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Affaire d’Etat : Le plus grand scandale politique de la décennie, définitivement étouffé ?

Instruction 2383/13/15 – Information contre X – Viol en réunion (sur mineur)

« La plainte pour viol en réunion contre Lang, Hollande était recevable en avril 2012, puis reçue. Une instruction a été ouverte. Un juge (Jean-Louis Jouve) a été saisi de l’affaire, instruite au TGI de Paris, depuis le 23 mars 2013. Le père de la victime censuré depuis.

Emmanuel Verdin est le père de Laureen, une enfant décédée à l’age de 4 ans, d’une MST contractée lors des viols en réunion.

(Ill. de droite à gauche : Jack Lang , François Hollande , Pierre Moscovici )

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Scoop.it – Justice : Droits des enfants & Affaires Familiales
plainte_contre_lang_hollande_num_12-244_TGI_Paris

« Viol en réunion : La plainte contre Lang et Hollande est recevable » [enreg. num. 12/244, TGI Paris] Source : « M. Verdin, le père de Laureen, une enfant décédée d’une MST contractée lors des viols en réunion dont elle a été victime, a déposé une plainte contre Lang, Hollande (…). Celle-ci vient d’être jugée recevable, donc un juge d’instruction devrait (…) instruire. M. Verdin l’a annoncé hier sur la page de son groupe Facebook, la plainte qu’il a déposée (…) est donc retenue par la Justice, ce qui ne manque pas d’étonner. (…) » (Dondevamos)

Pour rappel, DDH 48, Article 11 : « Toute personne accusée d’un acte délictueux est présumée innocente jusqu’à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d’un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées (…)« 

+ voir également : dispositions – Bulletin Officiel Ministère de la Justice n°82 – sur « la présomption d’Innocence et les droits des victimes »relatif à la procédure de dépôt de plainte / 2.1.1.al.3 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Ces déclarations, destinées à permettre l’identification des auteurs des faits, pourront être recueillies ultérieurement par le service qui sera chargé de l’enquête. » / 2.1.2.al.1 Délivrance d’un récépissé de plainte : « Il convient, ainsi que cela est généralement d’ores et déjà pratiqué, qu’à la demande de la victime lui soit remis un récépissé de dépôt de plainte. »)

Pedocriminalite« (…) Pour résumer l’affaire, Verdin n’a jamais connu sa fille. Elle est née après que sa compagne et mère de l’enfant l’ait quitté, fin 1996. Laureen naît le 31 janvier 1997. Cette année-là, L’ex de Verdin se retrouve dans un foyer pour femmes enceintes: le foyer d’Ariane à La Roche sur Yon. Un foyer qui a défrayé la chronique il y a quelques années.

Etrangement, selon le quotidien Le Parisien du 12/05/2005, le directeur de ce foyer était poursuivi pour viols et agressions sexuelles sur des pensionnaires et des salariées. (…). Le directeur en question, (…) a été condamné à 13 ans de prison pour « deux viols, quatre agressions sexuelles et deux harcèlements », et à 15 ans en appel. (…)

Verdin finit par apprendre que si Laureen a bien été placée, c’était pour des soupçons de pédophilie. Il apprend encore par un témoin, voisin et autre ex de la mère de Laureen, (…) que des partouzes ont bien eu lieu, dont Laureen a été victime.

Verdin lance alors, (…) une procédure pour les viols en réunion, procédure qui s’est perdue, lui explique-t-on en juillet 2011.(…) » (Dondevamos)



Vidéo (2011) témoignage du père de la victime, Emmanuel Verdin
( lien alternatif sur rutube )

(cf également . conférence de presse Emmanuel Verdin 1er septembre 2012)

23/06/2011 : dépôt de plainte, numéro: p11-174-0987


Plainte numéro: p11-174-0987 – Section P4 – TGI de Paris – 23/06/2011 (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)
Acte de Naissance de Laureen Marchet (source : Pedopolis / Dossier Emmanuel Verdin)

02/11/2011 : « Maître Jean Chevais accepte officiellement d’assurer la défense d’Emmanuel Verdin« . (Pedopolis)


