Feeds:
Articles

Posts Tagged ‘professeur’


« Pauline Fourment, 12 ans, habite chez ses parents avec ses deux jeunes frères de 10 et 11 ans. Ce détail semble aller de soi, mais vu les pressions en faveur de création de poste à l’aide sociale à enfance, cela ne l’est plus tant que cela.

La famille habite à Eleu dit Leauwette, entre Lens et Liévin. Les vacances de Noël 2011 vont donner un répit au cauchemar de Pauline, car celle-ci vit un véritable calvaire dans son collège.

Le collège Jean Jaurès de Lens est classé Zone d’Éducation Prioritaire, ce n’est donc pas un collège paisible, mais un établissement de 600 élèves dans lequel des phénomènes de violence peuvent survenir et nécessitent une surveillance de toute la communauté éducative. Pauline est une bonne élève plutôt timide. Elle se serait ouverte de ses « difficultés » à d’autres élèves notamment auprès d’une assistante sociale.

Difficultés est un euphémisme, dès son arrivée à la rentrée 2011 en classe de sixième, Pauline est l’objet de moqueries et d’un surnom peu affectueux : « Crapette », elle ne réagit pas et devient le bouc-émissaire d’une bande de racailles que ce soit dans la classe ou dans la cour de récréation. Cela commence par des chaises retirées sous elle, des opérations coulage à la piscine, en novembre 2011 de petites ordures vont lui cracher dessus, la jeter à terre et lui administrer des coups de pied.

Pauline en garde des traces sur le corps. Ces coups sont constatés par un médecin et Béatrice, la maman, en tire des conséquences. Cela ne va pas au collège, elle prend rendez-vous avec le principal qui ne voit là qu’un « incident sans lendemain ». Comme si la communauté éducative n’avait jamais rien vu !

Face à cette situation Pauline retourne à l’école la mort dans l’âme, ses résultats se sont dégradés fortement, elle tente d’échapper à cette horrible réalité en se réfugiant dans une vie virtuelle à travers les jeux video, l’ordinateur, la wii. Elle attend avec impatience les week-ends, les vacances.

Les brimades ne cessent pas, quelques petites connes vont la persécuter à la cantine, là elle décide que c’en est trop. On était alors proche des vacances de Noël.

Pauline ne peut pas supporter l’idée de retourner vers l’enfer du collège. Elle préfère mourir !!! Ce soir du 2 janvier 2012, les enfants vont se coucher plus tôt et elle dit tout simplement à ses frères qu’elle ne veut pas retourner au collège. De telles paroles ne peuvent pourtant présager de son geste fatal, elle termine une partie de wii avant de faire mine de se coucher. Elle écrit ensuite un mot : « Papa et maman, je vous aime, mais je ne veux plus aller au collège, ça me fait trop mal ». Elle attend que tout soit calme en bas, que ses parents soient couchés. Puis, elle s’empare du fusil de chasse calibre 12 de son père. Pauline se donne la mort à 23h15 en se tirant une balle dans la bouche, la scène à laquelle sont confrontés papa, maman, alertés par la détonation est insoutenable. Le parquet de Béthune évoque bien un suicide. Un suicide à 12 ans.

Les parents et les petits frères, extrêmement choqués ont dû être hospitalisés dans la nuit du mardi. » (comitecedif)

« Ce n’est pas la première fois que de tels drames surviennent, selon l’Inserm, 37 enfants et pré-adolescents sont décédés par suicides en 2009. Ce drame nous fait penser à Noélanie, tuée par un autre élève (http://comitecedif.wordpress.com/2011/04/04/pour-noelanie/). Dans cette nouvelle affaire, on retrouve bien des points communs et notamment un « circulez y a rien à voir » de la part de la direction de l’établissement, puisque le rectorat annoncera à l’AFP que « le chef d’établissement n’a jamais eu de retour qui indiquerait que cette élève aurait été victime d’agression ou de harcèlement. » Il mentionnera aussi « l’excellent travail de prévention » effectué par le chef d’établissement, on peut effectivement juger des résultats de cet excellent travail ! Pascal Decaix, le principal osera d’ailleurs déclarer que Pauline était une élève bien intégrée.

