Psychiatrie : La mise sous drogues des enfants est une industrie de 4,8 milliards de dollars.
« 20 millions de gamins et d’adolescents (1 sur 4 env.) sont étiquetés avec des “troubles mentaux” qui sont basés uniquement sur une liste récapitulative de comportements. »
« Il n’y a pas d’examens du cerveau au scanner, pas de rayons X, pas de tests génétiques ou sanguins prouvant qu’ils sont “malades mentaux”, et pourtant ces enfants sont stigmatisés pour la vie avec des troubles psychiatriques, et on leur prescrit des drogues psychiatriques dangereuses qui mettent leur vie en danger. La mise sous drogues des enfants est une industrie de 4,8 milliards de dollars. Voici les faits sur cette industrie qui génère des milliards de dollars en étiquetant et droguant les enfants pour le profit. »
Aux USA (qui semble avoir abusé depuis bien trop longtemps de ces posologies ou du fluor ?), Le département de police détache 1 unité d’intervention (SWAP) afin d’encercler une habitation et ainsi convaincre une mère de donner la posologie à sa fille !? (l’histoire ne dit pas quel est le service pour les enfants qui refusent de manger leur soupe ?)
Le DSM-5 décrédibilisé par la main mise des dealers de psychotropes
Dérives aux USA ? « Psychiatrie – La vérité sur ses abus » + d’infos : http://www.ccdh.fr
« Si on nous avait dit la vérité à propos des effets dangereux des drogues psychiatriques, notre fils serait encore en vie ». (Celeste Steubing)
« Produit par les créateurs des longs métrages primés Profits macabres : l’histoire cachée des drogues psychiatriques et Le marketing de la folie : sommes-nous tous fous ?, ce nouveau documentaire virulent dénonce les effets dévastateurs, et même mortels, que les drogues psychiatriques peuvent avoir sur les enfants et leur famille.
Accompagnée de sinistres statistiques de décès, de suicides, d’infirmités de naissance et d’autres réactions négatives, l’utilisation de médicaments psychiatriques se répand à une vitesse fulgurante. Ce film montre la face humaine de ce phénomène : l’histoire affligeante des ces gens courageux qui ont payé l vrai prix. « (prorussia – 23/12/2013)
« La médecine s’occupant de la folie se nomme PSYCHIATRIE.
Comment marche-t-elle ?
Elle boitille et tâtonne depuis 2 siècles. Erreurs et stagnation … toute une histoire…
Au dix-neuvième siècle, à ses tout débuts, la psychiatrie confondait épilepsie et folie. Elle a compté au rang des sources de folie : l’éducation vicieuse, la superstition , la satiété des jouissances, les lectures érotiques, le désoeuvrement ou les excès vénériens. (…) » (source & suite: ComiteCedif – 03/12/2013)
Le CDC a annoncé que 20% des enfants américains sont maintenant considérés comme ayant une maladie mentale, annonce faite au moment de la sortie officielle du DSM-5
»
« C’est inquiétant, vraiment très inquiétant. Je travaille auprès des enfants et des familles depuis plus de 15 ans et c’est absolument débile de constater le manque de rigueur scientifique des médecins qui, en une seule rencontre de 30 minutes, arrivent à diagnostiquer un trouble « neurologique » (…) » (naturalNew traduction cdp – 01/06/2013)
Message d’un internaute à propos de la "psychanalyse dogmatique"
Bonjour
Depuis quelques temps, on voit des parents escalader des grues pour se faire entendre, pour que leurs enfants et ceux des autres puissent enfin bénéficier du droit qui leur est fait d’être éduqués par les deux parents, tel que le prévoit la CIDE (convention internationale des droits de l’enfant). Ces parents désespérés pointent du doigt le système judiciaire du divorce. Parfois, ils invoquent une sorte de complot féminin sous prétexte que les JAF sont majoritairement féminins…
Je ne suis pas de leurs avis. Je pense que si les JAF étaient majoritairement masculins, les décisions de justice seraient sensiblement identiques. Il se trouve que les JAF sont conseillé(e)s dans leurs approches… Ils appuient leurs décisions sur la base d’expertises psychologiques et tiennent compte des notions qu’ils ont reçu dans le cadre de stage de « psycho/psychanalyse » (connaissances très superficielles mais péremptoires). Ces stages sont parfois animés par des psychanalystes et/ou des psychologues d’obédience psychanalytique.
