Se moque-t-on de la loi ?
25.845 plaintes (2009) pour non représentation de l’enfant (NRE) (+ 43% sur 10 ans)
qui donnent lieu à des poursuites dans 16.4% des cas dont 4.5% de condamnations (et 11,9% de médiations pénales) (source : ACALPA / statistiques du Ministère de l’Intérieur, 2010)
L’occasion de revenir sur un cas assez symptomatique de la difficulté à faire appliquer certaines décisions de justice (les NRE par exemple) quand on décide tout simplement de ne pas les suivre (et peu importe la loi et le droit des enfants) … Dans l’exemple, une décision est obtenue au bilan mais au prix de quel effort ? Celui d’un parent qui se bat pendant des années pour obtenir que les droits de l’enfant puissent-être respectés, celui d’un enfant blessé psychologiquement et en proie à un parent « ravisseur » qui va jusqu’à montrer effrontément, le peu respect qu’il accorde à ses juges…
» Vous vous rendez-vous compte du dilemme face auquel vous nous mettez ? ! »…
La présidente du tribunal correctionnel, Élisabeth Mehl, a tout essayé (…) pour tenter de « réveiller » une mère de 29 ans poursuivie pour non représentation d’enfant.
Marié en décembre 1996, divorcé en octobre 2000, le couple a eu un petit garçon en 1998. Depuis la séparation, la maman refuse quasiment tout contact entre le père et leur fils.
En quelques années, les ex-époux sont devenus très connus des services de police et de justice : une quarantaine de plaintes ou de procédures a été engagée par l’un ou l’autre. Toutes les solutions pour débloquer la situation ont été tentées en vain.
« À chaque fois, mon client fait 8 00 km pour voir son fils. Je ne sais pas où il puise son énergie si ce n’est dans l’amour qu’il a pour son fils », a lancé l’avocate de la partie civile.
À l’audience (…), la prévenue a réitéré sa ligne de conduite inflexible : elle ne veut pas que son ex-mari voie son enfant. Elle justifie sa position en affirmant que l’homme a exercé des violences sexuelles sur l’enfant.
Plainte a été déposée, mais l’enquête a conclu qu’il ne s’était rien passé. La prévenue glisse aussi que son ancien époux a deux enfants d’un deuxième mariage et qu’il doit s’en contenter. Les rapports des services éducatifs soulignent une dégradation psychologique de l’enfant, imprégné de l’image négative du père que distille sa mère.
La vice-procureure Marie-Hélène Calvano s’est emportée :
« Cette femme fait preuve d’une incroyable mauvaise foi. Elle se moque des décisions de justice. Maintenant ça suffit ! ». Prise de rires nerveux durant toute l’audience, la prévenue s’est entêtée, sans paraître troublée quand le parquet a requis à son encontre un an de prison ferme avec mandant de dépôt, « seule solution pour débloquer l’affaire ». Le tribunal a fait ce choix.
L’enfant a été confié à son père en attendant la décision de la juridiction compétente.
Annick Woehl (journaliste à « L’Alsace« , 10/07/2006) via : lplm.fr )
« Aliénation : la France responsable de torture et maltraitance psychologique ? »(…).
A Brest, un breton voit sa fille pour la 41e fois en larme sans pouvoir l’approcher
tandis qu’il habite à seulement 400m. 41 NRE, 5 plaintes, déplacement des forces de l’ordre. Rien n’y fait : la mère eructe « Ta fille tu ne la reverras jamais ! » Le procureur classe l’affaire (…) »
Certains magistrats ont trouvés judicieux de s’attaquer au portefeuille en prononçant des astreintes. C’est plus adapté : la prison n’est pas une solution. Alors pourquoi hésitent-ils à utiliser ce petit arsenal qui a fonctionné. Il faut donc continuer dans cette voie là plutôt que de laisser les enfants entraînés dans des conséquences qui peuvent être terribles.. » (Maître Jean Pannier)
1 NON REPRESENTATION = 1 AMENDE IMMEDIATE
« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).
