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Lettre ouverte aux négationnistes faisant l’amalgame entre SAP et pédophilie


Le monde n’est pas « ou blanc ou noir »
mais souvent les deux

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Il peut y avoir des manipulations mentales de l’enfant « désaffection parentale » (sans parler de « syndrome » – terme inapproprié techniquement puisqu’il exige une exhaustivité de la symptomatologie) et il peut également exister l’utilisation du concept SAP (Aliénation Parentale) comme d’un parapluie (dans le cas d’inceste par exemple).

Cependant, l’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de désaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologiques (cf. ce reportage) où l’enfant est soumis à un lavage de cerveau. D’enfant-otage, isolé de son parent, il devient peu à peu enfant-soldat. Aucun lien avec la pédophilie dans tous ces cas…

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Si demain, les pédophiles se mettent à réclamer des droits et que, par exemple, sous couvert d’un droit à la différence, ils se mettent à vouloir s’abriter à nouveau d’un énième concept pour justifier leur basse besogne :

Devrions-nous considérer alors qu’il faille s’attaquer au concept même du droit à la différence d’une manière généralisée ? Voire de déclarer que tous ceux qui évoquent le droit à la différence (et même si il n’y a aucun lien avec la pédophilie) soient dès lors considérés comme « sectes », « adeptes », etc… ? Ne serait-ce pas là, un petit peu excessif ?

Comme un taureau dans une arène, ne faudrait-il pas songer à s’attaquer directement à celui qui agite un chiffon rouge plutôt qu’à tous les chiffons qu’il puisse agiter ?

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Quant à Gardner, si demain on apprenait qu’Einstein était un escroc devrait-on alors remettre en cause la théorie de la relativité pour autant ?

Et que faisons-nous des oeuvres d’art produites et exposées par des artistes dont on découvrirait des penchants abjectes ? Ou qui seraient politiquement condamnables ? Que feriez-vous par exemple, des cendres de Victor Hugo et de son oeuvre, si vous appreniez qu’il était antisémite ? L’objectivité juge l’objet, la subjectivité, le sujet…

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Par ailleurs, même si la pédophilie au féminin existe, comment considérer également les nombreux cas où c’est la mère qui est rejetée par son enfant ?

Ex: 1 témoignage d’une mère aliénée

« (…) je suis désespérée de ne plus voir mon fils, ma vie s’est brisée le jour ou on me l’a enlevé, j’ai beau faire les choses comme il faut….malgré qu’il ne veuille plus me voir, je lui écris des lettres toutes les semaines, sans jamais de réponse, aucun coup de fil, (…) »

Pour tous ces cas, ne devrions-nous pas plutôt apprendre à discerner la calomnie ?… (sinon d’apprendre à faire la différence entre un enfant-victime et un « enfant-soldat »… )

Ex: 1 témoignage (émouvant) d’une mère victime d’aliénation (FleurBelge) [en tant que Maman] :

 

« Il faut cesser de dire que ce ne que sont les pères qui sont rejetés!

Je suis moi une mère aimante, A 3 ans pour ma fille et 6 ans pour mon fils, mes 2 enfants adorés ont subi l’aliénation parentale par leur père contre moi…. (….) » [la suite ici]

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Doit-on faire le distinguo ?

Faire une association systématique de deux concepts pratiquement disjoints, entre pédophilie et aliénation est une simplification mensongère (mais possiblement de bonne foi quand on ne fait que survoler le sujet).

Il y a en effet énormément de cas (la grande majorité en réalité) où il n’y a absolument aucune accusation de pédophilie même de la part du parent excluant.

Pour exemple : le cas d’un parent qui ne peut plus voir sa fille qui vit à 400 m de chez lui. Même après voir déposé de nombreuses plaintes pour NRE – Non Représentation d’Enfants et sans avoir été même accusé de quoi que soit… Le parent refusant le droit de visite, devant les forces de l’ordre invoque tout simplement sa propre décision arbitraire (!) malgré un jugement octroyant un droit de visite habituel… et tenant fermement la main de sa fille, éructe : « De toute façon, tu ne reverras jamais ta fille ! » – sans rien invoquer d’autres…

Imaginez la tragédie de cette situation pour le parent témoin de cette scène, mais surtout pour l’enfant à ce moment là… Quelle sera la prochaine étape, si on s’obstine à ne vouloir rien faire (le procureur malgré les plaintes, a décidé de ne pas poursuivre). Cette situation pour l’enfant n’est-elle pas scandaleuse ?

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« Comment rendre son enfant fou ! »

« …Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…) » »(…).

« L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer »

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On parle ici de 25 000 dépôts de plainte par an pour NRE Non Représentation d’Enfant (dont 4% condamnation), de nombreux cas d’EGV (Eloignements Géographiques Volontaires) sans issus.

Des enfants abandonnés par un système judiciaire incapable de faire face. On parle de 18 000 enfants/an qui prennent le chemin de l’enfant-otage voire de l' »enfant-soldat » avec des interjections de haine, aussi paradoxales que : « Tu me frappais quand j’étais dans le ventre de ma mère ! » (les souvenirs sont tenaces)…

Le maintien dans l’ignorance fait que ce problème reste insoluble et s’enracine dans la société depuis des décennies (dénoncé par de nombreux professionnels).

Ceux qui veulent dénoncer la pédophilie, c’est une TRES bonne chose. Mais, si se faisant et par ignorance, ils condamnent des parents au désespoir et des enfants à une souffrance muette, alors c’est parfaitement contre-productif.

Mais si le sujet de la pédophilie intéresse vraiment, je vous invite à visionner notamment ces cas intéressants relevés sur la page suivante

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Un enfant aliéné dmd des comptes

« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père» (…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…

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« Le monde n’est pas « ou blanc ou noir » mais souvent les deux»(…).

L’évocation du concept d’aliénation est pour une majorité de cas tout à fait hors du cadre d’accusations pédophiles. On parle de desaffection d’un parent de manière progressive qui tourne à des comportements de l’enfant manifestement pathologique



Mais alors à quoi ca ressemble (concrêtement) une manipulation d’enfant ?

(NB : Les dégrés d’aliénation peuvent être divers : c’est l’intensité, la durée, le contexte, la fragilité de l’enfant, etc… qui pourront accélérer le refoulement de souffrance de l’enfant (liée à la séparation)en pathologie : l’enfant-otage de la situation pourra alors basculer plus ou moins sévèrement en « enfant-soldat », prenant parti du parent aliénant avec toutes les conséquences et la destruction psychologique qui en découlent…

EX 1 : UN PERE ALIENANT :

« Couple déchiré, enfant otage » (Olivier Pighetti pour Un monde en face – extrait téléphone)

+ Suite du reportage « Couple déchiré, enfant otage »

+ d’infos sur les parents pervers et la perversion

EX 2 : UNE MERE ALIENANTE :

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source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/11/17/lettre-ouverte-aux-negationnistes-faisant-lamalgame-entre-sap-et-pedophilie-mediapart

Services sociaux A suivre : cf témoignage d’enfants aliénés » A suivre : Les Pros sonnent l’alarme


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Psychiatrie : La mise sous drogues des enfants est une industrie de 4,8 milliards de dollars.