Je vous rappelle que la psychanalyse a déjà fait l’objet d’une condamnation par la HAS (Haute Autorité de la Santé) dans le cadre de l’autisme. La psychanalyse a donc déjà été condamnée pour charlatanisme !
Si ce sujet vous intéresse, je vous suggère de lire l’argumentaire ci-dessous…
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LA RESIDENCE ALTERNEE (RA)
Les psychanalystes dogmatiques
Les psychanalystes dogmatiques invoquent la hiérarchisation des rôles parentaux, le rôle maternel prévalant sur le rôle paternel, alors qu’aujourd’hui il est démontré et soutenu par les psychologues contemporains que cette hiérarchisation n’existe pas (Raphaële Miljkovitch, Blaise Pierrehumbert, Jean Le Camus, Michael E. Lamb, Mylène Hubin-Gayle, Elisabeth Fivaz-Depeursinge, Mary Main, Donna Weston, Paul Archambault, etc.). Les deux parents sont aussi importants l’un que l’autre pour des raisons différentes et complémentaires.
Certains autres psychanalystes (les moins dogmatiques) admettent cette évolution de la connaissance. Il n’y a pas de hiérarchisation des rôles parentaux : Guy Corneau, Serges Hefez, Stéphane Clerget, etc.
A ce titre, je vous relate les propos de Guy Corneau (psychanalyste « non dogmatique ») dans « Père manquant Fils manqué », Edition de l’Homme, 1989 page 26 : « Les psychologues [Ndlr : En fait, l’auteur fait référence aux psychanalystes puisque ce qui suit relève des dogmes de la psychanalyse] ont cru jusqu’ici que le rôle du père débutait à la troisième ou à la quatrième année de l’enfant, quand celui-ci pouvait parler. Les psychanalystes sont parfois allés jusqu’à interpréter comme une frustration bénéfique et nécessaire la semi-présence du père dans la famille. Or les trente dernières années de recherches en psychologie du développement ont réservé bien des surprises à leurs auteurs. Aux Etats-Unis et en Norvège, plusieurs études, conduites auprès de populations de garçons qui présentaient des problèmes, ont abouti à des conclusions similaires, qui bouleversent bien des croyances: c’est au cours des deux premières années de leur existence que les garçons ont absolument besoin du père.« .
Conséquences en France
En France, une loi de 2002 était censée promouvoir la RA, tout en laissant son application à l’appréciation des Juges aux Affaires Familiales. La réalité est restée dramatique (voir les preuves dans le dossier intitulé Annexe en PJ*) :
1) – la résidence alternée des enfants de parents séparés n’est accordée qu’à la hauteur de 17% environ alors que cette disposition a été placée en tête dans le code civil pour bien insister sur le fait que la RA constitue la priorité dans le choix des modes de garde (Débats parlementaires 2002).
2) – 34% des enfants du divorce ne voient plus du tout leur père (Rapport parlementaire N 2832 du 25 janvier 2006 relatif a la famille et aux droits des enfants).
3) – environ 1000 pères de famille se suicident chaque année suite à la perte de leurs liens affectifs avec leurs enfants (Travaux préparatoires à l’élaboration du Plan Violence et Santé en application de la loi relative à la politique de santé publique du 9 août 2004).
4) – Délinquance, violence, drogue, alcool et échec scolaire (il existe une abondante documentation, notamment anglo-saxonne, sur ce sujet).