Droits de visite non respectés : La cour de cassation déclare le Juge pour enfants et JAF fautifs pour avoir « commis un déni de justice » #jurisprudence
Julien Courbet plus efficace que la Justice pour régler les NRE (Non Représentation d’Enfant)? « Au Secours, on m’empêche de voir ma fille » (Emmission ‘Sans Aucun Doute’)
je suis le pere qui est passé dans l’émission et la vérité je pense que oui c’est plus efficace l’émission à bien fonctionné pour moi aujourd’hui tellement heureux de voir ma fille heureux d’entendre papa heureux de pouvoir avoir une vrai conversation avec mon ex et heureux de me dire que pendant les grandes vacance je part à la plage en camping avec ma fille et la mamie
Non Representation d’Enfants (NRE) : des jugements inadaptés
30 dépôts de plainte pour Non Représentation d’Enfants, pour Christophe Sontag vis à vis de son ex-femme qui maltraite ses enfants en les empêchant de voir leur père
Du coup, il est monté …
Il est fait obligation de prendre les plaintes des victimes

source
Ardèche (Privas, 09/03/2013), une grand-mère de 70 ans qui ne voit plus sa petite fille, prends une grue d’assaut (accompagnée par Nicolas Moreno)
Autre cas : 40 plaintes, 10 ans et à la clé : « vous aviez raison » mais en attendant le lien de l’enfant avec son parent est rompu : de qui se moque-t-on ?!
Titre original : « Divorce : les pères sont-ils spoliés de leurs enfants ? » (BFMTV)
« En réalité seulement 1 non représentation sur 8 donne lieu à des suites judiciaires et moins d’1 % seulement à de la prison. La France a d’ailleurs été condamnée a plusieurs reprises par la Cour Européenne de Droits de l’Homme pour non respect des droits de visite parentaux. »
Témoignage d’une mère qu témoigne d’elle et son enfant, victime de NRE : source : comiteCedif
"L’enlèvement parental, une réalité fréquente mais déniée par l’Etat "
"Imprégnée par la conviction scientifiquement fausse que la délinquance parentale se traite par la médiation, la justice civile limite volontairement la définition administrative de l’enlèvement parental aux cas de disparition, ce qui représente en réalité une très faible proportion des situations de coupure volontaire par un parent des liens entre l’enfant et l’autre parent. Il faut en réalité considérer qu’il y a enlèvement parental dès qu’un parent n’a plus accès à son ou ses enfants au-delà de deux à trois mois, car les conséquences psychiques définitives pour l’enfant (sans oublier la souffrance du parent victime) s’installent dès lors.
Le nombre d’enlèvements parentaux de fait, correspondant aux situations de multi-récidives de non-représentation d’enfant, atteint donc vraisemblablement plusieurs milliers de nouveaux cas chaque année. Autant de troubles psychiques irréversibles pour des enfants qui n’ont pour seule défense que le clivage psychique, c’est-à-dire le refoulement massif et brutal de toute la partie d’eux-mêmes attachée affectivement au parent écart.
L’enlèvement parental d’enfant est largement reconnu en effet par la communauté scientifique pour représenter un acte de grande violence psychologique sur l’enfant. Une majorité de ces enfants va développer une fois adulte, des troubles de la personnalité et du comportement de type border-line, c’est-à-dire une fragilité permanente avec incapacité à faire face aux situations de grand stress, une forte tendance dépressive, et de faibles chances de réussir une vie affective et familiale. Objectivement, l’enlèvement parental est donc une maltraitance infantile à caractère criminel (…)." (Jean-Paul Loubier pour Agoravox – 13/12/12)
Une mère indigne prive les enfants de leur père pendant 1 an
Ce Thouarsais dit comprendre ces pères qui montent sur des grues pour faire entendre leur voix. Divorcé, il bataille pour faire appliquer son droit de visite.
Une maman condamnée?
Un probleme va se poser ensuite…
Les pervers n’ont que peu d’amis parfois, ont engagés leur famille manipulée…
Si ils perdent la garde, ils peuvent se retrouver très seuls…
Pour mon aliénante, la présence de mon fils est indispensable.Si elle a le sentiment anormal de perdre l’enfant, elle s’inquiéte terriblement de perdre la face auprés de tout son entourage qui peu comprendre alors les manipulations exercés au détriment de l’enfant.
Comme un combattant qui perd sa seule arme, elle perd son pouvoir, elle se sent plus vulnérable , a peur, tout ce et ceux qui la potrait s’éfondre, le soutient de son entourage, de professionels, le conjoint ne supporte pas toujours ses abuts. ..Les enfants du conjoint qui prennent du recule…
Alors qu’elle croyait son combat gagné d’avance….
Seule, comndannée donc culpabilisée, essaie de se débattre pour sauver la situation. Mais elle s’enlise….Ca peu encore durer longtemps…
Ou bien elle « craque »…
Je suis certain que la pathologie doit etre dite et un suivi psy doit être imposé.
Quand un pervers « pête les plombs », je ne sais pas ce que ca fait…
Mais je plaint terriblement un enfant qui devrait subire cela toute sa vie avec encore des doutes et des périodes de culpabilité.