Justice, Affaires Familiales : Le changement, c’est pour quand ?
Lettre ouverte d’un parent qui s’interroge sur la situation de son couple parental.
D’un point de vu général sur la question des Eloignements Géographiques Volontaires (EGV) : on peut aussi (et surtout) s’interroger sur la situation inadmissible que subissent les enfants-otages.
Et devant une pareille inertie : doit-on envisager de revoir complètement la question des Affaires Familiales pour comprendre pourquoi il est si extraordinaire d’arriver une bonne fois pour toute, à faire cesser la prise d’otage des enfants et la souffrance qu’elle induite :
Est-ce si difficile que cela de définir une zone parentale ? (par défaut, par exemple : là où vivent les parents avant la séparation ? Alors pourquoi, ne le fait-on pas ? Que font les autorités pour amorcer « le changement » ?
Qu’est-ce qui doit être pris en considération « primordiale » ?
- Le droit légitime et nécessaire d’un enfant de ne pas avoir le lien parental amputé
- Ou bien de laisser absolument des parents inconscients et pervers de pouvoir continuer librement à arracher leur(s) enfant(s) de l’autre parent (en invoquant au passage, toutes les calomnies nécessaires les confortant dans le déni de la maltaitance psychologique et visant à gagner en sus la bénédiction judiciaire) ?
« (…) Un éloignement géographique volontaire de mes deux enfants à 750 kms (7h 30 de route A-R, soit deux jours) et m’engage à consacrer 5 mois de salaires (7000 euros) pour tenter de rester père.
Il m’impose une hypothétique « entente amiable » avec la mère alors que celle-ci a refusé toutes médiations et toutes ententes lors de l’exercice de notre autorité parentale conjointe.
Plus incompréhensible, [on] me demande de discuter avec une mère qui m’a calomnié et accusé de violences conjugales, de mauvais traitements sur mes enfants et d’autres faits de violences, tous plus mensongers les uns que les autres. Madame n’hésitant pas aujourd’hui à saisir le juge pour enfants afin de couper tous liens que le JAF me laissait en « reste » avec mes enfants.
Enfin il n’est motivé que par l’âge des enfants, qui n’est pas un motif juridique pour décider de leur domiciliation. Ce motif crée une véritable suspicion à mon égard.
Depuis la réception de cette ordonnance le 16 novembre 2012, je m’indigne et j’ai entamé une grève de la faim pour que mon dossier soit ouvert et pour alerter l’opinion sur ce phénomène banalisé. C’est au nom des enfants, et dans leur seul intérêt que je poursuivrai cette grève de la faim devant le TGI de Valence (26) où j’installerai une tente à partir du 26 novembre. Ceci afin que la parole des pères soit entendue, que leurs droits et ceux des parents oubliés par la justice familiale (JAF, JE) soient respectés.
Mon histoire est celle de milliers de pères et parents désabusés et détruits par des décisions arbitraires prisent sans contradiction, ni dans l’intérêt des enfants de France. L’éloignement géographique des enfants de leur parent, et père, est la première forme de violence faite aux hommes. Celle-ci reste parfaitement indolore mais entraîne pourtant chaque année des milliers de suicides de pères en détresse. Ces conflits conjugaux deviennent alors des violences conjugales, puis judiciaires, laissant des pères désespérés loin de leur(s) enfant(s) et en grandes difficultés financières.
Les textes, les lois et les jurisprudences permettent pourtant de protéger les enfants et les parents des graves conséquences de telles séparations provoquées par l’un des deux parents. De même, tous les outils sont entre les mains des magistrats pour faire respecter l’égalité parentale, l’égalité des sexes au delà des conflits parentaux. Les services et magistratures ont toutes compétences pour traiter et ouvrir les dossiers afin d’éviter des drames familiaux, mais force est de constater que malgré tout cela ces injustices dures et perdures.
C’est au nom des enfants de la république, de leur seul intérêt que je vous appelle au travers de cette grève de la faim à ouvrir ce malaise social. Je serai à Paris devant l’assemblée nationale au mois de Décembre. Vous remerciant pour votre lecture .»(Nicolas Moreno – 25/11/12- source & pétition)
Le combat de Nicolas Moreno sur Facebook : http://www.facebook.com/nicolasmoreno.grevedelafaim
« Doit-on condamner les parents séparés à résider dans la même « zone parentale » jusqu’à la majorité des enfants ? » (…).
Pourquoi ne pas être capable de garantir le droit de l’enfant, en faisant respecter cette simple évidence : les couples séparés ne doivent pas s’éloigner l’un de l’autre (résidence) à partir du moment où ils réclament tous deux, la légitimité de l’exercice de l’autorité parental.
(Un couple Parental = Une zone Parentale)
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( lire la suite ici)
J’estime que Nicolas explique son drame (comme plus de 2 millions d’autres papas) à cause des actes pervers d’une femme qui manque de loyauté et de réciprocité… et qui pense… comme des millions d’autres femmes que les enfants leur appartiennent exclusivement ! Ce qui est faux, bien entendu !
80 % des adolescents délinquants sont privés de pères ! Nous venons d’entendre les tueries aux USA, par un jeune homme qui a tué 20 petits enfants et 6 adultes dans une école ! Un peu avant, ce jeune homme avait tué sa mère avant de commettre son acte de terrorisme !
26 autres tueries en masse ont été commises avant ça, aux USA…
Mais on n’explique jamais les raisons de ces actes terroristes !
Bravo aux médias qui parlent de la vente d’arme libre aux USA en oubliant les situations familiales de fond. Sacrés salopards.
Souvenons nous, de ce tueur fou norvégien ayant assassiné près de cent enfants sous prétexte qu’ils étaient « socialistes ».