« 20 millions de gamins et d’adolescents (1 sur 4 env.) sont étiquetés avec des “troubles mentaux” qui sont basés uniquement sur une liste récapitulative de comportements. »

« Il n’y a pas d’examens du cerveau au scanner, pas de rayons X, pas de tests génétiques ou sanguins prouvant qu’ils sont “malades mentaux”, et pourtant ces enfants sont stigmatisés pour la vie avec des troubles psychiatriques, et on leur prescrit des drogues psychiatriques dangereuses qui mettent leur vie en danger. La mise sous drogues des enfants est une industrie de 4,8 milliards de dollars. Voici les faits sur cette industrie qui génère des milliards de dollars en étiquetant et droguant les enfants pour le profit. »

source : http://frederic-grossmann.fr/spots-dinformation/

Aux USA (qui semble avoir abusé depuis bien trop longtemps de ces posologies ou du fluor ?), Le département de police détache 1 unité d’intervention (SWAP) afin d’encercler une habitation et ainsi convaincre une mère de donner la posologie à sa fille !? (l’histoire ne dit pas quel est le service pour les enfants qui refusent de manger leur soupe ?)

Le DSM-5 décrédibilisé par la main mise des dealers de psychotropes

Dérives aux USA ?  « Psychiatrie – La vérité sur ses abus » + d’infos : http://www.ccdh.fr

 

A suivre (article connexe) : Enfermements psychiatriques de militants pacifiques A suivre (article connexe) : Pourquoi les enfants séparés souffrent


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"Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, (…)"

 

« L’aliénation parentale est un processus qui consiste à programmer un enfant pour qu’il haïsse un de ses parents sans que ce soit justifié. Elle est la conséquence de la bataille mise en place au sein d’un couple qui dysfonctionne sévèrement ou va se séparer.

« L’un des deux conjoints estimant être meilleur parent que l’autre, met en place une stratégie de disqualification de l’autre, n’hésitant pas à critiquer, sur-interpréter, voire détourner des propos tenus par son conjoint, donnant ainsi à l’enfant une interprétation fausse de la réalité.»

L’enfant, trop jeune pour discrimer les composantes de ce conflit, lié par une loyauté à ce parent, entre alors dans ce système pervers, sans jamais le savoir ni l’identifier, et devient alors "l’enfant soldat" qui prend alors la défense de ce parent qu’il aime et qui semble être pour lui un bon modèle ! (…)»

 


« Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale» (…).

Alienation Parentale« c’est une sorte de massacre avec les meilleures intentions du monde ! Chaque parent se dit désireux de tout faire pour leur enfant. Avec l’enfant que l’on dit vouloir protéger et qui est réellement esquinté.»
(Paul Bensussan, expert national)


 

« (…) Il ne sait pas que ce parent est animé d’une colère inextinguible, la rage d’être abandonné(e), la jalousie aussi de voir l’autre s’en tirer à peu de frais, de se tirer aussi en laissant tomber froidement ou de façon conflictuelle sa famille;

 

Rancoeur inexprimée ou inexprimable, parce que l’Autre, s’est fait la valise, et vogue ou nage dans un bonheur insupportable !

 

Ce pilonnage verbal et psychologique intensif, répétitif, associé au chagrin et au mal-être ambiant du parent qui élève l’enfant, le rend encore plus solidaire de celle ou celui qui se sent abandonné et victimisé.

De fait, le lien paternel ou maternel, volontairement distendu s’effiloche lentement pour se rompre définitivement.

 

L’enfat devient alors "orphelin" d’un parent vivant, qu’il a aimé, et qui le plus souvent l’aime encore et se sent engagé vis-à-vis de lui.

 

  • Enfant otage d’un règlement de compte d’adultes,
  • Enfant soldat d’une guerre qui ne le concerne pas, qu’il mène sans armes,
  • Enfant orphelin d’une parent vivant
  • Enfant écrasé dans une souffrance indicible, incommunicale et intime.

 

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»

«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

 

 

Comment survivre sinon devenir fou ?

 

Fou de tristesse, de douleur, de colère, de solitude, d’un chagrin sans fond, de cette situation qui le dépasse, à 8 ans, il est déjà adulte, s’est mis en protecteur de ce parent qui l’élève, lui dit l’aimer, lui fait jouer un rôle d’adulre et le contraint à vivre un âge clandestin d’adulte de 30 ou 35 ans supérieur à son âge réel,

SANS JAMAIS EN AVOIR LA COMPETENCE…

C’est cela qui le rend dépressif, occasionne des problèmes de scolarité, des troubles du comportement :

  • crises d’angoisse, cauchemars, dépression, violence et plus tard comportement anti-sociaux, puisqu’il a bien appris à détruire, sous la conduite d’un adulte aimé, les relations familiales, sociales, et les règles qui régissent les rapports humains.
  • L’alcool, la drogue, la sexualité débridée ou sauvage, serviront de pare-excitation ou de sédatifs, selon les circonstances et les contextes traversés.
  • Avec la dépression, les scarifications et une plus grande propension au suicide.
  • L’apparition aussi de comportements "border line"…

Réussite totale, enfin !

Merci, je deviens fou …

 

Et surtout, un jour, au stade adulte, la prise de conscience d’avoir été un jouet, une marionnette entre les mains de celui ou celle qui s’est servi de lui, comme Cheval de Troie, pour aller démolir l’Autre en face,

avec l’appui de la Justice le plus souvent, qui au nom de la protection de l’enfance, sans jamais avoir accès à la réalité des faits, prive un des deux parents de jamais rencontrer ou revoir, ou héberger cet enfant qui a détruit, sans jamais le soupconner, le lien définitivement rompu avec son autre parent jadis aimé, qui bien souvent l’aime encore, mais devenu totalement étranger.. (…)»

(Dr Victor Simon, Directeur du Centre d’Hypnose et Psychosomatique – Paris)

source et article complet : hypnose-medical.over-blog.com

 


« L’enfant aime de manière innée. La séparation du lien enfant-parent quand il s’opère est la première déchirure. »(…).

Si la souffrance de l’enfant est négligée et qu’elle est intense par le fait d’une exclusion parentale, l’enfant va apprendre à se durcir, à ne plus aimer.

 



« Une fille devenue mère témoigne sur la manipulation qu’elle a subie l’amenant à rejeter son père»(…).

L’enfant naît en aimant spontanément ses parents. Qu’arrive-t-il quand on lui apprend à ne plus aimer, voire à haïr…


 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/07/01/lalienation-parentale-ou-comment-reussir-a-rendre-son-enfant-fou-dr-victor-simon/

 

A suivre (article connexe) : Dr Victor Simon : "Les enfants vont très mal !" A suivre (article connexe) : Les enfants détruits par l’Aliénation Parentale

 

 


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De la nécessité de la présence paternelle, notamment dans la construction psychologique de l’enfant mâle

 

«(…) LE PERE ET LE FILS (extraits)

Les pères n’imitent pas les mères dans leur prise en charge de l’enfant. Ils sont différents, ils sont hommes et pères.

