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EXCLUSION PARENTALE et ALIENATION PARENTALE – Maltraitance_psychologique – Enfant-otage / Enfant-soldat https://affairesfamiliales.wordpress.com

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Voyez votre enfant comme dans un hall de gare (en mieux ?)

23 octobre 2011 par AffairesFamiliales


« Milieu médiatisé » : un mal non nécessaire dans la plupart des cas

 

Les « milieux médiatisés avec interdiction de sortie » (modestement rebaptisés « points rencontres« , « lieux neutres » ou « relais« , …) sont des lieux d’accueil pour permettre de maintenir le lien primordial entre l’enfant et son parent. Cependant, en confondant le principe de précaution avec le principe de protection, ils sont devenus largement sur-utilisés, dénaturant ce pourquoi ils voulaient être légitimes.
  • Le droit des enfants de voir leurs deux parents est ainsi réduit à peau de chagrin.
  • La souffrance des enfants y est en outre ignorée sinon méprisée…
  • Pire, ils deviennent inducteurs dans le développement de l’aliénation parentale.

 


 

* [Que penser du] point rencontre ?

C’est quelque chose de vraiment douloureux. A la fois, pour le parent visiteur, et aussi pour les enfants qui y sont soumis. Déjà ça renforce l’idée que le parent est dangereux : si on va voir son parent au point rencontre (…) [et qu’il est sous surveillance]: ca alimente le fait que son parent est dangereux / ou lui veut du mal (…)

C’est à raison de 2h par mois (quand la visite n’est pas annulée parce que l’enfant est malade..). De toute façon, quand elles ont lieu, ca n’est pas des conditions acceptables. (…) [Pour un parent qui n’a rien à se reprocher] C’est comme un innocent en prison.

* Le personnel est-il formé ?

Ils ont des formations d’éducateurs (…). [Mais par rapport à l’aliénation parentale], il y a souvent une politique de l’autruche. (…) (Delphine Provence, Avocate)

 

 

La méconnaissance de l’aliénation parentale conduit-elle à maintenir cette pathologie endémique ?

 

Ces conditions de visite confirment alors, même à un petit enfant, que le parent visiteur est effectivement un individu dangereux (sinon punissable) quand bien même ce dernier n’a rien à se reprocher (tandis qu’il fait l’objet d’une procédure calomnieuse devenue un principe d’action à la disposition du parent pervers).

Cela participe au travail de dénigrement de l’image du parent non gardien, en plus d’entretenir la souffrance muette de l’enfant séparé, à coup de présentations brèves et espacées de 60 min / par quinzaine en général (puis 90 min si vous restez « sage » devant l’oppression, l’humiliation, la souffrance de votre enfant et le mépris de ses droits).

Cela peut favoriser le développement d’une pathologie grave : l’aliénation parentale qui est une maltraitance psychologique particulièrement destructrice de l’individu. En France, des enfants par milliers sont aliénés dans une indifférence proprement scandaleuse…

 

 


L’aliénation parentale sur FR3 Languedoc Roussillon : un fléau qui touche 6% des divorces et 18 000 enfants en France

 

A quand un reportage roumain sur le sort réservé aux enfants de France ?

 

C’est donc les samedis, juste en bas de chez vous (pas besoin d’aller en Chine ou en Roumanie) que des enfants sont broyés en silence, dans un système qui entretien cette souffrance de l’enfant séparé plutôt que de rétablir l’enfant dans son droit légitime de voir ses deux parents.

La séparation du lien enfant-parent est facilement obtenue par le parent aux réflexes aliénants qui profite des failles du système et du fait que les professionnels soient désarmés (car non formés) pour déceler la calomnie, tandis que le parent pervers a une faculté tout a fait déconcertante (que reconnaissent également les psychiatres) à convaincre puisqu’il s’est d’abord parfaitement convaincu lui-même d’agir au nom de la sécurité et non par sadisme : grâce au déni, au clivage voire à la projection (de ses propres carences ou d’une éventuelle culpabilité non avouée).

