Des enfants maltraités par la DPJ, jusqu’à les rendre fous
De nombreux témoignages rendent compte d’une situation catastrophique au Québec vis à vis de la DPJ (La DPJ est la Direction de la Protection de la Jeunesse au Canada, l’équivalent en France de l’ASE – Aide Sociale à l’Enfance – Services sociaux – ex. DDASS)
Le témoignage suivant va bien au-delà de la maltraitance institutionnelle consistant à organiser la rupture du lien enfant-parent malgré les souffrances qu’elle induit sur l’enfant. Ce qui est en soit, déjà un scandale. Mais ici, on bascule plus loin dans l’horreur…
Stéphane Clavette, intervenant de la DPJ parmi d’autres, ayant fait l’objet d’une plainte, tente de justifier les marques sur l’anus et les fesses d’un enfant pour expliquer qu’aucune enquête ne soit effectuée. Tandis qu’en outre l’enfant développe des maladies vénériennes, il est incontinent, reclus sur lui-même, il ne s’exprime plus.
Si le moindre prétexte ou dénonciation calomnieuse suffit à la DPJ pour arracher des enfants à leurs parents, de manière quasi-immédiate, il n’en va plus de même dès lors que les sévices s’effectuent sous couvert de la DPJ.
Les nombreux éléments qui justifieraient de mener une enquête ne suffisent plus pour faire cesser des abus sur les enfants. La DPJ convient cette fois, que dire que « l’enfant s’amuse(!) avec son anus » est une réponse tout a fait satisfaisante pour ne pas tenir compte des autres éléments. Aucune enquête criminelle sérieuse n’est effectuée, ni l’enfant éloigné. Pourrait-on imaginer qu’une pareille justification soit suffisante s’il s’était agi d’un simple parent ?
Chantal Carmichael, une autre intervenante (promue depuis) aurait participée à empêcher le rétablissement du lien de l’enfant avec sa mère, aujourd’hui toujours rompu.
Lien alternatif : http://www.douteux.tv/archives/id_emission-62-id_episode-1155-part-1
« Depuis que la DPJ a débarqué dans notre vie, tout a basculé«
Aucun enfant du Québec ne peut être complétement sans risque vis à vis de la DPJ. Et compte tenu de la situation, il faudra aller bien au-delà de simples « pétitions » ou « plaintes à l’ONU » (déjà formées), pour espérer que ca change.
Il est grand temps que les Quebecois s’organisent efficacement et s’intéressent de trés près aux activités de leurs services sociaux (DPJ) afin d’identifier le réseau qui permet l’arrachement et les sévices sur les petits québécois.
Le changement ne viendra pas tout seul. Les pervers auront leur tribut, mais ce sont surtout aux indifférents et aux ignorants de quitter rapidement leur léthargie pour espérer faire la lumière sur les causes de l’horreur, dans laquelle n’importe quel enfant (y compris le leur) peut se retrouver plongé, pour n’importe quel prétexte.
En Angleterre,
Des enfants subissent également une maltraitance institutionnelle (Cf. reportage de Florence Bellone pour la RTBF :
« Enlèvements d’enfants par les services sociaux britanniques« ) mais dernièrement le scandale a fini par éclater (Cf. Affaire Waterhouse [Lost in Care] / Jimmy Savile) relevant l’ampleur insoupçonnée des sévices que les très nombreux enfants subissaient…
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« 50% des enfants enlevés à leur parent, sans nécessité» (…).
« Quelques articles relatifs au sujet des Affaires Sociales et de la maltraitance institutionnelle… qui amènent à la question suivante : Pourquoi ne pas proposer des solutions alternatives adaptées (assistance, suivi, thérapie, etc…).
Souffrance de l’enfant séparé
Nous sommes dans une zone grise , il y a du vrai et du faux . Malheureusement 80% des québecois(e) croient que si la DPJ est dans leur vie , c’est qu’ils ont de quoi à se reprocher . Et les victimes , ils ( elles) ont peur des menaces de certains intervenants ARH qui ne font pas partie de l’ordre des travailleurs sociaux : menaces de perdre leurs enfants , pas de visite si tu ne fais pas ce qu’ils disent etc etc .
