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Loi sur l’enfant-otage : Le parent manipulateur sera sanctionné !

4 avril 2012 par AffairesFamiliales


PROPOSITION DE LOI

85 députés courageux pour s’attaquer à la prise d’otages des enfants lors des séparations conflictuelles… (projet de loi n°3834)

L’article L. 227-2 du code pénal est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Le fait, par tout ascendant, d’entraver l’exercice de l’autorité parentale par des agissements répétés ou des manipulations diverses ayant pour objet la dégradation voire la rupture du lien familial, est puni d’un an emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. » [la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]

 

Proposition de loi visant à préserver l’autorité partagée et à privilégier la résidence alternée pour l’enfant en cas de séparation des parents, (…)

EXPOSÉ DES MOTIFS

Mesdames, Messieurs,

Le législateur a progressivement établi l’autorité parentale conjointe en 1987, puis en 1993, faisant une place concrète à l’idée de partage de l’autorité parentale au bénéfice des deux parents, mariés ou non, en couple ou séparés. Ce principe consacre l’idée selon laquelle il est nécessaire pour l’enfant de bénéficier de la présence de ses deux parents.

De plus en plus d’enquêtes sociologiques révèlent la multiplication de situations de mères ou de pères ayant perdu tout contact avec leur enfant à la suite d’une séparation de fait, de corps ou d’un divorce. Alors que les séparations ne cessent d’augmenter, nous rencontrons nombre d’enfants qui rejettent un de leur parent sans raison apparente. Questionnés par des spécialistes, ces enfants ne parviennent pas à expliquer les causes de ce rejet, mais expriment des sentiments de haine à l’égard du parent vu comme « fautif », traduisant par là-même une grande souffrance.


Alienation Parentale
En Amérique du Nord, ce phénomène a été identifié il y a une vingtaine d’années sous le terme de « syndrome d’aliénation parentale ». Cette instrumentalisation de l’enfant pour détruire les liens familiaux au travers d’actions prenant la forme d’une dévalorisation constante du second parent provoque une cassure de la relation avec ce dernier. Elle a été analysée et confirmée depuis par de nombreux spécialistes. De telles situations sont fréquentes et dans un nombre non négligeables de cas, un parent utilise son enfant et l’incite à développer un sentiment de rancune et de malveillance à l’égard de l’autre parent jusqu’à la rupture totale du lien avec ce dernier.

Cette réalité est particulièrement néfaste pour le développement de l’enfant car ce dernier cesse d’être un simple spectateur du conflit entre ses parents pour devenir, dés lors, un acteur à part entière. L’interruption des contacts et relations dans un cadre familial est traumatisant aussi bien pour les enfants concernés que pour les parents. Les statistiques récentes soulignent que les enfants élevés principalement par un seul parent sont plus enclins à sombrer dans la délinquance que la moyenne.


loi, jurisprudence et moyens preventifs
Par ailleurs, la protection de l’intérêt de l’enfant, considérée comme une priorité par le législateur, a conduit à la promulgation de la loi du 4 mars 2002. Celle-ci avait déjà tenté de promouvoir la résidence en alternance pour les enfants de parents divorcés ou séparés.

De nombreux pédopsychiatres ont souligné la présence nécessaire des deux parents au quotidien, afin de préserver l’équilibre de l’enfant, en fonction notamment de son âge. À ce sujet, le professeur Golse, chef de service à l’Hôpital Necker-Enfants malades, évoque l’âge minimal de 2 ans et demi pour que la résidence en alternance profite à l’enfant.

Par ailleurs, une tribune cosignée par Serge Hefez, Responsable de l’unité de thérapie familiale à la Pitié-Salpêtrière et Jean-Pierre Olie, Chef du Service Hospitalo-Universitaire au Centre Hospitalier Saint-Anne, fut publiée dans Le Monde en novembre 2010 interpellant la société avec le titre suivant : Résidence en alternance, le débat peut-il s’ouvrir ?