Les psychanalystes dogmatiques
Les « spécialistes » les plus farouchement opposés à la résidence alternée sont généralement psychanalystes :
– Jean-Yves Hayez, psychanalyste,
– Yvon Ghauthier, psychanalyste,
– Maurice Berger, psychanalyste,
– Pierre Delion, psychanalyste,
– Eugénie Izard, psychanalyste,
– Lévy-Soussan, psychanalyste,
– Bernard Golse, psychanalyste,
– Catherine Jousselme, psychanalyste,
– Thomas Berry Brazelton, psychanalyste,
– Stanley Greenspan, psychanalyste,
– Albert Ciccone, psychanalyste,
– Hana Rotman, psychanalyste,
– Nicole Guédeney, psychanalyste,
– Catherine Dolto, psychanalyste,
– Les principaux membres de la WAIMH sont également tous psychanalystes,
– etc.
Prochainement (le 8 avril 2013) l’APPEA (comme la WAIMH l’a déjà fait) se réunira pour débattre des inconvénients de la RA (uniquement des inconvénients !). Les principaux intervenants de cette réunion sont tous psychanalystes !
Les dogmes de la psychanalyse
Il est possible de consulter des cours de psychanalyse à cette adresse : http://psychiatriinfirmiere.free.fr/infirmiere/formation/infirmier/psychologie/cours.htm (lire : Stade phallique vers 4 ans). Par exemple, on dit que l’enfant ne découvre l’existence de son père vers l’âge de 4 ans à travers le regard de sa mère !!! Les propos relatés à ce paragraphe sont contredits par la psychologie contemporaine. L’enfant prend conscience de l’existence de son père avant sa naissance. Il est d’ailleurs conseillé aux papas de parler à leur bébé lorsqu’il est encore au stade de foetus.
Françoise Dolto, psychanalyste, (voir le document intitulé Annexe en PJ*) prétend que les pères qui s’occupent de leurs enfants avant 18 mois manquent de virilité et que ce n’est pas le rôle d’un homme de s’occuper de son enfant, entre autres !
Aldo Naouri, psychanalyste, (voir l’interview en PJ*) prétend que le père est un être atomisable, remplaçable et qu’une grand-mère peut très bien jouer le rôle du père ! etc.
Il se déduit de l’examen de ces documents qu’un psychanalyste dogmatique ne peut pas être favorable à la RA, tout simplement parce que les dogmes de la psychanalyse ne le permettent pas. Aussi, les controverses oiseuses sur la résidence alternée des enfants n’aurait probablement pas la même consistance aujourd’hui si la psychanalyse n’existait pas !
Il est à noter que Maurice Berger (psychanalyste) écrit dans le 1er livre de Jacqueline Phélip (présidente d’une association prônant la hiérarchisation des rôles parentaux) que les études (sur la RA) qui sont fiables sont celles menées, entre autres, par des psychanalystes (voir l’extrait du Livre Noir de la Garde Alternée en PJ*)… Il est aisé de conclure que Maurice Berger (psychanalyste) avait compris très tôt, dès 2005, que les avis des psychanalystes divergent de ceux des psychologues contemporains. Par cette affirmation, il fait du protectionnisme et trahit qu’il avait perçu avant nous ces positions antagonistes entre psychanalyse et psychologie.
Les dégâts provoqués par ces dogmes psychanalytiques sur la RA, s’ajoutent ainsi aux autres catastrophes de même origine récemment mises à jour comme le scandale de l’autisme, dans lesquels sont impliqués fréquemment les mêmes « ténors » cités ci-dessus.
Mensonges et Arnaque
Maurice Berger (psychanalyste) et Jacqueline Phélip ont co-rédigé un deuxième ouvrage qui s’intitule : « Divorce – Les enfants sont-ils protégés ? ». L’éditeur Dunod a présenté au grand public ce livre comme un ouvrage scientifique destiné à tordre le cou aux préjugés : http://telematin.france2.fr/?page=chronique&id_article=37321 !!! Ce livre regroupe les « meilleurs arguments » anti-RA des psychanalystes dogmatiques. Bernard Golse (psychanalyste) et Maurice Berger annoncent dès la préface que ce livre dresse l’état de la connaissance en matière de RA au nom des « Sociétés Savantes »… Visiblement, Maurice Berger et Bernard Golse semblent exclure de la notion de « Société Savante » une bonne partie de la communauté des psychologues contemporains puisque ceux-ci sont tous occultés dans cet ouvrage et que 9/10ème des publications prouvent que la RA est préférable à la garde exclusive !