08/11/2011 : « Audition de E. Verdin: « Emmanuel Verdin a été entendu ce jour pendant + de 4 heures à la gendarmerie de Bourg-sur-Gironde et son récit a été pris au sérieux par les gendarmes. L’interrogatoire a eu lieu dans le cadre d’une enquête préliminaire ordonnée par le procureur de Libourne suite à une plainte d’Emmanuel déposée dans sa région un peu avant sa plainte contre JL. L’interrogatoire a porté essentiellement sur les « viols en réunion » qui se sont produits pendant la soirée anniversaire où la petite Laureen a été abusée par plusieurs adultes. Bien sûr, le volet JL a été évoqué également, mais celui-ci sera surtout exploré par la deuxième plainte, déposée à Paris, à propos de laquelle on attend toujours des nouvelles. Maître Jean Chevais a été informé de ces avancées. » (Pedopolis)


03/01/2012 : Audition «(…) M. Emmanuel VERDIN, père de la victime, [aurait] été auditionné le 3 janvier 2012 à la Gendarmerie de Bourg-sur-Gironde pendant 4h. Il a ainsi impliqué François HOLLANDE et Pierre MOSCOVICI pour non dénonciation de crimes et a porté plainte contre tous les protagonistes de l’affaire. Une information judiciaire [aurait] ainsi été ordonnée par le Procureur de la République de Libourne (Gironde) concernant les services de police et de justice (…) [relatif à] de faux témoignages et de dissimulation de preuves (…). Enfin, le Procureur Général de la Cour d’Appel de Poitiers ainsi que la Chancellerie [auraient été] saisi de l’affaire » (Olivier Berni, blogs.MediaPart [article censuré (?)] / lien alternatif )


23/01/2012 : « Déssaisissement du TGI des Sables d’Olonne au profit de Paris » (source – ci-contre)


03/07/2012 Emmanuel Verdin appelle à venir le soutenir : « Suite a la plainte de jack lang envers le [site wikistrike] je suis convoque devant un juge d instruction pour diffamation le 13 juillet a 11h 45 au TGI de paris là je vais pouvoir apporter les preuves de mes dires alors pour ceux qui veulent me soutenir ce jour la je vous donne rendez vous devant le palais de justice… » (Emmanuel Verdin depuis Facebook – source Pedopolis)


13/07/2012 Mise en examen de Wikistrike (Ghisham Doyle, Directeur de la rédaction) et Emmanuel Verdin (source Pedopolis) [ instruction 407/12/21?]


01/09/2012 Conférence de presse d’Emmanuel Verdin (chronologie / 1998 à 2011) cf [video]


12/10/2012 Communiqué de Dondevamos : « Affaire Verdin: les poursuites vont démarrer »
« (…) Aujourd’hui, trois plaintes, avec constitution de partie civile, sont en cours:

  • – plainte pour viol en réunion : contre la mère de la petite, trois de ses compagnons, et deux hommes politiques bien connus (…)
  • – plainte pour administration d’un virus entraînant la mort: contre un homme politique.
  • – plainte pour avoir sciemment laissé mourir Loreen: contre les deux parents de Verdin, contre les deux parents de la mère de Loreen, et contre la mère de LoreenVerdin a payé la caution liée à sa plainte avec constitution de partie civile. Dès aujourd’hui, il n’a plus le droit de s’exprimer publiquement sur cette affaire.

Le juge a décidé qu’il y avait de quoi poursuivre, puisqu’il n’a pas déclaré que la plainte était irrecevable. D’ici un mois, des juges d’instruction seront nommés. Plus d’infos sur l’affaire  » (source: Dondevamos)


03/10/2012 Maître Gilbert Collard aurait accepté de prendre le dossier du plaignant (source : Dondevamos)


17/10/2012 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Ayant de gros problèmes personnels dut a l affaire entre guillemets on veut me mettre plus bat que terre je suis oblige d arrêter de communiquer par internet car je vais bientôt me retrouver une nouvelle fois a la rue faute de moyens financier suffisants alors l affaire continue sont cours mais pour l instant sans moi merci de vos soutien et j espère a bientôt sur les roseaux« 


19/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « Enfin une bonne nouvelle un juge d instruction de paris viens d etre saisi de l affaire et il est en charge d instruire mon affaire et j espere bientot [des] mises en examen »« Un juge d instruction parisien est saisi de l’affaire depuis mars 2013. Son rôle est d’enqueter sur l’affaire et de poursuivre les personnes citees dans le dossier« 

22/03/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin posté sur Facebook : « un juge d instuction parisien ouvre l enquete pour viol en reunion sur mineur de moins de 15 ans contre [JL, FH, et PM]« 