Je crois que la solution est de dénoncer , dénoncer jusqu’à temps que ca reste dans l’esprit et le coeur des québécois(e), Malheureusement , les québécois(e) sont slow à comprendre , Claude Lacasse
France, protection de l’enfance !! Pour des raisons de confidentialités concernant mes observations à l’ I.D.E.A de Perpignan, ainsi que dans certaines familles d’ accueilles (p.e) le constat est aussi frappant !!! Or à ce jour le recensement des Etablissements , unités de vie pour enfants vivent quotidiennement un réel soucis de maltraitance, notamment institutionnelle, le terme »institutionnelle » afin que les pouvoirs hiérarchiques au sein des ses structures se dégagent de toutes responsabilités, mettant en péril le lien essentiel entre les enfants et leurs parents, provoquant indubitablement des placements sous ordonnances judiciaires à long terme, tout contrôle , tout pouvoirs !! à suivre …
Il y a trop d’organisations au monde comme la DPJ qui font ces actes affreux sans conséquence. Il faut que l’on fasse quelque chose pour les arrêter! Malheureusement, c’est souvent ceux qui doivent protéger contre ce genre de trafic qui sont corrompus et qui les soutiennent mondialement. Il faut agir sans attendre, déjà il y a eu trop de dégâts.
La société québécoise va-t-elle restée les yeux fermés encore même après tous ses abus de la DPJ ??? C’est cruel, lâche et inhumain de ne pas s’élever contre de pareilles atrocités. Heureusement, quelques personnes ont choisit de combattre ce système pourri, la fondation des vingt coeurs pour enfants fait tout ce qu’elle peut pour aider les victimes de la DPJ et leurs parents.
AUX FRONTIERES DE L’IRRÉPARABLE : Une affaire sordide d’un petit enfant sous couvert du ‘’DPJ’’ (direction protection de jeunesse Québec). Ce petit enfant est maintenu sous contention chimique RISPERDALE+EPIVA+BIPHENDEN, sans supervision médicale adéquate et ce malgré l’avis de nombreux professionnels impliqués dans le dossier, démontrant l’inutilité d’une telle mesure, mais aussi l’effet extrêmement négatif sur le développement de l’enfant, qui vit une telle situation depuis l’âge de 4 ans et a maintenant 9 aujourd’hui,. Cet enfant, au départ n’avait qu’un simple retard de langage, retard qu’il était en train de rattraper grâce à des services spécialisés que Dr Julien avait mis en place alors que l’enfant avait 27 mois, , l’enfant avait été confié par la cour supérieure a la mère, Insatisfait du jugement, le père est passé par le DPJ pour régler son différent en matière de garde, le père souffre d’un problème de santé mental confirmé et documenté et fait une sorte de projection de ses propres problèmes sur l’enfant, n’acceptant pas le diagnostic relativement bénin d’un retard de langage, misant sur un trouble envahissant du développement (TED) et ce malgré les opinions médicales contraires et les nombreuses preuves vidéos où l’enfant démontre clairement des comportements qui sont incompatibles avec l’autisme, Cependant, la sœur du père est pédiatre et malgré qu’elle soit au courant des problèmes psychiatriques de son frère, décide tout de même de collaborer à son jeu en émettant une évaluation de complaisance dans le cadre ‘’de procédures de garde’’ ,
La DPJ a ensuite assisté le père dans ses démarches pour reprendre la garde de l’enfant et ainsi le soustraire à l’environnement affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement éducatif spécialisé incompatible avec son état réel en plus de lui causer un traumatisme émotif causé par la séparation d’avec sa mère et sa grand-mère, traumatisme qui fut « géré » par voie de contention chimique. Par la suite, le père a eu un nouvel enfant avec sa nouvelle conjointe, et ne désire plus avoir la garde de l’enfant. Plutôt que de reconfier l’enfant à son milieu naturel original, d’où il n’aurait jamais dû sortir, il est plutôt envoyé en Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) alors qu’il est gavé de psychotropes RISPERDAL qui le rendent dans un état végétatif, histoire de contenir la rage et la détresse qu’il tente d’exprimer face à la situation intolérable qu’on lui fait subir.
