« Nous avons bien compris que ces officiels français se moquaient des enfants et de leurs familles, qu’ils ne nous disent pas qu’ils ne savent pas ce qui se passe dans ce pays, le CEDIF est suffisamment visible aujourd’hui pour qu’ils puissent feindre de ne pas nous avoir entendu.
Merci encore à la Voix de la Russie et à ProRussia TV (http://www.prorussia.tv/) qui porte bien son nom de chaîne de réinformation et que nous vous conseillons chaleureusement. » (Cedif)
En réalisant une interview du président de notre association, « La Voix de la Russie », media officiel russe, s’est penché sur les alertes que nous mettons en place au CEDIF contre les exactions de l’État français en matière de « protection de l’enfance ».
Si, en dehors de la France, d’autres media comme le Québécois Libre s’intéressent à nos actions, le black-out est instauré en France puisque des associations plus dociles sont préférées.
Ce débat lancé devait être contradictoire, mais la voix officielle française est plus que gênée face à la mise en évidence des exactions commises contre les familles. Comme le révèle la Voix de la Russie, les Conseils généraux ne sauraient répondre à notre président, quant à la ministre chargée de la famille, son porte-parole était en … déplacement.
Nous avons bien compris que ces officiels français se moquaient des enfants et de leurs familles, qu’ils ne nous disent pas qu’ils…
Elles conduisent à des souffrances partagées par les enfants en premier lieu, également les deux parents en conflits mais également les familles collatérales. Elles aboutissent à un coût inestimable pour la société (justice, services sociaux, psychiatrie) et qui se poursuit dans la vie adulte de l’enfant traumatisé.
Pourquoi est-on capable de proposer des mariages originaux et de ne pas être capable de garantir le droit de l’enfant, en faisant respecter cette simple évidence : les couples séparés ne doivent pas s’éloigner l’un de l’autre à partir du moment où ils réclament tous deux, la légitimité de l’exercice de l’autorité parental.
Une fois cette zone parentale définie, plutôt qu’à collectionner ensuite, les plaintes pour NRE (Non Représentation de l’Enfant – 25 000 plaintes/ an), il faut envisager d’amender directement par l’intermédiaire des forces de l’ordre (et de façon graduelle) les couples qui s’amuseraient à cette maltraitance (!).
Et pour les 95% qui invoquent les meilleurs raisons du monde, pour justifier leurs actes – tant l’autre parent est forcément « mauvais » (dans tous les cas) : voyons alors jusqu’à quel prix, ils sont prêts à « protéger » l’enfant – sans hésiter par contre, à le détruire psychologiquement ! Cela aura l’avantage de mettre très vite en lumière qu’il s’agit pour une part majoritaire, de prétextes, calomnieux inhérents au sadisme et au déni du parent pervers (car on a vu des parents prêts « à tuer père et mère » pour ne pas jouer le jeu, mais s’aligner illico pour seulement 20 malheureux euros !!) . Et ainsi de constater que leur premier soucis étaient plutôt d’apaiser leurs propres angoisses (ou d’assouvir une vengeance) et pas le souci des souffrances de leur propre enfant .. (enfin, sauf pour 20€ !…)
Alors, de s’interroger : Quel est donc le problème qui empêche de produire ces quelques mots nécessaires pour légiférer ?
L’Etat veut couper dans les dépenses et augmenter ses recettes fiscales : 18 000 enfants par an dépassent le niveau de l’Exclusion Parentale pour rentrer sur le chemin de l’Aliénation, et finir par être broyé psychologiquement. On se soucie aujourd’hui du confort et de la sécurité de nos chères têtes blondes, du siège-auto ceinturé façon rallye, des vaccins en veux-tu-en-voilà, … mais par contre qui pour encore veiller à faire cesser ce type de maltraitance psychologique ? Ca n’intéresse donc personne ? Tout finit par se payer : aujourd’hui les enfants sont meurtris, les parents à genoux et l’Etat ? …. Et pourtant, pour une fois, que l’on aurait pu trouver des amendes vraiment justes…
Mais probablement trop compliqué, cependant : car il n’est pas impossible que l’on ait déjà atteint un niveau d’incompétence non loin de la hauteur de celui de notre décadence…
Sauf s'il s'agit de gérer les séparations et divorces non conflictuels (ou sans enfant), il faut faire le constat d'une structure d'arbitrage qui n’est actuellement pas adaptée au conflit parental.