 

Défaut de Formation

Aussi, ils focalisent leur rapport essentiellement sur l’observation du parent-visiteur et sur la relation enfant-parent qu’ils entretiennent tout deux mais nullement sur les réactions d’intériorisation de la souffrance de l’enfant incapable d’estimer le caractère inducteur du lieu de médiation dans la désagrégation du lien parental, voire du développement de la pathologie aliénante…

 

 Une politique de l’autruche globale, qui entretien la destruction psychologique de 6% à 13% des enfants du divorce et par voie de conséquence, aliène la société dans son ensemble… Le risque et le coût sanitaire d’une telle désertion ne fait pas l’objet d’une estimation tant l’ampleur du massacre psychologique est grand… La nécessité d’une formation est urgente (même si cela fait plusieurs dizaines d’années). Il n’est jamais trop tard pour bien agir plutôt que de devoir assumer la responsabilité des souffrances perpétrées par la politique de l’indifférence …

 

 

Ci-dessus, l’exemple (parmi d’autres) d’un parent (ancien Directeur d’Ecole) contraint à ne plus voir sa fille que dans un contexte de plus en plus traumatisant (au sein de ce qui finalement devient un « relais pervers » ou « centre de souffrance médiatisée ») ou bien … à ne plus la voir du tout ! (et donc en la laissant, seule en proie, à un parent aliénant)

 


 

Ex : Lettre ouverte à l’intention d’un lieu médiatisé

 

Lettre ouverte d’un parent auprès d’un tiers médiateur ( Assijes 74 – Association d’Intervention Judiciaire et Sociale de la Haute Savoie présidée par Jean-Claude Tavernier– 44 rue des écoliers 74970 Marignier)

Bonjour, nous avons eu une visite ce jour avec notre enfant, qui s’est très bien déroulée.
Cependant, pendant la visite mon fils (de 6 ans, séparé de son père depuis 3 ans) m’a demandé « pourquoi j’étais méchant avec Maman »et que « c’était pour ça qu’il ne voyait plus son papa » et « que je ne savais pas m’en occuper ». [NB: La fois suivante, c’était : « Tu sais tu me mens. Maman dit que tu me mens mais tu ne le sais pas. C’est vrai qu’on a le droit de séparer les enfants des parents]
Je souhaiterais que vous [ou Me Cécile Planchot (Barreau de Thonon-les-bains) ou ] tentiez pour le moins, de faire cesser ce travail de dénigrement de l’image du père. Attitude que d’aucuns pourraient apparenter à une attitude perverse.
Mais que d’autres comme le Dr Bensussan, expert près la cour de cassation, pourrait apparenter lui, à une des causalités qui pourrait concourir à terme (si la tendance s’enracine), aux manifestations de l’aliénation parentale, qu’il classe clairement dans une forme de maltraitance psychologique :
«Cette pathologie redoutable et encore méconnue ne menace pas que le parent rejeté : elle sape le fondement même de l’identité et de la personnalité de l’enfant »  (Dr Bensussan).
Votre lieu de médiation a déjà 2 cas qui pourraient s’apparenter a de l’aliénation parentale.
Je vous demande d’agir de manière préventive et de rappeler vous même à la mère qu’elle ne doit pas agir ainsi. Que cela est grave.
Cela n’est pas une cause de mésentente ou de discorde avec la mère. Je ne lui en ai même pas parlé, expressément pour ne pas que cela crée un conflit. Aussi, Je vous demande donc, de le faire vous même.
Et de rappeler qu’il n’y a pas nécessité de mentir à l’enfant et encore moins de dénigrer l’image du parent qui n’a pas la garde.
On peut très bien expliquer à l’enfant que sa situation d’exclusion parentale émane d’une décision judiciaire et s’en tenir à cela.
Il n’y a pas lieu d’accuser le père pour une situation dont il est objectivement lui-même une des victimes. Je rappelle à titre d’information, que 3 attestations de psychiatre + 1 rapport d’expertise privée réalisée par un expert près la cour d’appel de Chambéry, sont clairement favorable à 1 garde alternée.
Que mon ex-femme a présenté 4 sites internet clairement imputables à des tierces personnes.
Qu’un sexologue, le Docteur Patrick Blachère, auteur du (*)livre de poche « Petites infidélités dans le couple : ça passe ou ça casse » (Ed. Albin Michel) dont le contenu fait clairement l’éloge de « l’adultère » et de « l’échangisme sexuel », est actuellement enregistré comme « expert » auprès des Affaires Familiales (!?). Et que sur la base de son expertise qui va à l’encontre de 4 autres psychiatres, et dans laquelle, il indique penser (tout en indiquant n’avoir pas suffisamment de temps pour l’établir) « qu’il y a d’autres souffrances » du père que celles uniquement liées à l’exclusion parentale et sur la base duquel un jugement a été rendu.
Mon objet n’est pas de refaire le jugement : je n’ai pas fait appel.
Mais vis à vis d’une problématique dont on peut mesurer les risques d’un laisser-aller, il parait suffisant mais nécessaire, d’effectuer dès le départ et par un tiers médiateur, un SIMPLE RAPPEL au parent gardien…

