la garde 24/24h pour protéger une fillette A suivre (article connexe) : En Belgique, le député fédéral Laurent Louis réouvre l’Affaire Dutroux


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Êtat des lieux sur l’ASE : des associations(*) font le point

 

« La protection de l’enfance telle qu’elle est mise en place concrètement par les Présidents des Conseils Généraux et appliquée par les services de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), a donné lieu  dans des cas trop nombreux pour être considérés comme exceptionnels, à des dérapages inacceptables et destructeurs remettant en cause les prérogatives parentales.


Services sociaux
De nombreux témoignages à cet égard nous ont permis de réaliser un constat alarmant quant aux pratiques des services de l’ASE et de leurs conséquences sur l’institution familiale et l’avenir des enfants objets de mesures.

Il appartenait donc au Comité Élargi de Défense de l’Individu et des Familles (CEDIF) de confronter les réalités aux principes et d’en tirer des conclusions.

Ces conclusions sont à l’origine de neuf solutions que nous entendons soumettre aux décideurs afin d’obtenir leur soutien nominatif.

Nous voulons ne pas douter du bon accueil que ceux-ci porteront à ces préconisations dans l’intérêt des enfants et afin de remettre la famille à sa place, celle de la première de nos institutions. (…) »

Points abordés :

Constats Solutions proposées
  • Placements abusifs
  • Destins gâchés
  • Corporatisme
  • Familles brisées
  • Institution
  • Notion de l’intérêt de l’enfant
  1. Présomptions d’innocence
  2. Respect du contradictoire
  3. Revoir la définition des fonctions de l’ASE
  4. Motivation des griefs
  5. Définir la carence éducative
  6. Non intervention de l’ASE dans les conflits parentaux
  7. Mise en place d’un projet pour l’enfant
  8. Saisine de l’IGAS
  9. Moralisation de la profession

Rapport complet (pdf) à télécharger ([click droit] sur ce lien/ puis "enregistrer la cible sous")

+ également visible sur Cedif ; Sos Parent Abusés

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/20/quelles-evolutions-pour-lase-aide-sociale-a-lenfance/

 

 
A suivre : commentaires sur le rapport : "Bientôt un livre noir sur la protection de l’enfance"?

 

 

 


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Les années 80 vécue par Mc Jean Gabin, enfance classique puis tragédie familiale entraînant un placement par la DDASS ….

Mc Jean Gab’1 a vécu dans un très beau quartier parisien, rue de Vaugirard (15e) jusqu’à la séparation de ses parents vers ses 8 ans. Son père tue son ex-femme et son amant et se retrouve en prison.

Mc Jean Gab’1 se retrouve placé par l’assistance publique. En maison de correction, on lui apprend les sports de combats, qu’il utilisera par la suite vers 17 ans pour motiver une sortie anticipée du modèle éducatif qui lui est proposé…

A partir de là, braquages, banditisme, la prison puis… le show biz…

P_jean_gab1_sur_la_tombe_de_ma_mere

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/04/26/mc-jean-gabin-pupille-de-la-nation/


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Loi sur l’enfant-otage : Le parent manipulateur sera sanctionné !


PROPOSITION DE LOI

85 députés courageux pour s’attaquer à la prise d’otages des enfants lors des séparations conflictuelles… (projet de loi n°3834)

L’article L. 227-2 du code pénal est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le fait, par tout ascendant, d’entraver l’exercice de l’autorité parentale par des agissements répétés ou des manipulations diverses ayant pour objet la dégradation voire la rupture du lien familial, est puni d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. » [la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]

 

Proposition de loi visant à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant en cas de séparation des parents, (…)

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Le législateur a progressivement établi l’autorité parentale conjointe en 1987, puis en 1993, faisant une place concrète à l’idée de partage de l’autorité parentale au bénéfice des deux parents, mariés ou non, en couple ou séparés. Ce principe consacre l’idée selon laquelle il est nécessaire pour l’enfant de bénéficier de la présence de ses deux parents.