07/09/2013 Interview d’Emmanuel Verdin postée sur Dailymotion : « Le doyen des Juges d’Instruction a saisi un Juge d’Instruction (…) l’affaire lui a été transmise le 23 mars 2013 » (2:15) – « Instruction ouverte par le parquet de Paris contre JL et PM pour viol en réunion sur mineur de moins de 15 ans » (1:20) – « et indirectement FH pour non dénonciation » (0:30)


24/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Nommé « Vice-président chargé de l’instruction » au
Tribunal de grande instance de Paris : M. Jean-Louis JOUVE, vice-procureur de la République près le tribunal de grande instance de Bobigny. ( Décret du 9 juillet 2010 JORF n°0160 du 13 juillet 2010)

Procédure criminelle 2383 13/15
Procédure criminelle contre X, Instruction 2383/13/15 – 27/03/2014 – ordonnance de commission d’expert

 


29/09/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Twitter :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet
Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


15/10/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


19/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


26/12/2013 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

Affaire Emmanuel Verdin VS Jack Lang - Laureen Marchet


11/04/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin - convocation 15 avril


06/09/2014 Communiqué d’Emmanuel Verdin, sur Facebook :

emmanuel verdin

Vidéo dans laquelle Emmanuel Verdin déclare à 0:54 « (…) En effet, je suis depuis un petit moment déjà, en possession d’une vidéo, durant 1 min.46, et qui date donc du 30 septembre 2000 à 23h45, où on y voit sur cette vidéo, sur un canapé de salon, Monsieur Jack L*, nu, assis, et une petite fille, et avec son sexe dans la bouche. Et on y voit aussi M. François H*, à côté de lui, en caleçon, et jouant avec le sexe donc de cette petite fille. La scène a été filmée par Dominique M(*), la mère de Laureen et mon ex-compagne. C’est une scène qui a été filmée sur une péniche* amarrée à Paris, pas très loin de la Tour Eiffel. Cette vidéo va être transmise au Juge d’Instruction lors d’audiences qui sont prévus dans les mois prochains (…) » (E.Verdin)


17/09/2014 Convocation d’Emmanuel Verdin pour le 06/10/14 par M. Jean-Louis Jouve, Juge en charge de l’instruction

Procédure criminelle 2383 13/15
Instruction 2383/13/15 – 06/10/2014 – convocation de la partie civile (1 an et demi après le début de l’instruction)

 


03/11/2014 Compte Facebook d’Emmanuel Verdin inaccessible

facebook emmanuel verdin


25/02/2015 Vidéo d’Emmanuel Verdin le 25/02/15 posté sur Youtube, dans laquelle il déclare :

« Bonjour, Je m’appelle Emmanuel Verdin.
Ma fille Laureen âgée de 4 ans a été violée en réunion en 2001 par sa propre mère, ses différents compagnons, ainsi que des hommes politiques connus.
En mars 2012, j’ai fait une plainte avec constitution de partie civile pour des faits de viols en réunion sur mineur de moins de quinze ans. Suite à cette plainte, un juge d’instruction parisien [Jean-Louis Jouve] a été nommé pour instruire cette affaire [Instruction 2383/13/15 – Parquet 1208323023], le 23 mars 2013.Suite à cette instruction, j’ai été convoqué le 06 octobre 2014 pour une audition de partie civile dans le bureau du juge d’instruction parisien Monsieur Jean-Louis Jouve. Il m’a confirmé que en juin 2001, il y avait bien eu une procédure faite par les autorités de la Roche-sur-Yon sur ma fille Laureen pour des faits de viols en réunion commis sur elle par sa propre mère, ses différents compagnons ainsi que des hommes politiques connus.

De mon côté, dans le bureau du juge, j’ai de nouveau cité comme auteurs des faits de viols en réunion sur Laureen Marchet, sa mère Dominique Marchet, ses compagnons ~Stéphane Carvalho* [orthographe incertaine], ~Hubert Jeannot* [orthographe incertaine], et ~Didier Charpentier* [orthographe incertaine], ainsi que Monsieur Jack Lang*, François Hollande* et Pierre Moscovici*.