Constat d’absence de pro-activité dans l’amélioration de la situation

Par ailleurs vous informer que :
– Je me suis rendu pour la visite en tiers de médiation ce samedi 1 novembre et que c’est seulement après 11h00 que j’ai été prévenu par mon ex-compagne que celle-ci avait planifié un pique-nique « avec des amis et notre enfant », à 10 minutes de chez moi – sans moi évidemment. J’ai donc fait 2 heures de trajet aller-retour pour voir notre enfant et m’entendre dire cela. Elle a prétexté que la date choisie n’était pas fixée par la décision de justice mais je lui ai fait remarqué qu’elle émanait de l’accord sur les dates fixées avec des tiers qui lui avait été transmis un mois auparavant et qu’elle aurait dû m’en rendre compte avant, et dans d’autres circonstances (étant donné que je suis actuellement en thérapie du fait des souffrances, en lien avec cette situation d’exclusion). Elle a prétextée la bonne fois mais n’a pas souhaité me proposer de solutions alternatives pour tenter de le démontrer ou de compenser ce retournement : pas de proposition pour une visite le lendemain, pas de proposition pour que je me joigne au pique-nique malgré de la présence de personnes ayant sa confiance, pas de proposition d’aucune sorte (juste de devoir me contenter de rester devant ce fait accompli)- Par ailleurs, elle m’avait annoncé il y a une dizaine de jours que je pouvais voir notre enfant hors tiers de confiance pendant 2 heures un mercredi (à choisir entre le 5 ou le 19 novembre). Je lui ai indiqué le 5. J’ai donc fait des démarches professionnelles pour m’assurer de ma disponibilité ce jour.  Elle me prévient seulement avant-hier (et juste avant le coup de ce samedi) qu’elle « avait oublié que notre enfant avait un rendez-vous chez le dentiste ce jour ». Je lui fais remarqué que l’on pouvait probablement estimer que le rendez-vous (simple visite des « 6 ans ») pouvait ne pas durer toute l’après-midi. Elle ne m’a pas répondu, ni cherché en contrepartie à tenter d’aménager un horaire différent (sachant que j’étais libre toute l’après-midi), que ce soit avant ou après la visite. Encore une fois, je devais me contenter du fait accompli.En pareille circonstance, je note qu’il n’y a toujours pas d’acteur pouvant jouer le rôle de tiers médiation afin de réguler ce type de violence morale (sachant qu’une expertise a établi que : « la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. » (Dr L’Hopital)- J’ai proposé à plusieurs reprises (à l’écrit comme à l’oral, et devant votre présence même) la suggestion d’une thérapie parentale. Je n’ai eu aucune réponse de sa part, malgré mes relances.- J’ai proposé qu’elle choisisse au besoin, son propre compagnon comme tiers médiateur ayant sa confiance et susceptible de faire avancer le dossier : aucune réponse de sa part, là aussi.Il manque clairement un tiers médiateur qui soit capable de faire avancer la situation dans le sens de « l’intérêt supérieur de l’enfant » c’est à dire de permettre de débloquer rapidement cette situation de souffrance et d’humiliation.Aujourd’hui, ce rôle n’est occupé par personne. Seul le juge aux Affaires Familiales qui est charge du dossier pourrait se saisir et faire passer le dossier à l’étape suivante et viser l’amélioration de la situation parentale et le respect des droits fondamentaux de l’enfant.Je souhaiterais que vous suggériez cela à Madame Laure Dachelet, et voir quels sont les outils adaptés qui sont à sa disposition. A défaut de suggérer à mon ex-compagne de faire un effort (réel).
– Vous pouvez au besoin considérer cette suggestion comme une saisine informelle de Madame Le Juge aux Affaires Familiales, en charge du dossier -Dans cette attente, vous comprendrez, que je n’ai pas d’autres choix sinon d’intercéder auprès des différents intervenants du dossier, finalement le seul espoir d’espérer voir notre dossier avancer plus efficacement…
Mais si vous avez d’autres suggestions : je suis à votre entière écoute.