De plus en plus d’enquêtes sociologiques révèlent la multiplication de situations de mères ou de pères ayant perdu tout contact avec leur enfant à la suite d’une séparation de fait, de corps ou d’un divorce. Alors que les séparations ne cessent d’augmenter, nous rencontrons nombre d’enfants qui rejettent un de leur parent sans raison apparente. Questionnés par des spécialistes, ces enfants ne parviennent pas à expliquer les causes de ce rejet, mais expriment des sentiments de haine à l’égard du parent vu comme « fautif », traduisant par là-même une grande souffrance.


Alienation Parentale
En Amérique du Nord, ce phénomène a été identifié il y a une vingtaine d’années sous le terme de « syndrome d’aliénation parentale ». Cette instrumentalisation de l’enfant pour détruire les liens familiaux au travers d’actions prenant la forme d’une dévalorisation constante du second parent provoque une cassure de la relation avec ce dernier. Elle a été analysée et confirmée depuis par de nombreux spécialistes. De telles situations sont fréquentes et dans un nombre non négligeables de cas, un parent utilise son enfant et l’incite à développer un sentiment de rancune et de malveillance à l’égard de l’autre parent jusqu’à la rupture totale du lien avec ce dernier.

Cette réalité est particulièrement néfaste pour le développement de l’enfant car ce dernier cesse d’être un simple spectateur du conflit entre ses parents pour devenir, dés lors, un acteur à part entière. L’interruption des contacts et relations dans un cadre familial est traumatisant aussi bien pour les enfants concernés que pour les parents. Les statistiques récentes soulignent que les enfants élevés principalement par un seul parent sont plus enclins à sombrer dans la délinquance que la moyenne.


loi, jurisprudence et moyens preventifs
Par ailleurs, la protection de l’intérêt de l’enfant, considérée comme une priorité par le législateur, a conduit à la promulgation de la loi du 4 mars 2002. Celle-ci avait déjà tenté de promouvoir la résidence en alternance pour les enfants de parents divorcés ou séparés.

De nombreux pédopsychiatres ont souligné la présence nécessaire des deux parents au quotidien, afin de préserver l’équilibre de l’enfant, en fonction notamment de son âge. À ce sujet, le professeur Golse, chef de service à l’Hôpital Necker-Enfants malades, évoque l’âge minimal de 2 ans et demi pour que la résidence en alternance profite à l’enfant.

Par ailleurs, une tribune cosignée par Serge Hefez, Responsable de l’unité de thérapie familiale à la Pitié-Salpêtrière et Jean-Pierre Olie, Chef du Service Hospitalo-Universitaire au Centre Hospitalier Saint-Anne, fut publiée dans Le Monde en novembre 2010 interpellant la société avec le titre suivant : Résidence en alternance, le débat peut-il s’ouvrir ?

Aujourd’hui, la résidence alternée est fixée par défaut selon la loi en Italie, en Belgique, aux États-Unis ou encore dans les pays scandinaves.

La résidence alternée résulte d’un long cheminement du droit, des mentalités et de notre société. Aujourd’hui, 80% des pères assistent à l’accouchement, 70 % prennent leur congé de paternité. Les pères assument 40 % des taches éducatives et soins aux enfants alors que les hommes travaillent à plein temps dans 95 % des cas.

Nous sommes donc allés, légitimement, vers davantage de souplesse dans le domaine des relations familiales et de la séparation des fonctions parentales. Certes, cette reconnaissance de la résidence alternée est affirmée mais elle n’est pas encore de plein droit : elle demeure soumise à la décision du juge. Elle fait encore débat et rencontre de nombreux points de blocages et le taux de résidence alternée est de surcroît extrêmement variable d’un tribunal de grande instance à l’autre.