Aujourd’hui, la résidence alternée est fixée par défaut selon la loi en Italie, en Belgique, aux États-Unis ou encore dans les pays scandinaves.

La résidence alternée résulte d’un long cheminement du droit, des mentalités et de notre société. Aujourd’hui, 80% des pères assistent à l’accouchement, 70 % prennent leur congé de paternité. Les pères assument 40 % des taches éducatives et soins aux enfants alors que les hommes travaillent à plein temps dans 95 % des cas.

Nous sommes donc allés, légitimement, vers davantage de souplesse dans le domaine des relations familiales et de la séparation des fonctions parentales. Certes, cette reconnaissance de la résidence alternée est affirmée mais elle n’est pas encore de plein droit : elle demeure soumise à la décision du juge. Elle fait encore débat et rencontre de nombreux points de blocages et le taux de résidence alternée est de surcroît extrêmement variable d’un tribunal de grande instance à l’autre.

Le deuxième alinéa de l’article 373-2-9 du code civil est remplacé par quatre alinéas ainsi rédigés :
« (1)À défaut d’accord, en cas d’autorité parentale conjointe, le juge examine prioritairement, à la demande d’un des parents au moins, la possibilité de fixer l’hébergement de l’enfant de manière égalitaire entre ses parents.(2) En cas de désaccord entre les parents, le juge entend le parent qui n’est pas favorable au mode de résidence de l’enfant en alternance au domicile de chacun de ses parents, exposant les motifs de son désaccord au regard de l’intérêt de l’enfant. La préférence est donnée à la résidence en alternance paritaire. La décision de rejet de ce mode de résidence doit être dûment exposée et motivée. (…)
[la suite (Proposition de loi ) et le détail des modifications juridiques demandées sur petitionpublique ]


Parent pervers , perversion , sadisme
Après plusieurs années d’application de la loi, on constate une dérive préjudiciable aux droits de l’enfant. En effet, une véritable prime est trop souvent donnée au parent le plus agressif car le parent qui s’oppose à cette solution d’équilibre obtient souvent gain de cause. Une enquête d’Études et Statistiques constate qu’en cas de désaccord, la résidence en alternance est rejetée dans 75 % des décisions définitives et deux fois sur trois pour les décisions provisoires. Inversement, cette enquête démontre qu’en cas de non-opposition de l’autre parent à celui qui souhaite la résidence alternée, le juge approuve dans la majorité des cas cette solution.

Selon les données du Ministère de la Justice, au cours de l’année 2009, seuls 21,5 % des divorces par consentement mutuel, et moins de 14 % de l’ensemble des divorces prononcés sur le territoire français, ont donné lieu à la résidence alternée pour l’enfant.

C’est pourquoi, il semble tout d’abord important de promouvoir la médiation familiale qui demeure aujourd’hui peu utilisée. En effet, même si le champ de la médiation a été considérablement étendu par la loi du 26 mai 2004, les résultats restent timides : en 2008, 4 857 mesures judiciaires ont été confiées à des médiateurs familiaux soit 5 % des conflits.

Par ailleurs, comme l’indiquait Jean Le Camus, professeur émérite de psychologie : « Il faut aussi que chaque parent reconnaisse à l’autre le droit et le devoir de s’occuper à égalité de l’enfant. Or, l’adhésion des deux parents à cette nécessité ne se rencontre pas toujours. Aussi le magistrat doit-il se montrer très attentif aux raisons qui font qu’un parent réclame la résidence unilatérale ». En effet, la résidence alternée est difficile à mettre en place car une prime est donnée au parent qui y est le plus réticent. Lorsqu’un parent s’oppose à la résidence alternée, il obtient quasi systématiquement gain de cause. Les considérations personnelles de chacun des parents prennent fréquemment le pas dans les discussions sur l’hébergement des enfants.