[(*) l’instruction étant en cours, les personnes citées bénéficient de l’entierté de la présomption d’innocence. Les noms relevés par cette déclaration, ne saurait impliquer un quelconque soupçon de culpabilité qui reste du ressort de l’enquête de l’instruction en cours et du jugement. La prudence doit donc être expressément observée afin de respecter ce principe légitime]

J’ai aussi indiqué au juge dans quelles conditions, les lieux, les dates où Laureen avait été abusée sexuellement. J’ai indiqué qu’en plus de la Roche-sur-Yon, elle avait été abusée à Paris dans une péniche amarrée dans le XVIe arrondissement
[NB. Non précisé s’il est fait allusion à la péniche « Le Kérala » rebaptisée « Le Makaï », depuis son rachat en 2001″], proche de l’Assemblée nationale. J’ai indiqué qu’il y avait aussi une connexion avec des voyages à Marrakech dans un hôtel de luxe et que cela rejoignait les propos de Monsieur Luc Ferry sur Canal Plus. Dans cet affaire, j’ai été auditionné en juin 2011 et j’ai confirmé que qu’il y avait bien des voyages pédophiles qui ont été fait à Marrakech dans un hôtel de luxe et que des personnes avaient bien été inquiétées dans cet hôtel. Je parle bien évidemment des personnes impliquées dans mon affaire.

J’ai aussi révélé l’existence d’une vidéo qui a été faite en 2001, où l’on y voit toutes les personnes citées* avoir une relation sexuelle avec une petite fille. Et après vérification, cette petite fille, il s’agit de Laureen Marchet, ma fille. Donc le juge d’instruction, les services de police et les services de gendarmerie connaissent cette vidéo et elle est enregistrée comme preuve dans ma déposition. Pour répondre à certaines personnes sur le net, je ne mettrai jamais cette vidéo en ligne. Je considère que c’est une preuve qui fait partie du dossier et qui n’a pas sa place sur le net. Si un jour, il y a un procès, évidemment, là dans le cadre juridique, on pourra faire visionner cette vidéo.

Je précise aussi qu’en 2012, Monsieur Jack Lang a porté plainte contre moi pour diffamation et que le procès a eu lieu, le 15 janvier dernier. Je vais être condamné pour diffamation, car malgré l’instruction en cours, Monsieur Jack Lang est toujours considéré comme innocent. Et le 15 janvier, le juge n’a pas retenu le fait qu’il y avait une instruction en cours. Donc je vais être certainement condamné mais nous allons faire appel car il y a une instruction en cours qui doit déterminer si oui ou non, Monsieur Lang est bien auteur des faits qui lui sont reprochés. » (déclaration d’Emmanuel Verdin dans vidéo id. uvZXLlOaaY4 postée sur youtube le 25.02.2015)

 


2015 Affaire Verdin définitivement étoufféee ?

Affaire Emmanuel Verdin censurée
3 ans après le dépôt de plainte, 1 an et demi après le début d’instruction
groupe facebook de soutien de la partie civile (Emmanuel Verdin)


jack lang 3 affaires 0 proces
jack lang citation decouvreurs du xxi siecle


Roger Holeindre à propos de l’Affaire du « lieu de vie » Le Coral (1982)


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ci-dessus Archives télévisuelles / Autres archives

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« Ceux qui violent des gosses n’ont pas d’avenir (…) Les affaires vont sortir… » (Marion Sigaut)

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« Ca ne viendra pas d’en haut… C’est les gens d’en bas qui changeront les choses… Il y a une vague qui monte. Et la vague, c’est la prise de conscience.(…) Avec le mariage pour tous ils se tirent une balle dans le pied : les gens discutent et commencent à se poser des questions… «  » (Marion Sigaut)

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A suivre (article connexe) : En Lituanie, des citoyens montent la garde 24/24h pour protéger une fillette A suivre (article connexe) : En Belgique, le député fédéral Laurent Louis réouvre l’Affaire Dutroux


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Voyez votre enfant comme dans un hall de gare (en mieux ?)


« Milieu médiatisé » : un mal non nécessaire dans la plupart des cas

 

Les « milieux médiatisés avec interdiction de sortie » (modestement rebaptisés « points rencontres« , « lieux neutres » ou « relais« , …) sont des lieux d’accueil pour permettre de maintenir le lien primordial entre l’enfant et son parent. Cependant, en confondant le principe de précaution avec le principe de protection, ils sont devenus largement sur-utilisés, dénaturant ce pourquoi ils voulaient être légitimes.

 


 

* [Que penser du] point rencontre ?

C’est quelque chose de vraiment douloureux. A la fois, pour le parent visiteur, et aussi pour les enfants qui y sont soumis. Déjà ça renforce l’idée que le parent est dangereux : si on va voir son parent au point rencontre (…) [et qu’il est sous surveillance]: ca alimente le fait que son parent est dangereux / ou lui veut du mal (…)

C’est à raison de 2h par mois (quand la visite n’est pas annulée parce que l’enfant est malade..). De toute façon, quand elles ont lieu, ca n’est pas des conditions acceptables. (…) [Pour un parent qui n’a rien à se reprocher] C’est comme un innocent en prison.