L’enfant avec toutes ses facultés cognitives a été forcé d’évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une clientèle lourdement handicapée mentalement, et coupé de tout lien affectif et familial significatif. Imaginez l’impact sur son développement cognitif, sur le frein que cela peut mettre dans la réalisation de son plein potentiel, mais surtout du malaise et de l’inconfort qui n’ont eu d’autre choix que de s’exprimer à travers la colère face à une telle atteinte à son propre développement personnel, des crises que la DPJ a choisi de réduire au silence par une camisole de force chimique plutôt que de reconnaitre ses erreurs et agir dans le bien de l’enfant en le retournant dans son véritable milieu familial. Le tribunal retardant inutilement le secours qui doit être apporté à l’enfant, ce qui devrait pourtant être une première priorité. les responsables de cette sordide affaire se mettent la tête dans le sable, un petit enfant livré à son sort dans un état végétatif, la mère assistait impuissante L’enfant abandonné en maison d’accueil, abusé sexuellement sous couvert du DPJ , la psychoéducatrice qui dénoncer la grave compromission de l’enfant jetée en prison !!….
http://veritejustice.wordpress.com/2013/11/17/chantal-mino-desaxee-ou-lumiere-sur-la-dpj/
L’émission Enquête diffusée à Radio-Canada nous interpelle sur les possibles dérapages des systèmes qui s’occupent de la santé et du bien-être des enfants et des familles La question qui se pose : Comment agir conformément au serment d’Hippocrate quand on est médecin compétiteur de gladiateurs? Comment garantir la probité de la profession médicale et traiter de manière responsable un enfant comme patient et non comme candidat quand on est tributaire d’un système qui a perdu son âme!… Jusqu’où le système ira pour traquer la supposée maltraitance? ‘’PARENT COUPABLE AVANT D’OUVRIR LA BOUCHE’’ !!!!.
L’hôpital est par définition un endroit neutre de réconfort et de soins, en médecine, on guérit parfois, on soulage un peu, mais surtout on peut faire la différence de part les valeurs véhiculées par le praticien, l’éthique et l’humanisme, Il est question ici d’une médecine pédiatrique qui sous le couvert de « meilleures pratiques » amène hélas la pratique à se substituer au juge et jouer tristement un rôle inquisiteur!… Les parents paniquent à l’idée de se rendre dans cet hôpital ‘’QG du DPJ’’ par crainte de se livrer pieds et mains liés aux bourreaux d’enfants à la recherche insatiable de coupables!…
Faits troublants, sur les méthodes de la clinique sociojuridique de cet l’hôpital, aux ordres des intervenants du DPJ :A la différence du parent ‘’PARIA’’ ‘’Le, ou les parents ou familles d’accueil protégé par le DPJ’’ ne seront jamais inquiétés , les enquêtes socio juridique n’auront aucune chance d’aboutir au risque de destruction de petites vies: Pour rappel, a ce titre une une référence pour difficulté sociale, intoxications à répétition, surdose de médication d’un petit enfant a été tout simplement annulée, dossier fermé à la demande de l’intervenante du DPJ Marie -Eves Marchand , bureau Decarie DPJ, en février 2012 et ce malgré un rapport de police concluant au danger potentiel de l’enfant avec le parent gardien : Affaire classée sans suite!… La collusion, et complaisance dans cette clinique, est légion ‘’des enfants contrôlés jusque dans la mort’’ sans aucun garde-fou !!!!!…Où était le Dr-Alain Sirard , Directeur de cette clinique, alors qu’un enfant faisait l’objet d’intoxications à répétition durant des années? Rapports compilés aux Archives de l’hôpital et Centre Antipoison, Pourquoi faire des tests ‘’de drogues de rue’’ pour un petit enfant enfermé dans »une armure » et occulter sciemment les tests de surdose de .médication et rush médicamenteux ???
Jusqu’où le système ira pour traquer la supposée maltraitance des parents?
Et Jusqu’où le système ira pour faire fi de la maltraitance et Abus sexuels des enfants sous couvert du DPJ!..