(…)

C’est au cours des deux premières années de leur existence que les garçons ont absolument besoin de leur père.

Chez les enfants n’ayant pas eu la présence du père durant ce temps on relève parfois les mêmes développements atypiques que chez les orphelins placés en foyer d’accueil ou chez les fils de famille monoparentale élevés en vase clos et manquant de substituts paternels. 

Les hommes aussi peuvent allaiterChez certains fils sans père on peut retrouver une déficience sur le plan social, sexuel, moral ou cognitif.
La présence corporelle du père auprès du fils lui donne la possibilité d’aimer d’abord sa mère et plus tard de désirer la femme plutôt que de la redouter ou de la mépriser.

(…)

Le désir d’amour du fils en mal de père absent, indifférent ou humilié, ou nié par la mère, peut se manifester dans :
– Les tentatives de suicide
– Les fugues
– Les troubles psychosomatiques
– les paroles culpabilisantes, les manipulations perverses.

Plus les manques se feront sentir à cause de l’absence du père et plus ces manques seront compensés par une idéalisation inconsciente. Par ex : le fils idéalisera le père, ou le recherchera dans un autre homme en lui donnant la figure d’un père idéal. Il sera hésitant dans ses désirs, ses décisions, il aura une mauvaise évaluation de ses semblables et se retrouvera souvent trahi par ceux qu’il croyait être de bons pères de remplacement.

A l’adolescence il pourra présenter une confusion par rapport à l’identification sexuelle avec une féminisation du comportement.
– Estime de soi défaillante
– Agressivité refoulée d’où difficulté d’affirmation, d’ambition, et de curiosité exploratoire
– Blocages en ce qui concerne la sexualité
– Problèmes d’apprentissage
– Difficultés à assumer des valeurs morales, à prendre des responsabilités, à intégrer le sens du devoir et les obligations envers autrui
– Difficulté à assumer ou accepter l’autorité

(…) –> Source & article complet sur jafland.info

 

 

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/19/les-consequences-de-labsence-du-pere-chez-lenfant-male/

 

A suivre sur ce sujet et sujets connexes :

Services sociaux   A suivre : Citations (expertises) sur la souffrance de l’enfant séparé

 

 

 

 

 

 


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TV Lobotomie – La vérité scientifique sur les effets de la télévision (Michel Desmurget)

« Il y a beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective ‘business’, soyons réaliste : à la base, le métier de TF1, c’est d’aider Coca-Cola, par exemple, à vendre son produit.[…]Or pour qu’un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible : c’est-à-dire de le divertir, de le détendre pour le préparer entre deux messages. Ce que nous vendons à Coca-Cola, c’est du temps de cerveau humain disponible.[…] (Patrick Lelay, ancien PDG de TF1)

 


"TV Lobotomie : les effets scientifiques de la télévision" [neurologie] (Michel Desmurget)
source : fsl56.org // livre : (amazon)

 

  • Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels en grandissant.
  • Lubin, 3 ans, regarde la télé 2 heures par jour. Cela triple ses chances d’être en surpoids.
  • Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents comme DragonBall Z. Cela quadruple ses chances de présenter des troubles du comportement quand il sera à l’école primaire.
  • Silvia, 7 ans, regarde la télé 1 heure par jour. Cela augmente de plus d’un tiers ses chances de devenir une adulte sans diplôme.
  • Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives. Cela triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée.
  • Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour. Cela augmente d’un tiers ses chances de développer la maladie d’Alzheimer.
  • Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau, se contente de la moitié. Henri a 2 fois plus de chances de mourir d’un infarctus que René.

Chaque mois, les revues scientifiques internationales publient des dizaines de résultats de ce genre. Pour les spécialistes, dont fait partie l’auteur, il n’y a plus de doute : la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie.

Ces faits sont niés avec un aplomb fascinant par l’industrie audiovisuelle et son armée d’experts complaisants. La stratégie n’est pas nouvelle : les cigarettiers l’avaient utilisée, en leur temps, pour contester le caractère cancérigène du tabac…

Michel Desmurget est docteur en neurosciences. Après avoir fréquenté plusieurs grandes universités américaines (MIT, Emory, UCSF), il est aujourd’hui directeur de recherche à l’INSERM. Il est l’auteur de Mad in USA (Max Milo, 2008).

 

 


Documentaire sur les effets de la télévision sur le cerveau
Au Japon, 1 séquence de qqs secondes d’un dessin animé a été responsable de l’hospitalisation de 615 enfants

 

https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/05/13/les-enfants-en-bas-age-lobotomises-par-la-television/
 

 


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Un credo illusoire, selon l’Union des familles en Europe.«Comment vit-on vraiment le divorce de ses parents ?», s’est interrogée l’association, qui prône la défense des intérêts des familles et souhaite contrebalancer les thèses actuelles sur le «divorce heureux».

Dans une enquête, elle a posé la question à 1137 personnes, âgées de 18 ans à plus de 56 ans, «victimes» d’une rupture parentale.

Pour l’écrasante majorité (88 %), cette séparation a eu des effets à long terme sur leur personnalité. Certains disent avoir peur d’être abandonné, manquer de confiance, souffrir de dépression. «J’ai un sentiment de culpabilité étouffant», se plaint un sondé. «J’ai peur que tout s’écroule du jour au lendemain», ajoute un autre. «Je ne fais pas confiance aux hommes», constate une troisième. Quelques éclaircies nuancent néanmoins ce tableau. «Je sais m’adapter à toutes les situations», «cela m’a permis de mûrir plus vite», avancent les plus optimistes. (…)

souffrances de l’enfant séparé

Mais cette procédure ne règle en rien les conflits des parents.» Comme le soulignait le sociologue Paul Archambault dans une enquête pour l’Ined publiée en 2002, le séisme du divorce joue aussi un rôle dans la réussite scolaire des enfants. «La durée des études est réduite en cas de dissociation parentale» , relevait le chercheur. Ce sondage tend à le confirmer. 56 % des personnes interrogées évoquent des études écourtées, des conditions matérielles peu propices à la course aux diplômes ou encore des difficultés de concentration. Pour 41 % d’entre eux, l’onde de choc se répercute jusque dans leur vie professionnelle. Les plus pressés de s’extraire de la vie familiale ont pris le premier travail venu. Les plus affectés disent qu’ils traînent encore leur manque de confiance au bureau. Quelques-uns ont fait le choix d’un métier de «réparation», comme la médiation, pour panser leurs propres blessures.