Le deuxième alinéa de l’article 373-2-9 du code civil est remplacé par quatre alinéas ainsi rédigés :
« (1)À défaut d’accord, en cas d’autorité parentale conjointe, le juge examine prioritairement, à la demande d’un des parents au moins, la possibilité de fixer l’hébergement de l’enfant de manière égalitaire entre ses parents.(2) En cas de désaccord entre les parents, le juge entend le parent qui n’est pas favorable au mode de résidence de l’enfant en alternance au domicile de chacun de ses parents, exposant les motifs de son désaccord au regard de l’intérêt de l’enfant. La préférence est donnée à la résidence en alternance paritaire. La décision de rejet de ce mode de résidence doit être dûment exposée et motivée. (…)
[la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]


Parent pervers , perversion , sadisme
Après plusieurs années d’application de la loi, on constate une dérive préjudiciable aux droits de l’enfant. En effet, une véritable prime est trop souvent donnée au parent le plus agressif car le parent qui s’oppose à cette solution d’équilibre obtient souvent gain de cause. Une enquête d’Études et Statistiques constate qu’en cas de désaccord, la résidence en alternance est rejetée dans 75 % des décisions définitives et deux fois sur trois pour les décisions provisoires. Inversement, cette enquête démontre qu’en cas de non-opposition de l’autre parent à celui qui souhaite la résidence alternée, le juge approuve dans la majorité des cas cette solution.

Selon les données du Ministère de la Justice, au cours de l’année 2009, seuls 21,5 % des divorces par consentement mutuel, et moins de 14 % de l’ensemble des divorces prononcés sur le territoire français, ont donné lieu à la résidence alternée pour l’enfant.

C’est pourquoi, il semble tout d’abord important de promouvoir la médiation familiale qui demeure aujourd’hui peu utilisée. En effet, même si le champ de la médiation a été considérablement étendu par la loi du 26 mai 2004, les résultats restent timides : en 2008, 4 857 mesures judiciaires ont été confiées à des médiateurs familiaux soit 5 % des conflits.

Par ailleurs, comme l’indiquait Jean Le Camus, professeur émérite de psychologie : « Il faut aussi que chaque parent reconnaisse à l’autre le droit et le devoir de s’occuper à égalité de l’enfant. Or, l’adhésion des deux parents à cette nécessité ne se rencontre pas toujours. Aussi le magistrat doit-il se montrer très attentif aux raisons qui font qu’un parent réclame la résidence unilatérale ». En effet, la résidence alternée est difficile à mettre en place car une prime est donnée au parent qui y est le plus réticent. Lorsqu’un parent s’oppose à la résidence alternée, il obtient quasi systématiquement gain de cause. Les considérations personnelles de chacun des parents prennent fréquemment le pas dans les discussions sur l’hébergement des enfants.

Par conséquent, il nous faut être dissuasif à l’égard du parent qui prend le risque de rendre son enfant otage d’un conflit dont il est innocent. La prolongation des conflits familiaux a, sur le comportement de l’enfant, des conséquences importantes en termes de santé publique ou de défaillances scolaires. En outre, ce texte tend à inverser la charge de la preuve. Il appartiendra dorénavant à celui qui souhaite s’opposer à cette résidence paritaire de l’exprimer et de justifier sa position.

La question n’est pas de généraliser la résidence alternée mais de remettre l’enfant au centre du débat en lui offrant la possibilité, si les conditions sont réunies (notamment l’âge de l’enfant supérieur à deux ans et demi), d’être élevé par ses deux parents car nous défendons l’idée que la construction d’un enfant se fait en présence de ses deux parents. Nous pensons qu’il est nécessaire de traiter avec une plus grande égalité les demandes des deux conjoints et ce, même si l’un des deux s’oppose à la résidence en alternance.

L’objectif de cette proposition de loi est simple : protéger avant tout l’intérêt supérieur de l’enfant en lui garantissant une construction saine et équilibrée, reposant sur deux parents réellement présents. (…)

source : détail du projet de loi (et pétition de soutien)
source : détails officiels (Assemblée nationale) / procédure législative
source : nosdeputes.fr
suivre le parcours du projet de loi à l’Assemblée et au Sénat diffusion : reperes.asso.fr ; affairesfamiliales.com

 

NB : article connexe : "les décisions de justice n’obligent-elles que ceux qui s’y soumettent ?"