(suite)

Lettre ouverte au parent gardien

Email : « Merci de répondre à ces 6 questions »

Bonjour,

 

Je souhaiterais pouvoir comprendre : pourrais-tu répondre à ces 6 questions ?

1) L’Exclusion Parentale est une maltraitance psychologique. Cf. article « La souffrance de l’enfant séparé » qui reprend les conclusions du Dr V.Simon et du Dr J-M.Delfieu (expert près la cour d’appel de Nîmes) : https://affairesfamiliales.wordpress.com/plan-de-site/a-propos/souffrance-de-lenfant-separe/ As-tu seulement parcouru cet article ?

 

2) Les 2 conclusions judiciaires sur lesquelles tu fais références s’appuient toutes les deux sur l’avis incertain d’un sexologue Patrick Blachère dont le livre* fait l’éloge de l’échangisme sexuel et de l’adultère et dont la récusation avait été demandée : ce qui ne l’empêche pas d’être consulté par la juridiction des Affaires Familiales : Tu trouves cela normal ?

3) Une contre-expertise privée réalisée par le Dr l’Hopital et les avis de 3 autres médecins psychiatres (Dr Mechik, Dr Harabi, Dr Peyrache), soit 4 psychiatres dont 1 expert qui vont dans le sens de l’intérêt de notre enfant et s’opposent clairement à l’avis du sexologue, n’ont pas été pris en compte : tu trouves cela normal ? Pourquoi n’y fais-tu jamais référence ?

  • Le Dr Harabi (Psychiatre, ancien praticien hospitalier et chef de service) établit que je « ne présente pas de dangerosité, ni de troubles psychiatriques qui contre-indique un contact et/ou une garde de son fils »
  • Le Dr Djamel Mechik (Psychiatre au centre de consultation des Vallées à Ville la Grand) établit que je « ne présente aucun danger pour autrui ni pour lui-même »
  • Le Dr Peyrache (Psychiatre, pédopsychiatre) établit que je « ne présente pas de pathologie psychiatrique avérée »
  • Le Dr L’Hôpital (Psychiatre, ancien Psychiatre des Hôpitaux, expert Psychiatre près la Cour d’Appel de Chambéry) établit à l’issue de son expertise, qu’ « après examen psychiatrique s’appuyant sur les conclusions de l’expertise psychiatrique effectuée par le Dr Patrick Blachère que je « ne présente aucune dangerosité pour son fils Elliot et qu’au contraire la séparation d’avec son fils entraîne une grande souffrance et que malgré cette souffrance, il s’est plié jusqu’alors au droit de visites imposé en Association et qu’il attend avec impatience de pouvoir avoir plus de temps avec son fils. Il propose une garde alternée et pour nous, il n’y a aucune difficulté pour que le père puisse bénéficier de cette facilité de garde pour son fils »

 

4) Pourquoi avoir cité dans la procédure judiciaire 4 sites internet dont je ne suis pas l’auteur et dont il m’a fallu plusieurs semaines pour identifier les identités pour chacun d’eux : (Noms des webmasters : O.Landwerlin, F.Lafaye, S.Jonathan (Québec), F.Blanc) : Tu trouves cela normal ?