* Le personnel est-il formé ?

Ils ont des formations d’éducateurs (…). [Mais par rapport à l’aliénation parentale], il y a souvent une politique de l’autruche. (…) (Delphine Provence, Avocate)

 

 

La méconnaissance de l’aliénation parentale conduit-elle à maintenir cette pathologie endémique ?

 

Ces conditions de visite confirment alors, même à un petit enfant, que le parent visiteur est effectivement un individu dangereux (sinon punissable) quand bien même ce dernier n’a rien à se reprocher (tandis qu’il fait l’objet d’une procédure calomnieuse devenue un principe d’action à la disposition du parent pervers).

Cela participe au travail de dénigrement de l’image du parent non gardien, en plus d’entretenir la souffrance muette de l’enfant séparé, à coup de présentations brèves et espacées de 60 min / par quinzaine en général (puis 90 min si vous restez « sage » devant l’oppression, l’humiliation, la souffrance de votre enfant et le mépris de ses droits).

Cela peut favoriser le développement d’une pathologie grave : l’aliénation parentale qui est une maltraitance psychologique particulièrement destructrice de l’individu. En France, des enfants par milliers sont aliénés dans une indifférence proprement scandaleuse…

 

 

 

A quand un reportage roumain sur le sort réservé aux enfants de France ?

 

C’est donc les samedis, juste en bas de chez vous (pas besoin d’aller en Chine ou en Roumanie) que des enfants sont broyés en silence, dans un système qui entretien cette souffrance de l’enfant séparé plutôt que de rétablir l’enfant dans son droit légitime de voir ses deux parents.

La séparation du lien enfant-parent est facilement obtenue par le parent aux réflexes aliénants qui profite des failles du système et du fait que les professionnels soient désarmés (car non formés) pour déceler la calomnie, tandis que le parent pervers a une faculté tout a fait déconcertante (que reconnaissent également les psychiatres) à convaincre puisqu’il s’est d’abord parfaitement convaincu lui-même d’agir au nom de la sécurité et non par sadisme : grâce au déni, au clivage voire à la projection (de ses propres carences ou d’une éventuelle culpabilité non avouée).

 

Défaut de Formation

Aussi, ils focalisent leur rapport essentiellement sur l’observation du parent-visiteur et sur la relation enfant-parent qu’ils entretiennent tout deux mais nullement sur les réactions d’intériorisation de la souffrance de l’enfant incapable d’estimer le caractère inducteur du lieu de médiation dans la désagrégation du lien parental, voire du développement de la pathologie aliénante…

 

 Une politique de l’autruche globale, qui entretien la destruction psychologique de 6% à 13% des enfants du divorce et par voie de conséquence, aliène la société dans son ensemble… Le risque et le coût sanitaire d’une telle désertion ne fait pas l’objet d’une estimation tant l’ampleur du massacre psychologique est grand… La nécessité d’une formation est urgente (même si cela fait plusieurs dizaines d’années). Il n’est jamais trop tard pour bien agir plutôt que de devoir assumer la responsabilité des souffrances perpétrées par la politique de l’indifférence

 

 

Ci-dessus, l’exemple (parmi d’autres) d’un parent (ancien Directeur d’Ecole) contraint à ne plus voir sa fille que dans un contexte de plus en plus traumatisant (au sein de ce qui finalement devient un « relais pervers » ou « centre de souffrance médiatisée ») ou bien … à ne plus la voir du tout ! (et donc en la laissant, seule en proie, à un parent aliénant)

 


 

Ex : Lettre ouverte à l’intention d’un lieu médiatisé

 

Lettre ouverte d’un parent auprès d’un tiers médiateur ( Assijes 74 – Association d’Intervention Judiciaire et Sociale de la Haute Savoie présidée par Jean-Claude Tavernier– 44 rue des écoliers 74970 Marignier)