Enfin, 48 % des personnes interrogées projettent l’ombre de la séparation jusque dans leur propre vie sentimentale. «Beaucoup rêvent d’une union solide et, paradoxalement, peinent à s’engager» , selon le pédopsychiatre Stéphane Clerget. Si la détresse des enfants de divorcés ne fait plus les gros titres, elle se confesse plus en plus souvent dans les cabinets de pédopsychiatres. «Le nombre de consultations autour de la question du divorce a explosé depuis une quinzaine d’années, souligne Stéphane Clerget. Désormais, les rendez-vous ont même lieu en amont de la séparation.» Les enfants vont-ils mieux pour autant ? «Certains s’en sortent très bien. Pour cela, il faut avant tout qu’ils gardent le lien avec leurs deux parents et que des derniers arrêtent de les impliquer dans leurs disputes» , résume Stéphane Clerget. Une ligne de conduite apparemment difficile à tenir. 40 % des sondés indiquent ne pas avoir maintenu de lien régulier avec le parent qui n’avait pas la garde, généralement le père. (…) »

source : LeFigaro

statistiques_divorce_france_enfants_famille_francaise

Accéder à la page de statistiques en cliquant sur ce lien

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La question de la légalité et de la légitimité dans les vaccinations de masse des enfants

Dans un contexte où les montages juridiques imposent aux fonctionnaires et personnels médicaux à ne plus pouvoir trouver de parades pour ne pas participer aux vaccinations de masse (et en particulier celles sur les enfants) ; un article paru récemment questionne le risque de la culpabilité après coup pour ceux qui obéissent en toute quiétude à des lois ou règlements qui pourraient être considérés ultérieurement comme « non légitimes » …

Cela renvoie donc directement aux épisodes de jugements pour complicité de crimes perpétrés sous la collaboration et dont les principaux acteurs n’ont pu se dédouaner juridiquement même en arguant du prétexte qu’ils agissaient dans un contexte légal (ou sous les ordres) ; leurs actions ayant été reconnues comme parfaitement illégitimes après coup…

« Je souligne toujours l’écart entre légalité et légitimité. Je considère la légitimité des valeurs plus importante que la légalité d’un État. Nous avons le devoir de mettre en cause, en tant que citoyens, la légalité d’un gouvernement. Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c’est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir ». (Stéphane Hessel, Conseil National de la Resistance)

Du coup, un certain nombre de praticiens et fonctionnaires ont l’impression d’être pris dans un étau : celui du respect des lois et règlements d’un côté et celui de la légitimité de leur participation pouvant être décriée ultérieurement. N’existe-t-il donc vraiment aucun moyen légal de refuser une participation à ce qu’ils considèrent être illégitime ?

Voici, le texte qui soulève cette question juridique…

[Face à un ] « fonctionnaire zélé [qui] (…) exige « parce que c’est la loi » que mes enfants soient vaccinés. Que puis-je faire ? » (source )

Réponse:

1°) Cessez d’abord d’avoir des scrupules. Le personnage qui maintient ces exigences ne peut être :

a) qu’un ignorant.

b) ou le complice d’une grave infraction pénale.

a) Un ignorant :

Celui qui, malgré ces informations, ne change pas d’avis est particulièrement ignorant, car comment continuer de ne pas voir que les « vaccins » sont inefficaces et dangereux, devant la masse énorme de livres, d’articles de presse, de magazines, de pétitions de médecins concernant cette question ?

b) le complice d’une infraction pénale : on nous a bassinés pendant des mois avec le procès PAPON, qui n’a cessé de dire qu’il appliquait la Loi et rien d’autre, et tous les politiques, à cette occasion, n’ont cessé de dire que quand un ordre était insensé, criminel, ou même anti-démocratique, il était légitime de ne pas s’y conformer. Or, certains fonctionnaires, obligés de constater l’inefficacité et la dangerosité des vaccins, vous disent qu’ils sont chargés d’exécuter la Loi, et que, même s’il est reconnu que votre enfant risque sa vie en se faisant vacciner, il vous dira que ce n’est pas son problème, car « C’est la Loi ».

Si le fonctionnaire zélé, au vu des informations que vous lui remettez ne se précipite pas sur son téléphone, afin d’informer sa hiérarchie qu’il existe un problème sérieux, et qu’on ne peut plus continuer comme cela, qui est il, sinon un lâche qui n’en a rien à faire de la vie de votre enfant, mais qui pense uniquement à son avancement ?

Sachez donc que vous avez en face de vous un lâche.

Sachez aussi que dans les affaires du sang contaminé, de l’amiante (où il a fallu que des scientifiques hurlent pendant 29 ans avant que l’on ne prenne des mesures) etc., …de nombreuses personnes sont mortes parce que des imbéciles de cette envergure « ne voulaient pas savoir » .

2°) Nous pensons donc avoir trouvé le moyen d’échapper à l’empoisonnement, tout en respectant la Loi. Voici donc la méthode que nous suggérons. Elle consiste à contraindre ceux qui ne veulent pas savoir, à savoir quand même, afin qu’ils ne puissent plus jamais dire à l’avenir qu’ils ne savaient pas :

A – Imprimer les pages de ce site ou du livre VACCIN, mais alors on nous aurait menti ? Jean-Pierre JOSEPH Edition Poche Vivez Soleil: à partir du titre « Des faits (et non pas des théories) concernant les vaccins » jusqu’à la fin de la réponse à la question n° 19.

B – Photocopier les couvertures des livres parus sur cette question, que vous trouverez à la fin de cet ouvrage (plus d’autres si vous en possédez). Vous avez ainsi constitué un dossier.

C – Écrire à l’autorité qui exige que votre enfant soit vacciné (Inspecteur d’Académie, Conseil Général, Directeur d’école, etc.) le courrier suivant, en recommandé avec A.R.

«Monsieur l’Inspecteur (ou Monsieur le Directeur),

Près de 2.000 personnes souffrent actuellement de graves maladies neurologiques, ou sont décédées, et les victimes accusent le vaccin contre l’Hépatite B, (Éric GIACOMETTI, « La santé Publique en otage », Éd. Albin Michel).

Des plaintes pour empoisonnement et administration de substances nuisibles à la santé ont été déposées, notamment à l’encontre de ceux qui ont obligé les victimes à recevoir un vaccin tant inefficace que dangereux. Elles sont actuellement centralisées chez un Juge d’Instruction à Paris.

Malheureusement, une étude approfondie de cette question, montre que tous les vaccins sont concernés, et pas seulement celui contre l’Hépatite B.

Vous venez de me demander, par courrier en date du… de faire vacciner mon enfant…, scolarisé à l’école…

Je vous remercie de bien vouloir noter mes observations, et répondre aux 5 questions que vous trouverez à la fin de la présente:

I – OBSERVATIONS :

Alors que la quasi-totalité des pays d’Europe, a supprimé les vaccins obligatoires, la France (1er pays producteur mondial de vaccins), en a maintenu 4, malgré les protestations de milliers de scientifiques de tous bords, criant à l’ empoisonnement collectif, devant leur dangerosité, et surtout leur inefficacité.