5) Tes ultimatums contre notre enfant si je ne m’éxécute pas concernant des demandes administratives : tu trouves cela normal ? Je te cite :

« Concernant les visites d’Elliot, j’attends de mon côté notre séance de conciliation le vendredi 23 pour avancer dans nos discussions (si cela est encore possible) et PEUT-ETRE reprendre les visites d’Elliot dès le 24 septembre. Il est DOMMAGE d’en arriver là, SURTOUT pour Elliot. » ( Gaëlle Dutordoir, le 15/09/2011)

6) Ton compagnon M. Vincent Belot ( Fondaconseil ) n’a pas cherché à rentrer en contact, malgré les demandes formulées depuis l’été 2014, préférant peut-être(?) laisser stagner une situation qui est sans égard pour notre enfant : tu trouves cela normal ?  L’as-tu seulement prévenu ?

droit de réponse Gaëlle Dutordoir & Vincent Belot

« Il est inadmissible de conditionner des visites au bon vouloir d’un des deux parents, et d’utiliser l’enfant comme l’otage de ses desiderata. L’enfant a des droits fondamentaux et deux parents.

Utiliser l’enfant comme un moyen de pression, et le priver ainsi de son parent, sans égard pour son affect[1] et ses droits fondamentaux [2] n’est pas acceptable.

Faudrait-il rappeler que l’Exclusion Parentale est une maltraitance[3] ? »

  • [1] https://affairesfamiliales.wordpress.com/plan-de-site/a-propos/souffrance-de-lenfant-separe/
  • [2] https://affairesfamiliales.wordpress.com/loi-jurisprudence-et-mesures-preventives/
  • [3] https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/06/17/priver-abusivement-un-enfant-dun-de-ses-parents-est-une-maltraitance-psychologique/

(suite)

Lettre ouverte au Sexologue Patrick Blachère

Bonjour,

 

Le 02/04/2010 vous donnez pour un magazine médical (PratisTv), l’acception suivante pour caractériser ce que vous nommez le « fait pervers », je vous cite : « Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner… » (Patrick Blachère)

 

Depuis 2011, nous subissons une situation mélange d’humiliation et souffrance. Le parent gardien* s’appuie une décision de Justice (TGI de Bonneville) qui s’appuie elle-même sur votre expertise et où vous concluez en dernier lieu que le temps ne vous est pas suffisant pour établir votre diagnostique. De cette incertitude, se forme la décision judiciaire (établie sur un volume de temps pas beaucoup plus grand). Et le bilan de cette situation qui en résulte,  se solde par des années gâchées et de la souffrance : beaucoup de souffrance et d’humiliation…

1) Que ressentez-vous ?

2) Combien de temps encore, votre « déontologie » va-t-elle vous empêcher de réagir pour débloquer cette situation ?

3) Pensez-vous que l’opinion exprimée dans votre livre* (« Petites infidélités dans le couple : Ca passe ou ça casse ? ») en faveur de l’adultère et de l’échangisme sexuel, soit véritablement compatible et acceptable avec une désignation (en qualité d’expert) auprès des Affaires Familiales? (près la Cour d’Appel de Chambéry, Présidence de Jean-Yves McKee)

 



Qu’est-ce que l’Aliénation Parentale

« Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale» (…).

« c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.» (Paul Bensussan, expert national)

 


La souffrance de l’enfant séparé

« L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. »(…).

Si la souffrance de l’enfant est négligée et qu’elle est intense par le fait d’une exclusion parentale, l’enfant va apprendre à se durcir, à ne plus aimer.

 

 


Le syndrome de Médée

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 


 Article connexe : Visites médiatisées : un instrument de la planification de la rupture du lien parent-enfant ?


 

A suivre : Les pros sonnent l’alarme ! A suivre : Le ressenti des parents aliénés ou exclus (ex. « pères perdus »)

 


