Lettre ouverte à un grand-père influant qui œuvre pour que son petit-fils soit privé de voir son père. Et à tous ceux qui collaborent à cette ignominie
Source : Article de https://affairesfamiliales.wordpress.com
(17/09/2011)Dédié à tous les enfants victimes d’abus sous couvert des droits familiaux
Voici, J’ai espéré que mon message précédent permette une prise de conscience pour dénouer une situation injuste et insoutenable en particulier pour un fils privé de son père et un père qui souffre, une mère désemparée mais en même temps tortionnaire de son fils.
Par allégorie, je suis comme un prisonnier en fond de cale d’un bateau et je crie à travers la porte fermée à double tour et à qui veut m’entendre : « rendez mon fils, vous les sans-cœurs ! Rendez-mon fils ! » Ou encore « voici, la tempête arrive, je sais traverser ce détroit : ouvrez-moi ! Ouvrez-moi donc, inconscients ! ». Aussi, j’espère que le message parviendra à celle qui je crois tenir le gouvernail et qui est désorientée et tarde à décrocher la voilure pour pouvoir affronter les vents. En réalité, je viens de m’apercevoir qu’elle était proche du gouvernail mais que parfois, c’est vous qui teniez cette barre. Aussi, mes cris n’étaient parfois point entendu à son oreille, parce qu’il vous arrivez de vouloir en intercepter le contenu et que ne lui parvienne que votre synthèse.
Voici, pourtant je dis :« Parmi les siens, qui la raisonne ? Qui l’encourage ? Maudits les lâches qui laissent perpétuer cette ignominie !!! » ou encore « Agissez ou soyez maudit ! ». Et vous restez sourd à cela, vraiment ?
Vous n’êtes point sensible à la détresse d’un père. Pourtant c’est au nom de la détresse d’un père vis à vis de sa fille que vous agissez. Vous agissez en réalité contre son intérêt mais sans vous en rendre compte et vous agissez contre l’intérêt de votre petit-fils et du père de votre petit-fils.
Vous reprochiez un temps, l’interventionnisme de votre belle famille dans votre couple et voici, le temps passant : le vent a-t-il tourné ? Vous êtes un incroyant, mais qu’il s’agisse de juger de mes actes comme celui d’avoir agi pour préserver ma famille, voila que vous croyez : vous vous empressez à juger sans connaître et même sans demander. Vous croyez moins en Dieu qu’en vous-même et êtes bien sûr de vos propres jugements et de vos certitudes. Et pour en démontrer la pertinence vous n’êtes pas avare du souvenir orienté d’une multitude d’éléments à conviction présenté comme des preuves irréfutables mais surtout de vos déductions hâtives. Car dans votre emportement vous avez omis la confrontation nécessaire à la formation d’un jugement sans équivoques.
Vous n’êtes pas Dieu, vous ne devriez pas non plus être Juge. Vos certitudes en poche, vous êtes dès lors, parfaitement insensibles aux appels du coeur d’un père qui souffre (sauf le votre) et pensez que la chose passera simplement en vous voilant la face et en voilant au besoin celle de votre fille… Là aussi, vous vous trompez ! Ainsi, sans jamais remettre en question votre jugement erroné, vous êtes braqué bille en tête dans vos certitudes, comme un jésuite dans ses sandales, sans vous retourner… Aussi sachez dès à présent que votre attitude aura contribué à ce que l’on ne prenne pas conscience de l’importance à se prémunir contre ce qui arrive quand bien même vous en eusse pu être averti. En niant l’évidence, qu’avez-vous fait pour éviter ses conséquences ? Qu’avez-vous dit à ceux qui vous entourent pour qu’ils s’y préparent également ? Mais surtout votre attitude aura été génératrice d’une injustice flagrante envers votre petit fils (privé de son père) et d’une injustice envers son père ; et n’aura pas non plus apaisé le cœur de votre fille – ce qui commence à tarder pour tout le monde …
Vous êtes un « croyant de vos certitudes » mais inversement, vous êtes un incrédule vis à vis des événements tels qu’ils arrivent. Quand bien même les pieds dans l’eau continueriez-vous d’en nier la montée – tant que l’on vous confirme qu’il fait beau ?…
Pourtant, n’ai-je point parlé au sujet de l’obsolescence à venir de l’Euro et observez : que se passe-t-il ? N’avais-je pas non plus annoncé que l’Amérique allait sombrer dans un chaos tant économique que physique – et n’avez-vous pas ri à ce moment là ? – et maintenant, voyez par vous-même ce qu’il advient et ce qu’il adviendra … Aussi, vis-à-vis des conséquences déductibles de cela, n’était-il pas raisonnable de prendre quelques précautions ?
Observez –voyez par vous-même l’agitation qui enfle et enflera : Comment croyez-vous que vont agir les gens pris au dépourvu ? Fallait-il attendre que la bise fût venue ? Etes-vous persuadé encore aujourd’hui qu’il était plus pertinent d’être au pied du mur (voire à travers) pour en constater la présence ? Est-ce cela, votre conception de la responsabilité inhérente à un « bon père de famille » ? Pourquoi ne pas m’avoir interrogé sur mes sources, vous qui pourtant êtes pourvu du libre arbitre et d’un esprit critique ? Puissiez-vous avoir été victime de votre incrédulité ? Sur quoi reposaient vos certitudes à considérer comme immuable des choses qui en réalité sont branlantes ?Aussi, personne n’échappera pas à l’heure des bilans et c’est maintenant qu’il faut agir dans le bon sens.