Élevé judiciairement sous la mère, avec un père parti se recomposer en France, qui le renia après cette tragédie et fut protégé sur ordre du procureur local.
Souvenons nous de ce déjanté d’origine algérienne mais de mère divorcée à française, qui tua des enfants juifs et des militaires: l’avocate de son père reparti en Algérie a tout fait pour bloquer ses réactions, par collaboration avec le parquet et le pouvoir exécutif français.
Souvenons nous des ces dizaines de milliers de pères exclus jusqu’au suicide en passant par la case SDF depuis les années 70.
Nous vivons en terrorisme anti-père. La plus simple des preuves? Il est interdit de le dire, il est interdit d’en parler dans les médias, il est interdit de dénoncer l’oppresseur judiciaire.
Bravo, Nicolas pour votre action qui a été répercutée un peu partout parmi le réseau international des parents spoliés par les ajustices !
Oui je confirme que »Beaucoup de mères sont touchées, beaucoup de pères sont touchés, mais surtout…. beaucoup d’enfants et c’est là que se situe le véritable combat. Quand les enfants sont arrachés à leurs parents, la notion de père ou de mère s’efface… et on a plus que de la souffrance à l’état pur… dont il s’agirait effectivement, de mettre un terme » !!!…
Je suis observateur de plus de 10.000 cas de conflits de séparations et de divorces depuis janvier 1994 !
Il y a plus de 2 millions de Sites Internet QUE de papas spoliés par cette »ajustice perverse » qui manque de justesse et de clairvoyance !
Les audiences se déroulent en 5 minutes, au moins… ce qui empêche les juges de prendre des décisions décentes !
Dans nos sociétés, la justice est un véritable bric-à-bras où des juges ont du sang sur les mains !
Bravo, Nicolas Morenno, pour votre action de grève de la faim ! Vous aidez les parents à pousser les consciences (et à les réveiller) pour espérer obtenir une justice juste… grâce au travail de »coopération ordonnée » (comme le Modèle de Cochem depuis 30 ans) ; et par la médiation familiale, conventionnelle, hors secteur judiciaire (hors avocats menteurs qui trompent les juges) où les conflits peuvent y être gérés ! Mais surtout pas dans les tribunaux !
Je suis bien d’accord sur de nombreux points soulevés par le cas que vous citez. Mais, je pense que vous vous discréditez lorsque vous entrez dans un autre combat, celui de pères contre mères. Nous savons tous parfaitement que certaines stratégies dilatoires sont reprises aussi bien par des pères que par des mères. Ce type de parent ne se préoccupe absolument pas, en effet, de l’intérêt majeur des enfants, pour satisfaire un besoin de démonstration de supériorité, ou organiser une revanche, qui finalement sera cher payée par les enfants. De ces situations, j’écarte, bien évidemment, les cas de violence ou d’abus sexuels, reconnus avant toute idée de séparation. Mais, là encore, je me garde de toute généralité, puisque dans toutes les affaires dont je m’occupe, il y a des mères, mais aussi des pères violents, et/ou incestueux. Un association que je connais avait assez bien cerné le problème de l’éloignement d’un parent, après la séparation. Leur proposition première était de modifier les engagements pris lors du mariage. Les enfants à naître devaient créer bien plus d’obligations liées aux droits et devoirs du mariage, pour ce qui concerne le respect des Droit des Enfants. On pouvait inclure les conditions d’éloignement en cas de séparation. 150 km me semble une distance raisonnable. Pour le cas où le parent, qui a l’hébergement des enfants, dépasse cette distance, il lui sera demandé de prévoir un point rencontre à l’intérieur du périphérique des 150 km par rapport à l’habitation de l’ex couple. En cas de difficulté, ce sera au juge de situer le point rencontre, toujours dans les mêmes conditions de distance. Après un divorce, chacun refait sa vie, suivant des opportunités professionnelles et sentimentales, sans jamais perdre de vue les engagements pris lors de la précédente union, au sujet des enfants. Il est donc absolument indispensable de traiter ce problème au moment de la déclaration d’union. Le but étant de responsabiliser les futurs conjoints au moment de l’engagement et pas …..après. Dans tout domaine que ce soit, les conditions d’engagement sont énoncées avant la signature du contrat et pas après. L’actuel contrat a, ainsi, occulté complètement, les droits des censés futurs enfants, dans le cas d’une séparation. Il est évident qu’il ne peut pas y avoir de Loi pour chaque cas. Mais, pour celui qui nous occupe, il faut savoir, que désormais, un couple sur deux divorce dans les dix premières années de mariage. Les cas sont donc suffisamment nombreux pour penser à légiférer. Ce qui permettrait …….aussi …. de désengorger les tribunaux !!!!!!!!!
Merci pour votre remarque,
La bonne distance doit être celle qui permet à l’enfant de pouvoir être éduqué par ses parents. Quelle soit définie en km ou en heure/minute, ca pourrait être encore à l’appréciation au cas par cas. Pourvu déjà, qu’elle soit définie… et ces parents inconscients et pervers, enfin dissuadés efficacement contre les EGV.
Plus nombreux sont les témoignages des pères que des mères. Mais énormément de mères sont victimes d’Exclusion ou d’Aliénation Parentale. Les 2 prochains articles de cette semaine seront celui de mères qui subissent (NRE ou EGV & même les excès de zèle de l’ASE qui continue de confondre principes de protection avec précaution).
Beaucoup de mères sont touchées, beaucoup de pères sont touchés, mais surtout…. beaucoup d’enfants et c’est là que se situe le véritable combat. Quand les enfants sont arrachés à leur(s) parent(s), la notion père/mère s’efface et on a plus que de la souffrance à l’état pur… dont il s’agirait effectivement, de mettre un terme.
Merci de votre intérêt.