 


 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

 

 

 


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« 
La DDASS (Direction Départementale des Affaires Sanitaires et Sociales), ancêtre de l’ASE, avait désigné le Coral comme un de ces « lieux de vie » vers lesquels elle a pu orienter un public de pré-délinquants, d’autistes, de trisomiques et d’handicapés mentaux légers ; [dont aurait abusés sexuellement de nombreuses personnalités issues du monde politique, artistique, judiciaire et journalistique].

Le Coral, c’est aussi une expérience d’une collaboration qui débute en 1976 et qui a impliqué des travailleurs sociaux de la protection de l’enfance soucieux de nouveaux modes de gestion pédagogique et thérapeutiques.

Intégré aux néo-ruraux anti-enfermement, les ”lieux de vie” sont un mouvement qui a sa revue appelée « Possible » et plusieurs centres appartenant au Collectif des Réseaux Alternatifs (CRA), le Coral est conçu comme une expérience porteuse de libération, celle d’éducateurs « progressistes » menés par Claude Sigala, également président du CRA. Là bas, on récupère tous les jeunes et on les soigne en considérant que la délinquance, la toxicomanie, la déficience mentale, ce sont des maladies.

Malade aussi un adolescent de 17 ans qui viole à mort un enfant de 11 ans en 1979. Un meurtre sexuel au Coral, une absence de surveillance, rien de plus. Vraiment ?

PedocrimaliteToujours est-il qu’au secrétariat d’Etat à la famille, le Coral et le CRA en général sont très bien vus, il est question de les intégrer à la DDASS, un dossier à ce sujet est remis à Georgina Dufoix. Mais les pratiques du Coral vont aussi enthousiasmer un public interlope attiré par le retour à la nature et le rejet de toute décence, on ne semble donc pas soigner la pédophilie au Coral. Il se dira d’ailleurs de plus en plus que des personnalités aient fait de cette communauté autogérée, installée à Aimargues dans le Gard, un lieu de villégiature et débauche pour des pulsions contre-nature. On entendra aussi parler de pensionnaires fugueurs recueillis dans les environs, leurs récits sont particulièrement évocateurs, enfin alertés, des parents portent plainte pour actes pédophiles.

Le 13 octobre 1982, la gendarmerie fait une descente au Coral. Le juge Michel Salzmann décide d’y inculper l’éducateur fondateur du lieu de vie, Claude Sigala, un autre éducateur, Jean-Noël Bardy, mais aussi le médecin psychiatre, Alain Chiapello. Ultérieurement c’est un professeur d’université, René Schérer, favorable à l’abaissement de l’âge du consentement aux relations sexuelles, qui est inquiété. Puis, un éducateur stagiaire, Jean-Claude Krief en fonction entre noël 1981 et février 1982, est aussi arrêté pour une affaire délinquance économique. Mais il a des révélations à produire sur des pratiques bien plus graves que ses petites escroqueries.

Jean-Claude Krief parle d’une pédagogie à base de pédophilie, d’enfants confiés par les services sociaux et objets de pratiques immondes, ainsi que d’un trafic de photos pornograpiques mettant en scène des enfants. D’ailleurs des pédocriminels seraient invités à se « défouler » sur les handicapés mentaux qui leur sont « confiés ».(…)»

source : comitéCédif

 .

« Le capitaine Paul Barril, subordonné du Commandant Prouteau, créateur de la cellule anti-terroriste de l’Elysée, déclare en audience publique le 29 avril 1997 : « Je me rappelle qu’on nous avait alerté pour stopper l’enquête sur le réseau pédophile « Coral » à cause des personnalités mises en cause. » Parmi ces personnalités présumées : Jack Lang, le ministre de la culture, mais aussi le neveu du président Mitterrand. Ce réseau Coral impliquait plus de 340 personnalités dans le monde politique, artistique, judiciaire et journalistique qui auraient abusé d’enfants handicapés et autistes. » (Balawou)

Roger Holeindre à propos du « lieu de vie » Le Coral


Pédocriminalité institutionnelle : la coupe est pleine !