Il est temps maintenant de rendre des comptes, dans l’affaire Noélanie les responsabilités établies n’ont encore pas données les suites attendues. Ici également il faut réagir aussi et aller jusqu’au bout, déjà les langues se délient. «Les élèves en difficulté ne sont pas signalés par les professeurs. En début d’année, à la cantine, un élève a voulu poignarder mon fils avec un couteau de cuisine», dénonce un père de famille sur Europe 1. Les parents de Pauline ont décidé de poursuivre le principal pour « diffamation » et « non-assistance à personne en danger ». Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs, d’autres familles entendent poursuivre dont deux autres mères qui témoignent avoir dû retirer leur fille du collège Jean Jaurès suite à des brimades, des menaces de mort, des coups en pleine salle de classe dont elles ont été victimes, cela sans que le principal ne daigne réagir selon leurs propos. »

source : comitecedif

Analyse de Marion Sigaut qui dénonce « le triomphe de la barbarie » dans l’Affaire Marion. « L’école devant non plus le lieu du savoir mais le le lieu de tous les dangers »


Accueil, A proposSommaire, plan de site, catégories des articles Les PROS sonnent l alarme loi, jurisprudence et moyens preventifsTous les articles Checklist - discerner la calomnie Links, ContactsJournal de bord

Read Full Post »


La question de la légalité et de la légitimité dans les vaccinations de masse des enfants

Dans un contexte où les montages juridiques imposent aux fonctionnaires et personnels médicaux à ne plus pouvoir trouver de parades pour ne pas participer aux vaccinations de masse (et en particulier celles sur les enfants) ; un article paru récemment questionne le risque de la culpabilité après coup pour ceux qui obéissent en toute quiétude à des lois ou règlements qui pourraient être considérés ultérieurement comme « non légitimes » …

Cela renvoie donc directement aux épisodes de jugements pour complicité de crimes perpétrés sous la collaboration et dont les principaux acteurs n’ont pu se dédouaner juridiquement même en arguant du prétexte qu’ils agissaient dans un contexte légal (ou sous les ordres) ; leurs actions ayant été reconnues comme parfaitement illégitimes après coup…

« Je souligne toujours l’écart entre légalité et légitimité. Je considère la légitimité des valeurs plus importante que la légalité d’un État. Nous avons le devoir de mettre en cause, en tant que citoyens, la légalité d’un gouvernement. Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c’est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir ». (Stéphane Hessel, Conseil National de la Resistance)

Du coup, un certain nombre de praticiens et fonctionnaires ont l’impression d’être pris dans un étau : celui du respect des lois et règlements d’un côté et celui de la légitimité de leur participation pouvant être décriée ultérieurement. N’existe-t-il donc vraiment aucun moyen légal de refuser une participation à ce qu’ils considèrent être illégitime ?

Voici, le texte qui soulève cette question juridique…

[Face à un ] « fonctionnaire zélé [qui] (…) exige « parce que c’est la loi » que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ? » (source )

Réponse:

1°) Cessez d’abord d’avoir des scrupules. Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être :

a) qu’un ignorant.

b) ou le complice d’une grave infraction pénale.

a) Un ignorant :

Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d’avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d’articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?

b) le complice d’une infraction pénale : on nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n’a cessé de dire qu’il appliquait la Loi et rien d’autre, et tous les politiques, à cette occasion, n’ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s’y conformer. Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l’inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu’ils sont chargés d’exécuter la Loi, et que, même s’il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n’est pas son problème, car « C’est la Loi ».

Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d’informer sa hiérarchie qu’il existe un problème sérieux, et qu’on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n’en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche.

Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l’amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l’on ne prenne des mesures) etc., …de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .

2°) Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d’échapper à l’empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu’ils ne puissent plus jamais dire à l’avenir qu’ils ne savaient pas :

A – Imprimer les pages de ce site ou du livre VACCIN, mais alors on nous aurait menti ? Jean-Pierre JOSEPH Edition Poche Vivez Soleil: à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu’à la fin de la réponse à la question n° 19.

B – Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d’autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C – Écrire à l’autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d’Académie, Conseil Général, Directeur d’école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

«Monsieur l’Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l’Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, « La santé Publique en otage », Éd. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’Hépatite B.

Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l’école…

Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:

I – OBSERVATIONS :

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l’ empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

  • Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
  • Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
  • En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :

  • Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,
  • Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l’apparition du Sida,

  • Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’ils sont censés prévenir !
  • Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité…

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d’environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d’entre eux n’a fait l’objet du moindre démenti.

La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l’Arrêté du 28 février 1952.

Or, jamais une seule vérification n’est proposée aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

La France est le seul pays d’Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde…

En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faites.

Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd’hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n’a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd’hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d’un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.

Je précise qu’aucun d’entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d’être hypnotisé ou décérébré…

Vous trouverez également la couverture d’un certain nombre d’ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS:

Les conséquences que l’on peut tirer de l’ensemble de ces informations sont les suivantes :

  • Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
  • Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
  • Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
  • Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III – MES QUESTIONS:

1°) Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?

2°) La Loi, et notamment, l’Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c’est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l’on veut administrer à l’enfant n’est pas dangereux pour lui.

Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s’agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m’en fait obligation) ? :

  • a) Ionogramme complet, dosage de l’urée,
  • b) Lipidogramme,
  • c) Bilan endocrinien,
  • d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
  • e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
  • f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps,
  • g) Bilan radiologique:
    • Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée,
    • Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd’hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins?

4°) L’ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l’appellation de « vaccins » n’empêchent pas de contracter la maladie.

Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.

Par conséquent, afin de respecter l’obligation vaccinale qui m’est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l’efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l’administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d’ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.

Afin de ne pas me rendre complice du crime d’administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c’est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d’aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J’indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m’obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». D’autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d’effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l’encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l’attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.


ANNEXES A MON COURRIER:

Liste d’ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC :

  • La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
  • La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
  • Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
  • Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
  • Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
  • La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
  • Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
  • Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
  • Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
  • Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
  • La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
  • La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
  • Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
  • On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
  • Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
  • A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
  • Les Vérités indésirables,
  • Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
  • L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
  • La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
  • Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
  • Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
  • La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
  • Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
  • Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
  • La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,
  • LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,
  • Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),
  • Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
  • 12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
  • Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
  • Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
  • Nous te protégerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
  • La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
  • La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

 

[ ] source de cette réponse : http://www.autreversion.info/Ne%20pas%20vacciner%20vos%20enfants%20tout%20en%20respectant%20la%20loi%20MODE%20D%27EMPLOI.htm

Autres aspects légaux :

Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

Art. 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant : Information des Patients. « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment« 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/01/vaccination-sur-enfants-les-fonctionnaires-pourront-ils-etre-condamnes/ 


Accueil, A proposSommaire, plan de site, catégories des articles Les PROS sonnent l alarme loi, jurisprudence et moyens preventifsTous les articles Checklist - discerner la calomnie Links, ContactsJournal de bord

Read Full Post »

On peut continuer à démolir les enfants : la justice ne va pas tellement s’y opposer…


C’est gratuit et c’est sans frais ! (…) On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer…
Ca c’est terrible !
(Maître Jean Pannier à propos de l’aliénation parentale)

NB : VIDEO : à la fin de l’article …
 

(..) En général, les magistrats n’aiment pas ça l’aliénation parentale : on a l’impression qu’ils se sentent dépassés par la gravité accumulée de cette aliénation comme si on avait atteint un point de non retour et que mis devant le fait accompli, ils ont décidé que ca ne servait à rien d’essayer de renverser la vapeur alors "on gère la misère".

Les parquets ferment les yeux d’ailleurs. Ils font des réquisitoires qui dépassent rarement trois lignes ; ils ne s’investissent pas dans les dossiers. De sorte que le traitement de ces affaires là, laisse largement à désirer. Et ça encourage ceux qui sont bien évidemment à l’écoute de ce genre de "laisser-aller".. Ca encourage à multiplier les cas d’aliénation. C’est gratuit et c’est sans frais !

On peut continuer à démolir les enfants, la justice ne va pas tellement s’y opposer.. Ca c’est terrible !

* Votre constat est consternant : Doit-on considérer qu’il y a une véritable démission de la justice face aux souffrances des enfants ?