Bonjour, nous avons eu une visite ce jour avec notre enfant, qui s’est très bien déroulée.
Cependant, pendant la visite mon fils (de 6 ans, séparé de son père depuis 3 ans) m’a demandé « pourquoi j’étais méchant avec Maman »et que « c’était pour ça qu’il ne voyait plus son papa » et « que je ne savais pas m’en occuper ». [NB: La fois suivante, c’était : « Tu sais tu me mens. Maman dit que tu me mens mais tu ne le sais pas. C’est vrai qu’on a le droit de séparer les enfants des parents]
Je souhaiterais que vous [ou Me Cécile Planchot (Barreau de Thonon-les-bains) ou ] tentiez pour le moins, de faire cesser ce travail de dénigrement de l’image du père. Attitude que d’aucuns pourraient apparenter à une attitude perverse.
Mais que d’autres comme le Dr Bensussan, expert près la cour de cassation, pourrait apparenter lui, à une des causalités qui pourrait concourir à terme (si la tendance s’enracine), aux manifestations de l’aliénation parentale, qu’il classe clairement dans une forme de maltraitance psychologique :
«Cette pathologie redoutable et encore méconnue ne menace pas que le parent rejeté : elle sape le fondement même de l’identité et de la personnalité de l’enfant »  (Dr Bensussan).
Votre lieu de médiation a déjà 2 cas qui pourraient s’apparenter a de l’aliénation parentale.
Je vous demande d’agir de manière préventive et de rappeler vous même à la mère qu’elle ne doit pas agir ainsi. Que cela est grave.
Cela n’est pas une cause de mésentente ou de discorde avec la mère. Je ne lui en ai même pas parlé, expressément pour ne pas que cela crée un conflit. Aussi, Je vous demande donc, de le faire vous même.
Et de rappeler qu’il n’y a pas nécessité de mentir à l’enfant et encore moins de dénigrer l’image du parent qui n’a pas la garde.
On peut très bien expliquer à l’enfant que sa situation d’exclusion parentale émane d’une décision judiciaire et s’en tenir à cela.
Il n’y a pas lieu d’accuser le père pour une situation dont il est objectivement lui-même une des victimes. Je rappelle à titre d’information, que 3 attestations de psychiatre + 1 rapport d’expertise privée réalisée par un expert près la cour d’appel de Chambéry, sont clairement favorable à 1 garde alternée.
Que mon ex-femme a présenté 4 sites internet clairement imputables à des tierces personnes.
Qu’un sexologue, le Docteur Patrick Blachère, auteur du (*)livre de poche « Petites infidélités dans le couple : ça passe ou ça casse » (Ed. Albin Michel) dont le contenu fait clairement l’éloge de « l’adultère » et de « l’échangisme sexuel », est actuellement enregistré comme « expert » auprès des Affaires Familiales (!?). Et que sur la base de son expertise qui va à l’encontre de 4 autres psychiatres, et dans laquelle, il indique penser (tout en indiquant n’avoir pas suffisamment de temps pour l’établir) « qu’il y a d’autres souffrances » du père que celles uniquement liées à l’exclusion parentale et sur la base duquel un jugement a été rendu.
Mon objet n’est pas de refaire le jugement : je n’ai pas fait appel.
Mais vis à vis d’une problématique dont on peut mesurer les risques d’un laisser-aller, il parait suffisant mais nécessaire, d’effectuer dès le départ et par un tiers médiateur, un SIMPLE RAPPEL au parent gardien…