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Publié dans * L'EXCLUSION PARENTALE (Isolation puis Aliénation), avocats, calomnie, droits des enfants, enfants, exclusion parentale, famille, I. LES 2 ETAPES DU SCENARIO D'exclusion parentale, I.1. Isolation Parentale, I.2. Aliénation Parentale (AP), III. LES ACTEURS de l'exclusion parentale, III.4 Les Institutions (ou professionnels des affaires familiales), justice, médiation, politique, services sociaux, souffrance | Tagué a.s.s.i.j.e.s 74 affaires familiales, A.V.I.J. 74, affaires sociales, Aide aux Victimes Intervention Judiciaire de Haute Savoie, aix les bains, Alain Peyrefitte, aliénation parentale, Alliance A, Alpes Jura, André Joseph Abrial, annecy, antenne de justice, Antenne de justice de Haute savoie, archamps, ARS, assijes 74, Association d’Intervention Judiciaire et Sociale de Haute-Savoie, associations de justice, Astérix, AVIJ 74, avij74, Avocat 74, avocats, Élisabeth Guigou, éducateur, éducateurs, étude, batonnier, Bertrand Tavernier, bientraitance, bonheur, bonneville, bonté, Brocher, calomnie, Casimir, Cécile Planchot, ccdv74, centre de consultation des vallées, chambéry, christiane taubira, cifas, cip, Clinique Regina, Cluses-Scionzier, construction, Cour d'appel de Chambéry, Cour de cassation, Dallest, défenseur des droits, Défenseur des enfants, divorce, djamel mechik, Docteur Patrick Blachère, Dominique Perben, DPDS, droit, droit de visite, Droit de voir les deux parents, droit des enfants à voir les 2 parents, droits, Droits de l'enfant, droits de visites, enfance, enfance bientraitée, enfance maltraitée, enfants otages, enfants soldats, espace rencontre, exclusion parentale, expertise, fonda conseil, fondaconseil, Fondaconseil Site Archamps Alliance A, francois hollande, gaelle dutordoir, garde des sceaux, géologie, Géotechnique, Grenoble, Guillaume de Nogaret, Henri François d'Aguesseau, humilité, inavem, intervention judiciaire et sociale, intervention sociale, isolation parentale, jacques toubon, JAF, jctavernier, Jean Foyer, jean-claude tavernier, jeanclaudetavernier, joie, juge aux affaires familiales, Juge pour enfants, lien parent-enfant, lieu d'accueil, lieu de rencontre, lieu médiatisé, lieu neutre, lieu rencontre, lieux médiatisés, lieux neutres, Lucky Luke, maltraitance psychologique, manipulation morale, Marlioz, Martin Lamotte, Marylise Lebranchu, médiateur, médiation familiale, Michèle Alliot-Marie, Michel de L'Hospital, Michel Debré, milieux médiatisés avec interdiction de sortie, MJTD, Obélix, Opidae, Patrice Minet, Patrick Blachère, pédopsychiatre, pédopsychiatrie, perversion, Philippe Manesse, Place du Palais-de-Justice, point relais, point rencontre, points relais, points rencontres, Pole emploi, Professionnels de la santé, psychanalyse, psychiatrie, psychologie, psychologue, Rachida Dati, reaap74, relais rencontre, René Pleven, rencontre familiale, Rhône-Alpes, Robert Badinter, rupture du lien parent-enfant, salvigny, séparation, setsol, sexologie, sexologue, sondage, sophie la girafe, souffrance, souffrance des enfants, TGI de Bonneville, thonon les bains, tierce médiation, tiers médiateur, tour de salvagny, Tribunal de grande instance de Bonneville, usg, vallée de l'arve, via 74, Ville-la-grand, Vincent Belot, visite parent | 9 commentaires

9 Réponses

  1. sur 11 octobre 2016 à 15 h 04 min Christelle L

    Il avait obtenu que je vois mes enfants en milieu médiatisé, j’ai accepté. Lui c’était pour m’humilier encore plus, moi pour pouvoir voir mes enfants dans un environnement sain (sans lui). Le temps et les visites m’ont donné raison, je n’étais effectivement pas dangereuse. Si l’autre propose un droit médiatisé, acceptez sans hésiter. Gardez à coeur que vous le faites pour renouer ou conserver vos liens, le reste importe peu ! Courage !


  2. sur 8 juillet 2014 à 7 h 54 min Yan Manuel Lopez

    Le « docteur » PATRICK BLACHERE
    est également cité dans cet article inquietant
    http://www.ssbtractor.com/wwwboard/view_all.cgi?bd=lawn&msg=4743
    A partager massivement


  3. sur 21 avril 2014 à 16 h 02 min AffairesFamiliales

    Droits de visite non respectés : La cour de cassation déclare le Juge pour enfants et JAF fautifs pour avoir « commis un déni de justice » #jurisprudence