Si le moindre prétexte ou dénonciation calomnieuse suffit au Dr Alain Sirard et le DPJ pour arracher des enfants à leurs parents, de manière quasi-immédiate, il n’en va plus de même dès lors que les sévices s’effectuent sous couvert de la DPJ….. Il est grand temps que les Québécois s’organisent efficacement et s’intéressent de très près aux activités de leurs services sociaux (DPJ) afin d’identifier le réseau qui permet l’arrachement et les sévices sur les petits québécois!!!!!…………
http://www.radio-canada.ca/nouvelles/societe/2013/11/20/004-sainte-justine-dpj-enquete.shtml
‘’ Le Québec fou de ses enfant’’ Maudits ceux qui un jour n’ont pas su regarder, Maudits tous ces vertueux de la vie qui du haut de leur pureté n’ont pas su prévenir, Maudits les uniformes entachés du sang de nos enfants, fétides bourreaux de fosse et de sépulture…Une petite vie d’innocent de détruite ‘’CONTROLÉ JUSQUE DANS LA MORT’’..Le regard d’un parent construit! mais dans le cas de ce petit enfant merveilleux (voir vidéo), le père a élaboré des stratégies par le biais des services de la protection de la jeunesse du Québec la ‘’DPJ’’ pour se venger de la mère et la priver de son enfant, il voulait ce diagnostic ‘’d’autisme’’ pour son enfant, il a le privilège d’avoir une sœur pédiatre qui fait partie du système!.. Le père et la sœur du père pédiatre, ont misé sur le programme ‘’MK ULTRA’’ initié au Canada pour la CIA, testé sur les enfants indiens dans les orphelinats, des expériences qui se poursuivent de nos jours sur les enfants DPJ, les psychotropes 2em génération, cocktail Molotov : le RISPERDAL+ EPIVAL ’’ aux effets secondaires désastreux donnés sans raison à l’enfant pour le déprogrammer, lui formater le cerveau, parce qu’il pleurait, ne supportait pas la séparation avec ses figures significatives, la mère et la grand-mère, l’enfant médicalisé a un bas âge et sur le long terme depuis 2009, orienté sciemment dans des institutions de cas lourds d’autistes avec déficience intellectuelle et déficiences associées est rendu aujourd’hui 9 ans a ‘’l’état animal’’. Une stratégie aux dimensions psychopathologiques pour garder ce petit enfant dans un statut d’inapte toute sa vie, atteindre la mère et la priver de son enfant.
Voir : Capsule vidéo du petit enfant a 3 ans avant d’être arraché à sa mère :
Et la vidéo de ce qu’il est advenu de l’enfant avec l’aval du DPJ
Prière de signer la pétition en ligne en soutien a ce petit enfant , MERCI
http://www.change.org/fr/pétitions/ouvrir-une-enquête-publique-sur-la-dpj-au-québec
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il faut une enquête internationale, car on parle bel et bien d’un cartel bien structuré.
pour signer la pétition adressée à :
La Cour Pénale Internationale pour Ouvrir une enquête publique sur la DPJ au Québec :
http://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/ouvrir-une-enqu%C3%AAte-publique-sur-la-dpj-au-qu%C3%A9bec
50 agents du Palais de Justice de Montréal pour arrêter 2 femmes
SACRIFICE D’ENFANTS AU QUÉBEC, :
«Le Québec fou de ses enfants ».Il y a des enfants que l’on assassine froidement à l’arme blanche et les enfants que l’on assassine à petit feu, qui croupissent dans le couloir de la mort, des enfants pour qui toutes possibilités de venir en aide se heurtent aux explications macabres On ne peut rien faire, le dossier est devant le juge!.. «C ‘est comme ça que ça fonctionne» répétés ad nauseam par nos institutions, qui de la commission des droits de la personne, du protecteur du citoyen, nos élus, etc..
Dans la règle du jeu, de gros joueurs, certains psychiatres qui par allégeance, ou considérations partisanes à maintenir des standards artificiels pour la publication et l’obtention de fonds de recherche n’hésiteront pas à délivrer des « maladies à la carte, sur mandat du DPJ», sait-on jamais cela pourrait toujours servir la science!…: http://www.ageofautism.com/2010/03/fombonne-lord-leventhal-vs-children-with-autism.html, «c’est comment ça que ça marche au QG du Dr Éric Fombonne du MCH» :
Le parent escorté d’une intervenante du DPJ( Chantal Carmichael, spécialiste des appels déguisés après cour) se rend dans un immeuble désaffecté, rue Ste Catherine qui donne froid au dos. A l’entrée de l’immeuble se trouve un appariteur assis à une table dans l’obscurité, le parent est invité à décliner son identité et remplir un billet comme dans les régimes soviétiques, après approbation d’un organe de contrôle contacté au téléphone, le parent toujours escorté de l’intervenante du DPJ monte à l’étage supérieur, dans ce lugubre édifice, pas âme qui vive en dehors du Dr Fombonne, fin prêt au sacrifice d’enfants sur mandat express du DPJ,