C’est pas une démission chaque fois qu’un magistrat fait bien son travail, c’est à dire qu’il ne se contente pas des analyses de certains experts qui sont beaucoup trop consensuels…

A Paris, il y a quelques "experts maisons" qui sont redoutables en ce sens qu’ils prennent l’oreille du juge : ils essayent de savoir "où va le vent" et à ce moment là, on sait d’avance, quel sera le contenu des rapports. Ca c’est fabriqué sur-mesure…

* Vous insinuez qu’il y a une convenance entre le juge et l’expert ?

Oui bien sûr, ils se parlent au téléphone, ce qui normalement ne devrait pas avoir lieu. Mais manifestement, surtout pour les vieux magistrats, il y a belle lurette qu’ils se sont accommodés de ce genre de facilités et ca devient consensuel… et ca peut même remonter à l’échelon supérieur : on voit bien que ces "experts maisons" qu’on voit d’ailleurs venir en compagnie des mêmes magistrats dans les colloques, dans les séminaires où vous retrouvez les dignes représentants de l’Aide Sociale à l’Enfance…

Tout ça, c’est consensuel. Et ca se passe très bien, en ce sens qu’il n’y a pas de fausses notes… Donc si on a décidé que l’aliénation parentale "faut pas en parler" et bien, ils vont faire tout ce qu’il faut pour qu’on n’en parle pas.

Sauf qu’il y a des couacs : vous avez des magistrats (même au tribunal pour enfants de Paris) qui reconnaissent que l’aliénation parentale est un vrai problème et qui en tirent les conséquences au point de parfois même de décider de mettre un terme à des mesures d’assistance éducative qui n’ont servi à rien et qui sont même responsables d’avoir aggravé la situation !

* Ca discrédite complètement les expertises ?

Vous avez des experts tout à fait honnêtes et consciencieux mais il y a aussi les négationnistes. Il y a des gens qui vous disent carrément que "l’aliénation parentale, c’est une fumisterie inventée par un pédopsychiatre américain, le Dr Gardner". Ils ne veulent pas admettre que ca existe !

* Vous m’aviez cité un psychiatre du nom de Lopez ?

Oui, M. Gérard Lopez est venu un jour nous expliquer dans une conférence du barreau de Paris que "l’aliénation parentale c’est quelque chose qu’on a inventé de toute pièce mais qui n’existe pas". Ce monsieur enseigne à Paris, dans un institut de criminologie. C’est totalement incompréhensible qu’on le laisse encore venir étaler ce genre de théorie mais c’est la réalité. Et d’ailleurs, il avait suscité l’indignation de tous les avocats qui étaient présent.


« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique


* Est-ce que ça n’est pas une volonté alors ?

Vous savez vous avez des négationnistes dans d’autres domaines.. Parfois ces gens là sont déterminés… Un peu comme les parents qui veulent s’emparer d’un enfant quelques soient les conséquences sur l’enfant…

Il y a un vrai problème dans l’aliénation parentale, c’est que les experts qui ne la rejettent pas et qui admettent même qu’elle existe et qui en tirent les conséquences, qui attirent l’attention des magistrats : ces experts là sont pour l’instant peu nombreux ! Donc au départ, on est inquiet de cette difficulté. On a du mal à trouver des experts qui soient spécialisés sur l’aliénation parentale et en plus, les juges qui n’aiment pas l’aliénation parentale ne vont pas se précipiter pour nommer des experts spécialisés ! C’est un vrai problème !

* On tourne en rond ?

On tourne en rond et la justice est rendue à partir d’apriori. C’est à dire qu’… on nie l’existence de phénomènes qui sont gravissimes (pour l’avenir des enfants) !

 

***

A propos des scénarios des fausses accusations …

* En cas de maltraitance, le premier juge qui devrait être saisi, c’est le juge des enfants avant même le JAF ?

Le tribunal pour enfant, lui va être saisi à la suite d’un signalement : c’est à dire qu’un médecin va constater de mauvais traitements et va faire un signalement au procureur de la république (ou un service social ou toute personne qui peut avoir à donner son avis sur une situation qui n’est pas normale). Les parents de leur côté vont essayer avec plus ou moins de bonne foi dans certains cas de sensibiliser le tribunal pour enfant, vont s’adresser à un avocat qui va déposer une requête. Le magistrat aura à faire attention à ce que la requête soit légitime : est-ce qu’elle est fondée ; il faut faire un certain nombre de vérification..