    « Un jugement du Tribunal de Grande Instance de Paris en date du 26 novembre 2013 (numéro de RG 12/09262) a attiré toute notre attention. Cette décision est importante car elle conduit à la condamnation de l’État suite à la demande d’un parent qui ne voyait plus régulièrement ses deux filles. »(ComiteCedif – 21/04/2014)

  4. sur 19 octobre 2013 à 12 h 56 min AffairesFamiliales @EnfantsDroits

    « Droits de visite médiatisés, la catastrophe est toujours là » (Maître Bogucki)

    « Le principe même du droit de visite médiatisé est de permettre à un enfant de voir un de ses parents dans un environnement sécure quand ce parent est considéré par la Justice comme dangereux pour l’enfant.

    La multiplicité des conflits parentaux a amené de nombreux parents, principalement des mères, à faire des demandes de droits de visite médiatisés correspondant souvent plus à leurs propres angoisses qu’à une réelle dangerosité envers l’enfant.

    Devant l’ampleur de ces conflits, certains juges ont cru voir dans cette possibilité une alternative efficace aux remises difficiles et aux reprises de contact.

    Depuis des années, les avocats attirent l’attention des magistrats sur le fait que ce système ne fonctionne pas, les centres médiatisés étant submergés et les personnels plus enclins à juger qu’à aider.

    Absence de disponibilité, report des rendez-vous fixés, refus de prendre en compte la douleur des pères ainsi éloignés de leurs enfants… tout y est pour créer de véritables poudrières.

    En outre les personnels de ces centres se montrent souvent très peu empathiques avec les pères concernés, les considérant comme des coupables et se comportant comme des gardiens de prisons.

    Résultat, des pères rendus fous furieux par l’institution.

    La Cour de Cassation a déjà plusieurs fois statué pour rappeler que l’on ne peut priver un père de son droit de visite et d’hébergement que pour autant qu’il soit dangereux de façon avérée envers son enfant.

    Encore faut-il que les magistrats tiennent compte de la réalité de ce que sont ces centres et limitent leurs décisions aux cas les plus graves.

    Quand aux associations gestionnaires de ces centres, il conviendrait que la DDASS et le Minisitère de la Justice se penchent un peu plus sur leurs compétences.
    « (avocats.fr – 18/10/2013)


  5. sur 29 mai 2013 à 18 h 12 min AffairesFamiliales @EnfantsDroits

    Nantes : Serge Charnay va bientôt pouvoir revoir son fils

    « L’ancien informaticien, qui avait grimpé sur la grue jaune de l’île de Nantes en février pour médiatiser son combat pour revoir son fils, avait rendez-vous lundi avec un juge aux affaires familiales. La nouvelle est plutôt bonne, même si Serge Charnay a l’air partagé. Lundi, il a eu rendez-vous dans le bureau du juge aux affaires familiales à Nantes, en compagnie de la mère de son fils Benoît.

    Le magistrat lui a proposé de revoir son fils, à la condition que les entrevues se passent dans les locaux d’une association spécialisée. « La demande devrait être formalisée d’ici à la semaine prochaine », explique l’ancien informaticien. « Si tout va bien, je vais pouvoir voir Benoît dans 15 jours. Ce père de 43 ans ironise gentiment?: « Il y a eu une espèce de miracle administratif, qui fait que j’ai été reçu trois mois seulement après ma descente de la grue. En temps normal, j’aurai dû attendre six mois ». Cette proposition est une première porte de sortie. Qui toutefois ne le satisfait pas complètement?:

    « Voir son enfant entre quatre murs, et devoir prouver à tous qu’on est un bon père… C’est abominable », explique-t-il. « Mais je n’ai pas le choix?: il faut en passer par là, c’est la seule solution offerte. » « Je vais essayer cette voie »
    (Metronews – 28/05/2013)

    « Courage Serge, Nombreux sont les mères et pères qui subissent cette humiliation non nécessaire. Maudits soits ceux qui ne font rien ou qui laissent faire, car des souffrances des pères et mères, il y a aussi celles des enfants. Ceux qui regardent « passer les trains » se couvrent de honte. Ces situations sont totalement inacceptables dans la plupart des cas. Il est grand temps que les français prennent conscience de ce qui passe derrière le rideau. Cela ne peut plus durer. Courage Serge. (Un ami m’a rappelé : La souffrance est expiatoire et l’humiliation te sanctifie. Aides ceux que tu croiseras et qui n’auront pas ta force et ton courage, dans cette épreuve) »


  6. sur 19 mai 2013 à 17 h 52 min AffairesFamiliales @EnfantsDroits

    Persécution d’un parent par les sévices sociaux

    « Le drame de Sandrine Chastan, déjà relaté ici, se double d’une sorte de « prostitution institutionnalisée » pour cette mère qui doit désormais payer pour voir ses jumeaux une fois par mois.