l’intervenante du DPJ est entendue en premier sans la présence du parent protecteur , lors de l’examen clinique aucune information fournie par le parent, (je précise protecteur) n’est prise en considération, le diagnostic tombe sans appel à la première rencontre, le parent est invité à signer un papier d’une subvention de 160$/mois pour étiqueter l’enfant à la Régie des Rentes, des références pour bilans ultérieurs qui ne verront jamais le jour sont remises au parent, La job terminée, une lettre est adressée par le Dr Fombonne au parent ciblé, l’invitant à s’adresser désormais au médecin traitant de l’enfant qui se trouve être «un médecin de pédiatrie sociale»,
Le jour de l’audience à la chambre jeunesse, Dr Fombonne témoin expert du DPJ qui n’a jamais revu l’enfant viendra témoigner à la place de l’intervenante du DPJ pour retirer la garde au parent aimant protecteur et de ce fait même le DPJ qui a le fardeau de la preuve va se soustraire au témoignage et le tour est joué , le DPJ va tenter de faire signer une entente au parent ciblé : «de reconnaitre le diagnostic émis par le Dr Fombonne, de s’’engager à ne faire aucune autre évaluation pour confirmer le diagnostic du Dr Fombonne et de consentir au droits de garde fixés par le DPJ»
«Mission accomplie», le service après-vente du jugement de garde de la cour supérieure vient d’être assurée au mérite par l’intervenante du DPJ, sous l’œil inquisiteur de l’avocat du DPJ et l’enfant de l’enfant, pas d’arbitrage de juge!.. Je renvoie à ce titre à l’étude de la chercheuse de Marie Jacob ’’ Conflit de garde et DPJ’’ Ou il est démontré que bon nombre parents passent par le DPJ pour régler leur différent en matière de garde, pas nécessairement parce qu’il y a compromission d’enfant, qui «des mères invoquant l’abus sexuel et des pères des problèmes de développement »
‘.http://www.barreau.qc.ca/pdf/journal/vol35/no14/regards.html…………………………………… L’enfant pris en otage, commence alors la descente aux enfers du parent aimant, protecteur qui pensait candidement « qu’un jugement au Québec est force de loi» l’enfant quant à lui va sombrer dans les dédales du DPJ, médication forcée avec de puissants psychotropes, séparation d’avec la figure d’attachement, l’enfant va dépérir au fils du temps, L’intervenante Chantal Carmichael va disparaitre pendant un temps avant de se voir promue a un poste de superviseuse, le Dr Fombonne disparaitra dans la nature, année sabbatique indéterminée , l’enfant ira rejoindre le rang ‘’des orphelins de Duplessis’’..
Toutes tentatives de venir en aide à l’enfant sera vouée à l’échec, « Parole d’évangile, les gardiens du temple » ne voudront jamais perdre la face, pas d’évaluation indépendante pas d’hospitalisation, pas d’arrêt de la médication «c’est coulé dans le béton » Qu’importe la grave compromission de l’enfant les docteurs ‘’MABUSE’’ archétype de génie de l’horreur et du crime, se dissimulent sous de multiples visages et personnalités, ils trouveront toujours quelqu’un pour ré-endosser leur destruction et perpétuer le génie du mal(dans ce cas-ci un octogénaire de l’hôpital Ste Justine QG du DPJ , le psychiatre Michel Lemay) . On peut même finalement en déduire que ‘’Mabuse’’ ne serait que l’expression d’un esprit du mal nécessaire à la société, son but n’est pas de conquérir le monde et de le soumettre, mais bien de le détruire et ne régner que sur ses ruines.
Viendra alors la Commission Charbonneau / le grand épisode « DES CHIFFRES ET DES LETTRES », Le juge Michel Déziel éclaboussé à la commission Charbonneau : Ce juge du district de Laval avait été appelé expressément à statuer dans le dossier de l’enfant au palais de justice de Montréal, suite introduction d’un appel art. 100 sur décision rendue par la chambre de la jeunesse, ultime tentative de venir en aide à l’enfant qui avait perdu ‘’ l’usage du langage’’,
Ce juge, de connivence avec le DPJ qui s’était précipité a introduire une requête incidente pour faire déclarer la mère ‘’quérulente’’ et bloquer l’appel de son enfant, a condamné cette mère sur un faux en l’absence de factures a des frais d’ honoraires d’avocats fictifs avec dommages-intérêts, d’un montant de 20.000$, au vu d’une simple lettre frauduleuse d’un avocat de la partie adverse sorti du dossier de garde depuis des lustres , des sommes non identifiés, référant à priori aux dates de procédures de la garde d’enfant (jugements intérimaires de garde de la juge Nicole Benard, J.C.S, de la juge Danielle Grenier J.C.S. et jugement final du juge Herbert Marx J.C.S, ayant statué respectivement sur la garde,) ont été prises au hasard dans cette lettre.