La psychologue contemporaine et chercheur J.B. Kelly se trouve, elle, citée plusieurs fois dans la deuxième partie de ce livre (destinée à nier l’existence du syndrome d’aliénation parental) alors qu’elle n’est jamais citée dans la première (destinée à décrédibiliser la RA)… Le problème pour les auteurs de ce livre est que J. B. Kelly est particulièrement favorable à la RA… Elle est à l’origine de nombreuses études qui prouvent que la RA est préférable à la garde exclusive.
D’ailleurs, voici ce que J. B. Kelly écrit sur la psychanalyse (voir page 36 dans Children’s Living Arrangements Following Separation and Divorce: Insights From Empirical and Clinical Research de Joan.Kelly) : « This maternal preference was reinforced by untested psychoanalytic theory that focused on the exclusive importance of the mother, early child development research that focused solely on mothers and children, and early separation research of British wartime and hospitalized children, which reported the dangers of prolonged separation of children from their mothers. These various influences shaped the development of ‘‘visitation’’ guidelines, both formal and informal, that were adopted by courts to assist judicial decision-making.«
Conclusion
Aujourd’hui, des psychanalystes dogmatiques conseillent des juges dans le cadre des affaires divorces pour aider les juges à prendre position lorsqu’il est question de garde d’enfants. Ils assurent pour eux des formations au sein desquelles ils prônent encore la hiérarchisation des rôles parentaux ! Cette hiérarchie n’existe pas ! La psychanalyse tue environ 1000 pères de familles par an et fait souffrir des millions d’enfants.
Je vous suggère d’interroger la Haute Autorité de la Santé pour garantir au peuple français que la psychanalyse est recommandée lorsqu’il est question de parentalité et d’intérêt de l’enfant…
Les choses s’aggravent aussi aux USA – après 13 ans d’étude la ‘bible’ de la psychiatrie vient de finaliser les ‘ Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders – DSM… http://healthland.time.com/2012/12/03/redefining-crazy-the-bible-of-psychiatry-changes/ ..
Il est triste de constater que les enfants de nos jours ne sont plus épargnés par les CARTELS scientifiques de haute voltige.
L’inventeur de la maladie fictive TDAH, se désavoue #psychiatrie
« la TDAH est un excellent exemple de maladie fictive » (Le découvreur, Dr Eisenberg)
« Le psychologue de Harvard, Jérôme Kagan, qui est l’un des plus grands experts mondiaux sur le développement de l’enfant, a déclaré : « Revenons 50 ans en arrière. Nous avons un enfant de 7 ans qui s’ennuie à l’école, et perturbe les cours. A cette époque-là, on disait qu’il était paresseux. Aujourd’hui, on dit qu’il souffre de TDAH. Tout enfant qui ne réussit pas à l’école est envoyé voir un pédiatre, et le pédiatre dit « C’est le TDAH, voici de la Ritaline ». En fait, 90 % de ces 5,4 millions d’enfants n’ont pas un métabolisme anormal de la dopamine. Le problème est que si le médicament est disponible pour les médecins, ils feront le diagnostic correspondant.
Grâce aux ventes pharmaceutiques, le Dr Eisenberg a mené une vie luxueuse grâce à cette « maladie fictive ». Ce médecin a également reçu le « Ruane Prize pour la Recherche de la Psychiatrie des Enfants et des Adolescents. Il a été un chef de file en pédopsychiatrie pendant plus de 40 ans par le biais de son travail dans les essais pharmacologiques, la recherche, l’enseignement et la politique sociale et pour ses théories sur l’autisme et la médecine sociale, » selon la revue Psychiatric News.