Par conséquent, il nous faut être dissuasif à l’égard du parent qui prend le risque de rendre son enfant otage d’un conflit dont il est innocent. La prolongation des conflits familiaux a, sur le comportement de l’enfant, des conséquences importantes en termes de santé publique ou de défaillances scolaires. En outre, ce texte tend à inverser la charge de la preuve. Il appartiendra dorénavant à celui qui souhaite s’opposer à cette résidence paritaire de l’exprimer et de justifier sa position.

La question n’est pas de généraliser la résidence alternée mais de remettre l’enfant au centre du débat en lui offrant la possibilité, si les conditions sont réunies (notamment l’âge de l’enfant supérieur à deux ans et demi), d’être élevé par ses deux parents car nous défendons l’idée que la construction d’un enfant se fait en présence de ses deux parents. Nous pensons qu’il est nécessaire de traiter avec une plus grande égalité les demandes des deux conjoints et ce, même si l’un des deux s’oppose à la résidence en alternance.

L’objectif de cette proposition de loi est simple : protéger avant tout l’intérêt supérieur de l’enfant en lui garantissant une construction saine et équilibrée, reposant sur deux parents réellement présents. (…)

source : détail du projet de loi (et pétition de soutien)
source : détails officiels (Assemblée nationale) / procédure législative
source : nosdeputes.fr
suivre le parcours du projet de loi à l’Assemblée et au Sénat diffusion : reperes.asso.fr ; affairesfamiliales.com

 

NB : article connexe : "les décisions de justice n’obligent-elles que ceux qui s’y soumettent ?"

 


 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

 

 

 


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6 Réponses

  1. sur 3 mars 2015 à 16 h 19 min CESTO

    Enfin un Projet de loi en faveur du droit de l’enfant contre Le parent manipulateur
    Merci!


  2. sur 19 juin 2013 à 18 h 51 min René Guillaume

    Bien, très bien même mais abondance de loi ne présume pas de l’application de celles ci. Nous sommes de nombreux papas à êtres bafoués au quotidien par la justice, alors ne nous en promenez pas plus, faites simplement appliquer les textes existants dans un premier temps…


  3. sur 4 juin 2013 à 11 h 08 min Néa

    A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (Maître Jean Pannier)

    Oui pour ma part cela fait des années que je dépose courriers, plaintes et dossiers toujours sans suite depuis leur décision. J’entends encore l’avocate qui est sensée défendre et représenter la plaignante dire que la Justice s’en fout et que je dépense de l’énergie pour pas grand chose.. dernier rv Lundi matin et cela fait des années que cela dure. J’ai beau en parler sur le blog, je n’ai pas encore vu une seule personne qui s’implique sur ce cas.. jusqu’au jour où cela va exploser et cela ne va pas tarder. Il a fallu que je fournisse les liens correspondant à la Jurisprudence.. c’est un comble d’être obligé de faire le travail de l’ Avocat mais de ne pas être entendue parce que l’on a pas l’étiquette, la plaque sur le devant de porte.