Jugement circonstancié a été rendu par le juge Michel Déziel pour bâillonner cette mère selon la loi 9 du nouveau code de procédure et bloquer l’appel de son enfant, Un petit enfant qui aurait pu hélas être sauver dès 2010 avec recommandations expresses de spécialistes au dossier, psychologues, pédopsychiatre, milieux scolaire, CLSC signalant la détérioration extrême de l’enfant et l’urgence à intervenir avant qu’il ne soit trop tard , un enfant dont l’avenir est présentement hypothéqué a jamais Ce jugement fallacieux fait malheureusement l’objet de jurisprudence…….NB. .le Barreau saisi à cet effet pour réclamer les factures mystérieuses des frais d’honoraires à l’avocat en question, Me Guy Ste Marie, cabinet Gurkin a Longueuil, Affaire classée sans suite !… «c’est comme ça que ça fonctionne», répétés ad nauseam PAR LES GARDIENS DU TEMPLE DE DROITS ET LIBERTÉS!…
Fombonne, Lord, Leventhal vs. Children with Autism – AGE OF AUTISM
http://www.ageofautism.com
By Katie Wright What kind of human being makes money by testifying against disab..
Quand j’ai entendu l’entrevue de la maman et de la grand-mère du petit Mehdi, je suis en colère contre ce système pourri. Comment peut-on poser un diagnostic d’autisme en une heure alors que de nombreux professionnels ont constaté le contraire. Ce médecin mériterait de passer devant le collège des médecins. Il existe des protocoles d’évaluation qui ne sont pas appliqués au Québec. Pour mon fils, ça a été une éducatrice de garderie et une directrice qui ont conclu qu’il était autiste. En quoi ont-elles eu le droit d’influencer les professionnels que nous consultions et qui suivaient comme des moutons, sans même qu’aucun bilan ou qu’aucune évaluation ne soit passé(e)? Ce qu’il faut savoir, c’est que dès lors qu’un enfant sain est considéré par le milieu de garde comme un déficient intellectuel ou comme un malade mental, l’enfant subit un traumatisme énorme duquel il mettra pas mal de temps à se remettre, même si on le sort de là quelque mois plus tard. Il faut savoir que pour nous, les intervenants de la garderie (éducatrice et directrice) n’ont pas appelé un chat un chat et ont provoqué des états de crise chez notre fils derrière notre dos. Notre fils était déficient visuel et on lui enlevait ses lunettes pour prouver le plus possible qu’il était autiste; on a su par la suite qu’il avait subi divers traumatismes de la part d’une personne en particulier. Qu’est-ce qui a causé cela? Mon fils a eu une très mauvaise prise en charge de sa déficience visuelle complexe et avait des problèmes moteurs à l’époque. Pourquoi la garderie a-t-elle fait cela? Pour des raisons financières probablement; plus l’enfant porte une étiquette lourde, plus les financements sont élevés. D’autres enfants de la garderie ont aussi été dans le collimateur. La directrice se flattait d’avoir envoyé un petit garçon en psychatrie pour le faire médicamenter (un gamin de 4 ans qui bougeait trop) et lui faire un plan d’intervention. Nous avons eu des transmissions illégales de renseignements personnels erronés à l’école. Nous avons dû partir à l’étranger pour obtenir des bilans sérieux et pour éviter de nous enliser dans un diagnostic erroné. J’ai toujours su que si nous n’étions pas partis, la DPJ aurait été appelée si nous avions démontré quelque résistance à ces inepties. Notre fils n’a jamais été autiste; 3 ans après, il a retrouvé le sourire; nous sommes repartis au Canada, dans une autre province et là, un médecin compétent, un ophtalmo a enfin trouvé ce qui clochait dans sa vision. Aujourd’hui, les problèmes moteurs ont disparu. Malgré plusieurs plaintes au Québec, le système ne permet pas de punir les coupables.
Je comprends tellement cette maman de Mehdi, qui s’enfonce comme dans des sables mouvants, l’impuissance contre la souffrance subie par son fils. C’est tellement horrible; il n’y a pas de mots pour décrire l’univers concentrationnaire subi par Medhi. Il n’y a pas non plus de mot pour décrire ces procédures staliniennes subies par ces deux femmes.
De l’étranger, on a du mal à s’imaginer dans quels sables mouvants la maman et la grand-mère peuvent se trouver en raison de ce système. Ouïe-dire et impressions erronées de la part d’incompétents minent les efforts des familles pour sortir les enfants de l’enfer.