Voilà plus de 20 ans, que des médecins, biologistes, etc. du monde entier, tentent d’alerter les pouvoirs publics pour leur donner des informations extrêmement graves concernant les vaccins :

  • Des épidémies de coqueluche aux U.S.A. ont atteint des centaines d’enfants vaccinés contre la coqueluche,
  • Des épidémies de polio dans le monde entier ont touché des milliers de personnes, pourtant correctement vaccinées,
  • En 1993, 100 infirmières des Hôpitaux de Paris, atteintes de tuberculose, avaient toutes reçu le B.C.G. etc.

Des scientifiques du monde entier semblent dire aujourd’hui :

  • Que les produits appelés « vaccins » seraient totalement inefficaces,
  • Qu’ils seraient dangereux, responsables de scléroses en plaques, encéphalites, méningites, maladies neurologiques.

Fabriqués avec du sérum de veau, des cellules cancérisées, et de l’hydroxyde d’aluminium à des doses 30 fois supérieures au seuil maximum de toxicité, ainsi que de dérivés du mercure, ils ont pour effet général de baisser nos défenses immunitaires, et pourraient être liés à l’apparition du Sida,

  • Que souvent, même, ils nous transmettraient les maladies qu’ils sont censés prévenir !
  • Que l’on nous aurait menti depuis 50 ans au moins, pour des raisons sordides et honteuses, en nous faisant croire, notamment, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

Or, il semblerait que l’arrêt des épidémies n’ait rien à voir avec les campagnes de vaccination.

Ainsi, 1.200 personnes ont été victimes de la Polio en France, en 1956, année où la campagne de vaccination a débuté. Et, en 1957, la France a connu plus de 4.000 cas.

Personne, d’ailleurs, n’est capable d’expliquer pourquoi les épidémies de peste et de choléra du Moyen Âge, de suette picarde (qui a sévi de 1718 à 1906), et plus récemment, de scarlatine, se sont arrêtées sans vaccin, et sans décimer toute l’humanité…

Ces informations sont extraites de nombreux articles de presse et, notamment, d’environ 40 ouvrages dont je vous remets la liste en annexe. Je précise que ces ouvrages sont en vente depuis plus de 10 ans dans les librairies et les FNAC, et aucun d’entre eux n’a fait l’objet du moindre démenti.

La lecture de simples citations extraites de ces ouvrages, conduit tout lecteur, à la conclusion incontournable, suivant laquelle les enfants sont victimes d’un empoisonnement collectif, et qu’il est plus que temps de réagir.

En outre, tous les ans, des centaines de médecins, adressent des pétitions au Ministère de la Santé, afin que cesse ce qu’ils considèrent être un véritable empoisonnement collectif n’ayant pour but que le profit, et pas du tout la SANTÉ…PUBLIQUE.

Ces médecins dénoncent le fait que la quasi totalité de leurs confrères sont dans l’ignorance totale de ces informations, car l’information médicale en France passe entièrement par les laboratoires pharmaceutiques.

Ces médecins indiquent également qu’une vaccination n’est pas un acte banal, et qu’un certain nombre de précautions sont, de toutes manières, obligatoires, conformément, notamment, à l’Arrêté du 28 février 1952.

Or, jamais une seule vérification n’est proposée aux enfants, ce qui procède d’une négligence criminelle.

Bien que ces éléments soient publics, et notoires depuis au moins 10 ans, aucun scientifique n’est encore venu les contredire, les vaccinalistes se contentant de répéter, comme une litanie religieuse, que les vaccins auraient enrayé les épidémies.

La France est le seul pays d’Europe à avoir maintenu 4 vaccins obligatoires. Aussi, comme par hasard, le pays qui compte le plus de cas de tuberculoses et de tétanos, mais c’est le 1er pays producteur de vaccins du monde…

En outre, certains vaccins, obligatoires en France, sont interdits dans d’autres pays de la C.E.E. (Grande-Bretagne, par exemple), vu le nombre de victimes paralysées à vie qu’ils ont faites.

Nous ne pouvons donc plus nous contenter aujourd’hui de nous retrancher derrière des obligations de réserve, faute de quoi nous serions obligés de constater que le procès PAPON n’a servi à rien. Tout citoyen a, aujourd’hui, à partir du moment où il sait, le devoir de prendre une position.

Je vous remets la copie d’un document rassemblant des citations de scientifiques français et étrangers.

Je précise qu’aucun d’entre eux ne semble appartenir à la moindre secte, ce qui revient à dire que ce document peut être lu sans crainte d’être hypnotisé ou décérébré…

Vous trouverez également la couverture d’un certain nombre d’ouvrages traitant de la question, montrant que le problème est sérieux.

II – CONSÉQUENCES DE CES OBSERVATIONS:

Les conséquences que l’on peut tirer de l’ensemble de ces informations sont les suivantes :

  • Un vaccin est une substance « préparée à partir de microbes, virus ou parasites qui, inoculés à un individu lui confère une immunité contre le germe correspondant ».
  • Les substances inoculées aux enfants contre leur gré et celui des parents, sont, de toute évidence, des substances qui ne confèrent pas l’immunité, puisque les scientifiques nous démontrent aujourd’hui que de nombreux enfants vaccinés, ont, néanmoins, contracté la maladie.
  • Ces substances, en outre, sont toxiques, puisqu’elles entraînent des effets secondaires graves, parfois mortels.
  • Ces substances ne sont donc pas des « vaccins », mais réellement des faux vaccins.

Ainsi, le fait d’imposer l’administration de produits toxiques inutiles à des enfants constitue le délit de mise en danger de la vie d’autrui, et peut, à long terme, constituer le crime d’empoisonnement ou administration de substances nuisibles.

III – MES QUESTIONS:

1°) Avez- vous pris connaissance des informations jointes au présent courrier?

2°) La Loi, et notamment, l’Arrêté du 28 février 1952, impose, préalablement à tout acte vaccinal, de « prendre toutes précautions », c’est-à-dire, de procéder à un examen destiné à vérifier si le produit que l’on veut administrer à l’enfant n’est pas dangereux pour lui.

Où puis-je donc, faire pratiquer (gratuitement, s’agissant de vaccins obligatoires), les analyses suivantes, ainsi que la Loi m’en fait obligation) ? :

  • a) Ionogramme complet, dosage de l’urée,
  • b) Lipidogramme,
  • c) Bilan endocrinien,
  • d) Titrage de tous les anticorps spécifiques aux vaccinations éventuelles déjà subies,
  • e) Test de dépistage du Sida et des différentes hépatites,
  • f) Electrophorèse et immunophorèse des protéines sériques, de manière à avoir une image globale des capacités ou incapacités éventuelles de l’organisme à fabriquer les anticorps,
  • g) Bilan radiologique:
    • Radiographie panoramique dentaire, ceci dès qu’il y a au moins une dent dévitalisée,
    • Radiographie pulmonaire, pour éliminer toute image de tuberculose pulmonaire.

3°) Les substances de source bovine étant interdites dans toute médication depuis 1994, dans la mesure où aujourd’hui encore le B.C.G. est fabriqué avec de la bile de boeuf, où puis-je (afin de respecter la réglementation de 1994) trouver un B.C.G. ne comportant pas de produits bovins?