Mais au lieu de cela : que continuez-vous à faire ? Vous persistez ! Vous rejetez mes appels. Vous jugez et conseillez … Révisez ou non vos jugements, peu m’importe – mais ravisez sans tarder les actions qui nuisent à notre enfant en le privant de son père. Ainsi, vous gagnerez à emprunter un sentier vertueux : par amour pour votre fille, par amour pour votre petit fils, par amour pour votre prochain… Et qu’enfin tout rentre dans l’ordre normalement – car nous sommes suffisamment las. Est-ce vraiment si compliqué ?Agissez vite, car en attendant, mon fils souffre.
Comme je l’ai dit et combien de fois devrais-je le dire et le redire pour qu’on le comprenne et qu’on se soucie de lui en premier lieu ? A chacune de nos rencontres, mon fils renferme en lui, la tristesse de notre séparation quand il n’est pas carrément et abusivement empêché de voir son propre père ? Qu’à fait mon fils pour qu’il subisse cela ? Qu’a-t-il fait LUI ? Vous êtes le père de votre fille et aussi naturellement, vous êtes persuadée que son égoïsme, ses rancoeurs, ses milles reproches et sa haine, ne date que d’hier, vraiment ? Quand bien même : Ne vous en prenez pas au fils ! N’ai-je point gardé ma porte ouverte pour la mère de mon fils, quand bien même elle me reprochait ce qui apparaît clairement aujourd’hui comme étant le choix du bon sens : eussiez-vous été vous même, moins en colère face à cela si vous aviez été à ma place ? L’ai-je répudié pour autant ? Ma porte n’est-elle pas encore ouverte pour elle aujourd’hui, alors que nous subissons chaque semaine la domination de son dictat ? Ai-je de la rancœur pour autant ? Non : je souhaite juste voir mon enfant et que ses droits à lui soit respecté ! Vous êtes vous-même père, cela vous parait-il si difficile à comprendre ? Pourquoi ne pas chercher à la raisonner comme un père devrait pouvoir raisonner sa fille dans son intérêt et celui de notre enfant et qu’au moins elle cesse de le considérer comme un pion sur l’échiquier de son iniquité ?
Il me tarde :
- – Qu’un homme intelligent agisse avec intelligence.
- – Qu’une mère digne agisse avec dignité.
- – Qu’un enfant ne soit pas l’objet de transaction et puisse voir légitiment son père.
- – Qu’un père puisse voir légitiment son enfant…
Alors agissez ainsi.
Epilogue : Le grand-père maternel continuera d’agir par influence auprès de sa fille, et ne me transmettra au père qu’un seul email (27/09/2011) : " Je crois aussi, que si tu persistes dans tes agissements tels que décris par Gaëlle (…), tu perdras tes droits de visite à ton fils ou du moins ils te seront fortement réduits." Comme le sort d’Elliot est essentiellement entre les mains de la mère calomnieuse et que cette dernière est sous l’influence psychologique et financière de son père. On comprend qu’effectivement, le sort d’Elliot est indirectement pour une part non négligeable, l’affaire du grand-père maternel qui peut tirer d’autant plus facilement les ficelles qu’il est un acteur discret mais efficace du scénario aliénant.
Epilogue :Ce soir (18/09/2011) je viens d’avoir notre fils au téléphone qui n’a pas pu me voir ce week-end par décision de sa mère qui n’a pas souhaitée que je le vois malgré mes demandes réitérées.
Notre fils a 3ans et 1/2 et s’exprime bien pour son âge : on discute de peluches, de partie de foot, puis on raccroche .. Il me rappelle dans la foulée et me dis : « Tu sais : on est en prison tous les deux ! » (Comme je n’étais pas sur d’avoir bien compris je l’ai fait répéter plusieurs fois). Je ne sais absolument pas comment lui est venu ce mot ni même le concept de « prison », compte tenu des dessins animés plutôt simpliste auquel il a accès ?
Il me demande ensuite, « est-ce que tu veux venir pour l’apéro ? » (ca aussi c’est un concept…) Je lui réponds évidemment que oui, j’aimerais bien mais qu’il doit demander à sa maman ; alors il se tourne ensuite vers sa mère et lui demande à haute voix : « Est-ce que Papa il peut venir pour l’apéro ? » Réponse un peu déconcertée de sa mère mais finalement sans surprise et sans état d’âme : « Non, …je t’expliquerai plus tard » (nulle doute qu’elle lui expliquera également ce qu’il doit dire ou ne pas dire, demander ou ne pas demander voire par extension penser et ne pas penser…)
A ce jour, je n’ai toujours aucune information sur la prochaine fois que je reverrai notre fils et lui non plus.
source : https://affairesfamiliales.wordpress.com/2011/09/26/l_enfant_peut-il_etre_un_objet_de_transaction/