    • sur 19 décembre 2016 à 2 h 59 min Anonyme

      Ce phénomène d’aliénation parentale risque malheureusement de s’amplifier dans les années à venir, au détriment des enfants qui subissent la situation conflictuelle de leurs parents et ne sont responsables de rien.
      Je suis mère de trois enfants (16ans, 12ans et 4ans au moment des faits); je me suis séparée du père il y a bientôt 2ans1/2, un recours en divorce initié par moi …. Pour me faire payer cette demande de divorce, le père a pris adolescent en otage avec rapport d’aliénation parental établi par la psychologue. Cette posture a eu la conséquence de provoquer un conflit entre l’enfant et moi afin, pour le père, de demander la séparation des enfants auprès du juge, d’obtenir la garde de cet enfant uniquement et de ne pas avoir à payer une pension alimentaire pour les trois enfants. Le père est allé jusqu’à amener l’enfant porter plainte contre moi pour maltraitance à son égard.
      J’ai eu l’intelligence d’impliquer les services sociaux mais surtout de saisir le Juge pour enfants afin de demander la mise en place d’une Mesure Éducative, que le père non seulement a évidemment refusé au départ, mais incite l’enfant à ne pas se faire suivre psychologiquement comme ordonné par le juge pour enfants ….
      Au final, à la demande de cette dernière, Ma famille (les 2 parents et les 3 enfants) suit encore, 2ans1/2 après la séparation, une thérapie familiale par le Biais du CADEF.
      A ce jour, le risque qu’il récidive sa manipulation sur le dernier enfant est très élevé, puisqu’il a une personnalité perverse et vindicative …. Mon dernier fils a aujourd’hui 6 ans, son père l’a en garde 1 week-end sur deux et la 1/2 des vacances – le père voudrait que j’accepte d’assouplir les conditions de la garde de ce dernier enfant alors même que son grand-frère, aujourd’hui âgé de 15ans, ne monte toujours pas dans ma voiture … Cette situation est particulièrement traumatisante …
      L’évolution de mes relations avec mon fils aîné est progrèssive, mais reste lente, et je dois me battre au quotidien pour ne pas voir le père l’emporter sur le dernier enfant de 6 ans.
      Alors, quelle attitude adoptée face à de tels parents pour des actes totalement irresponsables, pourtant préjudiciables à leur(s) propre(s) enfant(s) et qui restent pourtant en FRANCE totalement impunis ???


  4. sur 14 décembre 2012 à 9 h 17 min melusinefee

    http://melusinefee.wordpress.com/2012/12/12/pas-que-du-blabla-les-faits-sont-l/

    Ici une maman qui en parle depuis des années et qui ne baissera pas les bras, elle sera prête à publier d’autres preuves


  5. sur 4 avril 2012 à 22 h 14 min AffairesFamiliales @EnfantsDroits

    Il est grand temps de voir autrement qu’au travers du seul prisme du droit des pères ou de celui des mères.

    Pour enfin considérer véritablement « l’intérêt primordial » de l’enfant… Une expression dont on s’est emparé des mots mais peut-être pas suffisamment du sens… Il apparaît aujourd’hui par exemple, que la société devient incapable de faire face aux violences conjugales, à la pédophilie et à la maltraitance psychologiques des enfants (notamment via notamment l’exclusion, et l’aliénation parentale) à partir du moment où elle émane d’un des deux sexes. Peu importe que cela brise un paradigme ou une perception idyllique(*) d’une réalité (parfois différente)… Il est temps de briser ces tabous et de dire la vérité : ces phénomènes existent et ils sont quasiment impossible à combattre du fait de préjugés enracinés par un matraquage médiatique sexiste au point de les rendre tabous… Hors ce sont bien les enfants qui sont les victimes de telles perversions. Doit-on se poser la question s’il faut ou non protéger ces enfants ?

    Il faut maintenant être courageux et regarder les choses en face afin de les protéger efficacement… Sans vouloir être trop brutal, il faut achever de reconnaître que toutes les mères ne sont pas forcément des saintes vierges, hélas : la plupart sans doute ; mais ils arrivent, parfois, que certaines adoptent des comportements qui peuvent être à l’antipode (comme il en va pour certains pères… ). Les enfants n’ont pas à subir les affres de ces inclinaisons perverses. Ils ne doivent pas être sacrifiés parce que cela paraît plus simple que de tenter de faire respecter leurs droits.

    (*) NB : Une rubrique leur est d’ailleurs dédiée ainsi qu’à ceux ou celles qui préfèrent continuer à nier cette éventualité (tant que les media n’en font pas plus l’écho), et en particulier cette lettre ouverte que je vous invite à commenter à partir du lien suivant : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/01/17/reponse-dun-homme-au-feminisme-lache/



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