Je suis la personne qui a témoigné comme anonyme ci-dessus. Je me suis souvenue également des connivences qu’il existait entre la garderie et un service en psychiatrie d’un hôpital pour effectuer d’éventuels diagnostics. En effet, la directrice de la garderie nous avait conseillé une personne en particulier dans un hôpital précis toujours avec le sourire et toujours sous des airs de fausseté (elles maltraitaient notre fils derrière notre dos pour prouver qu’il avait des traits autistiques). Il y avait même de grosses pressions pour que nous ayons affaire à cet hôpital et pas à un autre. Notre chance a été que le service en question était en train de fermer… et qu’ils ne prenaient donc plus de patients. Je me suis rappelé son air déçu lorsque nous lui avons appris. D’ailleurs, la directrice de la garderie était passée par-dessus la pédiatre de notre fils (qui ne croyait pas au rapport de la garderie sans pourtant nous dire la signification profonde de ce rapport… bien oui, la lettre était tellement bien faite, tous les critères de l’autisme y étaient et des parents pas au courant de ce trouble ne pouvaient pas deviner. Nous sommes tombés dans le piège.).
C’était tellement habile qu’on voyait que cette directrice de CPE avait l’habitude de rédiger de telles lettres et d’envoyer pas mal de candidats au diagnostic d’autisme. Nous étions en outre emportés dans le tourbillon de l’inquiétude… sans que le nom d’autisme ait été prononcé. Une autre chance a été que nous avons payé deux personnes au privé (qui prenaient les paroles de la garderie pour des paroles d’évangile). C’est la première lologue qui nous a parlé d’autisme… L’observation de la deuxième (au privé) en garderie et son rapport arraché si on peut dire nous ont permis de voir comment notre fils était maltraité et avait été « préparé » à l’observation (la vision de 2/10 sans lunettes la plupart de l’observation a aidé également). Les comportements de notre fils ne correspondaient pas à son comportement habituel, ni dans les précédents milieux de garde. Nous avons compris la teneur du rapport de garderie que bien trop tard. L’histoire est longue. Nous n’avons pas poursuivi auprès des médecins de Montréal (liste d’attente puis abandon lorsque nous avons retiré l’enfant de ce milieu de garde). Puis nous sommes partis à l’étranger lorsque l’info a été transmise à l’école, lorsqu’on a vu qu’on ne pouvait plus en sortir. À l’étranger, on est repartis sur des bases objectives et bien entendu, on a pu éliminer l’autisme sur base de tests approfondis. En outre, on y a jamais cru. L’enfant en a gardé des séquelles, et on a pris pas mal de retard à régler sa vision, mais il a fini par s’apaiser définitivement. Ça nous a coûté en tout 80000 $.
Donc, je suis tout à fait d’accord avec ce que dit Aline ci-dessus. Il y a des connivences entre les divers milieux : pédopsychiatres, certaines directrices de garderie et je pense que c’est encore pire avec la DPJ (à laquelle bien heureusement nous n’avons pas eu affaire). Notre histoire a 3 ans et demi, mais madame N J et son acolyte MJP. sont toujours en poste dans la garderie en question et continuent leur basse besogne. Dieu merci! On a plus entendu parler d’autisme par la suite… Ces deux pourritures ne paieront jamais leurs crimes…
Que des enfants servent de cobayes comme à Auschwitz, oui, j’y crois. Je crois aussi que l’aspect financier joue un rôle primordial.
Oui, il faut assainir, nettoyer à l’eau de javel cette DPJ et ce système de connivence qui font des enfants des victimes… et punir sévèrement les médecins qui font des faux (nous, on n’en a pas rencontré au Québec et on s’estime chanceux).
Les intervenants-tes de la Dpj ne sont pas tous-tes bien formes-ees en matiere de competences parentales, d’experience de vie, de communication avec les parents et la famille elargie (aucun dialogue, seulement des jugements non-fondes et des prejuges). IIs sont sortis de l’Universite avec un baccalaureat seulement. J’ai toujours doute de leur competence jusqu’a date et ca me surprendrait que je change d’idee. Comment quelqu’un peut-il travailler a la DPJ tout en sachant que des dommages collateraux permanents restent imprimes a jamais chez certains enfants?