    Pour avoir accusé un proche d’un présumé inceste contre deux de ses enfants, ses jumeaux lui ont été retirés.

    Un jugement du 21 juin 2012 à Castres lui a octroyé le droit de les rencontrer une fois par mois pendant deux heures.

    Lieu désigné pour ces visites, le centre social Aramis à Clermont-Ferrand a mis près d’un an à les organiser.

    Sandrine a dû entamer un nouvel appel en justice à Toulouse pour obliger ce centre, longtemps réfractaire, à céder.

    Cette mère privée de ses enfants les retrouvera enfin le 22 mai à Aramis en présence d’éducateurs et sans la moindre intimité.

    Dans le dernier courrier d’Aramis, elle a appris qu’elle devrait régler 13 euros de frais à chaque visite mensuelle de 2 heures.

    Ainsi donc Sandrine, déjà ruinée par ses actions en justice, va devoir PAYER pour voir le fruit de ses entrailles.

    « Il s’agit d’une prostitution institutionnalisée », m’a déclaré cette mère davantage combative à chaque nouvel outrage.

    Ses frais et pénibilité de voyage (12 heures de voiture aller-retour, essence, péages et hôtel) n’étaient pas suffisants(…)

    On aurait voulu la pousser au suicide ou à toute autre initiative malheureuse qu’on n’aurait pas agi autrement. (…) »

    (Jacques Thomet sur Pédopolis – 19/05/2013)


  7. sur 11 janvier 2013 à 14 h 42 min alcouffe

    C est très intéressant ce que vous écrivez mais comment agir si on est seule, face une institution qui nous certifie que nous, parent aliéné, avons tort de nous tourner vers des avocats pour porter des plaintes qui n’ont pas de suite. Il reste quoi pour agir à part rester en vie et voir tout le mal et la souffrance de notre enfant en étant impuissant face a cette réalité qui est un crève cœur surtout si on a de petites ressources ? Appeler à l aide qui ? …..


    • sur 11 janvier 2013 à 19 h 06 min AffairesFamiliales @EnfantsDroits

      Quoi Faire ?

      Bon courage, vous n’êtes pas seule. Il ne faut pas se résigner et au contraire, bousculer le mamouth… Le problème est global, c’est un problème de société : la décadence. Quand on en arrive à un point où certaines personnes deviennent incapables de discerner le bon de grain de l’ivraie, on touche là, un fond. A chacun de se retrousser les manches, à son rythme et avec ses moyens pour tenter d’inverser la tendance…

      Une page « quoi faire ? » est dédiée, essentiellement aux parents victimes d’exclusion parentale via des séparations conflictuelles mais d’une manière générale, elle peut également s’adresser aux autres et les encourager dans leur épreuve à rentrer dans un combat constructif pour l’ensemble des cas similaires au travers notamment de la diffusion d’infos et au delà du premier cercle des seuls concernés… :
      https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/11/que-faire-pour-enrayer-ces-souffrances-inutiles/

      Sinon voir également sur le site très intéressant du comitecedif qui dresse un état des lieux qui prend en compte la problématique de l’ASE :
      http://comitecedif.wordpress.com/

      Car ici, il n’y a guère qu’une petite rubrique aux services sociaux (sinon quelques articles de temps en temps), mais insuffisante pour être bien représentative :
      https://affairesfamiliales.wordpress.com/services-sociaux/

      Bon courage !


  8. sur 5 mars 2012 à 17 h 19 min comitecedif

    Très bon article et qui complète le notre. Nous devrions lancer des actions ensemble, vous pouvez me contacter à [XXXXX@XXXXXX]



Commentaires fermés

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