« Pédocriminalité institutionnelle : la coupe est pleine ! »(…).

« L’OVERDOSE !
Même s’ils sont de plus en plus nombreux, les témoins directs ou indirects de l’abjecte qui commencent à dénoncer l’inimaginable : ils sont encore trop peu pour que ca change. Néanmoins, des notables, des magistrats, des personnalités commencent à saturer : ils dénoncent la gangrène d’une Nation bientôt arrivée au paroxysme de la décadence …
»

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« (…)Les sévices sociaux enlèvent des enfants sous prétexte de maltraitances et pratiquent des placements en foyer injustifiés dans 50 % des cas[de l’aveu même de l’Inspecteur général des Affaires Sociales].
Services sociaux

Atterrant non ?

Mais pire, vos enfants enlevés sans la moindre maltraitance vont en subir une, et une vraie celle-là, entre les mains des professionnels de l’enfance.

Des faits pas si isolés que le prétendent les Conseils Généraux.

Tenez, alors que nous nous étions intéressés de près au mémoire rédigé en 2007 sur le Centre Départemental Enfance et Famille Villepinte par une future chef d’établissement d’accueil pour enfant (http://comitecedif.wordpress.com/2011/06/27/le-blues-de-leducateur/), un mémoire relevant un problème grave de motivation des personnels, nous n’avions pas relevé encore que des enfants y subissaient à cette époque de véritables calvaires.

Depuis le centre de placement d’urgence foyer de l’enfance (CDEF) de Villepinte a été fermé.

Les faits qui s’y sont produits consistent en des mauvais traitements gravissimes à même de laisser des séquelles, voire de tuer les enfants, puisque les éducateurs ont dû répondre d’actes aussi lourds que des douches froides, des coups. Les enfants étaient aussi enfermés, humiliés, forcés de faire des pompes dans la boue, ce dont d’autres salariés avaient été témoins.(…)

[La cour d’appel] condamnera les éducateurs de choc à 6 mois de prison avec sursis et 3 années d’interdiction d’exercice de leur profession.

Trois ans de répit pour les enfants avant que cela ne recommence avec peut-être le même directeur relaxé pour faute d’éléments probants – et dont on ne peut même pas citer le nom – ?« 

source : Comitecedif

 


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En France, 68 000 placements enfants pourraient être évités, de l’aveu même de l’Inspecteur Général des Affaires Sociales
 

Près de 136 000 enfants sont actuellement placés dans des foyers ou des familles d’accueil, séparés de leurs parents. Contrairement à ce que l’on imagine, les enfants battus ou ceux victimes d’abus sexuels ne représentent qu’une petite partie des enfants placés, à peine 20 %. Ainsi que le reconnait Pierre Naves, l’inspecteur général des affaires sociales, la moitié (68 000) des placements d’enfants en institutions ou en familles d’accueil pourrait être évité. En d’autres termes, 68 000 drames familiaux pourraient être évités ! (Comité CEDIF, source)

Pierre Naves, 5 ans après dresse le même constat ! [Rien n’a bougé] — (également sur dailymotion…)


« A 16 ans, victime d’un placement abusif, elle raconte la souffrance de la séparation… »(…).

« Pendant 3 ans, j’ai souffert (…) Au bout de 7 mois de fugue, ils m’ont relâchés »

« Les éducateurs tapent les enfants (…) »

« Des enfants maltraités ils ne les placent pas, ils placent ceux qui sont bien avec leur parent : ceux là, ils sont enlevés. »



 

NB : l’IGAS est actuellement sous la direction de Pierre Boissier. L’IGAS est rattachée aux ministres en charge des affaires sociales, elle intervient également à la demande du Premier Ministre ainsi que du ministre en charge des comptes sociaux. (plus d’infos)

 

A suivre : Services Sociaux A suivre : Une famille anglaise témoigne sur les méthodes des Services Sociaux britanniques

 


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