En plus, ia dpj ne fait meme pas confiance au retablissement court ou long des parents, raccourcit et coupe les visites supervisees, harcele les parents afin qu’ils signent les papiers d’adoption,
essaient de convaincre l’enfant qu’il etait battu lorsqu’il etait bebe
La dpj cree des projets de vie sans avoir tout essaye quand on sait qu’il y en a des solutions. Cf. Le film de Denis Arcand, « Les voleurs d’enfance »
C est horrible
« La DPJ pire que « les Orphelins de Duplessis » (selon un Orphelin) » (article qui décrit brièvement l’histoire de l’enfant)
« Un enfant rendu à l’état animal »
Y a pas pire sentiment que lorsque la DPJ vous arrache l’enfant de vos mains pour soi-disant mieux l’éduquer et l’éloigner de la délinquance! Or, c’est tout à fait l’inverse qui se passe car l’enfant est mis avec d’autres enfants encore plus délinquants que lui et de là il commence à tisser de nouvelles relations pas très recommandables. Conclusion, votre enfant vient de s’enfoncer encore plus et ceci grâce à qui? à la DPJ, bien sûr…
La DPJ est une machine très lourde et très complexe et surtout n’essayez pas de vous battre contre elle car ce sera la bataille de David contre Goliath.
Et le pire dans tout ça, c’est qu’on t’enlève ton enfant et on te réclame 567 dollars par moi pour son hébergement dans un centre d’accueil. Non plus, ils emprisonnent ton enfant mais en plus tu dois payer pour son emprisonnement! Oui, j’appelle ça emprisonner car c’est le bout du bout.
De là, mon enfant de 15 ans s’est mis à côtoyer des enfants qui font partie des gangs de rue, des voleurs d’autos, des revendeurs de drogues, etc…
Où est le milieu sain dans lequel il va être pris en charge et dans lequel ils vont s’en occuper pour qu’il ne tombe pas dans la délinquance.
Mon enfant est un adolescent et il l’adolescence est l’âge le plus difficile d’un être humain. C’est à cette étape que l’enfant se cherche afin de continuer son chemin dans la vie. Oui, il y a risque de déviation mais entre vous et moi qui n’a pas fait de mauvais coups pendant son adolescence, qui n’a pas subi des tentations, bonnes ou mauvaises, pendant son adolescence??? L’essentiel, c’est qu’il ne s’enfonce pas et c’est là que nous, parents, avons une grande part. Malheureusement, la DPJ veut te remplacer dans ces moments-là en se disant qu’elle est plus apte que les parents pour encadrer l’enfant!
Et bien, moi, j’emmerde la DPJ ainsi que le gouvernement qui l’a créée et la supporte, ses employé(e)s qui ne font qu’arracher des enfants à leurs parents. D’ailleurs, la plupart ne sont pas des parents et ne savent même pas ce qu’est la définition d’être parent… Alors comment voulez-vous qu’ils ne se comportent pas comme des robots… aucun sentiment!
La DPJ est une énorme honte au Quebec car ils on fait la même chose a ma mère !!! Pi ma mere et les enfants on a beau se battre pour que notre petite soeur revienne mais il n’y a rien à faire car la dpj achète les enfants ! Il les influence !! Il on le tour avec les enfants !! Moi je les appelle les voleurs d’enfants …. J’connais une famille dont les 4 enfants sont maltraités, on a dit cela a la DPJ, ils nous ont même dit que cetait criminel et peu de temps après ils ont retirés la plainte !! Je trouve ça ridicule parce qu’il y a des familles heureuses et que les parent soccupent super bien de leurs enfants et la DPJ vient arracher les enfants et d’autre familles que les enfants sont maltraités par leur parents pi y font rien !!!! INJUSTICE TOTALE !
Les abus sexuels sur enfants, que ce soit au Canada, en Belgique ou ailleurs existent hélas de plus en plus. La justice est lente, il faut que cela soit prouvé. Parfois,c’est long et difficile. Les valeurs humaines inculquées depuis des siècles ou sont elles passées??? Faire justice sois même??? ce que à la limite pourrait être compréhensible, mais là la justice agirait plus vite.
Mais pourquoi les parents n’agissent-ils pas ??? Ils ont des millénaires d’Histoire derrière eux, ils ignorent qu’il y a un droit supérieur aux lois ?
Tout le système est corrompu (police, services sociaux, justice…) et c’est le parcours du combattant pour s’en sortir et mettre les enfants en sécurité, il faut avoir des nerfs solides et à toutes épreuves parce qu’en plus vous avez des pressions et emmerdements terribles tous les jours dans votre vie!
La dpj est une honte pour le Québec, une commission de type Charbonneau pourra découvrir et puis arrêter peut-être ce fléau, la dpj …n’ont pas peur ou gêne, ils ont une attitude puissante qui n’a pas sa place dans notre démocratie obtenue avec les sacrifices de nos ancêtres.
Nous attendons nos élus de prendre la position.