Constat d’absence de pro-activité dans l’amélioration de la situation

Par ailleurs vous informer que :
– Je me suis rendu pour la visite en tiers de médiation ce samedi 1 novembre et que c’est seulement après 11h00 que j’ai été prévenu par mon ex-compagne que celle-ci avait planifié un pique-nique « avec des amis et notre enfant », à 10 minutes de chez moi – sans moi évidemment. J’ai donc fait 2 heures de trajet aller-retour pour voir notre enfant et m’entendre dire cela. Elle a prétexté que la date choisie n’était pas fixée par la décision de justice mais je lui ai fait remarqué qu’elle émanait de l’accord sur les dates fixées avec des tiers qui lui avait été transmis un mois auparavant et qu’elle aurait dû m’en rendre compte avant, et dans d’autres circonstances (étant donné que je suis actuellement en thérapie du fait des souffrances, en lien avec cette situation d’exclusion). Elle a prétextée la bonne fois mais n’a pas souhaité me proposer de solutions alternatives pour tenter de le démontrer ou de compenser ce retournement : pas de proposition pour une visite le lendemain, pas de proposition pour que je me joigne au pique-nique malgré de la présence de personnes ayant sa confiance, pas de proposition d’aucune sorte (juste de devoir me contenter de rester devant ce fait accompli)- Par ailleurs, elle m’avait annoncé il y a une dizaine de jours que je pouvais voir notre enfant hors tiers de confiance pendant 2 heures un mercredi (à choisir entre le 5 ou le 19 novembre). Je lui ai indiqué le 5. J’ai donc fait des démarches professionnelles pour m’assurer de ma disponibilité ce jour.  Elle me prévient seulement avant-hier (et juste avant le coup de ce samedi) qu’elle « avait oublié que notre enfant avait un rendez-vous chez le dentiste ce jour ». Je lui fais remarqué que l’on pouvait probablement estimer que le rendez-vous (simple visite des « 6 ans ») pouvait ne pas durer toute l’après-midi. Elle ne m’a pas répondu, ni cherché en contrepartie à tenter d’aménager un horaire différent (sachant que j’étais libre toute l’après-midi), que ce soit avant ou après la visite. Encore une fois, je devais me contenter du fait accompli.En pareille circonstance, je note qu’il n’y a toujours pas d’acteur pouvant jouer le rôle de tiers médiation afin de réguler ce type de violence morale (sachant qu’une expertise a établi que : « la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. » (Dr L’Hopital)- J’ai proposé à plusieurs reprises (à l’écrit comme à l’oral, et devant votre présence même) la suggestion d’une thérapie parentale. Je n’ai eu aucune réponse de sa part, malgré mes relances.- J’ai proposé qu’elle choisisse au besoin, son propre compagnon comme tiers médiateur ayant sa confiance et susceptible de faire avancer le dossier : aucune réponse de sa part, là aussi.Il manque clairement un tiers médiateur qui soit capable de faire avancer la situation dans le sens de « l’intérêt supérieur de l’enfant » c’est à dire de permettre de débloquer rapidement cette situation de souffrance et d’humiliation.Aujourd’hui, ce rôle n’est occupé par personne. Seul le juge aux Affaires Familiales qui est charge du dossier pourrait se saisir et faire passer le dossier à l’étape suivante et viser l’amélioration de la situation parentale et le respect des droits fondamentaux de l’enfant.Je souhaiterais que vous suggériez cela à Madame Laure Dachelet, et voir quels sont les outils adaptés qui sont à sa disposition. A défaut de suggérer à mon ex-compagne de faire un effort (réel).
– Vous pouvez au besoin considérer cette suggestion comme une saisine informelle de Madame Le Juge aux Affaires Familiales, en charge du dossier -Dans cette attente, vous comprendrez, que je n’ai pas d’autres choix sinon d’intercéder auprès des différents intervenants du dossier, finalement le seul espoir d’espérer voir notre dossier avancer plus efficacement…
Mais si vous avez d’autres suggestions : je suis à votre entière écoute.

(suite)

Lettre ouverte au parent gardien

Email : « Merci de répondre à ces 6 questions »

Bonjour,

 

Je souhaiterais pouvoir comprendre : pourrais-tu répondre à ces 6 questions ?

1) L’Exclusion Parentale est une maltraitance psychologique. Cf. article « La souffrance de l’enfant séparé » qui reprend les conclusions du Dr V.Simon et du Dr J-M.Delfieu (expert près la cour d’appel de Nîmes) : https://affairesfamiliales.wordpress.com/plan-de-site/a-propos/souffrance-de-lenfant-separe/ As-tu seulement parcouru cet article ?

 

2) Les 2 conclusions judiciaires sur lesquelles tu fais références s’appuient toutes les deux sur l’avis incertain d’un sexologue Patrick Blachère dont le livre* fait l’éloge de l’échangisme sexuel et de l’adultère et dont la récusation avait été demandée : ce qui ne l’empêche pas d’être consulté par la juridiction des Affaires Familiales : Tu trouves cela normal ?

3) Une contre-expertise privée réalisée par le Dr l’Hopital et les avis de 3 autres médecins psychiatres (Dr Mechik, Dr Harabi, Dr Peyrache), soit 4 psychiatres dont 1 expert qui vont dans le sens de l’intérêt de notre enfant et s’opposent clairement à l’avis du sexologue, n’ont pas été pris en compte : tu trouves cela normal ? Pourquoi n’y fais-tu jamais référence ?