4°) L’ensemble des scientifiques précités indiquent que les produits actuellement commercialisés sous l’appellation de « vaccins » n’empêchent pas de contracter la maladie.

Il est donc évident que les produits actuellement sur le marché ne sont pas des vrais vaccins.

Par conséquent, afin de respecter l’obligation vaccinale qui m’est faite de par la Loi, où puis-je trouver des vrais vaccins, dont l’efficacité est garantie ?

5°) Je suis obligé de constater que la composition des vaccins comprend des produits hautement toxiques. Or, l’administration de substances nuisibles à la santé est interdite par la Loi, et constitue d’ailleurs un crime prévu par le Code Pénal.

Afin de ne pas me rendre complice du crime d’administration de substances nuisibles à la santé où puis- je trouver des vaccins sans aucun risque pour la santé de mon enfant (c’est-à-dire ne contenant ni hydroxyde d’aluminium, ni dérivés du mercure, ni sérum de veau, ni cellules cancérisées) ?

J’indique, pour le cas où vous ne répondriez pas à mes questions, et où vous m’obligeriez à administrer à mon enfant des substances appelées « vaccins », je serais alors contraint de déposer une plainte pour « mise en danger de la vie d’autrui ». D’autre part, il est bien évident que, dans le cas où, par la suite, mon enfant serait victime d’effets secondaires, que je déposerai une plainte pour administration de substances nuisibles à la santé contre ceux qui auront administré ces substances, mais également à l’encontre de ceux qui se seraient rendus complices de cette infraction, en faisant par exemple, de cette intoxication une condition nécessaire à la scolarisation.

Je vous remercie vivement de l’attention que vous porterez à mes préoccupations, et vous prie de croire, etc.


ANNEXES A MON COURRIER:

Liste d’ouvrages accessibles à tous en librairie ou dans les FNAC :

  • La mafia médicale, (Dr G. LANCTOT), Ed. Voici la clé,
  • La dictature médico-scientifique, (Sylvie SIMON), Ed. Filipacchi,
  • Vaccination erreur médicale du siècle, (Dr L. De BROUWER), Ed. Louise Courteau,
  • Danse avec le diable (G. SCHWAB), Ed. Courrier du livre,
  • Dossiers sur le gouvernement mondial, (A. MEUROIS-GIVAUDAN), Ed. Amrita,
  • La guerre des virus, (L. HOROWITZ), Ed. Félix,
  • Au coeur du vivant, (J. BOUSQUET), Ed. Saint Michel,
  • Le malade déchaîné, (R. BICKEL), auto édité,
  • Les chemins de la souveraineté individuelle, (R. BICKEL), auto édité,
  • Vaccinations : l’Overdose, (Sylvie SIMON), Ed. Déjà,
  • Tétanos, le mirage de la vaccination, (F. JOET), Ed. Alis,
  • Pour en Finir avec Pasteur, (Dr Eric ANCELET), Ed. Marco Pietteur,
  • La santé confisquée, (Mirko et Monique BELJANSKI), Ed. Compagnie,
  • La lumière médicale, (Dr Norbert BENSAÏD), Ed. le Seuil,
  • Mon enfant et les vaccins, (Dr F. BERTHOUD), Ed. Soleil,
  • On peut tuer ton enfant, (Dr P. CHAVANON), Ed. Médicis,
  • Vaccination, Social Violence ans Criminality, North Atlantic Books, Berkley 1990,
  • A shot in the dark, (Dr HARRIS et B Loe FISHER), Avery Publishing group, 1991,
  • Les Vérités indésirables,
  • Le cas Pasteur (Archives Internationales Claude BERNARD), Ed. La Vieille Taupe, 1989,
  • L’intoxication vaccinales, (F. DELARUE), Ed. Le Seuil, 1977,
  • La rançon des vaccinations, (Simone DELARUE), Ed. LNPLV, Ed 1988,
  • Live viral vaccine, biological pollution, (Pr R DELONG), Cartlon Press Corp, New Yorl, 1996,
  • L’intox, quelques vérités sur vos médicaments, (Dr Bruno DONATINI), Ed. MIF,
  • Adverse effects of Pertussis and Rubella vaccines, Washington DC National Academy Press, 1991,
  • Des lobbies contre la santé, (Roger LENGLET), Ed. Syros,
  • La médecine retrouvée, (Dr ELMIGER), Ed. Léa,
  • Vaccinations : prévention ou agression ?, (M. Th. QUENTIN), Ed. Vivez Soleil,
  • Des enfants sains même sans médecin, (Dr R. MENDELSOHN), Ed. Soleil 1987,
  • Immunisation, Theory versus reality, New Atlantean Press, 1996,
  • La poliomyélite, quel vaccin ? quel risque ?, (Dr Jean PILETTE), Ed. de l’Aronde, 1997,
  • LA catastrophe des vaccins obligatoires, (Pr TOSSOT), Ed. de l’Ouest, 1950,
  • Les dessous des vaccinations, (Dr SCOHY), Ed. Cheminements,
  • Tuberculose et vaccin B.C.G., (Pr GRIGORAKI),
  • Le tabou des vaccinations. Danger des vaccins, thérapies naturelles de prévention des maladies infectieuses, (Miller Schär MANZOLI),
  • Déjà vacciné ? Comment s’en sortit ?, (Dr A. BANOIS – Sylvie SIMON),
  • Vaccinations : le droit de choisir, (Dr F. CHOFFAT), Ed. Jouvence,
  • 12 balles pour un veto, (Dr QUIQUANDON), Ed. Agriculture et Vie, 1978,
  • Les radis de la colère, (J.-P. JOSEPH, Avocat à Grenoble), Ed. Louise Courteau,
  • Vaccinations, les vérités indésirables, (Pr GEORGET), Ed. DANGLES, préface du Pr CORNILLOT, Doyen de la Faculté de Médecine de Bobigny,
  • Nous te protégerons, (Dr Jean PILETTE), Ed. Daxhelt,
  • La faillite du B.C.G., (Dr Marcel FERRU, Pr honoraire de clinique médicale infantile), Ed. Princeps,
  • La Santé Publique en otage, (Eric GIACOMETTI), Ed. Albin Michel,
  • Vaccin Hépatite B : Les coulisses d’un scandale, (Sylvie SIMON et Dr Marc VERCOUTERE), Ed. Marco Pietteur.

 

[ ] source de cette réponse : http://www.autreversion.info/Ne%20pas%20vacciner%20vos%20enfants%20tout%20en%20respectant%20la%20loi%20MODE%20D%27EMPLOI.htm

Autres aspects légaux :

Art. 3 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, du 10-12-1948 : « Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne ».

Art. 36 du Code de Déontologie Médicale qui précise : « tout acte médical requiert le consentement libre et éclairé des personnes ».

Arrêts de la Cour, du 25-02 et 14-10 1997, expliquant : Information des Patients. « Les praticiens doivent être en mesure de prouver qu’ils ont fourni au patient une information loyale, claire, appropriée et exhaustive, au moins sur les risques majeurs, et la plus complète possible sur les risques les plus légers. Cette information a pour but de permettre au patient de refuser la vaccination proposée en estimant que les risques sont supérieurs aux bénéfices escomptés ».