* Ils peuvent le faire sans avocat d’ailleurs ?

En général, ils prennent un avocat (quand ils veulent arriver à leur fin). Et c’est là que ca devient plus compliqué voir plus dangereux. Les juges bien rôdés savent très bien que dans un certain nombre de cas, il faut savoir dire NON : parce qu’il y a un scénario qui se met en place et le juge va servir d’instrument.

Malheureusement, il y a des juges qui se laissent convaincre plus facilement que d’autres. Mais les magistrats bien trempés qui ont vraiment une bonne expérience savent aussi dire NON..

* La dans ce cas, les juges devraient demander une enquête sociale ?

Ah mais ils le font ! Mais faut voir dans quelles conditions travaillent les services sociaux ! C’est pas toujours édifiant. Souvent, ils ont aussi l’argument de dire "on a trop de boulot, on est débordé, on doit faire vite : les juges sont pressés. Ils nous demandent de faire cela dans un délai relativement bref. (..)".

Là aussi, il y a beaucoup à dire sur les rapports des services sociaux. Parfois, les services sociaux ont tendance à essayer de savoir si le juge n’a pas déjà une petite idée pour essayer de ne pas se retrouver en porte-à-faux par rapport à ce que le juge pense au départ… C’est très suggestif et souvent les parents qui sont confrontés à l’enquête sociale découvrent une réalité complètement déformée : c’est manipulé du début jusqu’à la fin !

* Est-ce que les enquêtes sont bien faites en générale, sinon ?

Pour celles que j’ai vu, franchement : c’est n’importe quoi ! C’est fait sur des ragots. Parfois même on oublie d’aller consulter les gens qui seraient les mieux à même de donner un renseignement. A la campagne, c’est bien classique : ce sont les maires qui sont les principaux informateurs et qui devraient être sollicités en premier pour savoir ce qui se passe dans le village parce qu’il peut y avoir des problèmes de proximités, de voisinage.. (…) ou des représentants les mieux à même de donner des avis objectifs. On va se contenter de ce qu’on a mis en avant : c’est à dire des gens qu’on a soigneusement désigné pour vendre un discours convenu avec des preuves fabriquées.. C’est assez calamiteux dans l’ensemble. Il faut dire les choses comme elles sont..

* Une enquête qui serait bien faîte consiste en quoi ?

Vous savez tout ce qui est béni de l’étiquette "politiquement correcte" est à prendre avec vraiment des pincettes : c’est parce que c’est politiquement correct qu’on fait confiance au système alors que le système dans bien des cas ne fonctionne pas !

* Pourquoi ce système ne fonctionne pas ?

Parce qu’il y a des gens qui sont assez rusés, assez malin pour le pervertir et qu’en fasse il y a des gens qui ne sont pas assez malin, ni assez rusé pour s’en rendre compte ou pire : que ca ne dérange pas ! Là c’est le comble : mais c’est une réalité quotidienne !

* C’est une réalité quotidienne ?

Oui, bien sûr.. Mais ça on a du mal à l’admettre parce que ca choque un peu. On se dit "mais enfin quand même ce sont des gens de métier : ils auraient dû être un peu plus prudent…" Non non, non, non..

* Les français ont a priori beaucoup de mal avec leur justice : ça n’est pas très encourageant ?

Ca n’est pas très encourageant. Mais .. Par contraste vous avez des magistrats extrêmement consciencieux.. des gens avisés, prudents. Mais surtout .. des magistrats courageux : il y en a !

Le fait qu’il y en ait c’est plutôt rassurant : mais il n’y en a pas assez ! (Maître Jean Pannier)

 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/02/12/on-peut-continuer-a-demolir-les-enfants-la-justice-ne-va-pas-tellement-sy-opposer/

 
A suivre . L’institution judiciaire face à la réalité de l’aliénation parentale est un petit peu responsable de ce que l’on pourrait qualifier de non assistance à personne en danger (M. Jean Pannier)

 

 

 


Accueil, A proposSommaire, plan de site, catégories des articles Les PROS sonnent l alarme loi, jurisprudence et moyens preventifsTous les articles Checklist - discerner la calomnie Links, ContactsJournal de bord

 

Read Full Post »

%d blogueurs aiment cette page :