  • Le Dr Harabi (Psychiatre, ancien praticien hospitalier et chef de service) établit que je « ne présente pas de dangerosité, ni de troubles psychiatriques qui contre-indique un contact et/ou une garde de son fils »
  • Le Dr Djamel Mechik (Psychiatre au centre de consultation des Vallées à Ville la Grand) établit que je « ne présente aucun danger pour autrui ni pour lui-même »
  • Le Dr Peyrache (Psychiatre, pédopsychiatre) établit que je « ne présente pas de pathologie psychiatrique avérée »
  • Le Dr L’Hôpital (Psychiatre, ancien Psychiatre des Hôpitaux, expert Psychiatre près la Cour d’Appel de Chambéry) établit à l’issue de son expertise, qu’ « après examen psychiatrique s’appuyant sur les conclusions de l’expertise psychiatrique effectuée par le Dr Patrick Blachère que je « ne présente aucune dangerosité pour son fils Elliot et qu’au contraire la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. Il propose une garde alternée et pour nous, il n’y a aucune difficulté pour que le père puisse bénéficier de cette facilité de garde pour son fils »

 

4) Pourquoi avoir cité dans la procédure judiciaire 4 sites internet dont je ne suis pas l’auteur et dont il m’a fallu plusieurs semaines pour identifier les identités pour chacun d’eux : (Noms des webmasters : O.Landwerlin, F.Lafaye, S.Jonathan (Québec), F.Blanc) : Tu trouves cela normal ?

5) Tes ultimatums contre notre enfant si je ne m’éxécute pas concernant des demandes administratives : tu trouves cela normal ? Je te cite :

« Concernant les visites d’Elliot, j’attends de mon côté notre séance de conciliation le vendredi 23 pour avancer dans nos discussions (si cela est encore possible) et PEUT-ETRE reprendre les visites d’Elliot dès le 24 septembre. Il est DOMMAGE d’en arriver là, SURTOUT pour Elliot. » ( Gaëlle Dutordoir, le 15/09/2011)

6) Ton compagnon M. Vincent Belot ( Fondaconseil ) n’a pas cherché à rentrer en contact, malgré les demandes formulées depuis l’été 2014, préférant peut-être(?) laisser stagner une situation qui est sans égard pour notre enfant : tu trouves cela normal ?  L’as-tu seulement prévenu ?

droit de réponse Gaëlle Dutordoir & Vincent Belot

« Il est inadmissible de conditionner des visites au bon vouloir d’un des deux parents, et d’utiliser l’enfant comme l’otage de ses desiderata. L’enfant a des droits fondamentaux et deux parents.

Utiliser l’enfant comme un moyen de pression, et le priver ainsi de son parent, sans égard pour son affect[1] et ses droits fondamentaux [2] n’est pas acceptable.

Faudrait-il rappeler que l’Exclusion Parentale est une maltraitance[3] ? »


(suite)

Lettre ouverte au Sexologue Patrick Blachère

Bonjour,

 

Le 02/04/2010 vous donnez pour un magazine médical (PratisTv), l’acception suivante pour caractériser ce que vous nommez le « fait pervers », je vous cite : « Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner… » (Patrick Blachère)

 

Depuis 2011, nous subissons une situation mélange d’humiliation et souffrance. Le parent gardien* s’appuie une décision de Justice (TGI de Bonneville) qui s’appuie elle-même sur votre expertise et où vous concluez en dernier lieu que le temps ne vous est pas suffisant pour établir votre diagnostique. De cette incertitude, se forme la décision judiciaire (établie sur un volume de temps pas beaucoup plus grand). Et le bilan de cette situation qui en résulte,  se solde par des années gâchées et de la souffrance : beaucoup de souffrance et d’humiliation…

1) Que ressentez-vous ?

2) Combien de temps encore, votre « déontologie » va-t-elle vous empêcher de réagir pour débloquer cette situation ?

3) Pensez-vous que l’opinion exprimée dans votre livre* (« Petites infidélités dans le couple : Ca passe ou ça casse ? ») en faveur de l’adultère et de l’échangisme sexuel, soit véritablement compatible et acceptable avec une désignation (en qualité d’expert) auprès des Affaires Familiales? (près la Cour d’Appel de Chambéry, Présidence de Jean-Yves McKee)

 


« Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale» (…).

« c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.» (Paul Bensussan, expert national)

 

« L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. »(…).

Si la souffrance de l’enfant est négligée et qu’elle est intense par le fait d’une exclusion parentale, l’enfant va apprendre à se durcir, à ne plus aimer.

 

 

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 


 Article connexe : Visites médiatisées : un instrument de la planification de la rupture du lien parent-enfant ?


 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : Le ressenti des parents aliénés ou exclus (ex. « pères perdus »)

 


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