Loi du 04 mars 2 002, n° 2 002-303, Art. 11, Chapitre 1er, modifiant l’Art. L 1 111-4 du Chapitre 1er du Titre 1er du Livre 1er de la Première Partie du Code de la Santé Publique : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment« 

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/01/vaccination-sur-enfants-les-fonctionnaires-pourront-ils-etre-condamnes/ 


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Qu’est-ce que la perversion ? (morale, narcissique, …)


La perversion a plusieurs acceptions :

  • Au sens moral c’est celui qui fait le mal ;
  • D’un point de vue psychiatrique, on caractérise le fait pervers par son pendant : le sadisme ;
  • Dans ce que l’on a dénommé la perversion narcissique (dans le cadre conjugal notamment), on met en avant la manipulation psychologique ;
  • Enfin dans le cadre de l’aliénation parentale, l’enfant-otage qui sert de moyen de pression devient peu à peu l’enfant soldat du parent aliénant qui le maltraite par manipulation psychologique…

Dans tous les cas, l’absence d’empathie (par déni, clivage, vice assumé ou projection de ces propres tares… ) est ce qui la caractérise la mieux.. :

Les pervers maintiennent une distance affective suffisante pour ne pas s’engager vraiment. L’efficacité de leurs attaques tient au fait que la victime ou l’observateur extérieur n’imaginent pas qu’on puisse être à ce point dépourvu de sollicitude ou de compassion devant la souffrance de l’autre.


1) Perversion au sens moral

Pervers (au sens moral) ( : Qui aime accomplir des actes cruels ou immoraux. Qui est méchant, dépravé, naturellement enclin au mal. Du latin perversus (« renversé », au figuré : « appliqué à contre temps, vicieux »)

2) Perversion au sens psychiatrique (ou « faits pervers »)

Pervers (psychiatrie) : Non clairement définie ? Il suffit de consulter le Manuel alphabétique de psychiatrie d’Antoine Porot où les notions de perversité et de perversion sont abordées sans nuance sous l’angle de la morale pour constater l’écart conceptuel qui existe entre la psychiatrie et la psychanalyse sur ce problème
« Posez-vous la question : Qu’est-ce que je ressens quand je fais mal à quelqu’un : de la culpabilité, de la honte, rien du tout ? Si vous ne ressentez rien du tout : Allez-vite vous faire soigner…  » (Un psychiatre lors d’une interview au sujet de l’acception du terme « pervers » en psychiatrie)


3) Perversion narcissique

Pervers narcissique :
La « perversion » dite « narcissique » est souvent confondue avec le trouble de la personnalité narcissique, défini comme la surestimation de soi-même et de ses capacités, le besoin d’être reconnu comme exceptionnel, tout en acceptant difficilement les critiques. Au contraire, la perversion désigne le fait de détourner, de renverser et de retourner. Elle correspond aux stratégies du sujet assurant la satisfaction de ses pulsions aux dépens des autres. Ils sont utilisés comme des choses et leurs sentiments sont niés.

Narcisse (Mythologie) : un jour qu’il s’abreuve à une source, il voit son reflet dans l’eau et en tombe amoureux. Il reste alors de longs jours à se contempler et à désespérer de ne jamais pouvoir rattraper sa propre image. Il finit par dépérir puis mourir d’une passion qu’il ne peut assouvir

La perversion d’un proche, d’un conjoint, d’un parent, d’un supérieur peut briser un couple, défaire une vie ou ruiner une carrière professionnelle. La stratégie perverse cherche à déstabiliser l’autre, par une séduction flatteuse ou un acharnement souvent sournois et subtil, ainsi que par une disqualification insidieuse et récurrente. L’objectif est d’obtenir un moyen de contrôle sur l’affection, l’attention et la disponibilité de l’autre ; sans reconnaître sa propre vulnérabilité.

Le bourreau ne possède pas de personnalité propre, elle est forgée sur des masques dont il change suivant les besoins, passant de séducteur paré de toutes les qualités, à celui de victime faible et innocente, ne gardant son véritable visage de démon que pour sa victime. Et encore il peut jouer avec elle au chat et à la souris, faisant patte de velours pour mieux la tenir, puis sortant ses griffes lorsqu’elle cherche à s’évader.

Symptomatologie d’une personnalité narcissique (trouble narcissique)

  • le sujet à un sens grandiose de sa propre importance (par exemple, surestime ses réalisations et ses capacités, s’attend à être reconnu comme supérieur sans avoir accompli quelque chose en rapport) ;
  • est absorbé par des fantaisies de succès illimité, de pouvoir, de splendeur, de beauté, de perfection, ou d’amour idéal ;
  • pense être « spécial » et unique et ne pouvoir être admis ou compris que par des institutions ou des gens spéciaux et de haut niveau ;
  • montre un besoin excessif d’être admiré ;
  • pense que tout lui est dû : s’attend sans raison à bénéficier d’un traitement particulièrement favorable et à ce que ses désirs soient automatiquement satisfaits ;
  • exploite l’autre dans les relations interpersonnelles : utilise autrui pour parvenir à ses propres fins (mensonges, chantages, violence verbale, etc.) ;
  • manque d’empathie : n’est pas disposé à reconnaître ou à partager les sentiments et les besoins d’autrui ;
  • envie souvent les autres, et croit que les autres l’envient ;
  • fait preuve d’attitudes et de comportements arrogants et hautains.

Le désir de l’autre, sa vitalité, leur montre leurs propres manques. On retrouve là l’envie, commune à bien des êtres humains, du lien privilégié que la mère entretient avec son enfant. C’est pour cela qu’ils choisissent le plus souvent leurs victimes parmi des personnes pleines d’énergie et ayant goût à la vie, comme s’ils cherchaient à s’accaparer un peu de leur force.

L’état d’asservissement, d’assujettissement de leur victime à l’exigence de leur désir, la dépendance qu’ils créent leur fournit des témoignages incontestables de la réalité de leur appropriation.


4) Perversion parentale / Parent-pervers

Le parent pervers vise dans un premier temps l’isolement de l’autre parent vis à vis de l’enfant. Il procède le plus souvent, par calomnie pour obtenir des résultats rapides et efficaces. (…)

La voie est ouverte ensuite pour opérer le dénigrement de l’image de l’autre parent et renforcer l’enfant dans l’aliénation parentale.

Le pervers est une personne totalement dépourvue d’empathie, qui n’éprouve aucun respect pour les autres, qu’il considère comme des objets utiles à ses besoins de pouvoir, d’autorité. Le pervers a besoin d’écraser pour exister. L’enfant est une proie de choix car il est fragile et malléable, avec sa confiance illimitée et sa soif d’amour et de reconnaissance.

« Le syndrome de Médée ou le coeur des enfants en sacrifice » (…).