Le psychologie américain Lisa Cosgrove et d’autres révèlent les faits dans leur étude « Liens financiers entre les membres du Groupe du DSM-IV (1) et l’Industrie Pharmaceutique ». Ils ont constaté que « sur les 170 membres du groupe, 95 (soit 56 %) avaient un ou plusieurs liens financiers avec des compagnies de l’industrie pharmaceutique. 100 % des membres des groupes sur les ‘troubles de l’humeur’, et ‘schizophrénie et autres troubles psychotiques’ avaient des liens financiers avec l’industrie pharmaceutique ». (2)
Marc-André Gagnon et Joel Lexchin, chercheurs de longue date de la promotion pharmaceutique, ont réalisé une étude qui montre que l’industrie pharmaceutique a dépensé 24,4 % des ventes en dollars sur la promotion, contre 13,4 % pour la recherche et le développement en 2004. Ce qui signifie que presque deux fois plus d’argent sont consacrés à pousser les gens à acheter le produit qu’à faire de la recherche pour s’assurer que ces médicaments sont sans danger !
Le Dr Edwards C. Hamlyn, un membre fondateur du Royal College of General Practitioners, (Institut Royal des Médecins), a déclaré en 1998 « Le TDAH est une fraude pour justifier le début d’une vie d’addiction aux médicaments chez des enfants ».
Références:
(1) DSM : Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders
DSM-1 en 1952 (1ère édition): il diagnostique 60 pathologies différentes (une centaine de pages)
DSM-2: 145 pathologies.
DSM-3 en 1980: 292 pathologies (567 pages).
DSM-4 en 1994: 410 pathologies (1002 pages).
DSM-5 en 2013: 450 pathologies.
« Cette nouvelle version du manuel fait l’objet de nombreuses critiques selon lesquelles il présente des classifications arbitraires et sans fondement scientifique et sert les intérêts des laboratoires pharmaceutiques ». http://fr.wikipedia.org/wiki/DSM-5
(2) Lisa Cosgrove, Sheldon Krimsky, Manisha Vijayaraghavanan, Lisa Schneider, « Financial Ties between DSM-IV Panel Members and the Pharmaceutical Industry » Psychotherapy and Psychosomatics 2006;75(3):154-60
MAJ : Le département x de la police détache 1 unité d’intervention (SWAP) pour contraindre une mère de donner la posologie médicale à sa fille (cf. vidéo dans l’article)
Sauf s'il s'agit de gérer les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant), il faut faire le constat d'une structure d'arbitrage qui n’est actuellement pas adaptée au conflit parental.
« Si on nous avait dit la vérité à propos des effets dangereux des drogues psychiatriques, notre fils serait encore en vie ». (Celeste Steubing)
« Le temps détraqué des psys »
Le CDC a annoncé que 20% des enfants américains sont maintenant considérés comme ayant une maladie mentale, annonce faite au moment de la sortie officielle du DSM-5
Dérives aux USA ? « Psychiatrie – La vérité sur ses abus »
! Ames sensibles s’abstenir !
Message d’un internaute à propos de la "psychanalyse dogmatique"
Les choses s’aggravent aussi aux USA – après 13 ans d’étude la ‘bible’ de la psychiatrie vient de finaliser les ‘ Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders – DSM… http://healthland.time.com/2012/12/03/redefining-crazy-the-bible-of-psychiatry-changes/ ..
Il est triste de constater que les enfants de nos jours ne sont plus épargnés par les CARTELS scientifiques de haute voltige.
L’inventeur de la maladie fictive TDAH, se désavoue #psychiatrie
« la TDAH est un excellent exemple de maladie fictive » (Le découvreur, Dr Eisenberg)
MAJ : Le département x de la police détache 1 unité d’intervention (SWAP) pour contraindre une mère de donner la posologie médicale à sa fille (cf. vidéo dans l’article)