« Le syndrome de Médée est une modalité de harcèlement mise en œuvre par un parent voulant priver son/sa conjoint/e de la relation avec ses enfants et apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale.»«Il s’agit en somme d’une forme organisée de maltraitance qui porte sur une dimension vitale de la vie affective et se traduit par des effets psychotraumatiques très importants.» (Antonio Andreoli – Service de psychiatrie HUG – Rev Med Suisse )

Témoignage d’un parent (entraideapn) (…) Si vous avez des enfants communs, sachez que le pervers narcissique s’en prendra forcément à eux s’il n’arrive pas à vous détruire directement. Prenez donc soin de protéger vos enfants avant le combat, si c’est possible. Une fois le combat juridique démarré, le pervers narcissique prendra un immense plaisir à manipuler vos enfants pour mieux vous détruire …« 


« La Russie sous le choc, une mère jette ses deux enfants du 15e étage et repart souriante »(…).

« L’affaire a suscité l’émotion dans toute la Russie. Galina Riabkova, une femme de 30 ans, est soupçonnée par la police d’avoir jeté ses fils âgés de 2 et 4 ans d’un immeuble de Dolgoproudny, au nord de Moscou. La femme aurait convaincu les deux petits garçons de quitter leur appartement du huitième étage pour monter au quinzième étage en leur promettant qu’ils pourraient lancer des avions en papier du balcon. »


5) Empathie : Peut-on ressentir une douleur que l’on n’a jamais éprouvée ?

danziger

Chez les sujets témoins (à gauche), aucune activité cérébrale n’est corrélée au score d’empathie, tandis que chez les patients ICD (à droite) l’activation du cortex préfrontal ventromédian (zone colorée) est étroitement corrélée au score d’empathie.

De façon intéressante, l’analyse des corrélations entre les réponses cérébrales à la vue de la douleur d’autrui et les capacités d’empathie de l’observateur révélait des différences très significatives entre les patients ICD et les témoins: chez les patients, le degré d’activation du cortex préfrontal ventromédian – une région cérébrale connue entre autres pour son rôle essentiel dans les processus d’inférence de l’état émotionnel d’autrui et dans les émotions sociales telles que la compassion (3) – était étroitement corrélé au score d’empathie: en effet, plus les patients étaient dotés de capacités d’empathie élevées, plus cette région de leur cerveau se trouvait activée à la vue de la douleur d’autrui. En revanche, aucune corrélation entre le score d’empathie et l’activité cérébrale n’était observée dans le groupe témoin dans les mêmes conditions (cf la figure ci-dessous).
Pour compenser leur manque de résonance émotionnelle automatique avec la douleur d’autrui, les patients congénitalement insensibles à la douleur doivent donc nécessairement recourir à un travail d’inférence émotionnelle complexe qui dépend étroitement de leur capacité d’empathie. Ces résultats suggèrent plus généralement que c’est grâce à ce type de processus de cognition sociale que nous pouvons éventuellement imaginer et partager avec autrui des affects liés à une expérience que nous n’avons nous-mêmes jamais vécue.
(source : extrait, « Peut-on partager une douleur que l’on n’a jamais éprouvée ?(…) » (Nicolas Danziger, Isabelle Faillenot et Roland Peyron) CHU Bellevue, Groupe Hospitalier Pitié-Salpétrière)

Inversement qu’est-ce qui pourrait expliquer la propension d’un schéma autoreproductif de la souffrance (comme la maltraitance) ?

La question est posée, en effet : si l’on peut comprendre avoir des difficultés à éprouver par empathie une souffrance que l’on a soi-même jamais ressentie : inversement, comment expliquer que ceux-là même qui au contraire, ont déjà éprouvé cette douleur, et en particulier, ceux qui l’ont éprouvée de manière très marquée, peuvent inversement avoir une propension à reproduire le schéma originel de cette souffrance cette fois en tant que « bourreau » plutôt que « supplicié » ? Cette reproduction du scénario originel de la souffrance s’accomplissant alors avec une absence quasi-totale d’empathie de la part du pervers rejouant la scène sadique originelle. Un peu comme si, justement la « case » sollicitée par la victime était devenue inactive à l’empathie. Et si l’on considère la possibilité d’une jubilation dans l’accomplissement du fait pervers : y-aurait-il une « empathie inversée », ou une « empathie déplacée » c’est à dire non pas le ressentie de la « souffrance de la victime » mais remplacée par celle du « plaisir du bourreau » ? Ce qui permettrait alors d’expliquer d’une part l’absence d’empathie lors de l’acte sadique mais également l’encouragement à la reproduction du schéma de la souffrance (de manière pathologique) ? La question est posée… (source : affairesfamilliales.com )


6) Pervers pour la vie ?


Que peux-t-on faire face à un pervers narcissique ?

* Pascal Couderc (Psychologue, Psychanalyste) *: « C’est compliqué parce qu’il séduit ceux qui sont susceptibles de l’être et il écarte les autres… En général, la prise de conscience se fait petit à petit, vraiment très progressivement, par des éléments épars dans l’histoire qui viennent jeter une ombre sur cette image idéale de [la personne] qu’elle prétend être.« 

* Jounaliste * : Est-ce que les pervers sont conscients d’avoir basculé dans une pathologie ou bien se disent-ils, « Mais non, c’est pour son bien, c’est moi qui dirige parce que finalement, elle était trop faible pour le faire, et puis c’était ma façon à moi, de lui montrer que je l’aimais, etc. » enfin, ils sont jamais conscient ces pervers ?

* Pascale Chapaux-Morelli (Présidente d’Association) * : « Non, [les pervers] ne sont pas vraiment conscients, d’ailleurs ils accusent toujours l’autre. Lorsque quelque chose ne va pas, c’est toujours l’autre qui est coupable. Et ils ne se remettent pas en question. [Les victimes] en générale se conseillent toutes de fuir… « 

* Journaliste * : « En gros, si un pervers narcissique arrive dans votre cabinet… « 

* Pascal Couderc * : « Non [il n’arrivera jamais dans notre cabinet]. Parce que lui, ne souffre pas.« 

* Journaliste * : « Alors, s’il est condamné pour une raison quelconque et qu’il a une injonction thérapeutique, et qu’il arrive un jour chez vous : est-ce que vous pouvez quelquechose pour lui ? »

* Pascal Couderc * : « L’aider à prendre conscience des choses mais c’est assez vain. (…) Oui, on les reçoit, il se passe un certain nombre de séances mais la prise de conscience est vraiment, vraiment compliquée. Parce que c’est la structure psychique. C’est pas juste un symptôme… « 

Existe-t-il néanmoins, l’espoir d’une prise de conscience radicale ?

un pervers repenti ( suite à une EMI/NDE)
+ Explications sur l’EMI/NDE Cf. le Dr Charbonnier (Médecin anesthésiste-réanimateur)
(expériences vécues par environ 3% de la population)

source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/11/05/introduction-a-la-perversion-narcissique/

A suivre : Qu’est-ce que l’Aliénation Parentale A suivre : La souffrance de l’enfant séparé

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